SURBOOK À L'HÔTEL 1/2

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : SURBOOK À L'HÔTEL 1/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SURBOOK À L'HÔTEL 1/2
Je me nomme Tristan, étudiant, j'ai 21 ans, je vis chez ma mère, veuve et travailleuse infatigable. Pour joindre les deux bouts, elle porte plusieurs casquettes. Outre son boulot de concierge de notre immeuble, elle donne régulièrement un coup de main à hôtel du Lac, pour le service ou la cuisine en cas de « rush » ou pénurie de personnel, hôtel situé juste en face de chez nous.

Quant à moi, pas trop argenté pour des sorties avec des potes, je passe le plus clair de mon temps à la maison à bouquiner, surfer sur le net, hormis mes cours à la fac pendant les périodes scolaires.

La maison, ou plutôt l'appartement, situé en banlieue, est composé de quatre pièces : deux chambres à coucher, une cuisine faisant office de salle à manger et un grand salon avec balcon. Détail important, ma chambre, le salon et la cuisine sont orientés Sud, alors que la chambre de ma mère donne sur le versant Nord.

* * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Nous sommes en plein mois de juillet et la chaleur est étouffante. Ma mère m'annonce, ce n'est pas une première, que ma chambre sera « squattée » pour une nuit. L'hôtel affichant complet et ne voulant refuser du monde, il fait appel à ma mère pour récupérer une chambre. C'est quelques tunes supplémentaires qui alimentent notre modeste budget. Quasiment chaque année, juillet et août, je passe mes nuits au salon, ma chambre étant systématiquement mise à disposition de l'hôtel du Lac.

Pas de problème, je dormirai au salon, où je suis partiellement masqué par un paravent. Oui, pour passer de l'entrée aux chambres, il faut inévitablement le longer, car il n'y a ni cloison, ni porte.

Ce soir-là, c'est un couple d'Anglais qui occupe ma chambre. Je reste paisiblement sur mon canapé-lit, en petite tenue, et continue à pianoter sur mon ordi sans manifester ma présence. Ils passent aux toilettes, à la salle de bain et regagnent « ma » chambre.

Curieux, voyeur et sevré depuis quelques temps, je sors sur le balcon (les fenêtres de la cuisine et de ma chambre donnent directement sur ce même balcon), écarte discrètement les lamelles du store en plastique pour mater ces touristes.

Ils ont la quarantaine, lui, bedonnant, poilu comme un singe avec un ridicule pénis au repos planqué sous son ventre, elle par contre, fine, peau caramel, de petits seins aux tétons agressifs, le sexe glabre, de petites fesses légèrement en gouttes d'huile. Cette petite femme est intéressante, d'autres diraient « baisable ». Ils allument la radio, je veux dire MA radio et Madame danse devant le grand miroir de ma penderie. Ça me permet de la mater de dos et de face en même temps. Elle est bandante, et du reste je bande comme un taureau.

J'ai sorti ma queue de son étui et d'une main je garde les lamelles du store écartées et de l'autre je tire sur mon élastique. Pendant que Monsieur étudie son guide touristique, je m'occuperais volontiers de sa moitié. Mais elle ne va pas venir me rejoindre, elle ne connait même pas mon existence, sans parler des obstacles, son mari d'une part et ma mère d'autre part.

Les jours se suivent et se ressemblent, ou presque. Des amis, des vieux couples, des dames retraitées, dorment dans ma chambre, dans mon lit, dans mon havre de paix.

Ce soir, c'est mieux, nettement mieux. Trois jeunettes belges, de mon âge environ, peut-être légèrement plus âgées débarquent. Là, je n'ai pas l'intention de rester planquer derrière mon paravent, bien au contraire, je faire le paon, me montrer sous mon meilleur jour.

Habillé sport, coiffé et gominé, un coup de pschitt-pschitt Drakkar noir et je fais d'incessantes navettes entre le salon et le balcon, histoire de me rincer l'œil et de trouver une ouverture. Voilà.... Une idée, Eurêka!!!

Un bouquin, une bière, une lampe d'appoint, et me voilà installé, seul, sur le balcon. De la fenêtre ouverte de ma chambre je les entends bavarder et rire. Je toussote par moment pour signaler ma présence et attirer leur attention. Ça marche. Le store se lève et une frimousse se penche dans ma direction.

- Bonsoir Monsieur, vous êtes.....?
- Bonsoir, oui, je suis le fils de la locataire, je m'appelle Tristan!!!
- Vous êtes tout seul?
- Oui, mais j'ai l'habitude, ne vous tracassez pas pour moi. Mais si vous voulez, j'ai de la bière et du soda au frigo, on peut prendre un verre ensemble et faire connaissance?

Le temps d'aller au réfrigérateur et revenir avec des verres, les trois filles sont sur le balcon, assises autour de la table, à mes côtés.

- Je présente, je suis Tristan étudiant en Lettres
- Moi c'est Carole (la plus jolie selon moi) et mes amies sont Adèle et Bénédicte. Nous sommes juste en transit, demain nous reprenons la route pour descendre sur la Côte d'Azur.
- Dommage, si vous étiez restées un jour de plus je vous aurais fait visiter ma ville. Elle est célèbre dans le monde, c'est une ville fondée par les Romains, elle a donc plus de 2000 ans d'histoire et elle est aussi le berceau des Nations Unies avec un magnifique palais qu'il est intéressant de visiter.

Si je pousse à la consommation c'est que, premièrement, j'ai bien l'intention de m'en faire une, peu importe laquelle et secondement cela fera une nuitée de plus dans l'escarcelle de ma mère.

Nous passons le restant de la soirée à rire et bavarder de leur vie, leur projet, leurs envies. Mon charme opérant, je suis plutôt beau gosse, réussit à les convaincre de prolonger d'un jour. Demain, je les emmènerai visiter les coins que j'aime et les sites incontournables.

Si Carole est la plus jolie, j'ai plus d'atomes crochus avec Bénédicte. Le fruit me paraît plus mûr, prêt pour la cueillette. On se sépare dans la parfaite bonne humeur, un bisou et un « bonne nuit » à chacune d'entre elles.

- Mon lit est large, pour deux c'est parfait, mais pour trois c'est peut-être un peu juste, alors sachez que sur mon canapé, il y a de la place pour deux, dis-je en éclatant de rire et en plantant mon regard dans celui de Bénédicte.

Les trois filles partent, elles aussi, aux éclats. Elles passent ensuite à la salle de bain puis regagnent la chambre. À mon tour d'aller me rafraîchir. Et si mon invitation, ma bouteille à la mer, ma proposition portait ses fruits?

De retour sur mon canapé, j'éprouve de grande difficulté à trouver le sommeil. Je retourne sur le balcon, je les entends chuchoter sans comprendre leur conversation puis c'est le silence total. Merde!!!

Je retourne me coucher et commence finalement à m'assoupir quand un craquement me sort de ma torpeur. Je tends l'oreille et j'aperçois une ombre se rapprocher. L'éclairage de la rue apporte un peu de lumière dans le salon, et je reconnais la silhouette de Bénédicte.

- Tu dors déjà? Je n'arrive pas dormir, trop chaud, pas assez de place et pas envie de dormir, me chuchote-t-elle
- Et tes copines?
- Elles dorment déjà comme des marmottes
- Alors viens donc t'allonger près de moi

Elle est simplement vêtue d'une petite nuisette, très fine, sans rien dessous. Moi rien. Je dors toujours à poil, été comme hiver.

Je la prends dans mes bras et la serre fort contre moi. Nos lèvres se rencontrent, nos langues se tutoient, nos rythmes cardiaques s'accélèrent. Ce n'est peut-être pas la plus jolie des trois, mais c'est sûrement la plus chaude. Rapidement elle retire son unique vêtement, coulisse vers mon bas-ventre, empoigne ma queue et commence à me turluter énergiquement. Hormis quelques branlettes, je n'ai pas baisé depuis vieille lurette alors je serre les dents pour ne pas jouir tout de suite et finir dans sa bouche. Je veux la sauter. Du reste, si je me trompe, elle est là pour ça, non?

Je m'allonge sur le dos, et l'invite à me chevaucher. Passant ma main entre ses cuisses, je constate qu'aucune lubrification n'est nécessaire. Elle ruisselle de mouille, fuit de partout, inonde mon pubis et la literie. Cette faible lumière qui arrose la pièce donne des ombres et des images sublimes. Empalée sur ma bite, elle monte et descend, coulisse sur mon manche. Ses magnifiques seins marquent la cadence. A pleine main, je pétris ses obus volumineux et fermes. De vrais nichons, de vraies mamelles, de la bonne viande comme dirait mon boucher.

Je ne sais pas si Bénédicte est nympho ou sevrée depuis longtemps, mais elle s'en donne à cœur joie. Sa respiration s'accélère, les muscles de son ventre se contractent, puis subitement se relâchent et dans une longue complainte, explose en m'inondant de sa cyprine. Son vagin qui emprisonne ma verge m'envoie comme une magistrale décharge électrique qui me propulse au nirvana, au paradis de jouisseurs. A mon tour de bramer tel un cerf et de vider mes couilles dans les entrailles de ma petite Belge. Nos cabrioles auront duré à peine dix minutes, mais quelle intensité, quelle fougue. Nous passons rapidement et silencieusement à la salle de bain, histoire de nous rafraîchir et, à notre grand regret, nous retournons dans nos chambres respectives. Il est préférable de ne réveiller aucun soupçon.

À suivre...

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