SURBOOK À L'HÔTEL 2/2

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : SURBOOK À L'HÔTEL 2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2025 dans la catégorie Plus on est
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SURBOOK À L'HÔTEL 2/2
Le lendemain matin, c'est-à-dire aujourd'hui, je sers de guide aux filles belges qui ont dormi sous mon toit et leur fais visiter les coins et recoins de ma ville que j'aime et que je connais bien. Le matin, rive droite avec les organisations internationales, à midi, déjeuner sur les quais et l'après-midi, rive gauche, avec la vieille ville, le quartier universitaire, celui des banques et des galeries marchandes. Mes touristes sont ravies. Moi aussi du reste. À tout moment et à tour de rôle, par leur gestuelle, elles sont prêtes à s'offrir à moi et le font savoir par un petit mot gentil par-ci, des petits gestes discrets par-là, des regards complices, des sourires enjôleurs. Bénédicte d'abord, dès le matin vient minauder pour tenter de prolonger notre idylle de la veille et réclamer du rab. Adèle, la pin-up, me pose constamment des questions en frétillant comme un gardon à mes côtés, quant à Carole, elle cherche à m'éblouir par sa culture et son éloquence. Elles sont bien différentes l'une de l'autre, mais les trois parfaitement « comestibles », si j'ose m'exprimer ainsi. L'idée farfelue de faire une royale tous les quatre, ce soir, dans ma chambre, sur mon lit me taraude l'esprit, mais là, il s'agit premièrement de ne pas faire de faux pas et secondement d'être à la hauteur de l'évènement. Tout est question de doigté et de logistique.

De retour à la maison, je propose d'organiser et préparer le repas du soir. En cuisine je suis à l'aise et manger en terrasse tous les quatre me paraît sympa, et rien de tel pour resserrer les liens.

- Mesdemoiselles, rentrez à la maison sans moi, reposez-vous, faites-vous belles et désirables, moi je fais vite un saut au supermarché pour trouver de quoi mitonner notre repas du soir. Ma mère travaille à l'hôtel, elle ne sera pas rentrée avant minuit, nous avons tout l'appart rien que pour nous. L'idéal pour faire la fête.

Pour l'apéro, je prépare quelques olives, cornichons et tomates cerises, le tout arrosé de ti-punchs (rhum agricole, citrons verts et sucre de canne). Ça se boit comme du petit lait, mais ça monte aussi vite à la tête. C'est traître, et c'est le résultat escompté.

Entrée : friselles (canapé tomate, origan et huile d'olive). Plat principal : bœuf à la plancha pommes de terre rissolées et pour le dessert : vacherins glacés. Le tout avec un bon cru de vin rouge frais.

Je m'active en cuisine, prends une rapide douche pendant que ces demoiselles mettent les couverts, et nous voilà fin prêts pour démarrer la soirée.

Le punch coule à flot et ravit les papilles de mes amies, mais après deux tournées, je les stoppe. C'est doux sucré mais traître. Elles ne connaissent pas ce breuvage et c'est le piège. Moi je connais les retours de bâton de cet alcool antillais. Il est piégeux et je veux éviter le pire. La soirée ne fait que commencer mais elle bat déjà son plein. Il fait chaud et mes petites Belges sont vêtues du strict minimum. Mini-shorts moulants et marcels amples sans soutient-gorges. Au gré de leurs agitations et gesticulations leurs seins se balancent et débordent régulièrement aux larges échancrures de leur top. Elles sont totalement déchaînées. J'ai comme une vague impression que je serai leur proie plutôt que leur prédateur.

Mes mignonnes ont le gosier en chute libre. Moi, je veille au grain, il y a d'autres locataires dans l'immeuble, et, avec mes bruyantes convives, je dois assurer un minimum d'ordre et veiller aux nuisances sonores.

- On peut danser? me demande Adèle

- Oui, pas de problème, mais on débarrasse vite la table, on récupère nos verres, on s'installe à l'intérieur, fenêtres fermées et stores baissés.

Je pousse les meubles, et démarre la musique. Restons Antillais jusqu'au bout. Après le ti-punch, place au zouk. L'alcool commençant à faire effet, les minettes sont endiablées. Elles tortillent leur popotin dans tous les sens ou prennent des poses sensuelles en venant frotter leurs attributs contre les miens, n'hésitant pas au passage à effleurer l'avant de mon short de la main. J'ai beaucoup de peine à masquer mon érection, et ça, ces petites salopes l'ont bien remarquée. Comment cette soirée va-t-elle se terminer?

Pendant que je m'activais en cuisine elles ont dû élaborer un plan. Ce n'est pas possible autrement. Elles réclament de la musique lente, style slow langoureux, laissent juste une veilleuse allumée et m'invitent à la danse. Je passe des bras de Bénédicte à ceux d'Adèle, puis de Carole. Je suis sollicité de partout. De vraies mantes religieuses. Des bouches me roulent des patins, dans ce tourbillon, je ne sais plus qui est qui. Six mains me tournent autour, me plotent, me tripotent, me soupèsent, m'évaluent, m'excitent. La température monte, et plus elle monte, plus nos vêtements nous paraissent inutiles. Nous nous retrouvons tous les quatre quasiment nus. Moi en boxer et les filles en string, poitrine à l'air. Je ne vous explique pas dans quel état est ma bite, coincée dans un boxer devenu trop exigü.

Il est 22h30, j'espère que ma mère ne rentre pas plus tôt. Boff, la connaissant, elle serait plus surprise que fâchée, mais mieux vaut prévenir que guérir, il est temps de migrer et de continuer la fête dans ma chambre, tous les quatre. Un petit mot pour ma chère maman sur la table de la cuisine pour lui dire que la vaisselle et le rangement ce sera pour demain.

Une minute plus tard, je les rejoins dans la chambre avec nos boissons et nos verres et je vois mes trois Naïades allongées, nues sur le lit, en train de se caresser, chacune pour soi, lascives, demandeuses. Je pose mon plateau, retire mon boxer, offre à mes visiteuses mon phallus pointé sur douze heures et me couche auprès d'elles sur le plumard. Je suis la tranche de jambon du sandwich, et le pain qui m'entoure est loin d'être rassis, croyez-moi. J'hallucine. Trois nanas en chaleur, une à ma gauche, une entre mes jambes et une à ma droite, impatiente d'en découdre. Assis, dos contre le mur, la bite en érection, elles ne tardent pas à la prendre l'assaut.

Elles se passent « la chose » de l'une à l'autre, tel un sucre d'orge. Je ronronne comme un chat, je voudrais que ce soit une histoire sans fin. Mais va aussi falloir que je m'occupe d'elles, à moins que ce soit elles qui s'occupent de moi.

Carole semble la plus affamée et devient ma première « victime » consentante. Nos regards se croisent, nos sourires valident cette entrée en scène. C'est à quatre pattes que nos ébats commencent. Bite en main, je m'approche de ses rondeurs, oui elle a de très jolies fesses bien proportionnées, bien fermes. Depuis derrière, la vue est imprenable sur sa rosace couleur caramel. J'en perds la tête et ce n'est vraiment pas le moment de rater le virage. Sa chatte, béante, dégouline. Aucune peine à trouver l'entrée et à m'enfoncer dans ses chairs. Elle tortille son cul dans tous les sens, gémit de plaisir, agrippe ses mains à l'oreiller, elle n'est pas loin de partir au pays du plaisir.

Ses copines, de leur côté, ne perdent pas de temps. Bénédicte s'est glissée sous le ventre de Carole, sa bouche à la hauteur de son clitoris et lèche tantôt sa chatte, tantôt mes testicules, tandis qu'Adèle se masturbe, vitesse grand V, en ne perdant pas une miette du spectacle qui se déroule sous ses yeux.

Je freine mes ardeurs. Ce n'est pas le moment de porter l'estocade, pourtant l'envie ne manque pas. Je continue cependant de marteler la moule de Carole tout en appréciant les petits coups de langue bien ciblés de Bénédicte. Je dois impérativement graver cette soirée dans ma tête, me souvenir de tous les détails, car un tel scénario ne se reproduira sans doute jamais.

L'intérieur de la féminité de Carole bouillonne. Les muscles de son vagin se contractent, m'emprisonnent puis, brusquement, dans un profond râle se détendent.

La belle s'envole dans un orgasme sans fin, et la puissance de cette jouissance m'éjecte littéralement de son entrejambe, engendrant un abondant jet de cyprine. Bonjour la literie.

Nimbé par les humeurs de Carole, la queue toujours raide, c'est Adèle qui prend le relais. Adèle, c'est la plus jolie, la cerise sur le gâteau, la mieux faite, la plus sexy, celle qui me branche le plus. Allongée sur le dos, jambes largement écartées, elle m'offre sans la moindre gêne, l'intégralité de son intimité. Je m'allonge sur ce corps de rêve, mes lèvres trouvent les siennes, je l'embrasse longuement et goulûment avant de coulisser doucement, lentement, délicatement le long de son cou, de son corps, de ses seins superbes aux aréoles bien dessinées et aux tétons tout petits et tout pointus. Ma progression continue, son ventre plat, son nombril, sa peau satinée son mont de Vénus recouvert d'un fin duvet de poils soyeux m'offrent un accueil de première classe. Elle sent bon, elle sent la femme, elle sent l'envie. C'est la 8e merveille du monde.

Ma langue fouineuse décalotte son petit clown déjà surexcité (Le petit clown, pour celles et ceux qui ont lu mes histoires précédentes, ils sauront que c'est ainsi que je surnomme le clitoris). Je me gave de sa mouille abondante générée par son intense masturbation. Je suis fou d'amour pour ce corps, je suis fou d'amour pour cette femme. Je dois la marquer au fer rouge. Je ne peux pas la laisser partir demain et ne plus jamais la revoir.

Son bassin ondule sous mes coups de langue et j'insiste, j'insiste, je veux qu'elle me demande le geste ultime, le Graal : baise-moi. Je musarde du petit clown à son sphincter, me régalant au passage de son abondant nectar suintant de son bas ventre. Ces coups de langue provoquent chez elle de légers sursauts, principalement lorsque je lui lèche le périnée et l'anus, deux zones apparemment hyper-sensibles.

- Viens Tristan, viens en moi, pénètre-moi, fais-moi jouir fort, très fort!!!

Mon sexe dur me fait mal tant je bande. Il est vraiment temps d'être le mâle dominant de cette meute de femelles déchaînées. Je remonte jusqu'à ses lèvres, re-baisers torrides. C'est elle qui saisi ma bite et qui la dirige entre ses cuisses brûlantes et ruisselantes. Au plus profond de son ventre je reste immobile. Je ressens les pulsations rapides de son cœur battre contre ma verge. Le plaisir est divin. La fusion est totale. Le massage est subliminal. Sans aucun mouvement, nous atteignons simultanément le point de non-retour. Ma queue déverse en elle un flot interminable de foutre qui déclenche chez elle un orgasme XXL. Du vrai délire. Jamais auparavant une telle frénésie ne s'était produite. Je me surprends moi-même, moi qui croyais bien me connaître.

Toujours allongé sur ce corps de rêve, joue contre joue, je lui avoue mes sentiments, mon amour pour elle. Elle se met à pleurer à chaudes larmes, me sert fort dans ses bras et me déclare :

- Tristan, moi aussi je suis tombée amoureuse de toi dès la première minute où je t'ai vu, mais je vis en Belgique et je suis mariée.

Ce n'est pas une douche froide, mais une douche glacée qui me submerge. Un cyclone me ravage, un uppercut en pleine poire, une baffe magistrale me fusille sur le champ. Je reste muet, paralysé. Dans ma tête, c'est la tempête, le naufrage, la noyade.

L'ambiance est brusquement retombée. Le cœur n'y est plus. La réalité reprend sa place, ma mère va rentrer dans quelques minutes, et demain, à la fraîche, mes trois muses vont m'abandonner. Merde alors..... C'est mal foutu la vie.

Adèle et moi migrons au salon sur le canapé, camouflés sous le drap et masqués par le paravent et laissons Bénédicte et Carole dans ma chambre.

Collés l'un à l'autre, enlacés, étreints nous restons ainsi, tels des amoureux transis, en échafaudant des projets chimériques, en alignant des si, des peut-être, des pourquoi pas, entrecoupés de longs silences et de torrides baisers.

Au matin elles partent toutes les trois pour le Sud. Je ne vous décris pas la scène de cette séparation, les mots me manquent et le désarroi est trop profond.

FIN

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