Surprise dans sa séance de self-bondage - histoire érotique

Tout est prêt !
— Chéri, tu n’as rien oublié ? Demanda Julie.
— Je n'ai rien oublié, t'inquiète. Et toi tu es sûr de ne pas vouloir venir ?
— J'ai mal à la tête et l'alcool fera qu'accentuer ma migraine.
David tomba complètement dans la comédie, il prit sa petite amie et l'embrassa de manière tendre. Après quelques caresses dans les longs cheveux bruns de Julie.
— Tu sais que tu peux m'appeler quand tu veux ? Rassura David.
— Oui, oui, dépêche-toi, tes amis t'attendent !
Et il partit. Le calme avait repris dans l'appartement modeste. L'agitation de la ville s'arrêta progressivement. Julie attendit presque dix minutes avant de faire son activité. David n’avait rien oublié visiblement.
J'attends ça depuis si longtemps, se réjouit-elle. Julie se dirige vers sa chambre. Elle fouilla dans ses tiroirs pendant quelques minutes et trouva ce qu'elle cherchait : un justaucorps de danse et une paire de collant.
Une fois dévêtis, Julie galba ses belles jambes de nylon. Le justaucorps moulait joliment sa faible poitrine. L'instant d'après, les tétons commençaient à durcir. L'excitation montait avec lenteur, mais Julie aimait prendre son temps. Elle se caressa l'ensemble de son corps, le justaucorps lui procurait tellement de sensations.
Julie se contempla dans le petit miroir posé sur le bureau. C'est parfait ! Pensa-t-elle. La jeune femme alla dans la cuisine pour boire de l'eau. Après avoir bu presque un litre, elle retourna dans sa chambre et pu enfin commencer son activité.
Tout est prêt !
Elle saisit un petit coffre à bijoux et l'ouvrit. Il n'y avait pas de bijoux, seulement des menottes aux poignets roses. C'était la meilleure solution pour cacher de tels affaires, David ne pourrait jamais les trouver par inadvertance.
Julie mit une serviette de bain sur son lit et s'allongea. Elle voulait prendre des précautions comme c'était la première fois qu'elle le faisait.
Dans un premier temps, Julie accrocha sa cheville gauche au rebord de son lit. Elle sentit une bouffé excitation apparaître. Une fois, la deuxième cheville entravée. Julie se sentit très excitée. Ses minuscules tétons semblait visiblement à travers de son justaucorps. Elle les pinça pendant un instant pour ravir ses pulsions.
Julie glissa sa main dans la menotte rose si agréable. Elle glissa l'autre, et avec un peu de souplesse actionna le cadenas. Ce moment fut si érotique et si jouissif !
En vérité, la jeune femme pouvait se libérer sans avoir la clef, le cadenas était là juste pour l'excitation qu'il procurait. Julie sourit vers le plafond. Elle préparait ce moment depuis si longtemps, elle avait tout organisé en secret.
Tout est prêt !
Être ligotée était comme des caresses pour elle. Julie ne s'était jamais sentit autant excitée. C'était une drôle de sensation de sentir sa vessie monter. Une voiture passa dans la rue voisine, elle fit un vacarme horrible. Sans doute un alcoolique qui rentrait chez lui.
Julie resta muette comme si elle était punie. Dans l'étage inférieur, Julie remarqua que la télévision fonctionnait, mais trop bas pour savoir la chaîne précisément.
Julie commença à s'agitait, sa vessie se semblait presque pleine.
Une autre voiture passa dans la rue, mais cette fois-ci elle paraissait plus calme. Julie se retint de pisser. Quelques minutes plus tard, des pas lourds et rapides résonnèrent dans le couloir. Julie ne fit pas trop attention. De tout façon, ses pulsions sexuelles prenaient toute son attention.
Peu de temps, la porte de l'appartement s'ouvrit brusquement.
Qu'est-ce qu'il a pu bien oublier ? pensa Julie. David était beaucoup trop tête en l'air, mais cela faisait son charme. La jeune femme resta la plus silencieuse possible. Mais il se dirigea vers la chambre.
— Mon amour, chuchota-t-il, je viens de faire un petit coucou, j'ai oublié mon téléphone.
David changea très vite d'expressions quand il découvrit toute la scène. Il sourit face à sa petite amie ligotée.
— J'ai l'impression que ta migraine est vite passée, dit-il calmement.
Julie lui sourit en guise de réponse. Sa vessie semblait être sur le point d'exploser, mais elle se retint. David s'assit sur le lit, et laissa vagabonder ses mains sur son corps.
— Julie tu m'excite beaucoup… La jeune n'osa pas lui répondre. David prit son téléphone et appela son pote.
— Mike, et c'est moi. Je suis désolé de te dire ça, mais Julie est très mal en point et je vais rester avec elle.
Et il raccrocha. Apparemment il avait parlé au répondeur de son ami.
— Julie… La main parcourra sa poitrine, et pinça ses tétons à travers du tissu.
— On fête une occasion spéciale ? Peu importe, pas besoin d'occasions spéciales pour célébrer notre amour, si ?
Julie ne voulait pas répondre. Elle pouvait pisser à m'importe moment.
— J'aime bien ton silence, dit-il en caressant ses cheveux, j'aime aussi ta tenue de ballerine, ça me fait bander beaucoup.
David plaça sa main sur le sein droite de son amie.
— Tu veux savoir la chose qui me fait le plus bander ? C'est quand tu mets en valeur tes minuscules seins. Tout ce qu'il est petit est mignon, pas vrai ?
Oui, pensa Julie. C'est la chose que tu t'aimes le plus, tu n'arrêtes pas de me le dire ! David s'approcha de sa poitrine et fit quelques léchouilles.
— Mon amour, je te croyais une fille sérieuse, réservée, travailleuse, pudique, innocente. Tu es toujours gênée quand on parle de sexe.
Quelques gouttes de pisse ruisselèrent. Julie essaya d'évacuer petit à petit. Elle regarda toujours son partenaire dans les yeux.
— Mais en fait tu jouais la comédie depuis le début, et je crois que je t'aime encore plus.
David embrassa longuement son amie. Julie ne put rien faire et lâcha tout. Une forte odeur urine apparaît dans la pièce. Julie crut pendant un instant avoir eu un orgasme.
David remarqua l'énorme tâche sur le collant rose et se mit à rire.
— Je comprends mieux pour il y a une serviette de bain, tu étais prévoyante. Il faut être prévoyant dans ce genre situation. Ça doit être excitant de plus pouvoir se retenir et en mettre partout.
C'est vrai, cela m'a beaucoup excitée ! pensa Julie.
— Julie… — Tout est prêt, mais j'ai oublié une chose.
— Tu n'as rien oublié, Julie tu as le fait le plus beau cadeau.
David plaça sa main sur l'entrejambe puant et collant de Julie, mais fit joua avec son doigt. Il enfonça son majeur de plus en plus profondément dans son sexe. Julie lui sourit et resta silencieuse.
— Tu peux gémir… Non, reste silencieuse cela m'excite encore plus !
Progressivement, la main de l'homme devint toute humide. Son doigt serpenta entre les tissus et atteignit son sexe.
Julie laissa s'échapper un faible gémissement. Le doigt se retira.
— Pourquoi tu arrêtes ? Dit Julie.
— Car je n'ai pas envie de tu jouisse. Vu la situation, tu es ma soumise.
— Tu n’as pas tort, sourit JulieDavid laissa tomber son pantalon et son caleçon, et approcha sa bite bien dressée vers la bouche de la captive. Sans hésitant, elle mordilla la belle queue, mais un peu trop poilue à son goût. Julie fit des coups de langues lentement pour exciter son partenaire encore plus.
Quelques secondes plus tard, David retira son pénis prêt à éjaculer. Il se branla rapidement et gicla tout son sperme sur ma poitrine plate. Julie sourit, elle sentit toute la semence ruisseler sur ses seins.
— Je suis désolé, dit David, je ne savais pas où le mettre.
— Pour cette fois, j'ai adoré que tu me gicle dessus.
— Merci Julie, j'ai tellement envie de le refaire.
— Moi aussi, et si on change les rôles la prochaine fois, ça sera tellement excitant !
Le couple s'était mis à rire…