Ta vie va devenir un enfer 2
Récit érotique écrit par Alexcoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ta vie va devenir un enfer 2
La porte s’ouvre, Indrid arrive. Elle a l’air épuisé, toujours le visage fermé comme à son habitude.
Je suis planqué derrière la porte de la cuisine, elle ne me voit pas mais moi, par contre, je peux l’observer.
Ingrid ferme la porte à clef et finit par les déposer dans le petit meuble d’entrée. Je ne vois pas exactement où.
Cache t’elle un double ? Ça serait parfait pour moi.
Rien quand l’observant, je commence à bander, son visage dur et son attitude de femme inaccessible m’excite tellement.
Elle avance dans le salon, il faut que j’arrive à sortir rapidement de la cuisine qui est collé à cette pièce, car si elle entre, je ne sais pas comment je vais faire pour m’en sortir.
Elle allume la télé, se pose dans le canapé. Elle est allongé, la télécommande à la main.
Pour le moment je suis coincé. L’accès à la porte d’entrée est impossible.
Elle se lève, pourquoi ? Ou va t’elle ?
La voilà, qui se dirige vers moi. Comment vais je faire?
Elle est à l’entrée de la porte de la cuisine, je transpire à grosse goute. Je mets ma main droite sur la bouche pour qu’elle entende ma respiration et je commence a prier.
Au moment où elle pénètre dans la cuisine, son téléphone sonne.
_ C’est pas possible, on ne peut jamais être tranquille deux minutes, dit elle, assez énervée.
Elle se retourne puis fait demi- tour jusqu’à son portable qui est sur la table basse.
Vite, il faut que je réagisse. Je me déplace tout doucement la tête baissée comme un vrai petit cambrioleur. Ingrid arrive jusqu’au canapé, récupère son téléphone portable et répond :_ Allo ? Ça va et toi ? Rien je suis chez moi, je vais me faire un thé puis je vais aller me doucher.
Elle continue sa conversation puis repart de nouveau vers la cuisine. Heureusement, j’ai pu me déplacer sans me faire voir. J’entre dans sa chambre. Je me mets à la porte et observe ses gestes.
Quelques minutes plus tard, elle ressort de la cuisine et s’installe une fois de plus, sur son canapé. Elle s’allonge, son thé fumant sur la table basse.
Elle discute, rigole, ça me fait presque bizarre de la voir joyeuse et heureuse. Je vois une autre facette de sa personne qui pourrait presque me donner des regrets.
_ Bon ma Louloute, je te laisse, on essaye de se voir bientôt. Je te fais pleins de gros bisous. Bisous bisous.
Elle raccroche son téléphone, termine son thé et part en direction de sa chambre.
Merde, ce n’est pas possible.
Je pars instantanément me cacher derrière le lit, je m’allonge pour ne pas me faire remarquer.
Au bout de cinq minutes, j’entends de l’eau coulé. J’ai compris qu’elle était sous la douche.
Ouf, elle est partie à la salle de bain. Est ce que je vais arriver à la voir nue ?
Je sors discrètement, regarde à droite, puis à gauche pour voir si elle n’est pas présente.
Je m’approche de la porte de la salle de bain, me penche discrètement et observe. Elle est de dos, nue, son cul dévoilé. Il a l’air ferme. Je me verrai bien la prendre d’un coup sec dans l’anus, en lui tirant les cheveux.
Je me rince l’œil rapidement puis, je progresse jusqu’à la porte d’entrée.
Je m’agenouille devant le petit meuble à côté de la porte. J’ouvre le premier tiroir, des papiers sans importance, j’ouvre celui de dessous, je trouve quatre clefs différentes dont un trousseau. Le trousseau doit certainement contenir la clef de la porte d’entrée.
Je remarque qu’une clef du trousseau est identique avec une des trois autres clefs.
Serait ce le double ?
Je l’attrape, me redresse et essaye d’ouvrir la serrure.
Bingo, c’est la bonne. Je pense bien à refermer les tiroirs et la porte d’entrée.
Je rentre chez moi, hyper satisfait, en espérant que Fanny ne soit pas arriver.
J’ouvre mon appartement, ouf personne.
Une dizaine de minutes plus tard, Fanny rentre du travail. Nous passons une soirée des plus banales.
Vers 23h, Fanny commence à s’endormir sur le canapé, à côté de moi. Je regarde et vérifie qu’elle soit bien dans les bras de Morphée. Je me lève, pars sur le balcon pour vérifier si chez la voisine, la lumière est allumée. Je ne vois rien, les volets sont tous fermés. Impossible de savoir si elle dort ou non.
Je réveille ma compagne et lui dit de partir de coucher au lit. Comme à son habitude, elle se lève et part se recoucher rapidement dans la chambre. Elle s’endort aussitôt.
Moi je fais les cents pas. J’ai très envie de me masturber. Je repense au cul bien ferme de ma voisine. Mon pantalon de jogging gris, commence à devenir serré pour ma bite. Je l’imagine à quatre pattes devant moi, le cul bien ouvert.
C’est sur ce soir, je vais entrer chez elle et prendre mon pied. Je ne sais pas encore comment, mais je trouverai.
Minuit sonne, j’hésite à y aller, cela fait une heure que j’attends chez moi avec qu’une seule envie, descendre chez Ingrid. En semaine, est ce qu’elle serait encore debout ? A minuit ? Je préfère attendre encore un peu. Pour patienter, j’allume ma console de jeux.
Une heure du matin, cette fois j’y vais. Je vais descendre chez elle.
Je prends mes baskets à la main, ouvre puis referme la porte d’entrée tout doucement, pour ne pas réveiller ma compagne. Une fois à l’extérieur de mon appartement, je mets mes chaussures. Je descends sans faire de bruit pour ne pas gêner les autres voisins. Je descend les escaliers et me dirige en bas au fond du couloir à gauche.
A l’entrée du domicile d’Ingrid, j’essaye de me faire encore plus discret. Je pose une oreille sur la porte, je n’entends rien.
Est ce que je prends le risque ? Si jamais, elle me surprend en train de pénétrer dans son appartement, j’aurai de gros problème.
Tant pis, j’y vais, j’entre la clef dans la serrure, je tourne délicatement le verrou sur la gauche. Un tour...deux tours et j’ouvre tout doucement, et la... rien.
Tout est éteint. Je suis tout excité, je commence à bander. Je marche tranquillement dans l’appartement vide. Je sors du salon, pénètre dans la chambre où je vois Ingrid, allongée sur le dos, une main au dessus de la tête. J’entends sa respiration assez soutenue ce qui me rassure. Elle dort profondément.
Elle est en nuisette, assez courte, de couleur noir en satin. La poitrine est dégagé grâce au col V. Sa nuisette recouvre à peine sa chatte, il fait chaud et les couvertures sont à ses pieds.
Je fais le tour du lit et je suis maintenant à moins d’un mètre de son visage. J’ai ma queue qui grossit, j’ai très envie de me masturber.
Je baisse mon pantalon, sors ma bite que je tiens fermement dans ma main droite, j’ose pas la toucher.
Je commence à faire de léger va et viens, je rapproche ma queue de son visage. Je frôle ses lèvres avec mon gland. Il sent assez fort. Devant ses petites lèvres fines, j’accélère mes mouvements. J’ai envie d’entrer dans sa bouche. J’attrape mon téléphone pour immortaliser ce moment. Je cadre ma bite proche des lèvres d’Ingrid et j’appuie. Le flash apparaît, la photo est prise.
Je transpire à grosse goute, je la vois remuer mais par chance, elle reste endormie.
Je l’ai échappé belle.
Je reprends ma masturbation, avec ma main gauche, je descends légèrement une bretelle pour laisser apparaître un sein. Il est bien fermé, un mamelon rosée dévoilant un téton assez épais. Ma queue est gorgée de sang, je prends tellement de plaisir . Je décide d’immortaliser à nouveau ce moment mais sans ma queue. Je prends la photo toujours avec le flash. Pas de réaction.
Je suis tellement excité, je me branle de plus en plus fort, je relève légèrement la nuisette d’Ingrid. Pas de culotte, sa chatte légèrement velue apparaît. Mes yeux sont écarquillés, je prends une nouvelle photo.
Je continue de m’astiquer. J’approche mon visage de sa fente, je renifle.
Quelle bonne odeur de chatte mal lavée. J’ai envie d’y plonger ma langue. Je suis à quelques centimètre de ses lèvres inférieure. Je sors ma langue. Je lèche de bas en haut tout doucement. Sa chatte est sèche, je l’humidifie et je la vois se dandiner légèrement. Je décide de m’arrêter.
Je reprends ma masturbation. Au bout de quelques secondes, je lache deux gros jets de sperme bien gluant. Il se colle sur les draps au niveaux de ses genoux.
Je récupère quelques gouttes sur mon index droit et je viens le déposer prudemment sur sa bouche.
Elle ne réagit pas. Je la regarde quelques instants, la queue a l’air. Quelle pied, un vrai délice.
Je me rhabille et je rentre chez moi.
Arrivant à la maison, je décide d’accentuer ma vengeance. J’ai deux photos d’elle nue, j’en imprime une dizaine. Je croise les doigts pour que Fanny ne se réveille pas à ce moment-là.
Au bout d’une dizaine de minutes, je récupère les dix photos de son sein et les dix photos de sa chatte.
Je quitte de nouveau l’appartement, je descends avec les photos et un rouleau de scotch. En arrivant sur le parking, je cherche sa voiture. C’est une voiture familiale de chez Peugeot.
Je la trouve très rapidement, je scotch les vingts affiches montrant sa nudité. Demain, tous le monde sera la salope qu’elle est.
Je remonte chez moi, je finis par me coucher. Je vais bien dormir.
Vivement demain, on va bien rigoler.
A suivre...
Je suis planqué derrière la porte de la cuisine, elle ne me voit pas mais moi, par contre, je peux l’observer.
Ingrid ferme la porte à clef et finit par les déposer dans le petit meuble d’entrée. Je ne vois pas exactement où.
Cache t’elle un double ? Ça serait parfait pour moi.
Rien quand l’observant, je commence à bander, son visage dur et son attitude de femme inaccessible m’excite tellement.
Elle avance dans le salon, il faut que j’arrive à sortir rapidement de la cuisine qui est collé à cette pièce, car si elle entre, je ne sais pas comment je vais faire pour m’en sortir.
Elle allume la télé, se pose dans le canapé. Elle est allongé, la télécommande à la main.
Pour le moment je suis coincé. L’accès à la porte d’entrée est impossible.
Elle se lève, pourquoi ? Ou va t’elle ?
La voilà, qui se dirige vers moi. Comment vais je faire?
Elle est à l’entrée de la porte de la cuisine, je transpire à grosse goute. Je mets ma main droite sur la bouche pour qu’elle entende ma respiration et je commence a prier.
Au moment où elle pénètre dans la cuisine, son téléphone sonne.
_ C’est pas possible, on ne peut jamais être tranquille deux minutes, dit elle, assez énervée.
Elle se retourne puis fait demi- tour jusqu’à son portable qui est sur la table basse.
Vite, il faut que je réagisse. Je me déplace tout doucement la tête baissée comme un vrai petit cambrioleur. Ingrid arrive jusqu’au canapé, récupère son téléphone portable et répond :_ Allo ? Ça va et toi ? Rien je suis chez moi, je vais me faire un thé puis je vais aller me doucher.
Elle continue sa conversation puis repart de nouveau vers la cuisine. Heureusement, j’ai pu me déplacer sans me faire voir. J’entre dans sa chambre. Je me mets à la porte et observe ses gestes.
Quelques minutes plus tard, elle ressort de la cuisine et s’installe une fois de plus, sur son canapé. Elle s’allonge, son thé fumant sur la table basse.
Elle discute, rigole, ça me fait presque bizarre de la voir joyeuse et heureuse. Je vois une autre facette de sa personne qui pourrait presque me donner des regrets.
_ Bon ma Louloute, je te laisse, on essaye de se voir bientôt. Je te fais pleins de gros bisous. Bisous bisous.
Elle raccroche son téléphone, termine son thé et part en direction de sa chambre.
Merde, ce n’est pas possible.
Je pars instantanément me cacher derrière le lit, je m’allonge pour ne pas me faire remarquer.
Au bout de cinq minutes, j’entends de l’eau coulé. J’ai compris qu’elle était sous la douche.
Ouf, elle est partie à la salle de bain. Est ce que je vais arriver à la voir nue ?
Je sors discrètement, regarde à droite, puis à gauche pour voir si elle n’est pas présente.
Je m’approche de la porte de la salle de bain, me penche discrètement et observe. Elle est de dos, nue, son cul dévoilé. Il a l’air ferme. Je me verrai bien la prendre d’un coup sec dans l’anus, en lui tirant les cheveux.
Je me rince l’œil rapidement puis, je progresse jusqu’à la porte d’entrée.
Je m’agenouille devant le petit meuble à côté de la porte. J’ouvre le premier tiroir, des papiers sans importance, j’ouvre celui de dessous, je trouve quatre clefs différentes dont un trousseau. Le trousseau doit certainement contenir la clef de la porte d’entrée.
Je remarque qu’une clef du trousseau est identique avec une des trois autres clefs.
Serait ce le double ?
Je l’attrape, me redresse et essaye d’ouvrir la serrure.
Bingo, c’est la bonne. Je pense bien à refermer les tiroirs et la porte d’entrée.
Je rentre chez moi, hyper satisfait, en espérant que Fanny ne soit pas arriver.
J’ouvre mon appartement, ouf personne.
Une dizaine de minutes plus tard, Fanny rentre du travail. Nous passons une soirée des plus banales.
Vers 23h, Fanny commence à s’endormir sur le canapé, à côté de moi. Je regarde et vérifie qu’elle soit bien dans les bras de Morphée. Je me lève, pars sur le balcon pour vérifier si chez la voisine, la lumière est allumée. Je ne vois rien, les volets sont tous fermés. Impossible de savoir si elle dort ou non.
Je réveille ma compagne et lui dit de partir de coucher au lit. Comme à son habitude, elle se lève et part se recoucher rapidement dans la chambre. Elle s’endort aussitôt.
Moi je fais les cents pas. J’ai très envie de me masturber. Je repense au cul bien ferme de ma voisine. Mon pantalon de jogging gris, commence à devenir serré pour ma bite. Je l’imagine à quatre pattes devant moi, le cul bien ouvert.
C’est sur ce soir, je vais entrer chez elle et prendre mon pied. Je ne sais pas encore comment, mais je trouverai.
Minuit sonne, j’hésite à y aller, cela fait une heure que j’attends chez moi avec qu’une seule envie, descendre chez Ingrid. En semaine, est ce qu’elle serait encore debout ? A minuit ? Je préfère attendre encore un peu. Pour patienter, j’allume ma console de jeux.
Une heure du matin, cette fois j’y vais. Je vais descendre chez elle.
Je prends mes baskets à la main, ouvre puis referme la porte d’entrée tout doucement, pour ne pas réveiller ma compagne. Une fois à l’extérieur de mon appartement, je mets mes chaussures. Je descends sans faire de bruit pour ne pas gêner les autres voisins. Je descend les escaliers et me dirige en bas au fond du couloir à gauche.
A l’entrée du domicile d’Ingrid, j’essaye de me faire encore plus discret. Je pose une oreille sur la porte, je n’entends rien.
Est ce que je prends le risque ? Si jamais, elle me surprend en train de pénétrer dans son appartement, j’aurai de gros problème.
Tant pis, j’y vais, j’entre la clef dans la serrure, je tourne délicatement le verrou sur la gauche. Un tour...deux tours et j’ouvre tout doucement, et la... rien.
Tout est éteint. Je suis tout excité, je commence à bander. Je marche tranquillement dans l’appartement vide. Je sors du salon, pénètre dans la chambre où je vois Ingrid, allongée sur le dos, une main au dessus de la tête. J’entends sa respiration assez soutenue ce qui me rassure. Elle dort profondément.
Elle est en nuisette, assez courte, de couleur noir en satin. La poitrine est dégagé grâce au col V. Sa nuisette recouvre à peine sa chatte, il fait chaud et les couvertures sont à ses pieds.
Je fais le tour du lit et je suis maintenant à moins d’un mètre de son visage. J’ai ma queue qui grossit, j’ai très envie de me masturber.
Je baisse mon pantalon, sors ma bite que je tiens fermement dans ma main droite, j’ose pas la toucher.
Je commence à faire de léger va et viens, je rapproche ma queue de son visage. Je frôle ses lèvres avec mon gland. Il sent assez fort. Devant ses petites lèvres fines, j’accélère mes mouvements. J’ai envie d’entrer dans sa bouche. J’attrape mon téléphone pour immortaliser ce moment. Je cadre ma bite proche des lèvres d’Ingrid et j’appuie. Le flash apparaît, la photo est prise.
Je transpire à grosse goute, je la vois remuer mais par chance, elle reste endormie.
Je l’ai échappé belle.
Je reprends ma masturbation, avec ma main gauche, je descends légèrement une bretelle pour laisser apparaître un sein. Il est bien fermé, un mamelon rosée dévoilant un téton assez épais. Ma queue est gorgée de sang, je prends tellement de plaisir . Je décide d’immortaliser à nouveau ce moment mais sans ma queue. Je prends la photo toujours avec le flash. Pas de réaction.
Je suis tellement excité, je me branle de plus en plus fort, je relève légèrement la nuisette d’Ingrid. Pas de culotte, sa chatte légèrement velue apparaît. Mes yeux sont écarquillés, je prends une nouvelle photo.
Je continue de m’astiquer. J’approche mon visage de sa fente, je renifle.
Quelle bonne odeur de chatte mal lavée. J’ai envie d’y plonger ma langue. Je suis à quelques centimètre de ses lèvres inférieure. Je sors ma langue. Je lèche de bas en haut tout doucement. Sa chatte est sèche, je l’humidifie et je la vois se dandiner légèrement. Je décide de m’arrêter.
Je reprends ma masturbation. Au bout de quelques secondes, je lache deux gros jets de sperme bien gluant. Il se colle sur les draps au niveaux de ses genoux.
Je récupère quelques gouttes sur mon index droit et je viens le déposer prudemment sur sa bouche.
Elle ne réagit pas. Je la regarde quelques instants, la queue a l’air. Quelle pied, un vrai délice.
Je me rhabille et je rentre chez moi.
Arrivant à la maison, je décide d’accentuer ma vengeance. J’ai deux photos d’elle nue, j’en imprime une dizaine. Je croise les doigts pour que Fanny ne se réveille pas à ce moment-là.
Au bout d’une dizaine de minutes, je récupère les dix photos de son sein et les dix photos de sa chatte.
Je quitte de nouveau l’appartement, je descends avec les photos et un rouleau de scotch. En arrivant sur le parking, je cherche sa voiture. C’est une voiture familiale de chez Peugeot.
Je la trouve très rapidement, je scotch les vingts affiches montrant sa nudité. Demain, tous le monde sera la salope qu’elle est.
Je remonte chez moi, je finis par me coucher. Je vais bien dormir.
Vivement demain, on va bien rigoler.
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