Table en sapin...(20)

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Table en sapin...(20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Table en sapin...(20)
Mon portable vibra dans ma poche, me signalant que je venais de recevoir un SMS. Discrètement, je m’éloignais de ma femme, pour me saisir du téléphone et lire le message qui disait ceci : « est-ce que cela t’a fait du bien de lécher mes pieds ? I. » J’étais plus que surpris de prendre un tel message de la part d’une femme comme d‘Isabelle. Je la connaissais comme étant une femme sage, et sans relation particulière.
À mon retour auprès de ma femme, toujours à table, je lui fis part de mon envie d’aller me poser devant la télé. De son côté, elle m’avertit qu’elle devait s’occuper du linge. Une fois seule dans le salon je pris le temps de réfléchir avant de taper ces quelques mots : «  Désoler je n’ai pas pu résister à la tentation de les sucer tant je les trouvais adorable. A. «  La réponse arriva coup sur coup.
« cela te dirai de renouveler l’expérience. I. » Le temps de le taper, j’envoyais à mon tour ceci : « Je ne dis pas non ! A. » Les minutes d’attente qui s‘en suivirent me parurent une éternité. Je mis cela sur le compte de la réflexion ! Ou alors, elle n’était plus seule. J’avais dû patienter une vingtaine de minutes avant d’avoir le plaisir de nouveau que la lire : « Pourquoi pas demain ? I. » « Où ? A. » répondis-je, tremblant d‘excitation.
« Là je ne sais pas ! Je comptais un peu sur toi pour trouver. » Je pris le temps de réfléchir avant de pianoter ce SMS : « La semaine prochaine mes beaux-parents partent dans le midi, nous pourrions trouver un jour à ta guise pour nous retrouver dans leur maison ! A. » J‘étais impatient de pouvoir lire la réponse. Mais cette réponse ne vint pas. L’avais-je donc vexé ? Serais-je allé pas trop vite à son goût ? Je décidais d’attendre encore, repoussant l‘heure d‘aller me coucher. Mais malheureusement, ma patience s’éternisa au fil des minutes. Ce qui était rare chez moi. Mais mille fois hélas pour moi, rien n’arriva sur mon portable. Comme il se faisait tard, je décidais d’aller me coucher.
Le lendemain, la première chose que je fis en me levant ce fut d’aller m’informer auprès de mon portable pour savoir si je n’avais pas reçu un message au courant de la nuit. Mais pour mon plus grand désarroi, rien !
Ce fut seulement au courant de la journée que j’eus l’agréable surprise de la lire.
« j’ai grandement réfléchi à ta proposition, et je crois après réflexion que je vais me laisser tenter. Même si j’espérais que cela arrive plus tôt. Mais promet moi de te contenter que de mes pieds ? Mais surtout de ne rien dire à personne. I. » Je m’empressais de la sécurisé en lui promettant de seulement écouter ce qu’elle me dicterait que je lui fasse. Ce serait son poupon qu’elle télécommanderait par la parole.
« parfait ! I. » m‘envoya-t-elle.
Le jour choisit, après mille précautions, je l’avais prise à bord de ma voiture dans un sous-sol, ainsi à l’abri des regards. Pour le besoin elle s’était couchée sur la banquette arrière, une couverture sur elle. Ce fut seulement hors le l’agglomération qu’elle avait été autorisé de sortir de sa planque.
Une fois chez mes beaux-parents, Isabelle regardait, attentivement la pièce où tout avait commencer, la même où nous avions festoyer quelques jours plus tôt, comme si elle la voyait pour la première fois.
- Tu veux que je m’installe où ? Me fit-elle.
- Sur le divan, cela te va ? Tu seras plus à ton aise pour ce que tu as !
Ses yeux s’illuminèrent.
- Où tu veux, me répondait-elle avec un sourire malicieux.
Je l’aidai à se séparer se son manteau, la regardant dans les yeux, et dis : - J’espère que tu aies toujours d’accords !
- Plus que jamais ! Répondit-elle, en baissant les yeux, le rouge aux joues.
Je savais parfaitement ce qu’elle était venu chercher ici. Autre chose qu’une seule massage de pieds. Je la sentais enfiévrée par la situation. Elle respirait un peu fort et ses seins étaient gonflés, les pointes se hérissèrent à travers son chandail.
- Tu permets que je te déchausse ?
- Je ne sais pas comment tu pourrais faire autrement pour ce que tu t‘apprête à faire.
Alors que je me portais à la hauteur de ses pieds, elle baissa ses yeux sur moi, une lueur d’interrogation dans les yeux. J’aime capter la sensualité propre de chaque femme, leur manière d’être, qu’elle me dévoile leur envie, j’adore aussi deviner leur désir, de le voir grimper peu à peu au fil des minutes, et cela jusqu‘à qu’elle ne soit plus maître d’elle-même.
Et cette Isabelle, acceptera-t-elle d’être ce celle-là. De se dévoiler entièrement pour moi ? Peut-être ? Mais ça, pas pour tout de suite je pense. Mais si seulement si, elle le désirait, elle le pourrait naturellement, elle était à cet instant le maître des lieux.
Au fur et à mesure que son pied quittait sa prison de cuir, j’avais l’agréablement vision de sa plante douce de son peton, légèrement plus colorée sur les points d’appui. J’étais comme hypnotisé par ce qui ce dévoiler devant les yeux.
Tout de suite un parfum subtil, assez corsé, mélange de cuir et de transpiration vint chahuter avec mes narines. Je ne pouvais désormais plus gérer mon érection. J’avais même du mal à déglutir.
Je me délectais de la vision de la plante de son pied. Heureux de pouvoir jouer avec lui à ma guise. Je respirai à plein poumons la délicieuse odeur qu‘il émanait.
J’enregistrais un maximum d’image pour ne pas perdre une seule miette de ce spectacle visuel et olfactif. Je pris délicatement son peton droit, et me mis à masser les orteils. Parcourant les pleines et les fines de ces courbes tant désirées. Le soupir et le regard approbateur d’Isabelle m’encourageait de poursuivre. Ce que je fis, pressant le massage plus sensuellement. Effleurant les zones plus délicates, caressant tout ce qui pourrait lui déclencher des tonnes de frissons.
Après ce petit divertissement qui amena nos envies au point de non retour. Isabelle remit délicatement son pied dans sa chaussure. Pourquoi ? Je n’en savais rien, et je m’était bien garder de lui poser la question. Tous deux dans un état second et retenant pour un court moment encore nos ardeurs, nous allâmes prendre un café.
Mais très vite, dans l’élan de la première étreinte intense, nous nous couvrîmes de baisers ardents, goûtant nos langues, nos lèvres, nous buvant l’un l’autre, tout le corps. Je me pressais contre elle enivré, lui mordillais le cou.
De rien gentlemen, je remontais sa robe de grossesse jusqu’aux hanches, pour me saisir ses fesses à pleines mains. Les modelant à ma fièvre. Heureux de pouvoir me coller contre la douceur de son collant sur le cul galbé et ferme sous mes doigts.
Isabelle fondait à vue d‘œil, devenant flexible et docile à cette emprise, mouillant abondamment. Je pris l’initiative de glisser ma main droite sous l’ourlet de sa robe, pour toucher l’intérieur de sa cuisse. Poussé par la curiosité, je remontais lentement plus haut, plus près de son sexe, en une caresse insoutenable, à voir comment elle se mordait la lèvre. À l’effleurement de son sexe, Isabelle ne put retenir un gémissement.
Jouant des deux mains, je frictionnais les lèvres à travers les mailles imbibées de son jus avec une, l’autre, pressait les fesses de plus en plus fermement. Je la regardais, attentif aux sensations qui montaient en elle. Les gémissements sortant de sa bouche s’intensifiaient à chaque caresse plus marquée.
Lorsque, pour mon plus grand plaisir, je déchirai le nylon qui faisait encore barrière entre ma main et son sexe, dont la brutalité de ce geste fit suffoquer Isabelle, et qui pour toute réponse se cambra de plaisir.
Du bout des doigts, j’étalai le jus qui coulait, en une brûlante caresse circulaire, lubrifiant ainsi, la vulve offerte où pas un millimètre n’était demeuré asséché. Écartant les babines, j’introduisis un doigt, puis deux, les ressortis pour les frotter contre le clitoris turgescent gorgé d‘excitation.
Isabelle agrippée à mes épaules, les yeux rivés sur moi, dont je lus que la jouissance, ne cessait de gémir, au bord du cri, bougeant son ventre pour venir au-devant de mes doigts qui la fouillaient.
Cette excursion fut comme un coup de fouet et c’est hors d’elle que Isabelle me traîna jusqu’à la chambre, celle-là même où elle s’était reposer le jour de la fête.
Je libérai mon sexe érigé qui luisait déjà des premières gouttes de semence, alors qu’ Isabelle prenait la position sur le lit conjugal de mes beaux-parents. Je la rejoignis et tout de suite elle se déplaçait un peu pour me pousser de nouveau à entrer en contact avec sa vulve de plus en plus humide. Elle soupirait tout en regardant fixement ma hampe qui se rapprochait d’elle. Je reprenais mes caresses sur ses fesses. Elle gémissait, bougeait lentement ses jambes bien en appui sur ses genoux pour venir à la rencontre de ma main.
Elle rentrait dans le rythme que je lui proposais. Ma main s’égarait en un effleurement le long de sa vulve. Elle cherchait que mon doigt s’égare de nouveau en elle.
- Fais-moi jouir de nouveau, je suis en manque….
Je plaçais alors mon visage entre ses cuisses. J’embrassais et léchais la peau si sensible à l’intérieur des cuisses. Ma langue s’égarait sur sa figue plus que mûre, survolait son anus puis vint lécher ses grandes lèvres sur toute leur longueur, de bas en haut, en prenant soin de ne pas toucher à son clitoris, certainement hyper sensible.
Je voyais ses mains venir se poser sur ses seins qu’elle avait libéré, et se les malaxer, en faire tourner les tétons, les étirer entre ses doigts. Je la laissais faire, de toute évidence, ce traitement participait à son excitation.
Je continuai ce manège pendant de longues minutes, jouant de son attente, d’un rythme sans cesse modifié. Je posais ma langue sur son anus au goût amer, le titillais, passais sur l’entrée de son vagin dans lequel je me délectais un instant, et vins pour son plus grand bonheur effleurer son clitoris.
Je la sentais frémir, commencer à se tétaniser, elle poussait le bassin en avant, j’avais à peine le temps de rouler ma langue autour de son clitoris qu’elle partait dans un hurlement déchirant, son corps secoué de convulsions incontrôlables et incontrôlées. Je sentais sa cyprine s’écouler sur mon menton, alors que son corps s’arqué.
Il était temps pour moi de penser à mon plaisir. À peine avais-je approché mon gland de la fente qu’elle m’enserrant de ses jambes en tenailles, me tira de toutes ses forces pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde.
La chaleur nous irradia, pubis contre pubis. Nous baisâmes sans retenue, haletants, souffles courts. J’accélérais, m’enfonçant à chaque coup de reins au plus profond de son être. Isabelle ponctuait de cris à chaque coup de butoir. De mon côté, je gémissait aussi, couché sur elle, jusqu’à la longue et prodigieuse décharge qui nous laissa rompus.
Demeurés quelques instants l’un dans l’autre, essoufflés, feu aux joues, nous partîmes dans un grand éclat de rire libérateur. Après avoir remis de l’ordre sur le lit, avec Isabelle nous nous étions rajustés, nous nous errâmes maintenant dans une embrassade où la tension sexuelle résolue avait fait place à la tendresse.
Isabelle avait insisté pour nous retrouver le lendemain. Nous nous retrouvâmes encore plus assoiffés l’un de l’autre.

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