Tartine à la ferme (suite et fin)
Récit érotique écrit par Victor25 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Tartine à la ferme (suite et fin)
Je vais chercher des légumes au potager pour le repas de midi. J’ai mis ma blouse de travail et mes bottes en caoutchouc. Je les aime bien mes bottes en caoutchouc, elles me donnent l’air d’une vraie fermière.
Oh ! Il y a Lilou qui est déjà au jardin. Elle est couchée sur la paille dans une allée, toute nue, les cuisses écartées et elle a mis une grosse carotte dans son vagin. Ses grandes nattes noires s’étalent autour de sa tête et ses beaux yeux verts sont mi-clos.
– Tu veux que j’appelle un garçon pour qu’il te baise ?
– Non, non, c’est cette carotte qui voulait absolument me baiser.
Hi, hi ! Je trouve ça rigolo. Lilou retire la carotte puis l’enfonce à nouveau d’un coup. Ça lui arrache un petit cri.
– Tu l’as lavée au moins ?
– Oui, y’a l’arrosoir plein d’eau.
Je regarde l’arrosoir et je vois à côté d’autres légumes qui ont été lavés. Il y a un poireau déjà épluché, une courgette et un concombre. Coquine, je me dis. Lilou continue son petit jeu. À chaque fois que la carotte est enfoncée tout entière, il n’y a plus que les fanes qui sortent de sa chatte. Maintenant elle frotte son clitoris en même temps et ça la fait gémir plus fort. Moi ça m’excite drôlement. Je touche mon minou, il est tout mouillé.
– Je peux t’aider ?
– Oui si tu veux, prends la carotte.
J’empoigne la carotte par les fanes et je fais des va-et-vient dans son vagin pendant qu’elle se frotte le clito. Je lui chope un nichon avec ma main libre pour lui pincer le téton. Elle se tord de plaisir en gémissant.
Après je suis à quatre pattes au-dessus d’elle, tête bêche et j’ai enlevé ma blouse. J’ai retiré la carotte et je m’apprête à lui enfiler le concombre.
– T’es prête ?
– Oui vas-y, baise-moi !
Et elle s’écarte les cuisses à fond. Je présente le bout du légume entre ses lèvres intimes, je le fais tourner pour qu’il s’imprègne de sa mouille et je commence à pousser doucement. Le petit bout est entré.
– Hmmmmm…
– Ça va ?
– Oui, continue.
Maintenant le diamètre devient plus gros, alors je pousse plus fort.
– Ah ! C’est gros !
Je fais tourner le concombre pour qu’il dilate un peu l’orifice, je pousse fort et hop ! Voilà, c’est rentré !
– Raaaahh ! fait Lilou en extase, c’est bon… vas-y baise-moi fort !
Je lui ramone son vagin à grands coups de concombre. On dirait une grosse bite verte qui la baise. « Lilou se fait baiser par un martien », je rigole en moi.
Oups ! y’a quelque chose qui s’appuie sur ma vulve. C’est Lilou, sous moi, qui s’occupe de ma chatte, enfin. Elle a pris le poireau et va me l’enfoncer.
– Oouuuuuuuuch ! je fais quand le poireau pénètre mon vagin, parce que le poireau est vraiment gros avec un bout renflé comme un gros gland, que c’est moins souple et moins doux qu’un vrai zizi de garçon, et surtout parce que cette coquine de Lilou me l’a enfoncé profond !
Pour me venger je lui fourre le concombre de quelques centimètres de plus.
– Oh ouiiiii… c’est bon…
On braille tellement de plaisir que du coup tout le monde se ramène pour voir ce qui se passe, tous les amis, le fermier, la fermière. Et quand ils nous voient, les deux nanas en train de se fourrer avec des légumes, ils éclatent de rire et ils applaudissent.
– Vous les laverez bien avant de nous les faire manger, rigole la fermière.
Je suis toute nue sous la pluie. Ça fait du bien après ces grandes chaleurs. J’ai gardé mes bottes en caoutchouc. Les autres sont restés à la ferme et jouent aux cartes mais moi j’avais pas envie. J’ai très envie qu’on me baise. Je passe exprès dans les herbes hautes pour que les tiges caressent mon minou. Attention aux orties !
Tiens, voilà des randonneurs qui passent. Il y a un beau black baraqué avec des dreds, les trois autres sont aussi des garçons noirs. Ils sont tout nus. Ben oui, ça fait du bien après ces grandes chaleurs.
– J’ai très envie qu’on me baise ! Je leur dis.
– Oui, répond le gars aux dreds.
– Je me mets à quatre pattes ?
– Oui si tu veux, fais attention y’a de la boue.
– C’est pas grave c’est de la terre ça tache pas !
Je me mets à quatre pattes, les coudes dans l’herbe, et je lève bien haut mon petit cul parce que j’ai très envie qu’on me baise. Il pleut sur mon dos et sur mes fesses.
Beau gosse se met derrière moi.
– T’as une grosse chatte !
– Oui je sais, je suis petite mais j’ai une grosse chatte.
Juste le temps de frotter son gland dans ma mouille et il me fourre sa bite jusqu’aux couilles.
– Ouille, je fais surprise, elle est grosse !
– Oui je sais, je suis grand et j’ai une grosse bite.
Ça fait un petit peu mal au début mais après c’est vachement bien. Il me baise vraiment bien, je sens bien sa queue comme il me la met jusqu’au fond. Les autres garçons se mettent autour de nous et me regardent comment je me fais bien baiser. Ça les excite drôlement parce que je vois leurs sexes qui se dressent progressivement. Après ils se mettent à genoux autour de moi et me caressent partout, sur les seins, sur les fesses, me font des bisous dans le cou, me pincent mes tétons. C’est drôlement agréable.
Quand beau gosse a fini son affaire il se redresse et sa bite sort de ma chatte, il y a un peu de sperme qui coule. Alors je dis à un autre :
– Toi aussi tu veux bien me baiser ?
– Oui.
– Alors viens.
– Est-ce que je peux te la mettre dans le cul ?
– Non ! Ça c’est pour faire caca, pas pour mettre son zizi !
– Bon alors mets-toi sur le dos.
Je m’allonge sur le dos et j’écarte bien mes cuisses. Il se couche sur moi et me pénètre. Ça entre tout seul parce que ma chatte est toute gluante. Les autres recommencent à me tripoter avec leurs mains pleines de boue. Maintenant je suis toute sale.
Ils me baisent tous dans la chatte chacun son tour, couchée, debout, à quatre pattes. On rigole bien et moi je jouis plein de fois et ma chatte coule de bonheur. À la fin ils font exprès de me mettre de la boue partout, sur les fesses, entre les cuisses, sur le ventre, sur les seins…
Quand je rentre à la ferme les autres me voient toute nue et pleine de boue.
– T’es allée jouer avec les cochons ? me lance le fermier.
Comme le temps passe vite ! C’est notre dernière soirée à la ferme, demain on s’en va pour retourner au boulot. On a décidé de faire une petite fête avec le fermier et la fermière. On a fait un feu de camp au milieu des tentes et il y a des saucisses qui grillent. Le fermier arrive avec des bouteilles de cidre qu’ils font à la ferme. On est tous assis par terre autour du feu. On commence à raconter des trucs rigolos de la semaine qu’on a passée. Comme quand Jonas était tout bête d’avoir cassé le manche de la bêche, ou quand Mika a voulu monter le cheval et qu’il s’est retrouvé le cul par terre, ou aussi Puce qui a laissé s’échapper les lapins et on a mis une heure à les retrouver tous ! Et puis Lilou raconte quand elle s’est fait courser par une oie et qu’elle courrait partout, tout le monde rigolait parce qu’elle avait les seins à l’air et qu’ils ballottaient dans tous les sens ! Et là y’a la fermière qui se lève en déboutonnant sa blouse.
– Viens Tartine, montre-leur comment tu sais bien traire maintenant.
Elle enlève sa blouse, comme d’habitude elle est toute nue dessous, et elle se met à quatre pattes avec les mamelles qui pendent. Moi je me mets à genoux à côté d’elle, je lui attrape les nichons et je fais :
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires…
Bien sûr y’a pas de lait qui sort mais tout le monde se met à rire.
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires…
Voilà Max qui se lève. Il a retiré son short et il tient sa bite à la main. Il était juste derrière le cul de la fermière alors forcément ça l’a drôlement excité ! Il s’approche doucement et d’un coup il enfile sa bite par surprise.
– Oh ! fait la fermière, qu’est ce que… c’est qui qui…
Elle se retourne et voit Max à califourchon sur son cul et la bite dans sa chatte.
– Eh ben Max, on baise pas une vache pendant qu’on la trait, ça fait tourner le lait !
Le fermier hurle de rire en se tenant les côtes, moi je continue de traire la fermière pendant que Max lui bourre la chatte.
Benj nous montre comment il a appris à mener les chèvres. Lili, Lilou et Puce se mettent à quatre pattes et vont dans tous les sens en faisant « bêêêê ! » Alors Benj les rattroupe en leur donnant des petits coups de bâton sur les fesses. Il les guide comme ça bien regroupées jusque devant le fermier et tout le monde applaudit. Et là le fermier se lève en bondissant et il braille :
– Hé ! Mais les chèvres ça porte pas de culotte !
Et il se précipite sur Lilou et il lui retire sa culotte. En trois coups de cuillère à confiture les trois copines se retrouvent à poil et tout le monde est bien excité. Le fermier qui était derrière Lilou la prend en levrette. Elle continue à faire « Bêêê » à chaque fois qu’il lui enfonce sa bite bien au fond. Lili se met sur le dos les cuisses ouvertes et Benj lui fourre sa langue dans la chatte.
– Hooommmh, elle fait Lili, suce-moi le clito...
Puce fait le tour du groupe à quatre pattes, toujours dans son rôle de chèvre, et puis elle s’arrête devant Mika et commence à lui brouter l’entrejambe.
Moi je lâche les nichons de la fermière et je me fous à poil. Je suis drôlement excitée ! Je me couche dans l’herbe, je ferme les yeux et j’écarte les cuisses. Le premier qui veut me baiser n’a qu’à s’amener. J’attends pas longtemps parce que voilà quelqu’un qui se couche sur moi et sa bite qui se frotte sur ma vulve. Je n’ouvre pas les yeux, c’est drôlement excitant de sentir une queue bien raide qui te pénètre et tu sais pas à qui elle appartient !
Y’a trois bites qui sont entrées dans ma chatte en libre-service, et j’ai pas ouvert les yeux ! Mais maintenant y’a quelqu’un qui me tire par le bras alors je regarde. C’est Max qui veut me mettre à quatre pattes. Pendant que sa bite entre en moi je regarde la tableau. Ça baise dans tous les coins. Le fermier court au milieu de tout le monde, la queue raide battant la mesure. La fermière est à califourchon sur Akim mais il y a aussi Benj qui est sur son dos. Ils s’agitent tous les deux. Ça veut dire, soit qu’ils sont tous les deux dans sa grosse chatte, soit qu’elle en a une dans le cul ! En tout cas elle a l’air d’aimer ça.
Il est deux heures du matin. Mika vient de remettre du bois dans le feu de camp. Jonas est entre mes cuisses et me baise de plus en plus doucement. Je crois qu’il va bientôt s’endormir avec sa queue dans mon ventre. On entend des gémissements de toutes parts et la lune éclaire des corps emmêlés, des jambes enchevêtrées, des fesses, des seins qui luisent dans une lumière blafarde.
Je suis réveillée en sursaut par le chant du coq. Il fait à peine jour et on n’a pas beaucoup dormi. Je suis toute sale de plein de choses : de la terre et de l’herbe sur mes fesses et sur mes genoux, de la bave sur mes nichons, de la cyprine et du sperme entre mes cuisses et j’ai mal partout, comme si j’étais passée dans une machine à laver. Le feu est éteint et il y a plein de corps autour qui sont dans le même état que moi. Je suis couchée dans l’herbe en chien de fusil et il y a le fermier derrière moi. Je me souviens, c’est lui qui m’a baisée en dernier. Il se réveille aussi, je sens sa main entre mes cuisses.
– Encore un petit coup, pour la route ? il fait.
Je lève un peu la jambe pour lui faciliter l’accès, sa bite se frotte dans ma vulve gluante. Quand elle me pénètre à nouveau je dis :
– Hmmm ! Merci pour votre accueil, on a passé des bonnes vacances.
Oh ! Il y a Lilou qui est déjà au jardin. Elle est couchée sur la paille dans une allée, toute nue, les cuisses écartées et elle a mis une grosse carotte dans son vagin. Ses grandes nattes noires s’étalent autour de sa tête et ses beaux yeux verts sont mi-clos.
– Tu veux que j’appelle un garçon pour qu’il te baise ?
– Non, non, c’est cette carotte qui voulait absolument me baiser.
Hi, hi ! Je trouve ça rigolo. Lilou retire la carotte puis l’enfonce à nouveau d’un coup. Ça lui arrache un petit cri.
– Tu l’as lavée au moins ?
– Oui, y’a l’arrosoir plein d’eau.
Je regarde l’arrosoir et je vois à côté d’autres légumes qui ont été lavés. Il y a un poireau déjà épluché, une courgette et un concombre. Coquine, je me dis. Lilou continue son petit jeu. À chaque fois que la carotte est enfoncée tout entière, il n’y a plus que les fanes qui sortent de sa chatte. Maintenant elle frotte son clitoris en même temps et ça la fait gémir plus fort. Moi ça m’excite drôlement. Je touche mon minou, il est tout mouillé.
– Je peux t’aider ?
– Oui si tu veux, prends la carotte.
J’empoigne la carotte par les fanes et je fais des va-et-vient dans son vagin pendant qu’elle se frotte le clito. Je lui chope un nichon avec ma main libre pour lui pincer le téton. Elle se tord de plaisir en gémissant.
Après je suis à quatre pattes au-dessus d’elle, tête bêche et j’ai enlevé ma blouse. J’ai retiré la carotte et je m’apprête à lui enfiler le concombre.
– T’es prête ?
– Oui vas-y, baise-moi !
Et elle s’écarte les cuisses à fond. Je présente le bout du légume entre ses lèvres intimes, je le fais tourner pour qu’il s’imprègne de sa mouille et je commence à pousser doucement. Le petit bout est entré.
– Hmmmmm…
– Ça va ?
– Oui, continue.
Maintenant le diamètre devient plus gros, alors je pousse plus fort.
– Ah ! C’est gros !
Je fais tourner le concombre pour qu’il dilate un peu l’orifice, je pousse fort et hop ! Voilà, c’est rentré !
– Raaaahh ! fait Lilou en extase, c’est bon… vas-y baise-moi fort !
Je lui ramone son vagin à grands coups de concombre. On dirait une grosse bite verte qui la baise. « Lilou se fait baiser par un martien », je rigole en moi.
Oups ! y’a quelque chose qui s’appuie sur ma vulve. C’est Lilou, sous moi, qui s’occupe de ma chatte, enfin. Elle a pris le poireau et va me l’enfoncer.
– Oouuuuuuuuch ! je fais quand le poireau pénètre mon vagin, parce que le poireau est vraiment gros avec un bout renflé comme un gros gland, que c’est moins souple et moins doux qu’un vrai zizi de garçon, et surtout parce que cette coquine de Lilou me l’a enfoncé profond !
Pour me venger je lui fourre le concombre de quelques centimètres de plus.
– Oh ouiiiii… c’est bon…
On braille tellement de plaisir que du coup tout le monde se ramène pour voir ce qui se passe, tous les amis, le fermier, la fermière. Et quand ils nous voient, les deux nanas en train de se fourrer avec des légumes, ils éclatent de rire et ils applaudissent.
– Vous les laverez bien avant de nous les faire manger, rigole la fermière.
Je suis toute nue sous la pluie. Ça fait du bien après ces grandes chaleurs. J’ai gardé mes bottes en caoutchouc. Les autres sont restés à la ferme et jouent aux cartes mais moi j’avais pas envie. J’ai très envie qu’on me baise. Je passe exprès dans les herbes hautes pour que les tiges caressent mon minou. Attention aux orties !
Tiens, voilà des randonneurs qui passent. Il y a un beau black baraqué avec des dreds, les trois autres sont aussi des garçons noirs. Ils sont tout nus. Ben oui, ça fait du bien après ces grandes chaleurs.
– J’ai très envie qu’on me baise ! Je leur dis.
– Oui, répond le gars aux dreds.
– Je me mets à quatre pattes ?
– Oui si tu veux, fais attention y’a de la boue.
– C’est pas grave c’est de la terre ça tache pas !
Je me mets à quatre pattes, les coudes dans l’herbe, et je lève bien haut mon petit cul parce que j’ai très envie qu’on me baise. Il pleut sur mon dos et sur mes fesses.
Beau gosse se met derrière moi.
– T’as une grosse chatte !
– Oui je sais, je suis petite mais j’ai une grosse chatte.
Juste le temps de frotter son gland dans ma mouille et il me fourre sa bite jusqu’aux couilles.
– Ouille, je fais surprise, elle est grosse !
– Oui je sais, je suis grand et j’ai une grosse bite.
Ça fait un petit peu mal au début mais après c’est vachement bien. Il me baise vraiment bien, je sens bien sa queue comme il me la met jusqu’au fond. Les autres garçons se mettent autour de nous et me regardent comment je me fais bien baiser. Ça les excite drôlement parce que je vois leurs sexes qui se dressent progressivement. Après ils se mettent à genoux autour de moi et me caressent partout, sur les seins, sur les fesses, me font des bisous dans le cou, me pincent mes tétons. C’est drôlement agréable.
Quand beau gosse a fini son affaire il se redresse et sa bite sort de ma chatte, il y a un peu de sperme qui coule. Alors je dis à un autre :
– Toi aussi tu veux bien me baiser ?
– Oui.
– Alors viens.
– Est-ce que je peux te la mettre dans le cul ?
– Non ! Ça c’est pour faire caca, pas pour mettre son zizi !
– Bon alors mets-toi sur le dos.
Je m’allonge sur le dos et j’écarte bien mes cuisses. Il se couche sur moi et me pénètre. Ça entre tout seul parce que ma chatte est toute gluante. Les autres recommencent à me tripoter avec leurs mains pleines de boue. Maintenant je suis toute sale.
Ils me baisent tous dans la chatte chacun son tour, couchée, debout, à quatre pattes. On rigole bien et moi je jouis plein de fois et ma chatte coule de bonheur. À la fin ils font exprès de me mettre de la boue partout, sur les fesses, entre les cuisses, sur le ventre, sur les seins…
Quand je rentre à la ferme les autres me voient toute nue et pleine de boue.
– T’es allée jouer avec les cochons ? me lance le fermier.
Comme le temps passe vite ! C’est notre dernière soirée à la ferme, demain on s’en va pour retourner au boulot. On a décidé de faire une petite fête avec le fermier et la fermière. On a fait un feu de camp au milieu des tentes et il y a des saucisses qui grillent. Le fermier arrive avec des bouteilles de cidre qu’ils font à la ferme. On est tous assis par terre autour du feu. On commence à raconter des trucs rigolos de la semaine qu’on a passée. Comme quand Jonas était tout bête d’avoir cassé le manche de la bêche, ou quand Mika a voulu monter le cheval et qu’il s’est retrouvé le cul par terre, ou aussi Puce qui a laissé s’échapper les lapins et on a mis une heure à les retrouver tous ! Et puis Lilou raconte quand elle s’est fait courser par une oie et qu’elle courrait partout, tout le monde rigolait parce qu’elle avait les seins à l’air et qu’ils ballottaient dans tous les sens ! Et là y’a la fermière qui se lève en déboutonnant sa blouse.
– Viens Tartine, montre-leur comment tu sais bien traire maintenant.
Elle enlève sa blouse, comme d’habitude elle est toute nue dessous, et elle se met à quatre pattes avec les mamelles qui pendent. Moi je me mets à genoux à côté d’elle, je lui attrape les nichons et je fais :
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires…
Bien sûr y’a pas de lait qui sort mais tout le monde se met à rire.
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires…
Voilà Max qui se lève. Il a retiré son short et il tient sa bite à la main. Il était juste derrière le cul de la fermière alors forcément ça l’a drôlement excité ! Il s’approche doucement et d’un coup il enfile sa bite par surprise.
– Oh ! fait la fermière, qu’est ce que… c’est qui qui…
Elle se retourne et voit Max à califourchon sur son cul et la bite dans sa chatte.
– Eh ben Max, on baise pas une vache pendant qu’on la trait, ça fait tourner le lait !
Le fermier hurle de rire en se tenant les côtes, moi je continue de traire la fermière pendant que Max lui bourre la chatte.
Benj nous montre comment il a appris à mener les chèvres. Lili, Lilou et Puce se mettent à quatre pattes et vont dans tous les sens en faisant « bêêêê ! » Alors Benj les rattroupe en leur donnant des petits coups de bâton sur les fesses. Il les guide comme ça bien regroupées jusque devant le fermier et tout le monde applaudit. Et là le fermier se lève en bondissant et il braille :
– Hé ! Mais les chèvres ça porte pas de culotte !
Et il se précipite sur Lilou et il lui retire sa culotte. En trois coups de cuillère à confiture les trois copines se retrouvent à poil et tout le monde est bien excité. Le fermier qui était derrière Lilou la prend en levrette. Elle continue à faire « Bêêê » à chaque fois qu’il lui enfonce sa bite bien au fond. Lili se met sur le dos les cuisses ouvertes et Benj lui fourre sa langue dans la chatte.
– Hooommmh, elle fait Lili, suce-moi le clito...
Puce fait le tour du groupe à quatre pattes, toujours dans son rôle de chèvre, et puis elle s’arrête devant Mika et commence à lui brouter l’entrejambe.
Moi je lâche les nichons de la fermière et je me fous à poil. Je suis drôlement excitée ! Je me couche dans l’herbe, je ferme les yeux et j’écarte les cuisses. Le premier qui veut me baiser n’a qu’à s’amener. J’attends pas longtemps parce que voilà quelqu’un qui se couche sur moi et sa bite qui se frotte sur ma vulve. Je n’ouvre pas les yeux, c’est drôlement excitant de sentir une queue bien raide qui te pénètre et tu sais pas à qui elle appartient !
Y’a trois bites qui sont entrées dans ma chatte en libre-service, et j’ai pas ouvert les yeux ! Mais maintenant y’a quelqu’un qui me tire par le bras alors je regarde. C’est Max qui veut me mettre à quatre pattes. Pendant que sa bite entre en moi je regarde la tableau. Ça baise dans tous les coins. Le fermier court au milieu de tout le monde, la queue raide battant la mesure. La fermière est à califourchon sur Akim mais il y a aussi Benj qui est sur son dos. Ils s’agitent tous les deux. Ça veut dire, soit qu’ils sont tous les deux dans sa grosse chatte, soit qu’elle en a une dans le cul ! En tout cas elle a l’air d’aimer ça.
Il est deux heures du matin. Mika vient de remettre du bois dans le feu de camp. Jonas est entre mes cuisses et me baise de plus en plus doucement. Je crois qu’il va bientôt s’endormir avec sa queue dans mon ventre. On entend des gémissements de toutes parts et la lune éclaire des corps emmêlés, des jambes enchevêtrées, des fesses, des seins qui luisent dans une lumière blafarde.
Je suis réveillée en sursaut par le chant du coq. Il fait à peine jour et on n’a pas beaucoup dormi. Je suis toute sale de plein de choses : de la terre et de l’herbe sur mes fesses et sur mes genoux, de la bave sur mes nichons, de la cyprine et du sperme entre mes cuisses et j’ai mal partout, comme si j’étais passée dans une machine à laver. Le feu est éteint et il y a plein de corps autour qui sont dans le même état que moi. Je suis couchée dans l’herbe en chien de fusil et il y a le fermier derrière moi. Je me souviens, c’est lui qui m’a baisée en dernier. Il se réveille aussi, je sens sa main entre mes cuisses.
– Encore un petit coup, pour la route ? il fait.
Je lève un peu la jambe pour lui faciliter l’accès, sa bite se frotte dans ma vulve gluante. Quand elle me pénètre à nouveau je dis :
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