Tartine à la montagne
Récit érotique écrit par Victor25 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Tartine à la montagne
Ça fait un moment qu’on grimpe, c’est fatiguant ! C’est Mika qui a dit : « On va à la montagne ! » Il y a aussi Fred et Lili, Jonas, Max et Puce, Akim, Benj et Lilou. J’ai envie de faire pipi.
– J’ai envie de faire pipi, on fait une pause ?
– D’accord, dit Mika, on s’arrête.
On s’arrête le long du chemin. Je pose mon sac à dos, j’enlève mon short et ma culotte et je vais plus loin pour pas faire pipi sur le chemin. Il y a Max qui me suit.
– Tu vas aussi faire pipi ?
– Non, je voudrais te baiser.
– D’accord, mais laisse-moi faire pipi d’abord.
Quand j’ai fini j’essuie mon minou avec une feuille. Max me regarde avec sa bite à la main, elle est déjà toute gonflée. Il y a un joli tapis de mousse à côté, ça tombe bien. Je m’allonge dessus et j’écarte bien les cuisses. Max crache dans ses doigts et met de la bave sur ma chatte, puis il s’allonge sur moi et fourre sa bite dans mon vagin. C’est trop bon.
– Mmmmh ! C’est trop bon !
Il va bien au fond, sa bite est bien dure, je passe mes jambes autour de sa taille et je fais des petits couinements pour dire que je suis contente. Après Max soulève mon débardeur et il empoigne mes nénés, et puis il accélère, il me donne des coups plus forts dans mon vagin.
– Ouch… oui… vas-y… fort… je lui susurre à l’oreille.
– Tartine, Max, vous faites quoi ?
C’est les autres qui s’impatientent.
– Ouh… ah… ouch… ouh… On baise ! Je lance.
– Ben ouais mais magnez-vous, faut qu’on y aille !
– Allez-y on vous rattrapera, répond Max.
Et il me baise de plus en plus fort.
On rattrape les copains, c’est Puce qui marche en dernier. Elle a une jupe en jean et les seins à l’air. Elle a des beaux seins gros comme deux grosses têtes d’obus, fermes et plantés bien haut avec les tétons gros comme mon petit doigt toujours dressés. Un jour j’y ai accroché mon trousseau de clés pour rigoler, hé bien ça tient tout seul ! Elle aime bien les montrer ses seins Puce.
J’arrive vers Mika, il me dit :
– J’ai ramassé ta culotte, tu la veux ?
– Non ça va, je réponds.
– Voilà un coin sympa pour pique-niquer, dit Mika, on va s’arrêter là.
Il y a des arbres de chaque côté du chemin pour faire de l’ombre, et puis des rochers où on peut s’asseoir. Moi je repère un joli tapis de mousse bien fraîche et bien épaisse.
– Tartine tu veux ta culotte ? me demande Mika en fouillant dans son sac.
– Non j’suis bien comme ça, ma foufoune prend l’air.
Alors il me tend mon sandwich. Les autres aussi sortent leurs sandwiches. Moi, le cul dans la mousse, je tripote ma minette qui est bien ravie. Je tapote mon clito qui se durcit de plaisir et ma chatte commence à se mouiller.
Tiens voilà un groupe qui descend le chemin. Ils sont trois garçons et une fille.
– Salut
– Salut
– Bonjour
– Salut
– Bonjour…
Tout le monde se dit « salut » quand ils passent devant nous, et voilà qu’ils s’arrêtent une dizaine de mètres plus bas, de l’autre côté du chemin. Il faut dire que le coin est vachement sympa pour pique-niquer à l’ombre. Les garçons sont torse nu avec des chapeaux, la fille porte un tee-shirt blanc tellement fin qu’on voit ses tétons pointer. Elle a aussi des chaussures de randonnée et un legging court bleu ciel. Je crois qu’elle n’a pas de culotte parce qu’on voit pas de marque. Tout le monde ouvre son sac pour sortir son casse-croûte, les garçons s’assoient sur des cailloux et la fille se met à quatre pattes au bord du chemin, les coudes dans la mousse et les fesses en l’air. Elle tient son sandwich entre ses mains et commence à mordre dedans. Je me dis que sa position n’est vraiment pas très confortable pour manger. Peut-être qu’elle a mal au dos. Mais voilà un des garçons qui se lève, qui s’agenouille derrière elle et qui lui baisse son legging au milieu des cuisses (j’avais raison elle n’a pas de culotte), et puis il lui passe une main entre les fesses tout en grignotant son casse-croûte de l’autre. On voit très nettement que la fille se cambre son petit cul bien haut et du coup je comprends mieux : cette coquine avait envie de se faire baiser ! Du coup ça m’excite un peu et je me masse doucement mon clitoris. On passe vraiment un bon moment, on entend les insectes qui bourdonnent, les oiseaux qui chantent et les gémissements de la fille qui prend son pied. Moi j’ai les cuisses grandes ouvertes et ma petite moule est toute gluante. Si un yéti déboule il pourra me baiser sans difficulté ! C’est pratique le sandwich, tu peux manger d’une seule main, alors je me rentre un doigt dans la chatte. Qu’est-ce que c’est bon. Maintenant le garçon en face a sorti sa bite, parce qu’elle est bien raide. Il se la caresse un moment, c’est une jolie bite avec un gland plutôt pointu. Puis il se prépare à pénétrer. Et là, la fille arrête de mâcher, elle me regarde droit dans yeux et elle fait : « hoooooooo ! » quand la bite entre en elle. Elle devait être bien mouillée parce que ça rentre tout seul. Voilà qu’elle me fait un petit sourire mutin pendant que le garçon commence ses va-et-vient. Ça me fait drôlement envie.
– Mika, tu veux bien me sauter ?
– Bien sûr ma chérie.
Et je me mets à quatre pattes dans la mousse sans quitter la fille des yeux. Pas besoin de baisser ma culotte, j’en ai pas. Mika entre sa bite d’un coup.
– Dis donc t’avais une sacrée envie, c’est rentré tout seul !
On se regarde dans les yeux la fille et moi. Les garçons s’en donnent à cœur joie dans nos vagins. Maintenant, en plus des chants des oiseaux on entend nos petits cris de bonheur.
Tiens, y’a Lilou qui a retiré son short et sa culotte. Elle s’est assise sur un rocher plat et elle écarte les cuisses pour montrer sa chatte qui a besoin qu’on s’occupe d’elle. C’est Jonas qui se met à genoux entre ses jambes et il lui fait des câlins avec sa langue.
Maintenant c’est Puce qui envoie valser sa jupe. Comme elle était déjà les seins à l’air et qu’elle n’a pas de culotte, du coup la voilà toute nue. Elle va vers les copains de la fille, ses gros obus pointant fièrement. Les deux gars se lèvent en même temps et commencent à la peloter. Voilà Puce avec des mains partout, sur ses seins, sur ses fesses, on lui caresse son minou… elle est aux anges.
Au bout d’un moment plus personne ne mange et tout le monde baise dans tous les sens. C’est là qu’il y a un groupe qui monte le chemin. Il y a d’abord deux garçons et puis une fille quelques pas derrière. Elle est un peu grassouillette et plutôt petite. Elle tire la langue.
– Salut.
– Hello.
– Bonjouw.
Oh, des anglais !
On leur propose de s’arrêter manger avec nous mais les garçons répondent que non, ils ont déjà mangé. La fille nous regarde avec une petite moue déçue.
Maintenant qu’on a bien mangé et bien baisé on peut reprendre la marche.
– Tartine, tu veux ta culotte ?
– Non, pas besoin.
Comme ça, je me dis, les garçons pourront me peloter les fesses en marchant.
Plus tard dans l’après-midi y’a Mika qui marche devant, comme d’habitude, les autres le suivent et puis il y a moi et Akim derrière moi. C’est là que je sens la main d’Akim sur mon petit cul. Elle essaie de se glisser entre mes cuisses pour s’amuser avec mon minou. Alors j’écarte un peu les jambes et je me cambre bien pour lui faciliter le passage, et hop ! Voilà deux doigts qui entrent d’un coup, sans prévenir.
C’est pas facile de marcher avec deux doigts dans la chatte mais c’est tellement agréable. En plus il fait beau et mon Dieu que la montagne est belle ! On marche un moment comme ça, Akim gigote des doigts et moi je me tortille du cul. C’est très bon mais au bout d’un moment ça excite drôlement ce petit jeu, alors Akim s’arrête et me dit :
– Penche-toi un peu je vais te baiser.
Ok, je lui tends mon cul et je gueule :
– Pause !!!
Tout le monde s’arrête et se retourne et quand ils me voient les fesses en arrière et Akim sa bite à la main ils comprennent.
– Ben ouais mais magnez-vous, on va être en retard.
Akim c’est lui qui a la plus grosse queue de la bande, mais comme je suis déjà bien ouverte il me la met bien profond. Je pousse quand même un petit cri quand il me pénètre.
– Faut qu’on arrive au refuge avant qu’il fasse nuit ! lance Mika.
– Ok on se dépêche, répond Akim.
Et il se met à me baiser à toute vitesse en me donnant des grands coups de bite. Tellement fort que je dois poser mes mains par terre pour pas se casser la figure. Au bout d’un moment je me mets à brailler de jouissance et Akim sort sa bite et il m’envoie plein de sperme sur mes fesses.
– Voilà c’est bon, on peut y aller, il dit.
On arrive au refuge. Il était temps, le soleil a déjà disparu derrière les sommets. En fait c’est un gros chalet en pierre à la base et en bois au-dessus avec un toit en lauzes. On entre à l’intérieur. Tiens, les anglais qu’on a vus tout à l’heure sont là. On est dans une grande pièce de vie avec une cheminée sur le mur de droite. En face il y a deux portes qui doivent être deux chambres, à gauche un escalier qui monte à une mezzanine et sous l’escalier une cuisine équipée. Entre les deux portes de chambres un grand canapé et au milieu de la pièce une longue table en bois avec des bancs. Les deux garçons anglais sont assis au bout de la table, face à face et la petite anglaise grassouillette est toute nue. Elle a la peau très blanche, diaphane. Elle a des petits seins avec presque pas de tétons et des gros mamelons bombés rose pâle, des cheveux courts qui hésitent entre le blond et le châtain clair.
Elle est debout, à côté des garçons. Elle a mis deux doigts dans sa chatte et elle se fouille en les regardant. Elle n’a pas de poils à son minou. L’anglais le plus grand, un blond, nous dit :
– Margaret toujours envie to fuck, n’impowte où, n’impowte quand, avec n’impowte qui.
– Oh, c’est comme moi ! je m’écrie.
– Moi c’est Robby, il dit, et voilà Jamy et Margaret.
On se présente à notre tour, moi je dis c’est Martine mais tout le monde m’appelle Tartine parce que c’est rigolo. Puis on va dans les chambres, il y a deux rangées de lits superposés. On pose nos sacs, on déballe nos affaires, on s’installe. Après on retourne dans la salle et je dis tout fort :
– C’est les garçons qui préparent à manger, nous avec Margaret on va se câliner !
J’ai retiré mon débardeur pour être toute nue aussi. Margaret est toujours avec ses doigts dans sa chatte. Je m’approche d’elle et je pose mes mains sur ses seins. Ils sont tout doux. Ça lui fait bien plaisir parce qu’elle me fait un grand sourire et puis elle passe ses bras autour de mon cou et elle me roule une grosse pelle avec sa langue qui caresse ma langue. Moi je lui caresse ses grosses fesses et puis je passe une main entre ses cuisses et elle me fait « Mmmmmhhh » dans ma bouche. Son minou est tout mouillé, c’est pas étonnant. J’ai pas de mal à entrer mes deux doigts et elle me refait « Mmmmmh ! » dans la bouche. Et puis elle me glisse une main entre mes cuisses et me fourre ses doigts à son tour.
Les garçons s’agitent autour de nous, sortent des casseroles, allument un feu dans la cheminée… Les filles sortent les sacs de couchage, préparent les lits. Les anglais n’arrêtent pas de mater les nichons de Puce qui ballottent à chacun de ses pas.
Au bout d’un moment à se fouiller la chatte je prends Margaret par le bras et je l’amène se coucher sur le canapé. Je me mets à genoux devant elle et je lui écarte ses grosses cuisses. Son sexe est comme un gros abricot, parce que on ne voit pas ses petites lèvres, elle a des grosses lèvres charnues, bombées avec la fente au milieu, et en-dessous un petit anus tout rose. Je lui ouvre son abricot avec mes deux pouces et je passe ma langue dans sa fente ouverte.
– Oh ! Yeeees, elle fait.
Je trouve son petit clito, blotti dans les replis de ses grandes lèvres. Je passe ma langue dessus. C’est comme si j’avais appuyé sur un bouton. D’un seul coup la voilà qui se cabre, qui se tortille, qui soulève son bassin en râlant, et puis elle se met les mains sur les cuisses et s’écarte elle-même la chatte en grand pour me faciliter la tâche. Du coup, comme j’ai les mains libres, je lui fourre trois doigts dans le vagin en continuant de la lécher. Je la fouille aussi loin que je peux cette coquine. Et puis soudain, tellement elle est excitée, voilà qu’elle se lève d’un bond, sans crier gare, elle se précipite vers Robby qui est devant la cheminée, et elle se fout à quatre pattes devant lui, son gros cul en l’air. Robby sort sa bite tranquillement et pénètre Margaret qui émet un long gémissement de bonheur.
Quand ils ont fini Margaret revient vers moi sur le canapé et on change les rôles, c’est elle qui me lèche mon minou. Je lui tiens bien ouvert, comme elle faisait, et elle me fouille le vagin, comme je faisais. Un moment je sens le bout d’un doigt sur mon petit trou qui pousse pour essayer d’entrer. Je le chasse avec ma main.
– Euh, non, pas par là.
Elle me regarde, surprise.
– Oh, no ?
– Non, là c’est pour faire caca, pas pour mettre ses doigts.
– Tartine, Margaret vous venez à table ? C’est prêt.
Les garçons ont fait des pâtes au gruyère et on partage un gros saucisson que les anglais ont amené. Il y a aussi deux bouteilles de vin. On discute en rigolant, on se raconte des histoires en mâchant et en buvant. On est à peine à la moitié du repas quand voilà Margaret qui se lève. Elle attrape son voisin par le bras, c’est Mika, pour le faire se lever, et puis elle se met par terre à quatre pattes et lui tend son gros cul. Elle est chaude bouillante la petite anglaise, pire que moi ! Mika ne se fait pas prier, il enlève son short et son slip, se met à califourchon sur la paire de fesses et lui entre sa bite d’un coup. Margaret pousse des petits gémissements à chaque coup de bite, nous on continue à manger. Margaret s’échauffe de plus en plus et soudain voilà qu’elle dit :
– In my ass… please, put in my ass !
C’est Robby qui traduit :
– Dans son kiou... mets ton bite dans son kiou, elle adowe ça.
Mika a bien compris. Il sort sa bite, la remonte d’un cran et pousse son gland sur la petite rondelle rose. Il s’y reprend à trois fois, il entre le gland puis il ressort, il entre à nouveau, puis il ressort. La troisième fois toute la bite s’enfonce dans le cul de la petite anglaise. On voit qu’elle a l’habitude parce qu’elle émet un long râle de plaisir. Moi je regarde fascinée. Je connais bien la bite de Mika et je ne l’imagine pas entrer dans mon petit trou.
On continue à manger mais les gémissements de plaisir de Margaret ça fait bien envie. C’est Puce qui se lève. Elle se fout à poil et va s’asseoir au milieu du canapé en écartant les cuisses. Elle tripote sa minette en attendant qu’un garçon s’occupe d’elle. Voilà les deux anglais qui se lèvent en même temps, ça faisait un moment qu’ils reluquaient Puce et ses beaux seins. Ils s’assoient à côté d’elle, chacun d’un côté et commencent à la caresser partout. Et puis ils lui gobent chacun un mamelon, c’est rigolo de voir Puce avec deux têtes qui lui sucent les tétons. Et puis ils lui mettent chacun des doigts sur sa chatte. Puce à fermé ses yeux et elle s’abandonne au plaisir.
– Y’a quelqu’un qui a envie que je lui suce la bite ?
C’est Lilou qui a dit ça. Elle a fini son assiette. Tous les garçons qui restent autour de la table font « Ben ouais, si tu veux » et ils se mettent la bite à l’air. Du coup la belle métisse passe sous la table et commence à sucer Akim.
Tout le monde a fini de manger. Margaret gémit doucement, son cul en l’air. Elle a fermé les yeux et s’écarte les fesses avec ses mains. Mika à l’air de prendre beaucoup de plaisir à l’enculer. Il prend son temps, fait doucement aller et venir sa queue, parfois il donne des petits coups de reins pour l’envoyer bien au fond. Un moment il retire complètement sa bite et on voit, à la place de l’anus, un gros trou rond, du diamètre de la bite de Mika. Ça m’impressionne.
Benj et Lili se sont levés pour débarrasser la table. Je vais les aider. J’ai très envie de me faire sauter. Quand la table est toute propre je m’allonge dessus, j’écarte les cuisses et je dis :
– Akim, viens me baiser.
J’ai envie d’une grosse bite. Akim arrive, sa queue à la main et me la fourre dans le vagin.
Il est minuit passé. Tout le monde est à poil. Lili a pris ma place sur la table, elle a une bite dans la chatte et une dans la bouche. Moi je chevauche Robby qui est assis sur le canapé. Il a une bite pas très épaisse mais bien longue, qui va loin dans mon vagin. Margaret est à quatre pattes à côté du canapé et elle a la grosse bite d’Akim dans le cul. Elle a l’air d’apprécier.
– Hé j’ai une idée, s’écrie Mika, venez m’aider !
Alors on pousse la table contre un mur, avec les bancs dessus, on débarrasse tout pour faire une grande place, et puis on va chercher les matelas dans les chambres et on les met par terre côte à côte devant la cheminée. On met un gros paquet de bûches et on éteint les lumières. On va tous dormir ensemble, ça va être super… mais d’abord on continue à baiser.
Plus tard le feu fait encore une petite lumière qui éclaire les corps nus. Y’en a qui dorment… ou pas. Ça bouge un peu, ça gémit doucement. Margaret est toujours à quatre pattes, elle n’en finit pas de se faire enculer. Mika est derrière moi et il me tient dans ses bras. Je lui dis tout bas :
– Mika, tu veux me mettre un doigt dans le cul ?
Il lève la tête en sursaut et me répond en chuchotant très fort :
– Tartine ? Tu veux que je t’encule ?
– NON ! Juste un doigt.
– Ah! bon !
Alors il me met sur le ventre, il écarte mes fesses avec deux doigts et il commence à masser ma petite rondelle. Ça me fait drôle mais c’est pas désagréable. Je sens qu’il me met de la bave et puis il commence à appuyer doucement.
– Tu me dis si ça te fait mal.
– Ok.
Il appuie un peu plus fort et je sens que ça entre.
– J’ai entré une phalange… Ça va ?
– Oui, continue.
Il appuie plus fort et là je sens une petite douleur.
– Ouille !
– Tu veux que j’arrête ? J’ai mis tout mon doigt.
– Non continue, fais-le bouger.
Il fait bouger son doigt, le fait sortir et entrer de nouveau, va de plus en plus profond. C’est une drôle de sensation mais je commence à comprendre Margaret, c’est pas désagréable finalement.
Et je m’endors comme ça, avec le doigt de Mika dans mon cul.
Voilà, c’est l’heure de partir, on s’en va tous ensemble, les anglais et nous. On traîne un peu les pieds sur le chemin parce qu’on n’a pas beaucoup dormi. Margaret et moi on se tient la main, elle a un grand sourire mais elle a du mal à marcher, je pense qu’elle doit avoir un peu mal au cul.
Ah ! on a vraiment passé un bon moment à la montagne !
– J’ai envie de faire pipi, on fait une pause ?
– D’accord, dit Mika, on s’arrête.
On s’arrête le long du chemin. Je pose mon sac à dos, j’enlève mon short et ma culotte et je vais plus loin pour pas faire pipi sur le chemin. Il y a Max qui me suit.
– Tu vas aussi faire pipi ?
– Non, je voudrais te baiser.
– D’accord, mais laisse-moi faire pipi d’abord.
Quand j’ai fini j’essuie mon minou avec une feuille. Max me regarde avec sa bite à la main, elle est déjà toute gonflée. Il y a un joli tapis de mousse à côté, ça tombe bien. Je m’allonge dessus et j’écarte bien les cuisses. Max crache dans ses doigts et met de la bave sur ma chatte, puis il s’allonge sur moi et fourre sa bite dans mon vagin. C’est trop bon.
– Mmmmh ! C’est trop bon !
Il va bien au fond, sa bite est bien dure, je passe mes jambes autour de sa taille et je fais des petits couinements pour dire que je suis contente. Après Max soulève mon débardeur et il empoigne mes nénés, et puis il accélère, il me donne des coups plus forts dans mon vagin.
– Ouch… oui… vas-y… fort… je lui susurre à l’oreille.
– Tartine, Max, vous faites quoi ?
C’est les autres qui s’impatientent.
– Ouh… ah… ouch… ouh… On baise ! Je lance.
– Ben ouais mais magnez-vous, faut qu’on y aille !
– Allez-y on vous rattrapera, répond Max.
Et il me baise de plus en plus fort.
On rattrape les copains, c’est Puce qui marche en dernier. Elle a une jupe en jean et les seins à l’air. Elle a des beaux seins gros comme deux grosses têtes d’obus, fermes et plantés bien haut avec les tétons gros comme mon petit doigt toujours dressés. Un jour j’y ai accroché mon trousseau de clés pour rigoler, hé bien ça tient tout seul ! Elle aime bien les montrer ses seins Puce.
J’arrive vers Mika, il me dit :
– J’ai ramassé ta culotte, tu la veux ?
– Non ça va, je réponds.
– Voilà un coin sympa pour pique-niquer, dit Mika, on va s’arrêter là.
Il y a des arbres de chaque côté du chemin pour faire de l’ombre, et puis des rochers où on peut s’asseoir. Moi je repère un joli tapis de mousse bien fraîche et bien épaisse.
– Tartine tu veux ta culotte ? me demande Mika en fouillant dans son sac.
– Non j’suis bien comme ça, ma foufoune prend l’air.
Alors il me tend mon sandwich. Les autres aussi sortent leurs sandwiches. Moi, le cul dans la mousse, je tripote ma minette qui est bien ravie. Je tapote mon clito qui se durcit de plaisir et ma chatte commence à se mouiller.
Tiens voilà un groupe qui descend le chemin. Ils sont trois garçons et une fille.
– Salut
– Salut
– Bonjour
– Salut
– Bonjour…
Tout le monde se dit « salut » quand ils passent devant nous, et voilà qu’ils s’arrêtent une dizaine de mètres plus bas, de l’autre côté du chemin. Il faut dire que le coin est vachement sympa pour pique-niquer à l’ombre. Les garçons sont torse nu avec des chapeaux, la fille porte un tee-shirt blanc tellement fin qu’on voit ses tétons pointer. Elle a aussi des chaussures de randonnée et un legging court bleu ciel. Je crois qu’elle n’a pas de culotte parce qu’on voit pas de marque. Tout le monde ouvre son sac pour sortir son casse-croûte, les garçons s’assoient sur des cailloux et la fille se met à quatre pattes au bord du chemin, les coudes dans la mousse et les fesses en l’air. Elle tient son sandwich entre ses mains et commence à mordre dedans. Je me dis que sa position n’est vraiment pas très confortable pour manger. Peut-être qu’elle a mal au dos. Mais voilà un des garçons qui se lève, qui s’agenouille derrière elle et qui lui baisse son legging au milieu des cuisses (j’avais raison elle n’a pas de culotte), et puis il lui passe une main entre les fesses tout en grignotant son casse-croûte de l’autre. On voit très nettement que la fille se cambre son petit cul bien haut et du coup je comprends mieux : cette coquine avait envie de se faire baiser ! Du coup ça m’excite un peu et je me masse doucement mon clitoris. On passe vraiment un bon moment, on entend les insectes qui bourdonnent, les oiseaux qui chantent et les gémissements de la fille qui prend son pied. Moi j’ai les cuisses grandes ouvertes et ma petite moule est toute gluante. Si un yéti déboule il pourra me baiser sans difficulté ! C’est pratique le sandwich, tu peux manger d’une seule main, alors je me rentre un doigt dans la chatte. Qu’est-ce que c’est bon. Maintenant le garçon en face a sorti sa bite, parce qu’elle est bien raide. Il se la caresse un moment, c’est une jolie bite avec un gland plutôt pointu. Puis il se prépare à pénétrer. Et là, la fille arrête de mâcher, elle me regarde droit dans yeux et elle fait : « hoooooooo ! » quand la bite entre en elle. Elle devait être bien mouillée parce que ça rentre tout seul. Voilà qu’elle me fait un petit sourire mutin pendant que le garçon commence ses va-et-vient. Ça me fait drôlement envie.
– Mika, tu veux bien me sauter ?
– Bien sûr ma chérie.
Et je me mets à quatre pattes dans la mousse sans quitter la fille des yeux. Pas besoin de baisser ma culotte, j’en ai pas. Mika entre sa bite d’un coup.
– Dis donc t’avais une sacrée envie, c’est rentré tout seul !
On se regarde dans les yeux la fille et moi. Les garçons s’en donnent à cœur joie dans nos vagins. Maintenant, en plus des chants des oiseaux on entend nos petits cris de bonheur.
Tiens, y’a Lilou qui a retiré son short et sa culotte. Elle s’est assise sur un rocher plat et elle écarte les cuisses pour montrer sa chatte qui a besoin qu’on s’occupe d’elle. C’est Jonas qui se met à genoux entre ses jambes et il lui fait des câlins avec sa langue.
Maintenant c’est Puce qui envoie valser sa jupe. Comme elle était déjà les seins à l’air et qu’elle n’a pas de culotte, du coup la voilà toute nue. Elle va vers les copains de la fille, ses gros obus pointant fièrement. Les deux gars se lèvent en même temps et commencent à la peloter. Voilà Puce avec des mains partout, sur ses seins, sur ses fesses, on lui caresse son minou… elle est aux anges.
Au bout d’un moment plus personne ne mange et tout le monde baise dans tous les sens. C’est là qu’il y a un groupe qui monte le chemin. Il y a d’abord deux garçons et puis une fille quelques pas derrière. Elle est un peu grassouillette et plutôt petite. Elle tire la langue.
– Salut.
– Hello.
– Bonjouw.
Oh, des anglais !
On leur propose de s’arrêter manger avec nous mais les garçons répondent que non, ils ont déjà mangé. La fille nous regarde avec une petite moue déçue.
Maintenant qu’on a bien mangé et bien baisé on peut reprendre la marche.
– Tartine, tu veux ta culotte ?
– Non, pas besoin.
Comme ça, je me dis, les garçons pourront me peloter les fesses en marchant.
Plus tard dans l’après-midi y’a Mika qui marche devant, comme d’habitude, les autres le suivent et puis il y a moi et Akim derrière moi. C’est là que je sens la main d’Akim sur mon petit cul. Elle essaie de se glisser entre mes cuisses pour s’amuser avec mon minou. Alors j’écarte un peu les jambes et je me cambre bien pour lui faciliter le passage, et hop ! Voilà deux doigts qui entrent d’un coup, sans prévenir.
C’est pas facile de marcher avec deux doigts dans la chatte mais c’est tellement agréable. En plus il fait beau et mon Dieu que la montagne est belle ! On marche un moment comme ça, Akim gigote des doigts et moi je me tortille du cul. C’est très bon mais au bout d’un moment ça excite drôlement ce petit jeu, alors Akim s’arrête et me dit :
– Penche-toi un peu je vais te baiser.
Ok, je lui tends mon cul et je gueule :
– Pause !!!
Tout le monde s’arrête et se retourne et quand ils me voient les fesses en arrière et Akim sa bite à la main ils comprennent.
– Ben ouais mais magnez-vous, on va être en retard.
Akim c’est lui qui a la plus grosse queue de la bande, mais comme je suis déjà bien ouverte il me la met bien profond. Je pousse quand même un petit cri quand il me pénètre.
– Faut qu’on arrive au refuge avant qu’il fasse nuit ! lance Mika.
– Ok on se dépêche, répond Akim.
Et il se met à me baiser à toute vitesse en me donnant des grands coups de bite. Tellement fort que je dois poser mes mains par terre pour pas se casser la figure. Au bout d’un moment je me mets à brailler de jouissance et Akim sort sa bite et il m’envoie plein de sperme sur mes fesses.
– Voilà c’est bon, on peut y aller, il dit.
On arrive au refuge. Il était temps, le soleil a déjà disparu derrière les sommets. En fait c’est un gros chalet en pierre à la base et en bois au-dessus avec un toit en lauzes. On entre à l’intérieur. Tiens, les anglais qu’on a vus tout à l’heure sont là. On est dans une grande pièce de vie avec une cheminée sur le mur de droite. En face il y a deux portes qui doivent être deux chambres, à gauche un escalier qui monte à une mezzanine et sous l’escalier une cuisine équipée. Entre les deux portes de chambres un grand canapé et au milieu de la pièce une longue table en bois avec des bancs. Les deux garçons anglais sont assis au bout de la table, face à face et la petite anglaise grassouillette est toute nue. Elle a la peau très blanche, diaphane. Elle a des petits seins avec presque pas de tétons et des gros mamelons bombés rose pâle, des cheveux courts qui hésitent entre le blond et le châtain clair.
Elle est debout, à côté des garçons. Elle a mis deux doigts dans sa chatte et elle se fouille en les regardant. Elle n’a pas de poils à son minou. L’anglais le plus grand, un blond, nous dit :
– Margaret toujours envie to fuck, n’impowte où, n’impowte quand, avec n’impowte qui.
– Oh, c’est comme moi ! je m’écrie.
– Moi c’est Robby, il dit, et voilà Jamy et Margaret.
On se présente à notre tour, moi je dis c’est Martine mais tout le monde m’appelle Tartine parce que c’est rigolo. Puis on va dans les chambres, il y a deux rangées de lits superposés. On pose nos sacs, on déballe nos affaires, on s’installe. Après on retourne dans la salle et je dis tout fort :
– C’est les garçons qui préparent à manger, nous avec Margaret on va se câliner !
J’ai retiré mon débardeur pour être toute nue aussi. Margaret est toujours avec ses doigts dans sa chatte. Je m’approche d’elle et je pose mes mains sur ses seins. Ils sont tout doux. Ça lui fait bien plaisir parce qu’elle me fait un grand sourire et puis elle passe ses bras autour de mon cou et elle me roule une grosse pelle avec sa langue qui caresse ma langue. Moi je lui caresse ses grosses fesses et puis je passe une main entre ses cuisses et elle me fait « Mmmmmhhh » dans ma bouche. Son minou est tout mouillé, c’est pas étonnant. J’ai pas de mal à entrer mes deux doigts et elle me refait « Mmmmmh ! » dans la bouche. Et puis elle me glisse une main entre mes cuisses et me fourre ses doigts à son tour.
Les garçons s’agitent autour de nous, sortent des casseroles, allument un feu dans la cheminée… Les filles sortent les sacs de couchage, préparent les lits. Les anglais n’arrêtent pas de mater les nichons de Puce qui ballottent à chacun de ses pas.
Au bout d’un moment à se fouiller la chatte je prends Margaret par le bras et je l’amène se coucher sur le canapé. Je me mets à genoux devant elle et je lui écarte ses grosses cuisses. Son sexe est comme un gros abricot, parce que on ne voit pas ses petites lèvres, elle a des grosses lèvres charnues, bombées avec la fente au milieu, et en-dessous un petit anus tout rose. Je lui ouvre son abricot avec mes deux pouces et je passe ma langue dans sa fente ouverte.
– Oh ! Yeeees, elle fait.
Je trouve son petit clito, blotti dans les replis de ses grandes lèvres. Je passe ma langue dessus. C’est comme si j’avais appuyé sur un bouton. D’un seul coup la voilà qui se cabre, qui se tortille, qui soulève son bassin en râlant, et puis elle se met les mains sur les cuisses et s’écarte elle-même la chatte en grand pour me faciliter la tâche. Du coup, comme j’ai les mains libres, je lui fourre trois doigts dans le vagin en continuant de la lécher. Je la fouille aussi loin que je peux cette coquine. Et puis soudain, tellement elle est excitée, voilà qu’elle se lève d’un bond, sans crier gare, elle se précipite vers Robby qui est devant la cheminée, et elle se fout à quatre pattes devant lui, son gros cul en l’air. Robby sort sa bite tranquillement et pénètre Margaret qui émet un long gémissement de bonheur.
Quand ils ont fini Margaret revient vers moi sur le canapé et on change les rôles, c’est elle qui me lèche mon minou. Je lui tiens bien ouvert, comme elle faisait, et elle me fouille le vagin, comme je faisais. Un moment je sens le bout d’un doigt sur mon petit trou qui pousse pour essayer d’entrer. Je le chasse avec ma main.
– Euh, non, pas par là.
Elle me regarde, surprise.
– Oh, no ?
– Non, là c’est pour faire caca, pas pour mettre ses doigts.
– Tartine, Margaret vous venez à table ? C’est prêt.
Les garçons ont fait des pâtes au gruyère et on partage un gros saucisson que les anglais ont amené. Il y a aussi deux bouteilles de vin. On discute en rigolant, on se raconte des histoires en mâchant et en buvant. On est à peine à la moitié du repas quand voilà Margaret qui se lève. Elle attrape son voisin par le bras, c’est Mika, pour le faire se lever, et puis elle se met par terre à quatre pattes et lui tend son gros cul. Elle est chaude bouillante la petite anglaise, pire que moi ! Mika ne se fait pas prier, il enlève son short et son slip, se met à califourchon sur la paire de fesses et lui entre sa bite d’un coup. Margaret pousse des petits gémissements à chaque coup de bite, nous on continue à manger. Margaret s’échauffe de plus en plus et soudain voilà qu’elle dit :
– In my ass… please, put in my ass !
C’est Robby qui traduit :
– Dans son kiou... mets ton bite dans son kiou, elle adowe ça.
Mika a bien compris. Il sort sa bite, la remonte d’un cran et pousse son gland sur la petite rondelle rose. Il s’y reprend à trois fois, il entre le gland puis il ressort, il entre à nouveau, puis il ressort. La troisième fois toute la bite s’enfonce dans le cul de la petite anglaise. On voit qu’elle a l’habitude parce qu’elle émet un long râle de plaisir. Moi je regarde fascinée. Je connais bien la bite de Mika et je ne l’imagine pas entrer dans mon petit trou.
On continue à manger mais les gémissements de plaisir de Margaret ça fait bien envie. C’est Puce qui se lève. Elle se fout à poil et va s’asseoir au milieu du canapé en écartant les cuisses. Elle tripote sa minette en attendant qu’un garçon s’occupe d’elle. Voilà les deux anglais qui se lèvent en même temps, ça faisait un moment qu’ils reluquaient Puce et ses beaux seins. Ils s’assoient à côté d’elle, chacun d’un côté et commencent à la caresser partout. Et puis ils lui gobent chacun un mamelon, c’est rigolo de voir Puce avec deux têtes qui lui sucent les tétons. Et puis ils lui mettent chacun des doigts sur sa chatte. Puce à fermé ses yeux et elle s’abandonne au plaisir.
– Y’a quelqu’un qui a envie que je lui suce la bite ?
C’est Lilou qui a dit ça. Elle a fini son assiette. Tous les garçons qui restent autour de la table font « Ben ouais, si tu veux » et ils se mettent la bite à l’air. Du coup la belle métisse passe sous la table et commence à sucer Akim.
Tout le monde a fini de manger. Margaret gémit doucement, son cul en l’air. Elle a fermé les yeux et s’écarte les fesses avec ses mains. Mika à l’air de prendre beaucoup de plaisir à l’enculer. Il prend son temps, fait doucement aller et venir sa queue, parfois il donne des petits coups de reins pour l’envoyer bien au fond. Un moment il retire complètement sa bite et on voit, à la place de l’anus, un gros trou rond, du diamètre de la bite de Mika. Ça m’impressionne.
Benj et Lili se sont levés pour débarrasser la table. Je vais les aider. J’ai très envie de me faire sauter. Quand la table est toute propre je m’allonge dessus, j’écarte les cuisses et je dis :
– Akim, viens me baiser.
J’ai envie d’une grosse bite. Akim arrive, sa queue à la main et me la fourre dans le vagin.
Il est minuit passé. Tout le monde est à poil. Lili a pris ma place sur la table, elle a une bite dans la chatte et une dans la bouche. Moi je chevauche Robby qui est assis sur le canapé. Il a une bite pas très épaisse mais bien longue, qui va loin dans mon vagin. Margaret est à quatre pattes à côté du canapé et elle a la grosse bite d’Akim dans le cul. Elle a l’air d’apprécier.
– Hé j’ai une idée, s’écrie Mika, venez m’aider !
Alors on pousse la table contre un mur, avec les bancs dessus, on débarrasse tout pour faire une grande place, et puis on va chercher les matelas dans les chambres et on les met par terre côte à côte devant la cheminée. On met un gros paquet de bûches et on éteint les lumières. On va tous dormir ensemble, ça va être super… mais d’abord on continue à baiser.
Plus tard le feu fait encore une petite lumière qui éclaire les corps nus. Y’en a qui dorment… ou pas. Ça bouge un peu, ça gémit doucement. Margaret est toujours à quatre pattes, elle n’en finit pas de se faire enculer. Mika est derrière moi et il me tient dans ses bras. Je lui dis tout bas :
– Mika, tu veux me mettre un doigt dans le cul ?
Il lève la tête en sursaut et me répond en chuchotant très fort :
– Tartine ? Tu veux que je t’encule ?
– NON ! Juste un doigt.
– Ah! bon !
Alors il me met sur le ventre, il écarte mes fesses avec deux doigts et il commence à masser ma petite rondelle. Ça me fait drôle mais c’est pas désagréable. Je sens qu’il me met de la bave et puis il commence à appuyer doucement.
– Tu me dis si ça te fait mal.
– Ok.
Il appuie un peu plus fort et je sens que ça entre.
– J’ai entré une phalange… Ça va ?
– Oui, continue.
Il appuie plus fort et là je sens une petite douleur.
– Ouille !
– Tu veux que j’arrête ? J’ai mis tout mon doigt.
– Non continue, fais-le bouger.
Il fait bouger son doigt, le fait sortir et entrer de nouveau, va de plus en plus profond. C’est une drôle de sensation mais je commence à comprendre Margaret, c’est pas désagréable finalement.
Et je m’endors comme ça, avec le doigt de Mika dans mon cul.
Voilà, c’est l’heure de partir, on s’en va tous ensemble, les anglais et nous. On traîne un peu les pieds sur le chemin parce qu’on n’a pas beaucoup dormi. Margaret et moi on se tient la main, elle a un grand sourire mais elle a du mal à marcher, je pense qu’elle doit avoir un peu mal au cul.
Ah ! on a vraiment passé un bon moment à la montagne !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Fantasmagorique ! C'est tout à fait le mot juste !
Sacrée belle histoire fantasmagorique...
Habitant non loin de la montagne et de refuges, j'imagine bien y participer
Cyrille
Habitant non loin de la montagne et de refuges, j'imagine bien y participer
Cyrille