Tartine à la ferme - histoire érotique

On a trouvé une ferme sympa pour faire du camping à la ferme. Il y a tous les amis : Mika, Fred et Lili, Jonas, Max et Puce, Akim, Benj et Lilou. Et moi c’est Tartine bien sûr. Enfin, c’est Martine en vrai mais tout le monde m’appelle Tartine, c’est rigolo. Les fermiers sont gentils, ils nous ont montré un coin pour nous installer à côté de la mare aux canards. Maintenant on est en train de monter les tentes. Mika a mis les mâts à l’intérieur de la nôtre et moi je suis à quatre pattes avec le maillet pour enfoncer les sardines. Mika en profite pour mettre sa main dans ma culotte et me caresser la raie des fesses. Mika c’est mon mâle à moi, je dors dans ses bras. Je continue de taper sur les sardines. Fred et Lili rigolent parce que leur tente s’est écroulée sur eux. La main de Mika s’enfonce plus bas pour toucher ma chatte mais il a du mal avec mon short, alors du coup il me baisse mon short et ma culotte. Me voilà mon petit cul à l’air.
– Tu crois qu’on peut aller se baigner dans la mare ? dit la voix d’une fille.
Je lève la tête, c’est Lilou qui a mis son slip de bain. Elle a pas mis le haut et ses tétons ont l’air bien contents.
– Pas sûr que ce soit très propre tu sais, les canards font pipi dedans.
– Beurk !
Lilou elle est trop belle. Elle a la peau couleur de caramel au lait avec des yeux vert clair et des grandes tresses noires qui lui descendent jusqu’aux fesses. Moi aussi j’ai les yeux verts, mais j’ai une frimousse parsemée de tâches de rousseur, un petit nez mutin et une espèce de tignasse rousse toujours en bataille.
Les doigts de Mika se promènent dans ma fente qui se mouille de plaisir et tripotent mon petit bouton. Mon clitoris réagit au quart de tour alors je lâche des petits couinements et j’ai du mal à travailler. Je suis très excitée maintenant. Je tends mon cul pour que Mika mette ses doigts dans ma chatte. Je sais qu’il va le faire. Et voilà, il l’a fait ! Il m’a carrément mis deux doigts d’un coup. C’est bon. Il les bouge dans mon vagin. Il sait bien où aller pour me faire plaisir.
– Tartine tu pourrais me passer le maillet ?
C’est Akim qui est à côté de nous.
– Attends, j’ai pas encore fait l’autre côté.
Je me lève pour aller faire les autres sardines. Mika me suit. C’est dur de marcher avec la culotte au milieu des cuisses et les doigts de Mika dans ma chatte ! Voilà, hop à genoux, toc-toc-toc la tête des sardines, floch-floch-floch les doigts dans ma mouille, cot-cot-cot les poules qui viennent voir ce qui se passe !
Ça y est j’ai fini les sardines. Je tends le maillet à Akim. Je ne me lève pas parce que Mika fouille toujours mon vagin et c’est drôlement bon. Je crois bien que j’ai la chatte grande ouverte du coup.
– Je prendrais bien une bite maintenant !
– Moi ! S’écrie Akim, prem’s !
Il tend le maillet à Mika et sort sa bite. Elle est déjà bien grosse d’avoir reluqué mon petit popotin. Akim a une grosse bite, j’aime bien quand il me baise. Mika sort ses doigts de ma chatte et laisse la place à Akim. Akim se met à genoux derrière mon cul et il enfonce sa bite dans ma chatte. Je fais « ouille ! » pour dire qu’elle est grosse. Il l’enfonce bien jusqu’au fond et elle me remplit bien le vagin. Il met ses mains sur mes hanches et il fait des petits va-et-vient, pas vite parce qu’on a le temps, on est en vacances. Je regarde les autres où ils en sont. Fred et Lili sont toujours sous leur tente écroulée, on ne les entend plus rire. Puce est toute nue et Max lui met de la crème solaire en massant bien les seins. Jonas et Benj donnent du pain aux canards avec Lilou. Moi je suis à quatre pattes au milieu de tout ça avec la queue d’Akim qui me fait du bien et Mika attend son tour.
Maintenant on entend les petits cris de Lili qui se fait baiser par Fred et on voit la toile de leur tente qui bouge sur eux. C’est drôle, on dirait un fantôme. Lilou a donné tout son pain aux canards alors Jonas et Benj s’amusent avec ses tétons. Y’a même Jonas qui a fourré une main dans sa culotte.
Akim me baise plus fort maintenant parce qu’il est très excité, il me donne des grands coups avec sa grosse queue qui tape au fond de mon vagin. Ça me fait jouir, mon minou coule de plaisir, alors je pousse des cris de quand je jouis fort. Tout le monde me regarde en rigolant. Akim aussi a joui, alors il retire sa bite. Je reste à quatre pattes et je regarde Mika.
– À toi maintenant, je dis, baise-moi fort !
Alors il m’attrape par ma tignasse, me tire dessus pour me lever la tête, m’appuie sur les reins pour me faire bien cambrer et il me plante sa queue d’un grand coup de rein. « Raahhhh ! » je sens qu’on va passer de bonnes vacances.

Le lendemain la fermière me montre comment on trait une vache. Elle est un peu grasse la fermière. C’est une grande et forte femme avec des grosses mamelles qui ont l’air de vouloir s’échapper de sa blouse. J’ai un pis dans chaque main et je les caresse doucement pour qu’ils me donnent leur lait.
– Dis donc, me dit la fermière, c’est pas des bites que t’as dans les mains, faut pas les masturber ! Allez, tire dessus !
Elle prend ma place sur le tabouret pour me montrer. Moi je reste debout à côté.
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires...
C’est vrai qu’on dirait des bites, du coup ça m’excite. Je passe la main sous ma jupette, ma culotte est un peu mouillée.
– Tu presses, tu tires… tu presses, tu tires…
Le lait sort des pis comme des jets de sperme. Ma main glisse dans ma culotte et je caresse mon minou. La fermière me voit alors elle dirige un pis vers moi et elle m’envoie un gros jet de lait. J’ai la culotte pleine de lait qui me dégouline sur les cuisses comme une coulée de sperme ! Ça nous fait bien rigoler.
– Enlève ta culotte, elle me dit la fermière, on va la faire sécher.
Après je suis debout, appuyée contre les bottes de foin, j’ai plus de culotte et la fermière passe sa main entre mes cuisses.
– Dis donc, y’a pas que ta culotte qu’est toute mouillée !
Elle dit ça parce qu’elle a ses doigts sur ma chatte et que je suis drôlement excitée. J’ai très envie de voir ses gros nibards. Je lui déboutonne sa blouse pendant qu’elle me tripote le minou. Oh ! Elle est toute nue sous sa blouse, pas de soutif, pas de culotte, rien, que sa blouse et ses bottes en caoutchouc. Comme je suis petite j’ai presque la figure dans sa poitrine. J’ai très envie de lui bouffer ses nichons. Je commence par lui gober un téton et je la tète comme un bébé. « Hmmm ! » elle fait la fermière. Elle aime ça. Après j’empoigne sa deuxième mamelle avec une main et je lui fourre l’autre entre les cuisses. « Hmmm ! Hmmmm ! » elle refait et je sens un doigt qui me pénètre. Sa chatte est pleine de poils, je passe mes doigts dedans, c’est doux. Quand j’arrive sur sa fente, à peine j’appuie que ses lèvres s’écartent tout de suite. C’est tout mouillé et gluant. Elle se met à onduler du bassin, elle se frotte le minou sur ma main. Je comprends le message. Je joins mon index et mon majeur et hop je lui fourre dans le vagin.
– Oh oui ! Fouille-moi la chatte, petite cochonne !
En même temps qu’elle dit ça dans mon oreille elle m’entre un deuxième doigt qui me fait pousser un petit cri. Je lui suce ses gros nichons l’un après l’autre.
On est là à se fouiller la chatte l’une de l’autre en gémissant quand la porte de l’étable s’ouvre. C’est Benj, Max et Akim qui nous ont entendu beugler et qui viennent voir ce qui se passe. Alors du coup on s’allonge dans le foin, l’une à côté de l’autre, les cuisses écartées avec nos chattes bien ouvertes et toutes mouillées. Les garçons sortent leur bite et hop ! nous baisent chacun son tour. Alors les vaches se mettent à meugler parce qu’elles s’impatientent pour la traite.

Je suis dans la cour de la ferme. Nue, avec juste des bottes en caoutchouc. J’observe avec délice l’étalon qui piaffe de l’autre côté de la barrière. J’observe surtout son braquemart de la taille de mon avant-bras. Ça fait rêver. La jument l’attend, la croupe offerte, la queue levée.
– Dis donc coquine, je lui lance en rigolant, tu m’as l’air bien excitée !
L’étalon lui grimpe dessus, son membre fouette l’air à la recherche de l’entrée. Lorsqu’il l’a trouvée, d’un coup sec, il entre tout, arrachant un hennissement à sa femelle.
– À nous deux maintenant !
Je me retourne, c’est le fermier qui arrive, la bite à l’air, les couilles pendantes. Sa bite est ferme, bien dressée et semble impatiente.
– Allez penche-toi !
Je me penche en m’appuyant sur la barrière, lui offrant mon cul. Je me cambre bien pour qu’il voit bien ma chatte. Je suis souple et très cambrée parce que j’ai fait de la danse quand j’étais petite fille. Ce cheval m’a bien excitée, je dois avoir la chatte bien mouillée ! Le paysan frotte son gland sur ma vulve.
– Dis donc coquine, tu m’as l’air bien excitée !
Une claque sur ma croupe !
– Oui…
Il pousse d’un coup et sa bite entre en moi.
– Mmmmh !
Il commence ses va-et-vient tranquillement, ses couilles venant battre mon clitoris à chaque poussée, m’arrachant un petit cri de plaisir. Il attrape mes petits seins avec ses grosses mains calleuses. Pendant qu’il me baise je ne quitte pas des yeux l’étalon et son énorme sexe. Au bout d’un moment le fermier me baise plus fort avec des grands coups de bite et je vais pas tarder à jouir. L’étalon aussi y va plus fort, alors la jument me regarde et me fait un clin d’œil. Entre filles on se comprend.

Je me suis habillée comme la fermière ce matin. J’ai mis une blouse, des bottes en caoutchouc et un chapeau de paille parce qu’il y a du soleil et il fait chaud. Je suis toute nue sous ma blouse. Je vais voir Max qui est vers les lapins, il les observe depuis un moment.
– Qu’est ce que tu fais Max ?
– Je regarde les lapins. T’as vu comment ils baisent ?
– Non, quoi ?
– Viens, mets-toi à quatre pattes je vais te montrer.
Je trouve ça rigolo alors je me mets à quatre pattes devant les cages des lapins, Max m’appuie sur les épaules pour m’aplatir par terre et puis il soulève ma blouse pour mettre mes fesses à l’air, il me met de la bave sur mon minou parce que j’ai pas eu le temps de mouiller. Après, il m’enfile sa bite, se couche sur mon dos avec ses mains sur mes épaules pour bien me cramponner et il me donne des petits coups de reins à toute vitesse. « HI hi ! » ça fait drôle, ça m’excite d’un coup et je fais des couinements. Comme une lapine ! Max n’arrête pas, il va même de plus en plus vite et je sens sa bite qui tape dans mon vagin. Je vais pas tarder à jouir ! Là y’a Akim qui arrive et qui dit :
– Qu’est-ce que vous faites ?
– Oh oh on… on bai… baise co… oh… oh… omme… des la… ah… ah… pin ! J’arrive à dire.
– Oh, chouette ! Je peux essayer ?
– Bien sûr, dit Max en lui laissant la place, couche-toi sur son dos et tu la baises à toute vitesse.
Akim se met sur moi et je sens sa grosse bite qui entre en moi. Il me baise tellement vite que je me mets à gueuler tellement je jouis, et là y’a la fermière qui arrive et qui dit :
– Quand vous aurez fini de baiser comme les lapins vous leur donnerez à manger !... (à suivre)