Tel est pris qui croyait prendre - chapitre 1

- Par l'auteur HDS Damador -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Tel est pris qui croyait prendre - chapitre 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tel est pris qui croyait prendre - chapitre 1
J’étais en 1er, j’avais 18 ans, les hormones en ébullition. A cet âge, les mecs courent après les filles au lycée, et doivent montrer leur virilité afin d’obtenir leurs premières conquêtes, le respect des autres et de la confiance en soi. Dans une autre classe, il y avait un mec, Julien, petit, pas très beau, et souffrant d’un handicap, il boitait en permanence d’une manière ostensible. La loi du plus fort est malheureusement cruelle et sans pitié. Il était différent et donc moqué par ses camarades, souvent ciblé par des blagues pas très sympas et souvent la risée dans la cour. Venait s’ajouter à cela un manque de confiance en soi, et une difficulté à s’exprimer.

Etant assez banal et suiveur à cet âge-là, je suivais les mecs sûrs d’eux et chefs de bande. Je participais de temps en temps à ces moqueries pour être du bon côté du troupeau et me faire accepter plus facilement. Pourtant, je savais depuis quelques temps que je n’étais pas comme les autres. Les gars m’attiraient et je fantasmais souvent sur les beaux gosses du lycée, en m’astiquant régulièrement en pensant à eux et en m’imaginant à la place des filles qu’ils conquéraient.

Un jour, je me suis inscrit sur une application de rencontres en ligne car j’étais de plus en plus en chaleur et j’avais besoin de découvrir les joies du sexe entre mecs. Très vite, je commençai à discuter avec un mec, avec qui j’accrochais bien. On a discuté de nos envies, nous avons avoué que nous étions tous les deux puceaux et que nous souhaitions la plus grande discrétion. Sur son profil, il y avait quelques informations : c’était apparemment un mec assez petit, de corpulence mince mais il n’avait pas mis sa photo. Très vite, on a commencé à se chauffer. Il m’a promis que son outillage était d’un bien plus gros diamètre que la moyenne. Je lui rétorquai que la porte d’entrée et le couloir étaient très étroits chez moi mais qu’il pourrait tenter de s’y glisser. « T’es passif ? » me demanda-t-il. Je repris vite mes esprits en lui répondant que je voulais aussi pénétrer et dominer.

Il habitait dans la même ville que moi. Il était donc temps d’échanger nos photos afin de faire, pourquoi pas, plus ample connaissance. Il m’envoya sa photo en premier. Je fus pris de stupeur en constatant qu’il s’agissait de Julien. Je fermai l’application et ne répondis plus. Ce serait la honte de faire ma première fois avec un mec handicapé. Je vaux mieux que ça. Je souhaitais donc que cette conversation n’ait pas de suite. Quelques jours plus tard, je me reconnectai pour chercher d’autres profils, ne répondant pas aux questions de Julien qui s’énervait que je ne donne plus signe de vie, pensant que je ne trouvais pas son physique attirant. Mais les hormones étaient là et insistaient pour que je trouve un mec le plus vite possible. Finalement, je ne trouvais pas Julien si moche que ça. Si je ne l’avais jamais fréquenté auparavant au collège, il m’aurait plutôt attiré d’un premier abord, son visage juvénile avait un certain charme et traduisait à la fois un manque de confiance charmant mais également une envie de se faire sa place dans ce monde. En plus, les mecs petits m’attiraient assez dans le genre « je suis peut être petit mais je vais vous montrer ce que j’ai dans le ventre ».

Il fallait que je me décide. D’un côté on s’entendait bien et j’avais envie de sexe le plus rapidement possible. De l’autre, je pensais à la honte que ce serait si mes amis apprenaient cela. En plus, à ce moment-là, je n’avais parlé de mon attirance pour les mecs à personne. Mais je me disais qu’après tout il n’y avait pas de raison que Julien ébruite cette relation.

Après quelques jours d’hésitation, je m’excusais de ne plus lui avoir répondu et je le relançai : « en fait on se connait » en lui envoyant ma photo. A son tour, il ne donna plus signe de vie. C’était de bonne guerre. Je comprenais tout à fait surtout qu’il avait pu penser que je cherchais à le piéger pour qu’il soit une fois de plus moqué par les autres. Je tentais de lui réécrire pour le persuader que ce n’était pas une blague et que je souhaitais qu’on se voit en toute discrétion, prendre un verre dans une autre ville tranquille et discuter. Finalement, il me répondit avec fermeté « tu fais pas partie du groupe qui se fout de ma gueule à longueur de journée ? » me lança-t-il. Je m’excusai encore en lui disant qu’au lycée, je n’étais qu’un suiveur qui n’a aucun courage ni confiance en soi et que je faisais simplement et bêtement comme les autres. Finalement il accepta qu’on se voie.

On se retrouva à un bar un samedi en fin d’après-midi aux alentours de 17h30. J’arrivai en premier pour inspecter les lieux. Pas de camarade de classe à l’horizon. Je m’assis à la terrasse du bar, scrutant nerveusement autour de moi. Cinq minutes plus tard, je le vis arriver, boitant comme d’habitude du pied gauche et pas rassuré. A cet instant je ne comprenais pas ce qui m’avait pris d’accepter un rencard avec lui. Qu’est ce qu’il m’arrive ? Je devrais être avec une fille, en train de la charmer. Au lieu de cela, je m’apprête à sortir avec un mec et en plus un mec moqué et handicapé. Après une grosse hésitation et l’envie de m’enfuir en courant, je décidai de rester. Après tout, je n’étais qu’un mec banal, ni sportif ni trop gros, ni trop petit ni trop grand, qui avait envie de découvrir les joies du sexe entre mecs.

Il s’assit, me salua, très gêné. Après quelques secondes de silence, je fis l’effort de lancer la conversation sur des trucs banals. Comme sur l’app, on s’entendait bien. On discutait de tout et de rien, on avait quelques passions en commun et je sentais qu’il prenait de plus en plus d’assurance. Vu la foule autour de nous, on évitait bien sûr de parler de choses intimes. Mais je n’arrivais pas à me contrôler, j’étais en ébullition à l’intérieur de moi. Sans comprendre pourquoi, il m’excitait. Rien que de me rappeler la taille possible de son engin me faisait légèrement cambrer le bassin. J’avais déjà tenté de me mettre des doigts mais là on parlait d’autre chose. Ressaisis-toi me reprenais-je en m’imaginant plutôt dans le rôle de l’actif.

Je me demandais si finalement moi je l’attirais. A 18h15, on demanda l’addition puis on partit. Après un nouveau silence, la phrase que j’attendais retentit « ça te dit de passer chez moi ? Mes parents ne sont pas là du weekend, on peut faire du jeu vidéo ou autre… ». J’acceptai et on alla chez lui. « Et pas besoin de m’aider par rapport à mon handicap, je sais tout gérer moi-même » précisa-t-il. Je sentis beaucoup de fermeté dans ces propos, me rappelant par la même occasion qu’il n y a encore pas si longtemps, je me moquais de lui.

Une fois chez lui, je commençai à me sentir en zone d’inconfort alors que lui fut de plus en plus à l’aise, les rôles étaient inversés par rapport à d’habitude. Je découvris son appartement situé dans un quartier populaire. C’était un 4 pièces avec un grand salon. Deux chats gambadaient dans nos pattes. Il me demanda si je voulais boire, j’acceptai. Je bus une gorgée et reposa mon verre. Je commençai à lui demander à quel jeu il voulait jouer quand il s’approcha de moi par surprise et me roula une pelle aussi soudaine que délicieuse. J’étais encore assis sur ma chaise, je ne m’attendais pas à une telle prise d’initiative. La surprise passée, j’acceptai sa langue en offrande, je me levai à mon tour pour l’étreindre et je tentai de répondre avec ma langue à ses tours de palet incessants. On s’allongea sur le fauteuil familial et on se roula des galoches pendant de longues minutes. Nos deux sexes étaient au garde à vous, durs comme du béton. J’aperçus une forme à travers son pantalon et remarquai qu’il n’avait pas menti.

Au départ, j’essayais de garder le contrôle. Je suis un mec quand même, je me moquais de lui il y a encore quelques jours, il faut que je garde la face, que je mène la danse et que je sois actif, me disais-je. J’essayais donc de prendre des initiatives, de le tourner. Mais très vite je sentais qu’il était très à l’aise. Il commençait à prendre les choses en main et je le laissais de plus en plus diriger les mouvements. Il me retournait dans tous les sens, m’embrassait et me tenait comme un catcheur qui tient sa proie. Je fus surpris au début et presque gêné dans mon amour propre. Je tentai de me débattre. Mais finalement je sentais que je prenais plus de plaisir à me laisser faire. Lui à l’inverse, contrairement à ce qu’on aurait pu penser, prenait ses aises dans un rôle actif, dirigiste et dominant. Je sentais sa virilité d’homme s’affirmer malgré son corps adolescent et frêle. Il donnait vraiment l’impression d’avoir de l’expérience, il était beaucoup plus entreprenant que moi et embrassait vraiment bien.

Il me glissa à l’oreille « Je croyais que tu n’étais pas passif ? Ça m’a tout l’air du contraire. Ça tombe bien. Tu n’as pas été très sympa avec moi ces derniers temps et j’aimerais te donner une bonne leçon. Tu ne seras pas déçu. » Je fis mine de ne pas être d’accord. « Ok, alors je vais te prouver tout de suite que t’es un vrai passif ». affirma-t-il. Il ouvra sa pantalon et sortit son engin. Après une seconde d’admiration en voyant cette magnifique forme oblongue, je me penchai immédiatement vers son sexe pour commencer à le sucer avec appétit. Son sexe était comme je l’avais imaginé, 18 cm de long mais surtout pratiquement 6cm de large, un sexe de compétition qui m’a mis dans tous mes états rien qu’en le voyant, je devenais encore plus en chaleur. « Tu vois je te l’avais bien dit ». dit-il fièrement en pointant le miroir. Je me retournai et me voyais en train de lui tailler une pipe. Il rangea son sexe « pas trop vite, je sais que tu en meurs d’envie mais attends un peu ». Je finis par lancer un pathétique « je suis heureux de te connaitre », digne d’une pucelle conquise par le mâle. Ce fut un signe de victoire pour lui car j’avais définitivement accepté sa domination sur moi et une forme de soumission, j’étais à lui. Mon corps lui était offert et il pouvait en jouir comme il le voulait. Il m’avait dragué sur une appli de rencontre, m’avait fait venir chez lui, m’avait embrassé et je m’étais retrouvé avec son sexe dans ma bouche, tout cela sans que je refuse un seul instant ses avances. Et ce n’était que le début.

Après quelques jeux de corps à corps viril et quelques prises de lutte acrobatiques où je valsais dans tous les sens, il commença à m’enlever mon t-shirt, à me déboutonner le pantalon, à me glisser sa main dans l’entrejambe et le long de mes fesses. Puis il m’ordonna « désape toi entièrement ». J’obéis et enlevai le reste de mes habits. Je me retrouvais nu devant lui alors que lui était encore totalement habillé. Par acte de soumission, c’était à moi de me dévoiler le premier. Il recommença à m’embrasser et me donna des claques sur les fesses. J’avais le cul assez rebondi, bien dessiné, légèrement musclé car je faisais du football et j’avais naturellement de belles formes. « Ça m’a l’air très accueillant par ici » s’exclama-t-il en me caressant le long de la raie. J’étais de plus en plus excité et impatient de voir et de sentir son corps. J’étais pressé de pouvoir manipuler plus profondément son sexe que j’avais déjà pu goûter. Il se leva, prit ma main et m’entraina par la même occasion par terre sur le tapis. Alors qu’un mec normal aurait tout de suite réagi en se défendant et en répondant à ce geste, je ne fis rien. J’étais à lui. Je m’approchai immédiatement de son entrejambe. J’étais à genoux entièrement nu, et lui était debout, attendant que sa femelle lui fasse une gâterie. Je ne me fis pas prier pour baisser son pantalon et son boxer. Je lui lançai un regard mêlant satisfaction, envie et soumission. Il me répondit avec un petit sourire en coin et me dit « j’ai peut-être un handicap pour marcher mais comme tu le vois j’ai d’autres atouts et tu vas pouvoir en profiter ».

Je m’empressai de commencer à lécher son sexe, le branler avec ma main, j’adorais sentir ce gros cylindre dans mes mains, il était dur, innervé et on voyait les veines tendues comme jamais. Je faisais de mon mieux pour lui procurer du bonheur, comme c’était la première fois que je suçais une bite. Je tentais de reproduire les scènes que j’avais pu voir sur le net. Son sexe était si épais qu’il n’était pas facile de le mettre en bouche. Mais je me doutais qu’avec un peu d’entrainement, ce ne serait qu’un jeu d’enfant. Je commençai à exécuter des mouvements de va et vient, ma gorge se détendit progressivement et je fus désormais capable d’approfondir la chose. Je l’entendais pousser des soupirs et des gémissements, il aimait ça. La scène était encore inimaginable il y a quelques jours : moi entièrement nu, à genou en train de tailler une pipe à un mec qui était la risée du lycée, mais qui était membré comme un dieu. Même les chats dans le salon me regardaient de manière étrange, tellement je prenais du plaisir. J’aimais tout : voir son sexe rentrer dans ma bouche, l’odeur et le goût de son sexe, le bruit qu’on entendait quand je suçais et la sensation de bouche pleine quand son pénis entrait entièrement dans ma bouche. Alors que je lui léchai ses deux grosses boules avec envie, il commença à enlever ses vêtements et dévoila son corps imberbe au niveau du torse mais avec une légère pilosité au niveau des jambes et des fesses. Il était frêle, peu sportif mais pas gras. Il avait même quelques petites formes de musculature ici ou là, il semblait avoir le corps dur, comme un vrai mec. Cela augmentait encore mon niveau d’excitation.

Il plaça ses mains sur ma tête. Il voulait prendre les choses en main. Il me donna quelques bifles que je sentis passer vu la taille de l’engin et enfonça son sexe énergiquement au fond de ma gorge. il fit des mouvements de va et vient, en me serrant les cheveux. Il était en train de me défoncer la bouche et ne me laissait que de courts répits pour respirer. Il poussait des gémissements de plaisir et je ne pouvais rien faire d’autres que de le regarder, totalement pétrifié par ce pénis de classe mondiale. Je n’avais jamais imaginé que ce sexe puisse passer aussi facilement dans ma bouche. Il allait de plus en plus loin, je commençai à donner des signes de fatigue alors il arrêta un instant. « On dirait que tu as sucé des bites toute ta vie dis donc, t’aimes vraiment ça » J’acquiesçais de la tête avec un sourire qui en disait long. Alors que je récupérais encore mon souffle, il fit une deuxième fournée et il arrêta car il ne voulait pas éjaculer tout de suite. « J’en n’ai pas fini avec toi » me prévint-t-il. Il m’ordonna de me lever, me donna une bonne claque sur les fesses et me poussa vers l’avant. « Allez on va dans ma chambre, à toi l’honneur ». Je le vis dissimuler quelque-chose dans ses mains mais je ne pus déterminer ce que c’était.

Sa chambre était une chambre d’ados classique, avec des posters de films, une console de jeux, une petit TV, des étagères et un lit une place. Il y avait également un clic-clac qui faisait office de fauteuil pour la TV. Il était déjà ouvert en position lit, signe que Julien espérait bien qu’on arrive jusqu’à cette étape. Nous étions tous les deux entièrement nus, j’attendais qu’il dirige la suite des opérations. Il me poussa sur le lit avec autorité. Je savais que j’allais passer un sale quart d’heure, m’apprêtant à me faire dépuceler par une queue bien épaisse. Il me roula une pelle de réconfort, me suça la bite quelques instants ce qui me procura quelques frissons. Puis je me mis à plat-ventre sur le lit. Sa bouche arriva jusqu’à la raie de mes fesses. Il commença à me lécher l’anus, ce qui me fit pousser un cri de gémissement puis il cracha violemment sa salive dans mon trou. J’adorais la sensation de sa langue sur mon anus, cela provoquait des chatouillis et des frissons. Il commença à jouer avec ma rondelle avec un doigt. Mon anus fut un peu réticent au début mais au fur et à mesure je sentais qu’il se détendait et que la lubrification faisait son effet. Avec ces deux doigts, il réussit à atteindre ma prostate qu’il massa. J’étais déjà en chaleur mais là c’était indescriptible, j’étais complètement en extase et je me retenais à le supplier de me foutre son gros sexe tout de suite. Après quelques minutes de préparation, il enleva ses doigts et prit un flacon de gel d’aloe vera qu’il avait piqué à ses parents pour appliquer le liquide sur son sexe toujours aussi dur. Ça y est il n y avait plus d’échappatoire possible.

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