TENDRESSE D'UN MATIN...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TENDRESSE D'UN MATIN... Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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TENDRESSE D'UN MATIN...
Comme ça avait été prévu la veille, oralement par mon directeur du moment, j’avais commencé à l’aube pour travailler dans de bonne condition. Sans subir les obstacles que pourrait produire les autres employés. J’avais été chargé de vider dans son entier un bureau qui faisait jusqu’à cet instant office d’archives. Il fallait faire place nette, avait dit le directeur. Il était prévu que dans la matinée du nouveau mobilier vienne occuper le lieu. Et cela pour la plus grande joie de deux secrétaires, qui viendrait occuper l’espace une fois ce dernier apte à les recevoir.
Pour nettoyer la pièce une fois vidé, il m’avait été alloué une femme de ménage. Martine une brune sexy d’une trentaine d’années. Un visage aux traits fins, distingués, sans maquillage. Un teint hâlé, les pommettes un peu rosies. Ses cheveux, épars, lui donnaient toute sa féminité. Elle avait la trentaine. Entre nous les relations étaient bienséantes. Il m’arrivait de la réclamer pour lui faire des extras lors de mes vins d’honneur. Et pendant nos longues attentes qu’elle me parlait librement. Et moi je l’écoutais.
Les derniers dossiers en mains, Martine me passa devant avec un escabeau. J’entrevis le dessin du string sous la blouse trop courte pour être honnête. Il ne m’en fallait pas pus pour réprimer un début d’érection.
- Tu comptes faire quoi avec ça ?
- Les carreaux…
- Les carreaux ! En voilà une drôle d’idée.
- Tu diras ça à ton directeur.
- C’est lui qui ta donné cet ordre ?
- Qui donc à par lui… il m’a même dit que tu devais m’aider.
- T’aider ! Pour quoi ?
- Pour maintenir l’escabeau tiens ! Pour ne pas que je chute.
- Tu ne préfères pas mieux que je le fasse, comme ça tu pourrais d’occuper à autre chose.
- Toi ! Faire les carreaux… tu rigoles là !
- Je suis parfaitement sérieux…
- Tiens-moi l’escabeau, cela t’évitera de dire des conneries… et pour la gouverne je n’ai rien d’autre à faire…
Après avoir appliqué l’escabeau près de la fenêtre, et posé son seau et chiffon, elle montait un après l’autre les barreaux. Au quatrième elle s’arrêta et me regarda.
- Alors tu fais quoi ? Tu attends peut-être que je tombe…
Je posais les dossiers sur le sol et allais maintenir l’escabeau.
Le grand hasard c’était qu’elle n’était pas en pantalon ce matin là ! J’avais vite compris que le hasard avait bon dos. Sous sa blouse qui ne cachait pas grand-chose, elle portait un string noir en tulle. Donc transparent. Par transparence j’avais un panorama imprenable sur son intimité.
La tentation était tentante.
- Eh dis-moi !
- Oui, répondit-elle en passant l’éponge humide sur la vitre.
- Tu aurais pu de passer un pantalon…
- Ah oui ! Et pourquoi ?
- Pour m’évité de regarder en dessous…
- Plaint-toi…
- Je n’ai rein dis de la sorte…répliquais-je en grimpant sur la première marche pour glisser ma tête sous sa blouse, respirant ses odeurs. Une odeur de femme excitée se répandait et me saoulais. Je bandais déjà très fort. Ses poils frisés recouvraient la ficelle du string. Je me sentais envahie par la faiblesse habituelle. J’effleurais de mes lèvres sa cuisse. Comme elle ne réagissait pas, comme je l’avais soupçonné, j’y avais mis ma main. Lui caressant l’intérieur des cuisses. Faisant frissonner sa peau blanche laiteuse. Puis les fesses nues, puis le tissu tiède et moite, gonflé par son sexe.
Très provocatrice, elle pliait les jambes, faisant ressortir son fessier. Ce cul ample et majestueux était à ma portée
Je sentis la ficelle du string humide céder sous mes doigts, cela s’enfonçait dans une crevasse chaude et gluante. Troublé, je me mis à fouiller la chair humide à travers l’étoffe. Des mèches de poils noirs dépassaient. Elle gémissait d’une voix plaintive qui m’intrigua. Son corps s’agita, en proie à de violents soubresauts. Elle avait poussé un soupir d’aise. J’avais compris que c’était ce qu’elle désirait. Elle avait plié les genoux davantage en me tendant son fessier. Le sang montait à ma tête, j’y voyais trouble.
Je me penchais, le visage au plus près au ras des poils pour le sentir. Je dirigeais ma bouche entre ses fesses et passais ma langue sur sa fente très humide. Je la léchais méthodiquement, de bas en haut et de haut en bas. Plusieurs fois de suite avec la même lenteur. Comme si je voulais être certain de ne négliger aucun interstice, aucun repli. Les lèvres étaient brûlantes. Je plaquais ma langue dans toute sa largeur dans toute sa longueur. J’introduisais le bout de ma langue dans son puits d’amour et le remontais vers l’aspérité sensible que je titillais avec une frénésie contenue. Théoriquement, l’explosion de jouissance ne devrait pas être loin.
Le simulacre de coït engendrait les plaintes de Martine. Ma langue entrait et sortait à un rythme soutenu. Mon nez palpitait dans les poils. La vulve dégorgeait de bave que j’avalais. Je faisais des bruits obscène en aspirant et mâchouillant les chairs tendes des nymphes et les grandes lèvres. Puis en me retournant, la tête plaquait contre les marches, je lui suçais le clitoris. Comme si j’aurais tété un mamelon. Aspirant l’organe entre mes lèvres. Le mordillant, le mâchonnant, le titillant. Mais l’inconfort de ma position m’obligea d’abandonner ma caresse, pour poser l’index sur l’œillet. Je sentis la chair molle tressaillir. Le contact l’avait fait presque jouir. Un pet avait accompagné l’intromission du deuxième doigt.
- Tu aimes ? Fis-je
- Oui, c’est bon, tu m’encules bien.
Elle levait et abaissait vivement ses fesses sur mes doigts.
- Tu aimerais te faire enculer par une queue ?
- Oh oui ! Oui j’en rêve. Ça depuis que je regarde les films de cul. Mais mon mari n’est pas chaud. Il dit que ça pus.
J’avais retiré mes doigts pour son plus désarroi pour y fourrer ma langue. C’était amer. Son odeur musquée m’excitait terriblement. Je salivais tant que je le pouvais, lubrifiant le conduit. Et cela jusqu’à je puisse faire coulisser deux doigts sans encombre.
- Je vais t’enculé maintenant.
- Oui… oui… oui, je veux me faire enculer… je t’en supplie encule-moi, je jouis… je jouis…
Je continuais de lui branler le cul avec mes deux doigts, tout en lui caressant ses seins. Elle gémissait en cadence.
Alors qu’elle était toujours perchée sur l’escabeau, je guidais mon gland contre la rondelle enduite de salive. Le bout de ma queue avait écarté lentement les chairs plissées. Puis sous la pression, l’anneau lâcha d’un coup, laissant mon gland s’engouffrer dans le rectum. Formant autour une bague rosée. Je procédais avec douceur, plongeant graduellement plus avant dans l’orifice. Elle respirait bruyamment.
J’avais accentué ma pression pesant sur les reins, tandis que je creusais les miens pour m’enfoncer davantage. Elle avait poussé un cri.
- Ah, c’est bon. Ta queue me remplit. C’est comme si je faisais caca.
Les deux pieds joints sur la deuxième marche de l’escabeau, elle poussait ses fesses pour m’avaler. Faisant disparaître une bonne partie de ma queue. La tenant aux hanches, je me mis à onduler. La limant lentement pour ne pas sortir de son cul. C‘était délicieux. Après quelques oscillations, son anus dégoulinait tellement, qu’il émettait des bruits de suintements indécents. J’avais envie que cette enculade dure un peu plus longtemps. Je sentais bien mon gland se faire masser par ses parois.
Tout son corps frémissait. Elle était au bord de l’orgasme. Ses narines évasées battaient la cadence sous sa respiration saccadée.
Tout à coup, son orgasme explosa. Son corps se raidissait. Son anneau culier étranglait ma bite par des spasmes continus.
Elle s’exprimait maintenant par des cris pendant que je maintenais sa jouissance en continuant de la forer à fond. Sa jouissance décupla mes désirs érotiques. J’accélérais le mouvement de va-et-vient de mon bassin. Bientôt je fus submergé par des soubresauts annonciateurs d’une proche éjaculation. Encore quelques pompages et j’obtins la juste récompense de mon acharnement. Par de longues giclées chaudes qui s’écrasèrent je ne sais où. Je m’affalais de tout mon long sur le sol dans un ultime geste de plaisir. Alors que Martine fila jusqu’aux toilettes. À son retour elle descendit son seau, et plia l’escabeau.
- Eh… tu ne fais pas les carreaux…
- Pourquoi les ferais-je ? J’ai eu ce que je voulais… fit-elle en me faisant un clin d’œil…

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