Thé dansant, ou les surprises du sexe.

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Thé dansant, ou les surprises du sexe. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Thé dansant, ou les surprises du sexe.
Il y a plusieurs années, les thés dansants étaient une source de drague pour les femmes de 35 et plus. A cette époque il en existait un vers le haut de Champs Elysées. Lorsque j'étais en manque de sexe, je n’hésitais pas à fréquenter ce lieu. Les femmes en manque de sexe, soit mal mariées, soit à la recherche d'une aventure toute simple. Le principe était simple, rentrer s'installer au bar et de regarder autours de soi la personne avec qui on avait une chance de sortir, car qui disait sortir disait également baiser.Je l'invite pour danser un slow, justement la danse qu'il me faut pour attirer son corps contre le mien. En dansant, je lui mets les jambes entre les siennes et aussitôt je comprends qu'elle n'est pas farouche : elle frotte doucement son bas ventre contre moi. Elle me fait bander et me demande d'un air innocent si elle me plaît. Comment dire l'inverse à une femme dont la pudeur ne fait pas parti de son éducation. Nous allons nous asseoir à une table pour y consommer du thé (boisson que je n'aime pas) et surtout pour flirter un peu. Je la complimente sur son très agréable visage, sur sa chevelure... tout en parlant je lui prends une main dans la mienne et la caresse lentement. Elle se laisse faire et me regarde en souriant. Une autre danse et je l'embrasse sur la joue. Elle me répond. Je pousse l'avantage plus loin et lui baise légèrement la bouche. Elle accepte cette privauté. Je lui propose de sortir parce que mon érection est trop visible, surtout qu'elle pose la main sur mon pantalon, là où il faut.
Sortant du fameux établissement, je lui demande où elle veut qu'on aille. Elle propose chez elle. N'ayant aucune raison de me méfier, j'accepte. Nous prenons un taxi qui nous mène vers une banlieue chic. Je laisse faire et nous montons au 2° étage. Elle ouvre la porte et nous allons dans un salon meublé avec goût. Elle me fait asseoir et me propose : ou on boit quelque chose ou nous pouvons passer à une chose plus sérieuse. J'opte bien sur pour la seconde proposition.
Alors des événements imprévus arrivent. Elle commence les hostilités en me déshabillant rapidement. Une fois nu, elle me laisse un instant dit-elle, pour aller se mettre à l'aise. Elle revient complètement nue sous un châle en soie qui laisse voir tous les trésors qu'elle possède. Je bandais de plus en plus. Elle se met à me branler doucement, mais elle refuse que je lui en fasse autant. Je lui prends la taille et voudrais bien lui caresser les seins. Elle se dérobe. Je me demande à quel jeu elle joue.
Je ne me pose plus de question lorsque arrive une jeune femme qui ne doit pas avoir beaucoup plus que 18 ans : ma jeune soeur me dit-elle : elle voudrait faire l'amour mais ne sait pas comment on pratique. Je lui dis que pour pratiquer, il faut faire. Elle répond que d'abord il lui faut voir un couple en action : ce couple c'est nous. Ensuite si ce qu'elle voit lui plait, à ce moment là, nous lui ferons l'amour.
Le programme n'est pas fait pour me déplaire : j'allais baiser avec une jolie femme et je me retrouve en maître es amour. La jeune soeur nous demande s'il faut qu'elle aussi soit nue : son aînée répond que pour baiser il faut être complètement disponible pour le partenaire et pour son propre bien être.
La jeune fille enlève le peu de vêtements qu'elle porte : elle donne envie de la baiser, là, tout de suite. Mais l'aînée veille pour me prendre d'abord : elle laisse tomber son écharpe de soie pour que j'admire ce corps qui est fait pour la baise. Elle me demande de me coucher et elle se pose de façon à faire un 69 devant la cadette. Quoi qu'il en soit, je lèche ce joli con si généreusement offert et à ma vue et à ma bouche. Je lèches les grandes lèvres et pénètre un peu le vagin avec ma langue. Mais je m'attarde sur le clitoris si bon à déguster. J'en profite pour lui doigter le cul qui s'ouvre. Je ne suis pas le premier à passer par là. La soeur regarde les scènes qui se passent devant ses yeux et elle se met à se branler, pour jouir avec nous.
Nous jouissons ensemble et celle que je viens de baiser, fait goûter le sperme à la cadette en lui disant : goûte moi ça c'est délicieux. C'est vrai répond-elle. J'en goûterai tout à l'heure, lorsque mon tour viendra. Mais en attendant elle continu ses mouvement sur le clitoris, en mettant un doigt dans son con mouillé. Je ne débande pas et l'aînée revient vers moi en disant baise moi bien, j'aime jouir souvent. Je la prends là sur le tapis elle écarte les cuisses au maximum en disant à sa cadette, regarde comment on va faire. Elle me laisse la baiser pour prendre son pied presque de suite, puis elle m'enfourche pour chevaucher ma bite en accompagnant ses mouvements de légers gémissements jusqu'à son orgasme plus puissants que les premiers.
Puis elle me laisse pour que je m'occupe de l'autre qui est assise, jambes écartées le sexe offert à nos regards. Ces très excitant de voir ce con de jeune fille qui s'offre pour la première fois à la pénétration d'une pine !
Personne ne peut répondre ; lorsqu'elle demande de faire un 69 avec elle. J'obéis avec plaisir : son con a un autre goût que celui de son aînée, mais est aussi excitant, surtout la sachant vierge. Je lui met également un doigt dans le cul mais je sens une résistance : elle n'a pas l'habitude de se faire enculer. Ce n'est pas grave surtout lorsqu'elle jouit. Je commence à faiblir, mais je parviens à lui remplir la bouche de ma semence.
Je demande un répit, qui m'est accordé par la plus âgée. Elle connaît les limites des hommes et l'explique à la cadette. En effet au bout d'un moment de caresses des deux femmes, je bande fort au grand plaisir de celle que je dois déflorer. Elle se couche et écarte largement les cuisses pour que je la pénètre Lentement je pars à la recherche de son con que je trouve facilement et très lentement je m'y enfonce. Je craignais le pire, mais c'est une surprise : elle aime bien avoir une bite au con. Elle jouit vite. Je lui demande de se retourner en lui expliquant que l'enculer était ma priorité de l'instant. La soeur lui dit de se détendre complètement et surtout de ne pas se crisper. Elle obéit et enfin grâce à la mouille du con de l'aînée qui se branle en nous voyant baiser, je lui pose ma pine sur le cul et lentement comme j'ai fait pour la baiser, je lui enfonce très doucement mon membre que finalement elle accepte.
Nous sommes restée ensemble pendant au moins 4 heures. Si j'étais raplapla, elles ne l'étaient pas tellement puisque les deux filles on finit par se baiser.
Nous nous sommes revus assez souvent quelque fois pour faire l'amour seulement avec l'une ou l'autre, mais le plus souvent avec les deux.

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