The girl next door 4 - histoire érotique

The girl next door 4
Élodie est maintenant omniprésente dans ma vie. Semaine après semaine, notre complicité a grandi. J'ai aussi l'impression que je compte beaucoup pour elle. On passe de plus en plus de temps ensemble même si le principe de garantir à l'autre un espace suffisant de liberté nous a réuni d'emblée. Étonnamment, alors que cela aurait pu décupler une certaine jalousie, ce contrat tacite a augmenté ma confiance dans sa sincérité. De toute façon, ma belle voisine sera cash. Si, d'aventure, elle voulait mettre un stop à notre relation, elle le ferait sans ambiguïté d'une façon aussi naturelle que directe.

J'avoue tout de même que je suis un peu frustré quand elle voit Lola sans moi... Je sais qu'elles s'adonnent de temps en temps à quelques jeux épicés que j'aimerais de nouveau partager. Elle m'a avoué récemment que son amie me trouvait très à son goût et qu'elle n'attendait que son feu vert pour une partie à trois où Élodie la laisserait me dévorer tout cru. Comme je lui ai dit franchement que je trouvais plus que canon sa meilleure copine, le fait qu'elle hésite à provoquer une nouvelle rencontre me laisse à penser qu'elle tient vraiment à moi. On vit ainsi au gré de nos envies et, tout compte fait, ça me va très bien. Il faut dire que questions libido, ma belle blonde ne manque pas d'imagination.

La fin de notre week-end bordelais dans ce lieu magique m'avait permis de voir qu'elle ne reculait devient rien. Après cette première soirée incroyable, nous y avions expérimenté tous les deux quelques nouveaux trucs qui la tentaient et j'ai encore le souvenir de son extase lorsque la cire des bougies a coloré de rouge son corps écartelé. Personnellement, j'ai encore plus apprécié le moment où j'ai utilisé un joli martinet pour débarrasser son corps de la carapace durcie !La salle « médicale » nous a aussi beaucoup motivés et je me rappelle son plaisir alors que ses seins subissaient les tourments de petites pompes redoutables. Et que dire des caresses de ma langue sur ses mamelons gonflés après leur libération ? Humm... Un délice, et pas seulement pour moi, avant de m'occuper très sérieusement de son sexe de la même façon avec un résultat incroyable. Vulve et clitoris aspirés avaient provoqué chez ma belle soumise une série d'orgasmes qui l'avaient surprise par leur violence.

Évidemment, on avait reparlé du fouet. Elle était encore sous l'emprise de sa première expérience de la veille avec Catherine. Les traces sur son dos étaient toujours très visibles et gonflées quand je les avais caressées en lui faisant l'amour avec délectation. Après m'avoir fait l'entraver au pilori de la salle dédiée à l'éducation anglaise, Élodie avait trouvé un peu légère la punition que je lui infligeais sur les fesses en alternant différents martinets et badines. Elle m'avait alors fait entièrement confiance en me demandant de réutiliser la même lanière de cuir tressé terminée par cette pointe très fine et mordante. Bien sûr, incapable de manier l'instrument avec la même dextérité que la domina rencontrée le vendredi soir, je m'étais contenté de réduire la prise pour cingler avec précaution le cul magnifique qu'elle m'offrait dans cette position. Petit à petit, les fines marques rouges avaient fait monté mon niveau d'excitation et j'avais osé aller plus loin. Les gémissements d’Élodie s'étaient transformé en cris lorsque j'avais mobilisé une plus grande longueur de lanière. Malgré les claquements secs et la douleur évidente, elle n'avait demandé grâce qu'après qu'une bonne dizaine de coups de fouet eut zébré son fessier ainsi que de nouveau son dos. Elle n'y avait vu qu'un manque de maîtrise mais je dois reconnaître que j'avais pris un malin plaisir à le viser systématiquement pour finir.

Depuis ce petit séjour très instructif, on n'a pas arrêté de se découvrir encore un peu plus l'un l'autre avant d'arriver à la même conclusion. Entre nous deux, c'est plutôt top côté sexe ! Alors forcément, je la suis les yeux fermés même si ce qu'elle m'a proposé pour ce soir ne m'emballe pas de prime abord. Finir ce samedi dans une boîte réputée pour ses nuits libertines ne m'excite pas plus que ça. Elle a beau m'assurer qu'elle veut seulement jouer la voyeuse et qu'à aucun moment il ne sera question de batifoler avec d'autres, l'idée de côtoyer tout un tas de prédateurs ou de prédatrices qui ne manqueront pas de lorgner sur ma jolie compagne ne me réjouit guère. Mais elle avait tout prévu pour me convaincre. Lola sera de la partie !

Durant tout le début de soirée, dans un bar où nous profitons de quelques planches bien appétissantes pour diluer un peu les effets des mojitos qui se succèdent, Élodie ne cesse de surveiller sa belle copine comme pour s'assurer qu'elle ne focalise pas trop sur moi. Elles sont magnifiques toutes les deux dans des robes aussi sexy l'une que l'autre. Je fais quelques envieux, c'est certain. L'échancrure du décolleté de Lola est telle qu'il ne faut pas faire d'effort démesuré pour voir la perfection de ses deux seins. Je ne peux m'empêcher de craindre à l'avance les réactions des habitués de la boîte quand nous allons y débarquer. Mes deux jolies poulettes ne passeront pas inaperçues, c'est certain. De la chair fraîche qui ne va pas manquer d'admirateurs ! Bref, je suis plutôt tendu quand nous descendons les marches nous conduisant à la salle principale où musique et bar donnent l'impression qu'il s'agit d'un club classique. Public tout de même différent avec pas mal d'hommes seuls et une moyenne d'âge bien supérieure. Cela dit, l'ambiance est bonne et je ne note pas de comportement déplacé ou malsain. Je finis même par me dire que le lieu n'est peut-être pas aussi libertin que ce qui avait été rapporté à Élodie. Mais quand elle nous entraîne vers le fond de la salle et que nous gagnons un couloir plus sombre, je comprends que l'envers du décor est beaucoup moins sage. L'esprit change radicalement et, en avançant, nous frôlons des corps de moins en moins vêtus qui entrent et sortent de petits espaces intimistes desquels sortent des gémissements et des bruits non équivoques. Sans se lâcher d'une semelle, on passe en revue toute une faune disparate réunie par cette envie d'échanger et de partager des sensations. Élodie et Lola semblent à leur aise et je vois leurs sourires complices devant les scènes de plus en plus hot que chaque nouvelle porte nous donne à voir.

Mes deux donzelles aux anges viennent d'écarter un lourd rideau rouge qui donne accès à une nouvelle zone. Je comprends immédiatement que nous allons y passer le reste de la soirée ! Ici le BDSM est roi et sur chaque estrade aménagée des soumis et des soumises sont aux ordres de leurs maîtres... d'un soir ou d'une vie. Visiblement, les nouvelles venues sont très appréciées et comme je l'avais anticipé, les propositions à passer à l'action sont nombreuses. Mais pas de harcèlement et leur souhait de rester spectatrices est respecté malgré la déception que je peux lire sur les visages. Les scènes les plus extrêmes se succèdent. Bondages incroyables avec des suspensions dont la dimension artistique est indéniable et scènes de punitions et de flagellation sévères qui impressionnent vraiment et sont orchestrées avec brio. Je sais qu’Élodie et Lola doivent être très excitées par ce qui se déroule sous nos yeux. Stratégique, ma belle voisine a pris soin de placer son amie à sa gauche sur la banquette où nous avons pris place. Dans un angle de la pièce, un peu en retrait de la scène, notre position est idéale. Personne derrière nous, l'éclairage central nous ménage une pénombre propice à bien des jeux de mains. Car à peine assis, j'ai senti la main d’Élodie guider la mienne entre ses cuisses. J'ai l'impression que de l'autre côté ses doigts ont aussi gagné une zone chaude et humide et ce qu'elle fait subir à Lola n'a rien d'une punition. Robe également remontée bien haut sur ses cuisses, je vois que sa copine caresse les pointes érigées de ses seins sans quitter des yeux la fin d'une séance de torture d'une superbe asiatique qui me fait bander comme un âne. Je commence à apprécier d'autant plus le moment qu’Élodie vient de sortir avec son autre main mon membre érigé et qu'elle entreprend de me masturber doucement. A l'abri des regards dans notre coin sombre, je me laisse aller moi aussi, très excité par la nouveauté de la situation.

Les projecteurs du centre viennent de s'éteindre et sous les applaudissements, les deux acteurs sortent par une porte dérobée. Le noir est quasi total lorsque je sens une bouche s'emparer de mon gland. Je ferme les yeux complètement emporté par la sensation. C'est quand je sens les lèvres d’Élodie sur mes lèvres que je comprends. Elle me glisse à l'oreille qu'elle a donné l'autorisation à Lola qui en mourrait d'envie. Yeux mi-clos, je profite de ce moment exceptionnel étonné par la dextérité de la langue de Lola qui fait monter irrésistiblement mon plaisir. Je fais durer et me retiens de jouir en répondant avec fougue aux baisers profonds de ma belle blonde. La lumière crue qui inonde à nouveau le centre de la pièce nous surprend sans pour autant stopper Lola dans son œuvre.

Élodie et moi, toujours étroitement serrés l'un contre l'autre, regardons à nouveau ce qui est train de se dérouler sur l'estrade. Trois hommes nus et forts beaux portant des masques entourent une femme cagoulée dont le corps est entièrement masqué par une longue cape fermée sur le devant. L'un d'entre-eux tient une longue cravache et il guide l'esclave tenue en laisse vers le centre. La silhouette de cette soumise se paraît familière mais cette impression fugace cède vite la place à la curiosité. Que vont-ils lui faire subir ? J'ai mon idée. Bingo ! Sous le contrôle de celui qui vient de forcer la femme à se positionner à quatre pattes en distribuant quelques coups de cravaches, les deux autres exhibent deux énormes sexes durs et se placent devant et derrière la soumise. L'orifice laissé par la cagoule est mis à profit aussitôt par l'un des deux hardeurs tandis que l'autre écarte les pans de la cape pour dévoiler un très beau cul. De nouveau, une sensation étrange me saisit sans que je n'en comprenne encore l'origine. Et puis le travail appliqué de Lola porte ses fruits. J'explose dans sa bouche au moment où le deuxième sexe pénètre brutalement la jeune femme exposée en lui faisant pousser un gémissement puissant.

Cette voix ! Putain mais je la connais ! Non c'est impossible, pas elle ! Lola qui s'est relevée reste interrogative tout comme Élodie en voyant ma réaction et j'ai un mal fou à me reprendre pour ne rien montrer de mon trouble. Je les serre toutes les deux très forts. Complètement déstabilisé, je regarde avec elles la fin de la scène. La femme que nous venons de voir se faire littéralement défoncer et visiblement y prendre beaucoup de plaisir est bien mon ex ! Aucun doute maintenant que celui qui joue le rôle du maître la présente à l'assemblée après l'avoir débarrassée de son accoutrement. Je n'en crois pas mes yeux en voyant sur ces fesses et son dos des marques récentes de cravache ou de fouet lorsqu'ils s'éclipsent vers les coulisses. C'est donc ça que je n'avais pas compris ! Mes bras étreignent encore un peu plus mes deux compagnes du soir et d'un commun accord nous quittons le lieu à l'annonce de la fin des démonstrations. Je n'ai aucune envie de la croiser. Et puis, je sens l'impatience de ma jolie blonde.

Le trajet de retour est court. Je suis étonné qu’Élodie ne dépose pas Lola chez elle mais je ne pose aucune question. Deuxième surprise en voyant la copine monter jusqu'à l'appartement. Je m'attends à être cordialement invité à rejoindre le mien. Je m'y étais préparé en voyant la tournure de cette fin de nuit. Mais non, on se retrouve tous les trois autour de la table basse du salon avec un dernier verre en main. J'ai toujours l'image de mon ex dans la tête. Mais aucun regret. Ce que je vis avec Élodie est beaucoup plus fort et je sais que c'est avec elle que je veux continuer. Juste le sentiment d'être complètement passé au travers avec celle qui a partagé ma vie il y a quelques mois. Je n'avais absolument rien capté de ses envies d'humiliation. Mais ce soir, Lola est là, juste à côté de nous. Une étape a été franchie avec cette fellation si agréable .

Quand Élodie se penche pour murmurer quelque chose à l'oreille de son amie, je comprends que notre soirée n'est pas terminée … loin de là.


( à suivre)