Theresa et Zoé
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2014 dans la catégorie Plus on est
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Theresa et Zoé
Lorsque j’ai connu ma femme Teresa j’ai eu un immense bonheur quand elle a accepté de baiser. Je n’étais pas le premier loin de là. Sa vie avait été très agitée, elle avait baisé avec tout ce qui porte pantalon et jupe. Mais j’étais le premier aussi frénétique: je la baisais dès que j’avais un moment. Elle était devenue ma drogue. Je suis devenu la sienne rapidement. Un soir en allant chez elle, je la surprenais avec un exemplaire du Kama Soutra: elle cherchait de son coté des idées pour améliorer encore nos étreintes. Elle a voulu essayer une des positions que nous n’avons pas réussi à faire, n’étant pas assez souples l’un et l’autre. Nous nous sommes rabattus sur une positions plus confortable: elle avait ses jambes sur mes épaules une main sur son bouton qu’elle caressait et ma bite dans son cul. Nous avons joui comme des dingues ce soir là.
Quand je lui ai demandé sa main, elle me l’a accordée aussitôt, je dirai même avec soulagement. Nous étions prêts pour la grande aventure de la vie commune. Nous sommes partis en voyage de noce sous les tropiques. Je louais une voitures pour être libres. Il faisait chaud, donc elle s’habillait léger, très léger même: aucun sous vêtement. Le vent soulevait souvent sa légère robe et je pouvais voir juste au dessus de ses cuisses son sexe qui tentait ma main.
Dès que je trouvais un endroit un peu à l’abri j’arrêtais la voiture, elle ouvrait la portière de son coté, se tournait vers l’extérieur, une jambe dans l’auto, l’autre pendante. Bien sur je venais toujours près d’elle. Sa position me permettait de la prendre comme j’en avais envie ou comme elle le désirait. Souvent nous nous contentions de ma langue sur sa chatte. Quel bon gout que sa cyprine surchauffée. Lorsque je la léchais elle aimait se caresser les seins: ma position ne le permettait pas de le faire. Elle prenait mon dard dabs sa bouche et me suçait pour déguster ma semence. Quelques fois elle me demandait de la lui mettre dans la chatte. Je venais près d’elle: ma bite prise dans sa main, elle la mettait à l’entrée de son con. Je n’avais plus qu’à la baiser.
Quelques fois elle me guidait vers son anus. Elle s’avançait sur le siège pour qu’elle puisse me recevoir. Son cul était agréable et désirable depuis que je la connaissais. Pour moi, il l’était encore plus. Pendant la sodomie, elle se laissait aller en arrière: elle pouvait ainsi se branler devant moi.
Nous aurions pu rester chez nous: nous ne connaissons pas grand chose de notre séjour, sauf l’amour que nous faisions en priorité. Un ou deux ans ont passé: un soir elle me faisait part d’un fantasme: elle aimerai que nous baisions en trio. Elle l’avais déjà fait bien avant moi et brusquement quelque chose dans son bas ventre le lui demandait. Quand Theresa le demande en général il l’obtient. Si je la tiens par le sexe, elle fait pareil avec moi. Après tout je ne risquais pas grand-chose, sinon de passer d’agréables moments. En cherchant sur internet, nous sommes tombés sur un site où nous avons pu trouvé un homme qui semblait convenir et une jeune femme également. Nous avons rencontré l’homme. L’effet était déplorable, douteux, surtout tenté pas une bonne partie de jambes en l’air.
Le femme était belle, sexy et surtout pas bégueule. Elle ne cherchait qu’une seule chose, baiser avec un couple autant de fois que possible, et même si nous le voulions rester avec nous quelques jours d’amour fous à trois;
Je laissais choisir Theresa: c’était pour elle.
O.K. pour la fille. Et O.K. pour ce soir: Silence embarrassé de la fille, elle n’avait pas de change sur elle.
- Ne t’en fait pas, je te passerai ce qui te faut.
- C’est gentil, je ne suis pas fauché, on pourrai peut-être s’arrêter dans un magasin de vêtements.
- Bonne idée. J’irais avec toi.
Je n’ai pas eu mon mot à dire. Je conduits ses dames en centre ville. Elle descendent dans un magasin de luxe. Je reste dans la voiture et j’attend presque une heure. Je sais que les femmes sont longues mais à ce point !
Quand elle reviennent, Theresa me dit qu’elles ont acheté diverses choses et incidemment qu’elle se sont embrassées et baisées dans la cabine d’essayage:
- Tu comprends, elle ne s’en sortait pas et m’a demandé de venir voir de que son nouveau slip faisait sur elle. Je l’ai vue quand elle se mettait toute nue. Elle s’est approchée de moi, m’a embrassé. Je n’ai pas pu résister à son baiser. J’ai commencé à la branler, elle a joui et m’a rendu le tout. Telle que tu me vois, je viens de jouir des mains de Zoé.
Et Zoé ajoute;
- Je ne sais toi, mais elle branle bien les filles.
Je ne sais que répondre, alors je me tais. Je ne parle qu’arriver chez nous.
- Ainsi vous vous branlez sans moi ? Je vais vous montrer ce que je sais faire.
Je me doute bien que Zoé sous sa jupe est nue. Alors je suis contre les deux femmes, passe ma main sous les robes pour arriver à leur cachette. Je ne cherche pas longtemps le clitoris de Theresa, je ne cherche guère plus longtemps celui de Zoé. En cadence mes mains leur caressent les clitoris. Je n’arrête que quand elles jouissent toutes les deux, Zoé avec un poil de retard sur Theresa.
Maintenant j’embrasse Zoé. Sa langue me parait fraiche, en tout cas elle s’entend bien avec la mienne. Theresa passe derrière Zoé pour lui prendre la poitrine en main. La voir faire se simple geste m’excite: je commence à bander. Zoé le sent bien, elle essaie de sortir ma pine. C’est difficile avec le pantalon que je porte
- Déshabille toi me demande Theresa.
Pourquoi pas après tout, maintenant ou un peu plus tard !
Sans gêne je me trouve la queue bien droite à la vue des deux femmes. La première s’en sert souvent la deuxième la voit pour la première fois. Elle veut la prendre en main: pas question je suis nu, aux autres d’être dans la même tenue que moi. Je découvre le corps de Zoé: Theresa a eu raison de la branler et de se faire branler par ce corps splendide.
J’ai envie de lui embrasser les tétons et son bas ventre. Quant à son cul, le peu que j’en ai vue de donne envie d’y loger ma bite.
Les deux femmes me donne l’impression de vouloir baiser seules. Elles se touchent trop les chattes pour que je me trompe. Elles vont s’assoir sur le divan et chacune branle l’autre. Je bande encore plus quand je vois la main d’une sur le sexe de l’autre. Elles semblent assumer parfaitement leur libido ainsi. Je me met devant elle pour être bien vu, je prend ma bite dans ma main droite et je me masturbe. Zoé m’arrête; elle remplace ma main par une des siennes: elle me branle comme une fille qui n’a jamais fait que ça de sa vie. Theresa regarde la main de Zoé en me disant
- Profite, mon salaud, profite de cette mains, regarde ce que me fait l’autre, elle me fait jouir.
- Jouis ma pute, en attendant Zoé va me faire gicler sur toi.
- Taisez vous bande de cocus: je vous trompe tous les deux à la fois, c’est bon pour moi de faire ça; tout à l’heure je me ferai mettre par cette queue là où j’ai envie, dans le cul.
- Je te la mettrai où je voudrai, peut être dans le cul ou ailleurs
- S’il te la mets ailleurs je te mettrai mes doigts dans le cul, ajoute Theresa.
Nous sommes réellement amoraux. Zoé accélère ses vas et vient et comme prévu je gicle sur le corps de Theresa qui aurait bien voulue l’avoir dans la bouche.
Les deux filles sont libres pour faire ce qui leur plait maintenant que j’ai déchargé. Elle en profitent pour se mettre en 69 d’abord et après un premier orgasme, sur la demande de Theresa, qui se souvient parfaitement des façons qu’elles pratiquait elle se mettent con contre con. En le voyant se frotter ainsi les parties génitales en les appuyant bien je bande à nouveau.
Quand elles arrêtent je tient parole, je vais vers Zoé pour l’enculer: j’y tient trop, son cul m’attire toujours autant. Je la fait mettre à genoux devant le divan, le buste penché. Theresa se met les fesses sur le haut du siège. Je m’agenouille derrière Zoé. Elle se mouille elle-même le cul. Je pose ma bite sur son petit trou. Un petit trou qui n’en est pas à sa première sodomie. J’entre lentement dans son anus: elle tend ses fesses vers moi. Je peux la lui mettre au fond. Je ne veux pas laisser Theresa seule à nous regarder; elle écarte bien ses jambes, je peux, en me penchant à peine poser ma langue sur sa chatte. J’y retrouve le gout de la salive de Zoé.
J’ai une position intéressante, ma langue dans le con de ma femme et ma bite dans le cul de Zoé. Eros fait bien les choses: Zoé jouit la première, je sors de son cul. Theresa descend se couche sur le divan, prend ma bite dans la bouche. Je vais sur elle et nous jouissons pendant notre 69.
Quand je lui ai demandé sa main, elle me l’a accordée aussitôt, je dirai même avec soulagement. Nous étions prêts pour la grande aventure de la vie commune. Nous sommes partis en voyage de noce sous les tropiques. Je louais une voitures pour être libres. Il faisait chaud, donc elle s’habillait léger, très léger même: aucun sous vêtement. Le vent soulevait souvent sa légère robe et je pouvais voir juste au dessus de ses cuisses son sexe qui tentait ma main.
Dès que je trouvais un endroit un peu à l’abri j’arrêtais la voiture, elle ouvrait la portière de son coté, se tournait vers l’extérieur, une jambe dans l’auto, l’autre pendante. Bien sur je venais toujours près d’elle. Sa position me permettait de la prendre comme j’en avais envie ou comme elle le désirait. Souvent nous nous contentions de ma langue sur sa chatte. Quel bon gout que sa cyprine surchauffée. Lorsque je la léchais elle aimait se caresser les seins: ma position ne le permettait pas de le faire. Elle prenait mon dard dabs sa bouche et me suçait pour déguster ma semence. Quelques fois elle me demandait de la lui mettre dans la chatte. Je venais près d’elle: ma bite prise dans sa main, elle la mettait à l’entrée de son con. Je n’avais plus qu’à la baiser.
Quelques fois elle me guidait vers son anus. Elle s’avançait sur le siège pour qu’elle puisse me recevoir. Son cul était agréable et désirable depuis que je la connaissais. Pour moi, il l’était encore plus. Pendant la sodomie, elle se laissait aller en arrière: elle pouvait ainsi se branler devant moi.
Nous aurions pu rester chez nous: nous ne connaissons pas grand chose de notre séjour, sauf l’amour que nous faisions en priorité. Un ou deux ans ont passé: un soir elle me faisait part d’un fantasme: elle aimerai que nous baisions en trio. Elle l’avais déjà fait bien avant moi et brusquement quelque chose dans son bas ventre le lui demandait. Quand Theresa le demande en général il l’obtient. Si je la tiens par le sexe, elle fait pareil avec moi. Après tout je ne risquais pas grand-chose, sinon de passer d’agréables moments. En cherchant sur internet, nous sommes tombés sur un site où nous avons pu trouvé un homme qui semblait convenir et une jeune femme également. Nous avons rencontré l’homme. L’effet était déplorable, douteux, surtout tenté pas une bonne partie de jambes en l’air.
Le femme était belle, sexy et surtout pas bégueule. Elle ne cherchait qu’une seule chose, baiser avec un couple autant de fois que possible, et même si nous le voulions rester avec nous quelques jours d’amour fous à trois;
Je laissais choisir Theresa: c’était pour elle.
O.K. pour la fille. Et O.K. pour ce soir: Silence embarrassé de la fille, elle n’avait pas de change sur elle.
- Ne t’en fait pas, je te passerai ce qui te faut.
- C’est gentil, je ne suis pas fauché, on pourrai peut-être s’arrêter dans un magasin de vêtements.
- Bonne idée. J’irais avec toi.
Je n’ai pas eu mon mot à dire. Je conduits ses dames en centre ville. Elle descendent dans un magasin de luxe. Je reste dans la voiture et j’attend presque une heure. Je sais que les femmes sont longues mais à ce point !
Quand elle reviennent, Theresa me dit qu’elles ont acheté diverses choses et incidemment qu’elle se sont embrassées et baisées dans la cabine d’essayage:
- Tu comprends, elle ne s’en sortait pas et m’a demandé de venir voir de que son nouveau slip faisait sur elle. Je l’ai vue quand elle se mettait toute nue. Elle s’est approchée de moi, m’a embrassé. Je n’ai pas pu résister à son baiser. J’ai commencé à la branler, elle a joui et m’a rendu le tout. Telle que tu me vois, je viens de jouir des mains de Zoé.
Et Zoé ajoute;
- Je ne sais toi, mais elle branle bien les filles.
Je ne sais que répondre, alors je me tais. Je ne parle qu’arriver chez nous.
- Ainsi vous vous branlez sans moi ? Je vais vous montrer ce que je sais faire.
Je me doute bien que Zoé sous sa jupe est nue. Alors je suis contre les deux femmes, passe ma main sous les robes pour arriver à leur cachette. Je ne cherche pas longtemps le clitoris de Theresa, je ne cherche guère plus longtemps celui de Zoé. En cadence mes mains leur caressent les clitoris. Je n’arrête que quand elles jouissent toutes les deux, Zoé avec un poil de retard sur Theresa.
Maintenant j’embrasse Zoé. Sa langue me parait fraiche, en tout cas elle s’entend bien avec la mienne. Theresa passe derrière Zoé pour lui prendre la poitrine en main. La voir faire se simple geste m’excite: je commence à bander. Zoé le sent bien, elle essaie de sortir ma pine. C’est difficile avec le pantalon que je porte
- Déshabille toi me demande Theresa.
Pourquoi pas après tout, maintenant ou un peu plus tard !
Sans gêne je me trouve la queue bien droite à la vue des deux femmes. La première s’en sert souvent la deuxième la voit pour la première fois. Elle veut la prendre en main: pas question je suis nu, aux autres d’être dans la même tenue que moi. Je découvre le corps de Zoé: Theresa a eu raison de la branler et de se faire branler par ce corps splendide.
J’ai envie de lui embrasser les tétons et son bas ventre. Quant à son cul, le peu que j’en ai vue de donne envie d’y loger ma bite.
Les deux femmes me donne l’impression de vouloir baiser seules. Elles se touchent trop les chattes pour que je me trompe. Elles vont s’assoir sur le divan et chacune branle l’autre. Je bande encore plus quand je vois la main d’une sur le sexe de l’autre. Elles semblent assumer parfaitement leur libido ainsi. Je me met devant elle pour être bien vu, je prend ma bite dans ma main droite et je me masturbe. Zoé m’arrête; elle remplace ma main par une des siennes: elle me branle comme une fille qui n’a jamais fait que ça de sa vie. Theresa regarde la main de Zoé en me disant
- Profite, mon salaud, profite de cette mains, regarde ce que me fait l’autre, elle me fait jouir.
- Jouis ma pute, en attendant Zoé va me faire gicler sur toi.
- Taisez vous bande de cocus: je vous trompe tous les deux à la fois, c’est bon pour moi de faire ça; tout à l’heure je me ferai mettre par cette queue là où j’ai envie, dans le cul.
- Je te la mettrai où je voudrai, peut être dans le cul ou ailleurs
- S’il te la mets ailleurs je te mettrai mes doigts dans le cul, ajoute Theresa.
Nous sommes réellement amoraux. Zoé accélère ses vas et vient et comme prévu je gicle sur le corps de Theresa qui aurait bien voulue l’avoir dans la bouche.
Les deux filles sont libres pour faire ce qui leur plait maintenant que j’ai déchargé. Elle en profitent pour se mettre en 69 d’abord et après un premier orgasme, sur la demande de Theresa, qui se souvient parfaitement des façons qu’elles pratiquait elle se mettent con contre con. En le voyant se frotter ainsi les parties génitales en les appuyant bien je bande à nouveau.
Quand elles arrêtent je tient parole, je vais vers Zoé pour l’enculer: j’y tient trop, son cul m’attire toujours autant. Je la fait mettre à genoux devant le divan, le buste penché. Theresa se met les fesses sur le haut du siège. Je m’agenouille derrière Zoé. Elle se mouille elle-même le cul. Je pose ma bite sur son petit trou. Un petit trou qui n’en est pas à sa première sodomie. J’entre lentement dans son anus: elle tend ses fesses vers moi. Je peux la lui mettre au fond. Je ne veux pas laisser Theresa seule à nous regarder; elle écarte bien ses jambes, je peux, en me penchant à peine poser ma langue sur sa chatte. J’y retrouve le gout de la salive de Zoé.
J’ai une position intéressante, ma langue dans le con de ma femme et ma bite dans le cul de Zoé. Eros fait bien les choses: Zoé jouit la première, je sors de son cul. Theresa descend se couche sur le divan, prend ma bite dans la bouche. Je vais sur elle et nous jouissons pendant notre 69.
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