Titre de l'histoire érotique : Cathy en vacances à la réunion
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Cathy en vacances à la réunion
POUR TED QUI SE RECONNAÎTRA
Je m'appelle Alain et ma femme Cathy, aimant beaucoup, voyager nous fréquentons souvent les salons dédiés aux voyages.
Dans ses salons nous jouons à tous les jeux proposés par les exposants, pour le plaisir de jouer car nous n'avons jamais eu beaucoup de chance. Fin 2014 la chance nous a souri et nous avons gagné un séjour de rêve sur l’ile de la Réunion. Le seul point négatif nous devons partir entre février et mars la période la plus chaude et la plus instable au niveau climat.
Fin février 2015 nous laissons la grisaille et le froid pour 10 jours de chaleurs et de farniente.
Le 747 d’air France est à moitié rempli, ce qui nous permet d’avoir une rangée de sièges que pour nous et personne à proximité.
Et nous voilà parti pour 11h de vol, de nuit, nous serons tout frais demain sous le soleil et au chaud.
Après le repas les lumières s’éteignent progressivement, l’avion est calme bercé par le ronflement des moteurs.
Cathy dort dans mes bras, j’ai les mains posées sur son ventre, je n’arrive pas à dormir. Il me semble entendre des soupirs, quelques sièges devant nous. Un couple est en train de se faire du bien. Ça me donne des idées, il n’y a personne vers nous, nous sommes sous une couverture. Doucement je remonte les bras vers sa poitrine, tout en déboutonnant son chemisier, qui s’ouvre, je lui caresse le ventre, les seins à travers le soutien-gorge. Elle ne bouge pas, mais je sais qu’elle apprécie. Puis ma main redescend, j’effleure son ventre, continue vers son pubis, puis l’entre cuisses, et je remonte. Après plusieurs passages, je défais délicatement la ceinture du jean, les boutons de la braguette. Ma main écarte le pantalon, toujours aucune réaction de ma femme qui se laisse faire.
Mes doigts lui frôlent le pubis à travers sa culotte, à chaque passage, je presse un peu plus fort. Mon pouce passe sous le léger tissu, remonte et descend le long des grandes lèvres, avant de s’enfoncer dans son sexe très humide.
A ce moment Cathy réagit, elle se relève un peu, sa bouche s’approche de mon oreille et elle me dit : salaud tu m’as réveillé, et maintenant j’ai envie de jouir alors branle moi.
Mon pouce ressort, vient titiller le clitoris, redescend, mais à ce moment-là je la pénètre avec le majeur et l’index. Elle soupir, m’offre son ventre en se cambrant, je sens qu’elle est de plus en plus humide. Je vais de plus en plus vite, mes doigts rentrent et sortent avec force. Avec sa main gauche, elle se branle le clitoris. Je vois son plaisir monter, sa main va de plus ne plus vite, son ventre se colle, à mes doigts de plus ne plus inondés de mouille. Elle respire de plus en plus fort, soupir.sa tête se tourne vers moi, et sa bouche se soude à la mienne, dans un baiser fougueux qui couvre ses gémissements, elle jouit en faisant des petits soubresauts. Elle se calme soudainement nos lèvres se séparent, elle me dit merci, et nous nous endormons pour la fin du vol.
Nous arrivons à St Denis, en pleine forme, prêt à affronter ces 10 jours de vacances avec courage.
L’hôtel a bien fait les choses ils nous ont envoyé un chauffeur. Il s’appelle TED, 175, 80kg, cheveux court, bien bâtit. sur le chemin de l’hôtel il nous parle de son ile (la Réunion), de sa vie, il est ouvrier, et pendant son temps libre il est chauffeur pour l’hôtel. En nous laissant à la réception, il nous laisse sa carte en nous disant qu’il fait aussi le guide, que l’on peut l’appeler il nous emmènera dans des endroits peu fréquentés par les touristes. Il nous dit ça en regardant avec insistance ma Cathy qui apparemment, ne le laisse pas indifférent.
Les deux premiers jours farniente complet, repos autour de la piscine ou sur la plage, sur des transats. Un peu de lecture, des longueurs, des assoupissements, même pas un câlin, repos complet
Le deuxième soir, nous nous couchons vers 23h, mais il fait chaud, je n’arrive pas à dormir, je tourne me retourne
Cathy : toi non plus tu n’arrives pas à dormir ?
Moi : non trop chaud
Cathy : pareil
Moi : on va boire un mojito au bar de la plage
Cathy : toi tu veux me saouler pour abuser de moi sur la plage
Moi : j n’y avais pas pensé, mais maintenant que tu le dis
Et en rigolant nous nous levons, nous nous habillons légèrement, elle juste une robe fine à moitié transparente est courte et moi chemisette et bermuda.
Au bar presque vide, une jolie métis d’environ 25 ans, aux formes de déesse, nous accueil, et nous installe dans un petit coin sur un canapé bien confortable. Nous prenons nos mojitos, collé l’un contre l’autre.
Je n’arrête pas de maté Maéva la barmaid, en me disant qu’elle doit être bonne sa peau doit être douce, je commence à bander.
Moi : tu viens on va marcher un peu
Cathy : c’est la petite jeune qui te donne des idées vieux cochon
Moi : du tout j’ai besoin de marcher
Cathy (en souriant) : tu vas avoir du mal avec la trique que tu as
Nous marchons en silence, enlacés, ma main lui caresse le dos, les fesses, remonte, puis redescend passe sous la jupe, elle ne dit rien, sa peau est douce, mon doigt longe sa raie, et essaie de pénétrer son petit trou.
Cathy (en se dégageant un peu) arrête si on nous voyait
Moi : mais il n’y a personne, et puis même, si un couple vient sur la plage à cette heure c’est pour baiser, pas pour faire une belote.
Elle me prend par la main me ramène vers le bar, à 100 mètres du bar, elle s’arrête, enlève sa robe, se met à quatre pattes en me disant : baises moi comme une chienne..
Je me mets nu, en une seconde je bande comme un fou, elle a la tète posée sur ses bras les fesses en l’air, légèrement écartées, je la pénètre d’un coup, elle soupir,
Cathy : vas doucement
Je la tiens par la taille, et le plus doucement possible je vais et je viens dans son sexe très humide, je sors jusqu’au gland lentement et je la pénètre jusqu’à la garde de plus en plus brutalement.
Je l’entends respirer de plus en plus fort, je sens ses fesses venir à ma rencontre je vais vite de plus ne plus fort. Nous sommes en sueur, elle se mord le bras pour ne pas crier son plaisir, je vais jouir.
Elle se relève sur les mains et se cambre encore plus, elle est collée à moi
Cathy (dans un soupir) vas y jouis avec moi
Dans un dernier sursaut j’éjacule à longs jets dans son ventre, pendant qu’elle exprime son orgasme dans un ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii de plaisir.
Nous restons allongés quelques instants pour reprendre nos esprits, nous nous rhabillons et rentrons. En passant devant le bar, nous croisons TED qui discute avec MAEVA .
TED : bonsoir les amoureux, c’est vous qui faites tout ce bruit ?
Moi (en souriant) : il n’y a pas que nous sur la plage
TED : (en regardant Cathy avec envie) peut-être mais je sais reconnaitre une femme qui vient de jouir en faisant l’amour
Cathy (toute rouge) : et c’est comment une femme une femme qui vient de prendre son pied en baisant ?
TED (avec un grand sourire) : comme toi en ce moment ma belle, toute ébouriffée, les joues rouges, les yeux brillants de désir, (puis se tournant vers moi), tu as une très jolie femme qui me donne plein d’envies de sexe (se retournant vers elle), si un jour tu veux m’essayer ce sera avec plaisir, surtout que j’ai largement te contenter ma belle.
Et dans un éclat de rire, il descend son bermuda et nous expose son sexe, qui est d’une taille bien au-dessus de la moyenne, il doit bien faire 25 cm x 5cm en érection.
Nous lui disons bien poliment que son offre est sympa mais que nous ne sommes pas intéressés
Cathy (une foi dans la chambre) : il est fou ce mec
Moi : mais non, il essaie et il a raison. Il sait que les gens en vacances ont une sexualité débridée, il nous a entendu faire l’amour sur la plage, il nous a peut-être même maté
Cathy : non ? tu crois qu’il m’a vu à quatre pattes ?
Moi : sans doute, et alors on n’a rien fait de mal, et si ça lui a fait du bien et bien tant mieux
Maintenant au lit, et ne fantasme sur sa bite
Cathy : (un peu rêveuse) c’est vrai qu’il est bien monté. Et toi ne rêve pas à la petite Maëva, qui doit être en train de se faire limer par la grosse queue de TED.
Après plusieurs jours à l’hôtel à ne rien faire juste bronzer sur la plage, faire l'amour, et dormir, nous décidons de partir en ballade pour découvrir les beautés de l’île
Cathy refusant que nous fassions appel à TED, nous demandons à la réception de l'hôtel qui nous recommande une jeune femme guide, elle se prénomme Ombline, elle a un très beau visage avec de grands yeux noirs, elle est souriante, elle est vêtue d'une robe très courte moulante mettant en valeur ses formes généreuses, sa peau café au lait paraît douce et soyeuse.
Abord de son 4x4 nous partons pour les cascades du MANIQUET. Après une heure de route dans la montagne nous laissons la voiture et à pied nous continuons notre chemin à travers la forêt du Grand Brulé, le sentier est bordé de goyaviers. Au bout de 20 minutes nous débouchons sur un bassin d’une eau couleur verte, alimentée par une cascade tourbillonnante.
L’endroit et splendide, calme, nous sommes seuls. La marche m’a donné chaud, et je suis attirée par cette eau claire.
Moi : Ombline ? on peut se baigner, ce n’est pas dangereux,
Ombline : du tout, d’ailleurs tu as raison, je vais faire trempette
Et sans gène elle se met nue et plonge dans le bassin.
Moi (a Cathy) : tu viens on y va
Cathy : pourquoi pas
Et à notre tour nous rentrons dans l’eau fraiche. Nous nageons un peu, Cathy se rapproche de moi, j’ai pied et je suis adossé à un rocher, elle se pend à mon cou et frotte son corps contre le mien, mes mains sur ses hanches
Cathy (à mon oreille) : j’aimerais que tu me caresses
Moi : mais il y a Ombeline
Cathy : je sais c’est bien ça qui m’embête
Moi : elle se rapproche de nous
Ombeline s’est arrêtée à 50 cm de nous, elle a un grand sourire
Ombeline : alors les amoureux, c’est un endroit idyllique pour s’aimer.
Nous : oui c’est certain
Elle se rapproche lentement, elle regarde Cathy intensément droit dans les eux, comme si elle voulait l’hypnotiser, toujours avec son grand sourire.
Cathy est figée, je les observe. Maintenant Ombline est si près que ses seins touchent le bras de ma femme.
Le temps s’arrête. Cathy se colle contre moi, son dos contre ma poitrine, assise sur ma jambe droite que j’ai relevé pour mieux la soutenir, mes bras passés sous ses aisselles, je lui caresse délicatement les seins. Je suis le spectateur d’une scène que je n’aurais jamais cru possible. Ombline est maintenant tout près, je sens Cathy sursauter quand la jeune femme, commence à lui caresser le sexe délicatement.
Cathy : (en tournant la tête vers moi) : je ne peux pas laisser faire ça
Moi (en la couvrant de baisers) : laisses toi aller tu vas adorer
Elle appuie sa nuque son mon épaule, les yeux fermés, sans les voir, j’imagine les doigts de notre accompagnatrice qui vont et viennent sur la chatte de ma femme. Je sens les cuisses s’ouvrirent, le bassin aller à la rencontre de cette main experte, les yeux fermés, les lèvres entre ouverte elle respire plus vite. Je la tiens par les seins dont les bouts sont durcis de plaisir. Elle gémit quand deux doigts prennent possession de son vagin en feu. Ombline sans ralentir le mouvement la sentant au bord de la jouissance, pose ses lèvres sur les siennes, la langue de Cathy apparait et vient chercher celle de la jeune femme, elles se lèchent se mélangent. Dans un orgasme fulgurant mon amour enlace sa maitresse et la serre contre elle jusqu’à la fin de son plaisir.
Personne ne bouge, après une trentaine de secondes, Cathy ouvre les yeux, desserre son étreinte.
La jeune femme se recule avec un grand sourire
Ombline : ça va ? tu as aimé ? c’était la première fois avec une femme
Cathy : oui oui et oui fantastique
Les deux femmes partent en nageant et en rigolant, et moi je les suis avec ma trique entre les jambes .
De retour à la voiture notre chauffeur nous dit d’un air coquin
Après toutes ces émotions je vous emmène dans un petit bar boire un petit rhum local, qui rend les femmes amoureuses et les hommes plus endurants.
Après 20 minutes d’une piste chaotique, au milieu de la forêt nous débouchons dans une clairière, au milieu de laquelle est plantée 2 cabanes en bois. Devant la première qui fait bar quelques chaises, mais aussi 2 fauteuils, qui ont l’air bien confortable. La deuxième bicoque est l’atelier d’où sortent 2 jeunes hommes quand nous arrivons.
Ombline fait les présentations en créole et certainement un peu plus car les deux gaillards regardent avec insistance les formes de ma femme.
A peine installé un verre de potion magique dans la main que TED et Maeva arrivent
Ted : bonjour les amoureux
Cathy (un peu gênée) salut
Moi (en matant) bonjour Maeva, vous venez prendre un verre avec nous
Cathy me fusille du regard, alors que je bois d’une traite mon premier verre d’alcool.
Nos 2 invités se joignent à nous, Ombline a disparu, la conversation, va bon train, après 3 ou 4 verres je me sens d’humeur câline, et je commence à caresser la cuisse de Maéva qui se trouve juste à ma gauche, elle se laisse faire et écarte même légèrement les jambes, en guise d’invitation.
TED c’est très fortement rapproché de ma femme, qui reste relativement lucide malgré l’alcool, et qui peine à repousser les mains baladeuses.
Tout à coup elle se lève et dit qu’elle doit se rafraîchir, comme par enchantement Ombline réapparait et se propose de l’accompagner.
A peine sont-elles disparues derrière la cabane, que Maeva se met à genou devant moi, défait ma bermuda sort ma bite déjà très bandée et me prend dans sa bouche. Je ferme les yeux je savoure cette pipe. Je lui dis dans un instant de lucidité que ma femme risque de revenir d’un instant à l’autre. Elle se relève, enlève sa robe et en s’empalant sur mon sexe tendu elle me dit qu’elle ne va pas revenir de si tôt. Je caresse se corps si doux, ma bite est dans un écrin humide et chaud. Elle bouge le bassin, elle me fait l’amour, quand ses lèvres se posent sur les miennes, je jouis j’éjacule dans son ventre, elle se colle à moi et me sert très fort. La dernière sensation que je reçois avant de sombrer c’est mon sperme et son plaisir qui coulent le long de mes couilles et de ma raie.
Je suis encore dans mon rêve, un corps nu est blotti contre moi, et j’entends ma femme gémir comme si elle faisait l’amour. Je me réveil progressivement, j’ai la bouche pâteuse, ou suis-je ? je me souviens progressivement de notre journée, et Maeva et j’ouvre les yeux.
C’est la pénombre, je suis dans notre lit dans notre chambre d’hôtel, Maeva dort collée à moi
et ma femme se fait limer par TED, assise dans un fauteuil, les jambes relevées et écartées, la tête en arrière elle jouit comme une folle en se faisant traiter de tous les noms par son amant, qui tout à coup se retire, et vient placer sa bite énorme sur les lèvres de sa pute, elle ouvre la bouche et reçoit plusieurs giclées de sperme qu’elle s’empresse d’avaler. Elle le nettoie avec sa langue.il se retire il a un grand sourire aux lèvres. Il réveille Maeva d’une tape sur les fesses, se rhabillent et quittent la chambre sans rien dire.
Cathy n’a pas bougé du fauteuil elle semble épuisée, je lui demande si ça va, quelle heure il est ?
Elle se lève va prendre une douche m’invite à faire de même. En fait il est 23h. j’essaie de savoir ce qui s’est passé mais Cathy dans un demi sommeil me dit je te raconterai demain, dort.
Je me réveille en pleine forme, au moment où Cathy sort de la salle de bain.
Moi : bonjour jolie dame
Cathy : bonjour lâcheur, hier après-midi pendant que tu sautais l’autre, je me faisais violer.
Moi : mais de quoi parles tu ? aller viens vers moi et racontes moi tout
J’écarte le drap et l’invite à venir s’allongée vers moi, en chien de fusil je la serre dans mes bras
Moi : il est vrai que je ne me rappelle pas la fin de l’après-midi, j’en suis resté à Maéva qui me baise et toi qui part te rafraichir avec Ombline. Aller racontes- moi tes malheurs.
Cathy : ils m’ont violé
Quand je suis ressorti des toilettes Ombline, m’a entrainé dans une petite clairière ou il y avait un grand canapé. Embrumée par l’alcool qui commençait à faire effet, je me suis laissé conduire. Elle m’a fait asseoir et m’a embrassé avec fougue en me renversant en arrière. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire je me suis retrouvée nue, avec sa tête entre les cuisses et la chatte en feu. En quelques secondes j’ai joui très fort. Puis nous sous sommes redressées, elle m’a embrassée de nouveau, elle a écarté les cuisses et m’a demandé de lui faire la même chose. Tu sais je ne l’avais jamais fait, c’était la première fois, je me suis approchée doucement, j’ai commencé par lui faire de légers bisous, puis ma langue a commencé à la lécher, de haut en bas, je la pénétrais, je buvais, sa mouille, elle ondulait et gémissait, sous mes assauts. Quand je me suis attaquée au clitoris, j’ai cru que j’allais mourir étouffée, tellement elle a resserré les jambes en jouissant dans un long soupir.
Elle desserrait son étreinte, j’allais me redresser, quand je sentis deux mains me prendre par la taille et un sexe se présenter à l’entrée de ma grotte. J’ai voulu me dégager, mais Ombline m’a retenu par les bras. Mon violeur en a profité pour me pénétrer d’un coup sexe. Je me débattais ne disant que je ne voulais pas, que j’allais aller voir la police. Mais plus je bougeais plus cette bite me faisait du bien. Mon agresseur un des 2 jeunes du bar, me besognait avec vigueur et à mon grand désarroi il jouit trop vite. Je pensais rester sur ma faim, mais a peine était-il sorti de mon ventre qu’une nouvelle bite plus petite mais plus large me pénétrait. C’était le second barman. Il allait plus lentement mais plus fort au fond de mon ventre, très vite j’ai senti le plaisir monter. Je me cambrais un maximum, pour qu’il me pénètre au plus profond de moi. J’ai eu un orgasme fulgurant quand il à éjaculé et que j’ai senti son sperme chaud gicler sur les parois de mon vagin.
J’étais épuisée, je somnolais allongée les bras en croix les jambes légèrement écartées et pendante. Mon sexe dégoulinait de ma mouille et du sperme de mes 2 baiseurs. Je suis tirée de mon semi coma brusquement, des mains puissantes, m’ont saisies par les chevilles, pour me soulever les jambes, tout en les écartant, et les renverser sur ma poitrine. Je suis complètement coincée, les fesses relevées et offertes. J’ouvre les yeux, pour découvrir que mon nouvel agresseur n’est autre que TED. Il est nu, il me regarde en souriant, je sens son sexe énorme chercher l’entrée de ma chatte.
Cathy : (paniquée) non TED SVP pas ça vous aller me déchirer
TED : mais non ma jolie tu vas adorer, et tu es tellement humide que tu ne vas rien sentir.
J’essaie de me débattre, il écarte mes jambes, s’allonge sur moi, cherche mes lèvres, pendant que je sens son pieu me pénétrer doucement. Je tourne la tête, je ne veux pas l’embrasser. Il rentre en moi sans difficulté, sans douleur. Il touche le fond de mon vagin, il ne bouge pas, il me regarde toujours souriant.
Je lui demande de me lâcher les jambes, qui sont trop écartelées. Il s’exécute, il me fixe intensément, il se met à bouger, lentement, mais à chaque coup de reins il bute le fond de mon vagin.
Je sens de nouveau mon plaisir monter, je suis électrisée, il cherche ma bouche que je lui offre avec violence. Nos langues et salives se mélangent. Il va plus fort, je jouis en feulant de plaisir comme une lionne, sous un orgasme fulgurant ou je m’évanoui à moitié. Je le sens se retirer, il me retourne comme un pantin, je n’ai plus de force, j’ai le sexe en feu.
Des mains fermes me font mettre à quatre pattes, de nouveau TED me pénètre avec force, en me tenant par les hanches. Tout a coup il stop, sort, et présente son gland à l’entrée de ma rosette.
Je comprends trop tard qu’il va me sodomiser, je ne peux pas bouger maintenue par les 2 barmans
TED (en glissant 2 doigts) n’ai pas peur, tu aimer encore plus par-là que par ta chatte.
Je crie de peur, j’ai une légère douleur au passage du gland, et il glisse au plus profond de mon corps, je sens ses couilles contre mes fesses. Il ne reste pas longtemps inactif, il ressort et renter en moi , comme dans du beurre, il coulisse dans mon cul encore plus facilement, que dans mon ventre.
Je suis surprise de ressentir un certain plaisir. Je gémis et respire fortement, je cambre les reins pour qu’il s’enfonce encore plus.
TED : je jouis je jouiiiiiiiiiis, dans ton cul de salope
Et je sens son sperme gicler sur les parois de mon intestin,
Il se retire d’un coup, et sans rient dire, il quitte la clairière.
Je suis anéantie, sur le canapé, on me porte jusqu’à une douche, ou Ombline et Maéva me lavent.
Je reprends peu à peu mes esprits, je te retrouve toujours dormant au bar.
TED et Maéva proposent de nous raccompagner, pour qu’Ombline puisse passer la nuit avec les 2 jeunes.
Arrivé à l’hôtel, ils m’ont aidé à te mettre au lit. Juste avant de partir TED n’a pu s’empêcher de me coincer sur le fauteuil, étant très fatiguée et ne voulant pas faire de scandale j’ai écarté les cuisses et il m’a baisé comme une pute.
Tu t‘es réveillé à ce moment-là.
Voilà tu sais tout
Moi : c’est vrai tu t’es fait un peu bousculer, mais tu as quand même pris du plaisir à chaque fois, et tu n’as pas de regret.
Cathy : c’est vrai mais ils auraient quand même pu me demander mon avis
Moi (avec une trique d’enfer) : aller c’est mon tour écarte les cuisses.
Ce qu’elle fit en éclatant de rire
La fin des vacances fut très agréable
Je m'appelle Alain et ma femme Cathy, aimant beaucoup, voyager nous fréquentons souvent les salons dédiés aux voyages.
Dans ses salons nous jouons à tous les jeux proposés par les exposants, pour le plaisir de jouer car nous n'avons jamais eu beaucoup de chance. Fin 2014 la chance nous a souri et nous avons gagné un séjour de rêve sur l’ile de la Réunion. Le seul point négatif nous devons partir entre février et mars la période la plus chaude et la plus instable au niveau climat.
Fin février 2015 nous laissons la grisaille et le froid pour 10 jours de chaleurs et de farniente.
Le 747 d’air France est à moitié rempli, ce qui nous permet d’avoir une rangée de sièges que pour nous et personne à proximité.
Et nous voilà parti pour 11h de vol, de nuit, nous serons tout frais demain sous le soleil et au chaud.
Après le repas les lumières s’éteignent progressivement, l’avion est calme bercé par le ronflement des moteurs.
Cathy dort dans mes bras, j’ai les mains posées sur son ventre, je n’arrive pas à dormir. Il me semble entendre des soupirs, quelques sièges devant nous. Un couple est en train de se faire du bien. Ça me donne des idées, il n’y a personne vers nous, nous sommes sous une couverture. Doucement je remonte les bras vers sa poitrine, tout en déboutonnant son chemisier, qui s’ouvre, je lui caresse le ventre, les seins à travers le soutien-gorge. Elle ne bouge pas, mais je sais qu’elle apprécie. Puis ma main redescend, j’effleure son ventre, continue vers son pubis, puis l’entre cuisses, et je remonte. Après plusieurs passages, je défais délicatement la ceinture du jean, les boutons de la braguette. Ma main écarte le pantalon, toujours aucune réaction de ma femme qui se laisse faire.
Mes doigts lui frôlent le pubis à travers sa culotte, à chaque passage, je presse un peu plus fort. Mon pouce passe sous le léger tissu, remonte et descend le long des grandes lèvres, avant de s’enfoncer dans son sexe très humide.
A ce moment Cathy réagit, elle se relève un peu, sa bouche s’approche de mon oreille et elle me dit : salaud tu m’as réveillé, et maintenant j’ai envie de jouir alors branle moi.
Mon pouce ressort, vient titiller le clitoris, redescend, mais à ce moment-là je la pénètre avec le majeur et l’index. Elle soupir, m’offre son ventre en se cambrant, je sens qu’elle est de plus en plus humide. Je vais de plus en plus vite, mes doigts rentrent et sortent avec force. Avec sa main gauche, elle se branle le clitoris. Je vois son plaisir monter, sa main va de plus ne plus vite, son ventre se colle, à mes doigts de plus ne plus inondés de mouille. Elle respire de plus en plus fort, soupir.sa tête se tourne vers moi, et sa bouche se soude à la mienne, dans un baiser fougueux qui couvre ses gémissements, elle jouit en faisant des petits soubresauts. Elle se calme soudainement nos lèvres se séparent, elle me dit merci, et nous nous endormons pour la fin du vol.
Nous arrivons à St Denis, en pleine forme, prêt à affronter ces 10 jours de vacances avec courage.
L’hôtel a bien fait les choses ils nous ont envoyé un chauffeur. Il s’appelle TED, 175, 80kg, cheveux court, bien bâtit. sur le chemin de l’hôtel il nous parle de son ile (la Réunion), de sa vie, il est ouvrier, et pendant son temps libre il est chauffeur pour l’hôtel. En nous laissant à la réception, il nous laisse sa carte en nous disant qu’il fait aussi le guide, que l’on peut l’appeler il nous emmènera dans des endroits peu fréquentés par les touristes. Il nous dit ça en regardant avec insistance ma Cathy qui apparemment, ne le laisse pas indifférent.
Les deux premiers jours farniente complet, repos autour de la piscine ou sur la plage, sur des transats. Un peu de lecture, des longueurs, des assoupissements, même pas un câlin, repos complet
Le deuxième soir, nous nous couchons vers 23h, mais il fait chaud, je n’arrive pas à dormir, je tourne me retourne
Cathy : toi non plus tu n’arrives pas à dormir ?
Moi : non trop chaud
Cathy : pareil
Moi : on va boire un mojito au bar de la plage
Cathy : toi tu veux me saouler pour abuser de moi sur la plage
Moi : j n’y avais pas pensé, mais maintenant que tu le dis
Et en rigolant nous nous levons, nous nous habillons légèrement, elle juste une robe fine à moitié transparente est courte et moi chemisette et bermuda.
Au bar presque vide, une jolie métis d’environ 25 ans, aux formes de déesse, nous accueil, et nous installe dans un petit coin sur un canapé bien confortable. Nous prenons nos mojitos, collé l’un contre l’autre.
Je n’arrête pas de maté Maéva la barmaid, en me disant qu’elle doit être bonne sa peau doit être douce, je commence à bander.
Moi : tu viens on va marcher un peu
Cathy : c’est la petite jeune qui te donne des idées vieux cochon
Moi : du tout j’ai besoin de marcher
Cathy (en souriant) : tu vas avoir du mal avec la trique que tu as
Nous marchons en silence, enlacés, ma main lui caresse le dos, les fesses, remonte, puis redescend passe sous la jupe, elle ne dit rien, sa peau est douce, mon doigt longe sa raie, et essaie de pénétrer son petit trou.
Cathy (en se dégageant un peu) arrête si on nous voyait
Moi : mais il n’y a personne, et puis même, si un couple vient sur la plage à cette heure c’est pour baiser, pas pour faire une belote.
Elle me prend par la main me ramène vers le bar, à 100 mètres du bar, elle s’arrête, enlève sa robe, se met à quatre pattes en me disant : baises moi comme une chienne..
Je me mets nu, en une seconde je bande comme un fou, elle a la tète posée sur ses bras les fesses en l’air, légèrement écartées, je la pénètre d’un coup, elle soupir,
Cathy : vas doucement
Je la tiens par la taille, et le plus doucement possible je vais et je viens dans son sexe très humide, je sors jusqu’au gland lentement et je la pénètre jusqu’à la garde de plus en plus brutalement.
Je l’entends respirer de plus en plus fort, je sens ses fesses venir à ma rencontre je vais vite de plus ne plus fort. Nous sommes en sueur, elle se mord le bras pour ne pas crier son plaisir, je vais jouir.
Elle se relève sur les mains et se cambre encore plus, elle est collée à moi
Cathy (dans un soupir) vas y jouis avec moi
Dans un dernier sursaut j’éjacule à longs jets dans son ventre, pendant qu’elle exprime son orgasme dans un ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii de plaisir.
Nous restons allongés quelques instants pour reprendre nos esprits, nous nous rhabillons et rentrons. En passant devant le bar, nous croisons TED qui discute avec MAEVA .
TED : bonsoir les amoureux, c’est vous qui faites tout ce bruit ?
Moi (en souriant) : il n’y a pas que nous sur la plage
TED : (en regardant Cathy avec envie) peut-être mais je sais reconnaitre une femme qui vient de jouir en faisant l’amour
Cathy (toute rouge) : et c’est comment une femme une femme qui vient de prendre son pied en baisant ?
TED (avec un grand sourire) : comme toi en ce moment ma belle, toute ébouriffée, les joues rouges, les yeux brillants de désir, (puis se tournant vers moi), tu as une très jolie femme qui me donne plein d’envies de sexe (se retournant vers elle), si un jour tu veux m’essayer ce sera avec plaisir, surtout que j’ai largement te contenter ma belle.
Et dans un éclat de rire, il descend son bermuda et nous expose son sexe, qui est d’une taille bien au-dessus de la moyenne, il doit bien faire 25 cm x 5cm en érection.
Nous lui disons bien poliment que son offre est sympa mais que nous ne sommes pas intéressés
Cathy (une foi dans la chambre) : il est fou ce mec
Moi : mais non, il essaie et il a raison. Il sait que les gens en vacances ont une sexualité débridée, il nous a entendu faire l’amour sur la plage, il nous a peut-être même maté
Cathy : non ? tu crois qu’il m’a vu à quatre pattes ?
Moi : sans doute, et alors on n’a rien fait de mal, et si ça lui a fait du bien et bien tant mieux
Maintenant au lit, et ne fantasme sur sa bite
Cathy : (un peu rêveuse) c’est vrai qu’il est bien monté. Et toi ne rêve pas à la petite Maëva, qui doit être en train de se faire limer par la grosse queue de TED.
Après plusieurs jours à l’hôtel à ne rien faire juste bronzer sur la plage, faire l'amour, et dormir, nous décidons de partir en ballade pour découvrir les beautés de l’île
Cathy refusant que nous fassions appel à TED, nous demandons à la réception de l'hôtel qui nous recommande une jeune femme guide, elle se prénomme Ombline, elle a un très beau visage avec de grands yeux noirs, elle est souriante, elle est vêtue d'une robe très courte moulante mettant en valeur ses formes généreuses, sa peau café au lait paraît douce et soyeuse.
Abord de son 4x4 nous partons pour les cascades du MANIQUET. Après une heure de route dans la montagne nous laissons la voiture et à pied nous continuons notre chemin à travers la forêt du Grand Brulé, le sentier est bordé de goyaviers. Au bout de 20 minutes nous débouchons sur un bassin d’une eau couleur verte, alimentée par une cascade tourbillonnante.
L’endroit et splendide, calme, nous sommes seuls. La marche m’a donné chaud, et je suis attirée par cette eau claire.
Moi : Ombline ? on peut se baigner, ce n’est pas dangereux,
Ombline : du tout, d’ailleurs tu as raison, je vais faire trempette
Et sans gène elle se met nue et plonge dans le bassin.
Moi (a Cathy) : tu viens on y va
Cathy : pourquoi pas
Et à notre tour nous rentrons dans l’eau fraiche. Nous nageons un peu, Cathy se rapproche de moi, j’ai pied et je suis adossé à un rocher, elle se pend à mon cou et frotte son corps contre le mien, mes mains sur ses hanches
Cathy (à mon oreille) : j’aimerais que tu me caresses
Moi : mais il y a Ombeline
Cathy : je sais c’est bien ça qui m’embête
Moi : elle se rapproche de nous
Ombeline s’est arrêtée à 50 cm de nous, elle a un grand sourire
Ombeline : alors les amoureux, c’est un endroit idyllique pour s’aimer.
Nous : oui c’est certain
Elle se rapproche lentement, elle regarde Cathy intensément droit dans les eux, comme si elle voulait l’hypnotiser, toujours avec son grand sourire.
Cathy est figée, je les observe. Maintenant Ombline est si près que ses seins touchent le bras de ma femme.
Le temps s’arrête. Cathy se colle contre moi, son dos contre ma poitrine, assise sur ma jambe droite que j’ai relevé pour mieux la soutenir, mes bras passés sous ses aisselles, je lui caresse délicatement les seins. Je suis le spectateur d’une scène que je n’aurais jamais cru possible. Ombline est maintenant tout près, je sens Cathy sursauter quand la jeune femme, commence à lui caresser le sexe délicatement.
Cathy : (en tournant la tête vers moi) : je ne peux pas laisser faire ça
Moi (en la couvrant de baisers) : laisses toi aller tu vas adorer
Elle appuie sa nuque son mon épaule, les yeux fermés, sans les voir, j’imagine les doigts de notre accompagnatrice qui vont et viennent sur la chatte de ma femme. Je sens les cuisses s’ouvrirent, le bassin aller à la rencontre de cette main experte, les yeux fermés, les lèvres entre ouverte elle respire plus vite. Je la tiens par les seins dont les bouts sont durcis de plaisir. Elle gémit quand deux doigts prennent possession de son vagin en feu. Ombline sans ralentir le mouvement la sentant au bord de la jouissance, pose ses lèvres sur les siennes, la langue de Cathy apparait et vient chercher celle de la jeune femme, elles se lèchent se mélangent. Dans un orgasme fulgurant mon amour enlace sa maitresse et la serre contre elle jusqu’à la fin de son plaisir.
Personne ne bouge, après une trentaine de secondes, Cathy ouvre les yeux, desserre son étreinte.
La jeune femme se recule avec un grand sourire
Ombline : ça va ? tu as aimé ? c’était la première fois avec une femme
Cathy : oui oui et oui fantastique
Les deux femmes partent en nageant et en rigolant, et moi je les suis avec ma trique entre les jambes .
De retour à la voiture notre chauffeur nous dit d’un air coquin
Après toutes ces émotions je vous emmène dans un petit bar boire un petit rhum local, qui rend les femmes amoureuses et les hommes plus endurants.
Après 20 minutes d’une piste chaotique, au milieu de la forêt nous débouchons dans une clairière, au milieu de laquelle est plantée 2 cabanes en bois. Devant la première qui fait bar quelques chaises, mais aussi 2 fauteuils, qui ont l’air bien confortable. La deuxième bicoque est l’atelier d’où sortent 2 jeunes hommes quand nous arrivons.
Ombline fait les présentations en créole et certainement un peu plus car les deux gaillards regardent avec insistance les formes de ma femme.
A peine installé un verre de potion magique dans la main que TED et Maeva arrivent
Ted : bonjour les amoureux
Cathy (un peu gênée) salut
Moi (en matant) bonjour Maeva, vous venez prendre un verre avec nous
Cathy me fusille du regard, alors que je bois d’une traite mon premier verre d’alcool.
Nos 2 invités se joignent à nous, Ombline a disparu, la conversation, va bon train, après 3 ou 4 verres je me sens d’humeur câline, et je commence à caresser la cuisse de Maéva qui se trouve juste à ma gauche, elle se laisse faire et écarte même légèrement les jambes, en guise d’invitation.
TED c’est très fortement rapproché de ma femme, qui reste relativement lucide malgré l’alcool, et qui peine à repousser les mains baladeuses.
Tout à coup elle se lève et dit qu’elle doit se rafraîchir, comme par enchantement Ombline réapparait et se propose de l’accompagner.
A peine sont-elles disparues derrière la cabane, que Maeva se met à genou devant moi, défait ma bermuda sort ma bite déjà très bandée et me prend dans sa bouche. Je ferme les yeux je savoure cette pipe. Je lui dis dans un instant de lucidité que ma femme risque de revenir d’un instant à l’autre. Elle se relève, enlève sa robe et en s’empalant sur mon sexe tendu elle me dit qu’elle ne va pas revenir de si tôt. Je caresse se corps si doux, ma bite est dans un écrin humide et chaud. Elle bouge le bassin, elle me fait l’amour, quand ses lèvres se posent sur les miennes, je jouis j’éjacule dans son ventre, elle se colle à moi et me sert très fort. La dernière sensation que je reçois avant de sombrer c’est mon sperme et son plaisir qui coulent le long de mes couilles et de ma raie.
Je suis encore dans mon rêve, un corps nu est blotti contre moi, et j’entends ma femme gémir comme si elle faisait l’amour. Je me réveil progressivement, j’ai la bouche pâteuse, ou suis-je ? je me souviens progressivement de notre journée, et Maeva et j’ouvre les yeux.
C’est la pénombre, je suis dans notre lit dans notre chambre d’hôtel, Maeva dort collée à moi
et ma femme se fait limer par TED, assise dans un fauteuil, les jambes relevées et écartées, la tête en arrière elle jouit comme une folle en se faisant traiter de tous les noms par son amant, qui tout à coup se retire, et vient placer sa bite énorme sur les lèvres de sa pute, elle ouvre la bouche et reçoit plusieurs giclées de sperme qu’elle s’empresse d’avaler. Elle le nettoie avec sa langue.il se retire il a un grand sourire aux lèvres. Il réveille Maeva d’une tape sur les fesses, se rhabillent et quittent la chambre sans rien dire.
Cathy n’a pas bougé du fauteuil elle semble épuisée, je lui demande si ça va, quelle heure il est ?
Elle se lève va prendre une douche m’invite à faire de même. En fait il est 23h. j’essaie de savoir ce qui s’est passé mais Cathy dans un demi sommeil me dit je te raconterai demain, dort.
Je me réveille en pleine forme, au moment où Cathy sort de la salle de bain.
Moi : bonjour jolie dame
Cathy : bonjour lâcheur, hier après-midi pendant que tu sautais l’autre, je me faisais violer.
Moi : mais de quoi parles tu ? aller viens vers moi et racontes moi tout
J’écarte le drap et l’invite à venir s’allongée vers moi, en chien de fusil je la serre dans mes bras
Moi : il est vrai que je ne me rappelle pas la fin de l’après-midi, j’en suis resté à Maéva qui me baise et toi qui part te rafraichir avec Ombline. Aller racontes- moi tes malheurs.
Cathy : ils m’ont violé
Quand je suis ressorti des toilettes Ombline, m’a entrainé dans une petite clairière ou il y avait un grand canapé. Embrumée par l’alcool qui commençait à faire effet, je me suis laissé conduire. Elle m’a fait asseoir et m’a embrassé avec fougue en me renversant en arrière. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire je me suis retrouvée nue, avec sa tête entre les cuisses et la chatte en feu. En quelques secondes j’ai joui très fort. Puis nous sous sommes redressées, elle m’a embrassée de nouveau, elle a écarté les cuisses et m’a demandé de lui faire la même chose. Tu sais je ne l’avais jamais fait, c’était la première fois, je me suis approchée doucement, j’ai commencé par lui faire de légers bisous, puis ma langue a commencé à la lécher, de haut en bas, je la pénétrais, je buvais, sa mouille, elle ondulait et gémissait, sous mes assauts. Quand je me suis attaquée au clitoris, j’ai cru que j’allais mourir étouffée, tellement elle a resserré les jambes en jouissant dans un long soupir.
Elle desserrait son étreinte, j’allais me redresser, quand je sentis deux mains me prendre par la taille et un sexe se présenter à l’entrée de ma grotte. J’ai voulu me dégager, mais Ombline m’a retenu par les bras. Mon violeur en a profité pour me pénétrer d’un coup sexe. Je me débattais ne disant que je ne voulais pas, que j’allais aller voir la police. Mais plus je bougeais plus cette bite me faisait du bien. Mon agresseur un des 2 jeunes du bar, me besognait avec vigueur et à mon grand désarroi il jouit trop vite. Je pensais rester sur ma faim, mais a peine était-il sorti de mon ventre qu’une nouvelle bite plus petite mais plus large me pénétrait. C’était le second barman. Il allait plus lentement mais plus fort au fond de mon ventre, très vite j’ai senti le plaisir monter. Je me cambrais un maximum, pour qu’il me pénètre au plus profond de moi. J’ai eu un orgasme fulgurant quand il à éjaculé et que j’ai senti son sperme chaud gicler sur les parois de mon vagin.
J’étais épuisée, je somnolais allongée les bras en croix les jambes légèrement écartées et pendante. Mon sexe dégoulinait de ma mouille et du sperme de mes 2 baiseurs. Je suis tirée de mon semi coma brusquement, des mains puissantes, m’ont saisies par les chevilles, pour me soulever les jambes, tout en les écartant, et les renverser sur ma poitrine. Je suis complètement coincée, les fesses relevées et offertes. J’ouvre les yeux, pour découvrir que mon nouvel agresseur n’est autre que TED. Il est nu, il me regarde en souriant, je sens son sexe énorme chercher l’entrée de ma chatte.
Cathy : (paniquée) non TED SVP pas ça vous aller me déchirer
TED : mais non ma jolie tu vas adorer, et tu es tellement humide que tu ne vas rien sentir.
J’essaie de me débattre, il écarte mes jambes, s’allonge sur moi, cherche mes lèvres, pendant que je sens son pieu me pénétrer doucement. Je tourne la tête, je ne veux pas l’embrasser. Il rentre en moi sans difficulté, sans douleur. Il touche le fond de mon vagin, il ne bouge pas, il me regarde toujours souriant.
Je lui demande de me lâcher les jambes, qui sont trop écartelées. Il s’exécute, il me fixe intensément, il se met à bouger, lentement, mais à chaque coup de reins il bute le fond de mon vagin.
Je sens de nouveau mon plaisir monter, je suis électrisée, il cherche ma bouche que je lui offre avec violence. Nos langues et salives se mélangent. Il va plus fort, je jouis en feulant de plaisir comme une lionne, sous un orgasme fulgurant ou je m’évanoui à moitié. Je le sens se retirer, il me retourne comme un pantin, je n’ai plus de force, j’ai le sexe en feu.
Des mains fermes me font mettre à quatre pattes, de nouveau TED me pénètre avec force, en me tenant par les hanches. Tout a coup il stop, sort, et présente son gland à l’entrée de ma rosette.
Je comprends trop tard qu’il va me sodomiser, je ne peux pas bouger maintenue par les 2 barmans
TED (en glissant 2 doigts) n’ai pas peur, tu aimer encore plus par-là que par ta chatte.
Je crie de peur, j’ai une légère douleur au passage du gland, et il glisse au plus profond de mon corps, je sens ses couilles contre mes fesses. Il ne reste pas longtemps inactif, il ressort et renter en moi , comme dans du beurre, il coulisse dans mon cul encore plus facilement, que dans mon ventre.
Je suis surprise de ressentir un certain plaisir. Je gémis et respire fortement, je cambre les reins pour qu’il s’enfonce encore plus.
TED : je jouis je jouiiiiiiiiiis, dans ton cul de salope
Et je sens son sperme gicler sur les parois de mon intestin,
Il se retire d’un coup, et sans rient dire, il quitte la clairière.
Je suis anéantie, sur le canapé, on me porte jusqu’à une douche, ou Ombline et Maéva me lavent.
Je reprends peu à peu mes esprits, je te retrouve toujours dormant au bar.
TED et Maéva proposent de nous raccompagner, pour qu’Ombline puisse passer la nuit avec les 2 jeunes.
Arrivé à l’hôtel, ils m’ont aidé à te mettre au lit. Juste avant de partir TED n’a pu s’empêcher de me coincer sur le fauteuil, étant très fatiguée et ne voulant pas faire de scandale j’ai écarté les cuisses et il m’a baisé comme une pute.
Tu t‘es réveillé à ce moment-là.
Voilà tu sais tout
Moi : c’est vrai tu t’es fait un peu bousculer, mais tu as quand même pris du plaisir à chaque fois, et tu n’as pas de regret.
Cathy : c’est vrai mais ils auraient quand même pu me demander mon avis
Moi (avec une trique d’enfer) : aller c’est mon tour écarte les cuisses.
Ce qu’elle fit en éclatant de rire
La fin des vacances fut très agréable
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Bonjour je par bientôt la bas j'aimerais avoir le Contact de ce mec pour m'a femme
Merci d'avance
Merci d'avance
excellent