Titre de l'histoire érotique : Cathy, rencontre et découverte au camping. (suite)
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Cathy, rencontre et découverte au camping. (suite)
Fin de la première partie
Marc rompit le silence : ça va tu regrettes ?
Cathy : c’était très bon très doux, je ne regrette pas, mais je suis gênée vis-à-vis de ta femme et si Alain apprend tout ça comment va-t-il réagir.
Marc : pour ma femme j’en fais mon affaire, et Alain si on ne lui dit pas il ne saura pas. Aller on dort.
Moi sur ma terrasse je préparais mon retour.
Après une courte nuit de sommeil, pleine de rêves ou je voyais ma Cathy se faire prendre et caresser par plein d’inconnus, je me levais vers 6h30, et j’attendis le départ de Marc, qui tous les matins, allait faire un footing à la fraiche.
6h45, je le vois partir, bien que je sois impatient d’aller retrouver ses dames, j’attends encore 5 minutes pour être certain qu’il ne revienne pas.
Puis je me dirige vers le mobile home des désirs, je regarde par la fenêtre, je vois les deux jolies dames, dormant, entièrement nues, l’une sur le dos, présentant son sexe et ses seins. Et l’autre sur le ventre montrant sa croupe offerte.
Je pousse la porte doucement, rentre, enlève mon bermuda, je bande comme un fou. Je m’approche de ma femme, lui caresse les seins, me mets à genou pour lui lécher le sexe, elle gémit, me caresse la tête en disant entre 2 soupirs : arrêtes Marc, ce n’est pas raisonnable je dois partir.
En essayant d’imiter la voix de Marc je dis : tu n’aimes pas ? et en me mettant sur elle suce moi salope.
Elle dit j’adore et commença à me sucer.
C’est Christine, qui en se réveillant, s’aperçut, que je n’étais pas Marc.
Cathy arrêta de me sucer, et Chris se recroquevilla dans un coin du lit.
Cathy pleurait et me demandait pardon, je lui disais que je ne lui en voulais pas, que j’étais heureux qu’elle ait eu du plaisir avec nos amis.
Tout à coup elle me dit : je vais te faire plaisir. Elle me fit allonger, se mit à genou entre mes cuisses, et commença à me sucer.sa langue passait autour de mon gland, elle me gobait, faisait une gorge profonde, me léchait la tige comme une glace, revenait sur le gland. Me masturbait avec sa main, ou entre ses seins.
Je fis signe à Christine qui nous regardait, de venir caresser Cathy. qui offrit sa croupe aux doigts et à la bouche de notre amie. Mon plaisir monta très vite, et je jouis dans la bouche de ma femme, pendant qu’elle jouissait sous les coups de langue de Chris. A peine mon éjaculation terminée, ne lui laissant pas le temps d’avaler, je lui demandais d’embrasser sa maitresse, et de mélanger ma semence dans un baiser langoureux. Elles hésitaient je dus les aider un peu, mais dès que leurs bouches se touchèrent, leurs lèvres s’ouvrirent et leurs langues se rencontrèrent. Je vis mon sperme couler sur leurs mentons, et je me remis à bander comme un taureau.
Leur baiser ne finissait pas, je caressais leurs fesses, n’y tenant plus, je les séparais, sous le regard étonné de Cathy, j’allongeais Christine sur le dos lui écartait les cuisses (elle ne disait rien). J’allais la pénétrer quand la porte s’ouvrit sur Marc qui revenait de son footing.
Surpris il dit : mais tu fais quoi avec ma femme ?
Moi : comme toi avec la mienne cette nuit
Et je pénétrais d’un grand coup de rein sa femme qui ne put s’empêcher de crier. Je la besognais fort, elle écartait les cuisses, pour que je puisse aller au plus profond de son ventre. Elle soupirait, gémissait, criait son plaisir sous le regard de Cathy qui se masturbait , et celui de Marc qui semblait pétrifié.
Je sentais mon plaisir monter, je lui demandais si elle aimait. Entre deux râles elle me dit : j’adore comme tu me baises, ouiiiiiiiiiiiiii, ta bite est bonne, défonce moi la chatte, fait moi jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
Dans un dernier sursaut, je l’embrassais, pour étouffer ses cris orgasmiques, et je me vidais dans son sexe si accueillant.
Nous sommes tous resté quelques instants, sans bouger, à reprendre leur souffle pour les uns et leurs esprits pour les autres.
Puis Marc dit : bon je vais prendre une douche
Moi : je vais chercher les croissants que je vous avais promis.
Inutile de vous dire que la fin des vacances fut très chaleureuse.
Marc rompit le silence : ça va tu regrettes ?
Cathy : c’était très bon très doux, je ne regrette pas, mais je suis gênée vis-à-vis de ta femme et si Alain apprend tout ça comment va-t-il réagir.
Marc : pour ma femme j’en fais mon affaire, et Alain si on ne lui dit pas il ne saura pas. Aller on dort.
Moi sur ma terrasse je préparais mon retour.
Après une courte nuit de sommeil, pleine de rêves ou je voyais ma Cathy se faire prendre et caresser par plein d’inconnus, je me levais vers 6h30, et j’attendis le départ de Marc, qui tous les matins, allait faire un footing à la fraiche.
6h45, je le vois partir, bien que je sois impatient d’aller retrouver ses dames, j’attends encore 5 minutes pour être certain qu’il ne revienne pas.
Puis je me dirige vers le mobile home des désirs, je regarde par la fenêtre, je vois les deux jolies dames, dormant, entièrement nues, l’une sur le dos, présentant son sexe et ses seins. Et l’autre sur le ventre montrant sa croupe offerte.
Je pousse la porte doucement, rentre, enlève mon bermuda, je bande comme un fou. Je m’approche de ma femme, lui caresse les seins, me mets à genou pour lui lécher le sexe, elle gémit, me caresse la tête en disant entre 2 soupirs : arrêtes Marc, ce n’est pas raisonnable je dois partir.
En essayant d’imiter la voix de Marc je dis : tu n’aimes pas ? et en me mettant sur elle suce moi salope.
Elle dit j’adore et commença à me sucer.
C’est Christine, qui en se réveillant, s’aperçut, que je n’étais pas Marc.
Cathy arrêta de me sucer, et Chris se recroquevilla dans un coin du lit.
Cathy pleurait et me demandait pardon, je lui disais que je ne lui en voulais pas, que j’étais heureux qu’elle ait eu du plaisir avec nos amis.
Tout à coup elle me dit : je vais te faire plaisir. Elle me fit allonger, se mit à genou entre mes cuisses, et commença à me sucer.sa langue passait autour de mon gland, elle me gobait, faisait une gorge profonde, me léchait la tige comme une glace, revenait sur le gland. Me masturbait avec sa main, ou entre ses seins.
Je fis signe à Christine qui nous regardait, de venir caresser Cathy. qui offrit sa croupe aux doigts et à la bouche de notre amie. Mon plaisir monta très vite, et je jouis dans la bouche de ma femme, pendant qu’elle jouissait sous les coups de langue de Chris. A peine mon éjaculation terminée, ne lui laissant pas le temps d’avaler, je lui demandais d’embrasser sa maitresse, et de mélanger ma semence dans un baiser langoureux. Elles hésitaient je dus les aider un peu, mais dès que leurs bouches se touchèrent, leurs lèvres s’ouvrirent et leurs langues se rencontrèrent. Je vis mon sperme couler sur leurs mentons, et je me remis à bander comme un taureau.
Leur baiser ne finissait pas, je caressais leurs fesses, n’y tenant plus, je les séparais, sous le regard étonné de Cathy, j’allongeais Christine sur le dos lui écartait les cuisses (elle ne disait rien). J’allais la pénétrer quand la porte s’ouvrit sur Marc qui revenait de son footing.
Surpris il dit : mais tu fais quoi avec ma femme ?
Moi : comme toi avec la mienne cette nuit
Et je pénétrais d’un grand coup de rein sa femme qui ne put s’empêcher de crier. Je la besognais fort, elle écartait les cuisses, pour que je puisse aller au plus profond de son ventre. Elle soupirait, gémissait, criait son plaisir sous le regard de Cathy qui se masturbait , et celui de Marc qui semblait pétrifié.
Je sentais mon plaisir monter, je lui demandais si elle aimait. Entre deux râles elle me dit : j’adore comme tu me baises, ouiiiiiiiiiiiiii, ta bite est bonne, défonce moi la chatte, fait moi jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
Dans un dernier sursaut, je l’embrassais, pour étouffer ses cris orgasmiques, et je me vidais dans son sexe si accueillant.
Nous sommes tous resté quelques instants, sans bouger, à reprendre leur souffle pour les uns et leurs esprits pour les autres.
Puis Marc dit : bon je vais prendre une douche
Moi : je vais chercher les croissants que je vous avais promis.
Inutile de vous dire que la fin des vacances fut très chaleureuse.
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Hé ! Hé ! Œil pour œil, "dans" pour "dans". J'adore. Vengeance à froid, à chaud... Bravo