Titre de l'histoire érotique : Cathy, rencontre et découverte au camping.
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Cathy, rencontre et découverte au camping.
L’année dernière Cathy et moi, nous sommes partis, en vacances début juin, en Ardèche dans un camping, en Mobile Home.
L’endroit idéal pour se reposer au calme, au bord de la piscine, ou dans un coin isolé près de la rivière.
Le camping en cette période était presque vide, et c’était parfait.
Le premier soir en rentrant, vers 23h d’une petite balade digestive, nous sommes passés, devant un bungalow situé juste à côté du notre, et nous avons entendu une femme gémir. Nous sous sommes arrêtés le sourire aux lèvres et nous avons écouté. Un couple était en train de faire l’amour.
Elle gémissait et soupirait fort, en lui disant : fais moi jouir, enfonce ta bite profond dans ma chatte.
Lui un peu essoufflé en allant de plus en plus vite : oui, tu aimes te faire défoncée, tu mouilles ma cochonne, tu aimes ma queue ?
Elle en jouissant : ouiiiiiiiiiiiiiii je jouis, lime moi fort,
Lui : écartes les cuisses je jouis dans ta chatte
Tout en écoutant je m’étais collé, à Cathy, j’avais, passé, ma main sous sa jupe. Elle avait légèrement écarté les jambes pour que mes doigts puissent la caresser, et en quelques instants elle avait pris du plaisirs. En rentrant nous nous étions couché en nous demandant à quoi pouvait bien ressembler nos voisins si actifs.
Le matin suivant je fu réveillé, par une sensation de plaisir. J’ouvris les yeux et je vis les cheveux de Cathy, au niveau de ma ceinture, qui montaient et qui descendaient, je sentis sa langue tournée autour de mon gland, puis enfourner mon sexe en gorge profonde. Ressortir, descendre en le léchant. Me prendre dans sa main me branler, en me regardant avec un sourire coquin et ses grands yeux verts. Sentant que j’allais jouir, elle accéléra le mouvement, et me pris dans sa bouche pour que j’éjacule dans sa gorge. Elle me nettoya entièrement, s’allongea et me dit bonjour.
Je l’embrassais tendrement en disant : on prend le petit déjeuner sur la terrasse, comme ça on verra à quoi ressemble nos voisins.
Dehors nous faisons connaissance avec Christine et Marc un couple de parisiens.
Elle : 38 ans, 1.65m, 55kg, les cheveux courts, les yeux marrons, pleine de charme avec un sourire avenant et un grain de beauté sur la joue.
Lui : 40 ans, 1.80m 80kg, les cheveux courts et de beaux yeux verts comme Cathy, qui dès les premiers instants lui tape dans l’œil.
Très vite nous sympathisons, et nous sommes vite, inséparables. Nous faisons les visites ensembles, nous allons à la piscine ou nous baigner ensembles, nous mangeons un jour chez les uns un jour chez les autres. Nous parlons de tout et de rien, parfois sérieusement mais plus souvent sur le ton de la plaisanterie.
Je vois aussi que Marc n’est pas insensible aux charmes de Cathy, comme moi je ferais bien un brin de rentre dedans à Christine.
En fin de 1ere semaine je reçois un appel de mon patron me demandant de revenir pour une journée, car un contrat qui devait se signer dans 1 mois était avancé. Je négociais 3 jours de vacances supplémentaires, qu’il m’accorda, mais je dus partir le lundi matin en promettant de rentrer tôt avec les croissants le mardi matin, de bonne heure.
En partant je disais à Cathy de ne pas s’inquiéter, que je serais prudent sur la route, que je partais serein, car Marc et Christine, étaient là pour s’occuper d’elle.
La journée se passa bien pour tout le monde, et moi, ayant fini plutôt que prévu je décidais de repartir au camping le soir même, sans rien dire pour leur faire une surprise.
J’arrivais vers minuit, je laissais la voiture à l’entrée du camping, et je me dirigeais à pied, vers nos mobiles homes.
Je faisais doucement pour les surprendre, je ne voyais pas de lumière à l’extérieur, je me dis qu’ils étaient couchés. Tout à coup je vis la porte de notre bungalow s’ouvrir, et Cathy tranquillement, tout en boutonnant sa robe en jean (qui se boutonne par devant avec des pressions) se diriger vers le bungalow de Marc et Christine.
Je me figeais et attendais la suite. Elle gratta à leur porte en disant faiblement : Chris, Marco vous dormez ?
Chris : non pourquoi tu as un problème ?
Cathy : je ne veux pas vous déranger, mais j’ai laissé mon portable chez vous, et si Alain téléphone, ça va vous déranger.
Marc : mais non rentre vient le chercher. Ton Alain il est avec sa maitresse il se moque bien mal de toi
Christine : arrêtes de dire des bêtises toi, tu sais où tu l’as laissé ?
Cathy : oui juste au-dessus de vous
Je me suis rapproché, je suis monté sur la terrasse en bois, et je peux voir l’ensemble de la pièce, sans être vu.
Nos amis sont couchés, Cathy se penche en avant, pour attraper son bien, elle se met sur la pointe des pieds, sa robe remonte très haut sur ses cuisses. Je vois Marc qui n’en perd pas une miette. Il lui dit, je vais t’aider, et en profite pour passer sa main sous le tissu.
Cathy reprend vite son équilibre en disant merci qu’elle va rentrer se coucher.
Mais Marc la retient par le mollet, en disant
Tu devrais rester avec nous, nous allions faire l’amour
Christine : ça va pas de dire ça, tu es fou ? Et puis je ne te suffis plus il t’en faut une autre.
Marc : tu sais bien que mon fantasme c’est de te voir faire l’amour avec une femme. Aujourd’hui c’est l’occasion, Cathy est belle, douce, comme toi.
Tout en disant ça, il s’était levé, était passé derrière Cathy et avait ouvert d’un coup sec la robe ne jean.
Elle était nue dessous, elle ne savait que faire. Elle s’aperçut, à ce moment là, que Marc lui aussi était nu, et qu’il bandait très fort.
Christine, ne disait rien elle la regardait comme pétrifiée.
Marc profita de cet instant pour délicatement, faire glisser la robe à terre, et pousser gentiment ma femme vers la sienne sur le lit.
Le deux femmes se regardaient en silence, et Marc pris les choses en main.
D’abord il débarrassa le lit de tous draps ou couverture. Il prit une main de Cathy et commença à l’accompagner pour caresser le corps de sa femme qui ne bronchait toujours pas. Le visage, le cou, les seins, le ventre, les cuisses, les jambes tout y passa, sauf le sexe.
Dans le même temps (les caresses continuaient mais il avait lâché la main), il demandait, à Christine d’embrasser Cathy, elle commença par le cou, remonta jusqu’à l’oreille, redescendit jusqu’aux seins, qu’elle goba délicatement. Cathy là caressait toujours, en s’attardant plus sur les siens fermes et doux. Marc pris la tête de sa femme et l’embrassa à pleine bouche, en lui disant : c’est bien je t’aime continue, embrasse là, et il remplaça sa bouche par celle de Cathy.
Les deux bouches collées et fermées, elles ne bougeaient pas, après quelques instants, Chris, entrouvrit les lèvres et avec sa langue força la bouche à Cathy. En peu de temps leur baiser devint fougueux leurs langues et leurs salives se mélangeaient, leurs mains caressaient, leurs ventres se cherchaient.
Marc était descendu du lit, et observait ces deux belles femmes en chaleur. Moi sur la terrasse je bandais comme un taureau.
Cathy pris l’initiative, lentement elle parcouru le corps de sa maitresse, de petits bisous, pour arriver à son sexe offert. Elle hésita un instant, puis commença par un petit coup de langue, puis un autre sa bouche se colla au pubis, aspira le clitoris, le lécha, sa langue pénétra le vagin, elle buvait le plaisir de Christine qui s’écoulait. Les mains de Chris lui appuyaient sur la tête, elle se cambrait, s’offrait les cuisses largement ouvertes. La langue de Cathy étant rivée sur le petit bouton rose, elle introduisit deux doigts dans la grotte des plaisirs et commença à la limer de plus ne plus fort. Christine, se mit à jouir très fort. Toujours sous le regard de Marc (et du mien), Cathy remonta embrasser son amie, lui demanda si ça allait.
Chris répondit que oui, qu’elle avait adoré, et elle posa la même question à ma femme qui répondit qu’elle n’avait pas eu de jouissance mais qu’elle avait aimé lui faire du bien avec sa bouche.
Christine tout en passant à l’acte lui dit je vais te faire la même chose. Elle la fit mettre sur le dos, écarter les cuisses et sa bouche se posa sur son sexe. Très vite Cathy se mis à gémir, à se tortiller dans tous les sens, à se caresser les seins, à dire qu’elle aimait, qu’elle allait jouir. Marc voyant la croupe de sa femme offerte et ne pouvant certainement plus tenir, se déplaça, en direction de sa femme, le sexe à l main. Sans effort il la pénétra et sans transition se mis à la défoncer à grands coups de reins. Cathy eu un orgasme la première, et marc gicla dans le sexe de sa femme dans un râle communs.
Cathy fut la première à sortir de la torpeur, elle se leva, ramassa sa robe, l’enfila, et allait sortir, quand son téléphone vibra. Elle le regarda et dit : c’est alain, sa journée c’est bien passée, il sera là demain vers 8h avec les croissants. Il vous embrasse.
Elle allait sortir quand marc lui dit : tu ne fais pas la commission ?
Cathy : laquelle ?
Marc : Alain t’a demandé de nous embrasser
Cathy en s’approchant : un petit alors. Mais Chris dort
Marc : je ne dors pas, je prends le sien
Elle se pencha en présentant sa joue, il lui prit la tête entre ses mains, la fit tourner, et l’embrassa sur la bouche
Cathy : non Marc, je suis fatiguée, je ne veux pas tromper plus Alain et ta femme et juste à côté.
Marc en l’attirant à lui un peu plus, et en passant les mains sous sa robe : depuis le début j’ai envie de toi, j’ai adoré t’entendre gémir et jouir, avec Chris, maintenant je veux profiter de ton corps.
Elle se retrouva couchée sur lui. Elle dit non, mais laissa sa robe glissée au sol. Ils s’embrassaient, je voyais ses jambes serrées, puis je vu le sexe de Marc entre ses cuisses. Elle s’offrit à lui, en s’asseyant sur lui. Elle se souleva légèrement, et s’empala sur la bite tendue. Elle se cambra à la pénétration et commença à bouger en frottant son clitoris contre le pubis de son amant. Lui sur le dos lui caressait les seins, et donnait de petits coups de reins.
Il lui dit qu’il voulait l’embrasser, ils changèrent rapidement de position. Elle sur le dos les cuisses largement ouvertes, il s’allongea sue elle, la pénétra et lui fit l’amour doucement longuement en l’embrassant profondément. Ils jouirent ensembles dans de doux gémissements qui ne réveillèrent même pas Chris.
Marc rompit le silence : ça va tu regrettes ?
Cathy : c’était très bon très doux, je ne regrette pas, mais je suis gènée vis-à-vis de ta femme et si Alain apprend tout ça comment va-t-il réagir.
Marc : pour ma femme j’en fais mon affaire, et Alain si on ne lui dit pas il ne saura pas. Aller on dort.
Moi sur ma terrasse je préparais mon retour.
L’endroit idéal pour se reposer au calme, au bord de la piscine, ou dans un coin isolé près de la rivière.
Le camping en cette période était presque vide, et c’était parfait.
Le premier soir en rentrant, vers 23h d’une petite balade digestive, nous sommes passés, devant un bungalow situé juste à côté du notre, et nous avons entendu une femme gémir. Nous sous sommes arrêtés le sourire aux lèvres et nous avons écouté. Un couple était en train de faire l’amour.
Elle gémissait et soupirait fort, en lui disant : fais moi jouir, enfonce ta bite profond dans ma chatte.
Lui un peu essoufflé en allant de plus en plus vite : oui, tu aimes te faire défoncée, tu mouilles ma cochonne, tu aimes ma queue ?
Elle en jouissant : ouiiiiiiiiiiiiiii je jouis, lime moi fort,
Lui : écartes les cuisses je jouis dans ta chatte
Tout en écoutant je m’étais collé, à Cathy, j’avais, passé, ma main sous sa jupe. Elle avait légèrement écarté les jambes pour que mes doigts puissent la caresser, et en quelques instants elle avait pris du plaisirs. En rentrant nous nous étions couché en nous demandant à quoi pouvait bien ressembler nos voisins si actifs.
Le matin suivant je fu réveillé, par une sensation de plaisir. J’ouvris les yeux et je vis les cheveux de Cathy, au niveau de ma ceinture, qui montaient et qui descendaient, je sentis sa langue tournée autour de mon gland, puis enfourner mon sexe en gorge profonde. Ressortir, descendre en le léchant. Me prendre dans sa main me branler, en me regardant avec un sourire coquin et ses grands yeux verts. Sentant que j’allais jouir, elle accéléra le mouvement, et me pris dans sa bouche pour que j’éjacule dans sa gorge. Elle me nettoya entièrement, s’allongea et me dit bonjour.
Je l’embrassais tendrement en disant : on prend le petit déjeuner sur la terrasse, comme ça on verra à quoi ressemble nos voisins.
Dehors nous faisons connaissance avec Christine et Marc un couple de parisiens.
Elle : 38 ans, 1.65m, 55kg, les cheveux courts, les yeux marrons, pleine de charme avec un sourire avenant et un grain de beauté sur la joue.
Lui : 40 ans, 1.80m 80kg, les cheveux courts et de beaux yeux verts comme Cathy, qui dès les premiers instants lui tape dans l’œil.
Très vite nous sympathisons, et nous sommes vite, inséparables. Nous faisons les visites ensembles, nous allons à la piscine ou nous baigner ensembles, nous mangeons un jour chez les uns un jour chez les autres. Nous parlons de tout et de rien, parfois sérieusement mais plus souvent sur le ton de la plaisanterie.
Je vois aussi que Marc n’est pas insensible aux charmes de Cathy, comme moi je ferais bien un brin de rentre dedans à Christine.
En fin de 1ere semaine je reçois un appel de mon patron me demandant de revenir pour une journée, car un contrat qui devait se signer dans 1 mois était avancé. Je négociais 3 jours de vacances supplémentaires, qu’il m’accorda, mais je dus partir le lundi matin en promettant de rentrer tôt avec les croissants le mardi matin, de bonne heure.
En partant je disais à Cathy de ne pas s’inquiéter, que je serais prudent sur la route, que je partais serein, car Marc et Christine, étaient là pour s’occuper d’elle.
La journée se passa bien pour tout le monde, et moi, ayant fini plutôt que prévu je décidais de repartir au camping le soir même, sans rien dire pour leur faire une surprise.
J’arrivais vers minuit, je laissais la voiture à l’entrée du camping, et je me dirigeais à pied, vers nos mobiles homes.
Je faisais doucement pour les surprendre, je ne voyais pas de lumière à l’extérieur, je me dis qu’ils étaient couchés. Tout à coup je vis la porte de notre bungalow s’ouvrir, et Cathy tranquillement, tout en boutonnant sa robe en jean (qui se boutonne par devant avec des pressions) se diriger vers le bungalow de Marc et Christine.
Je me figeais et attendais la suite. Elle gratta à leur porte en disant faiblement : Chris, Marco vous dormez ?
Chris : non pourquoi tu as un problème ?
Cathy : je ne veux pas vous déranger, mais j’ai laissé mon portable chez vous, et si Alain téléphone, ça va vous déranger.
Marc : mais non rentre vient le chercher. Ton Alain il est avec sa maitresse il se moque bien mal de toi
Christine : arrêtes de dire des bêtises toi, tu sais où tu l’as laissé ?
Cathy : oui juste au-dessus de vous
Je me suis rapproché, je suis monté sur la terrasse en bois, et je peux voir l’ensemble de la pièce, sans être vu.
Nos amis sont couchés, Cathy se penche en avant, pour attraper son bien, elle se met sur la pointe des pieds, sa robe remonte très haut sur ses cuisses. Je vois Marc qui n’en perd pas une miette. Il lui dit, je vais t’aider, et en profite pour passer sa main sous le tissu.
Cathy reprend vite son équilibre en disant merci qu’elle va rentrer se coucher.
Mais Marc la retient par le mollet, en disant
Tu devrais rester avec nous, nous allions faire l’amour
Christine : ça va pas de dire ça, tu es fou ? Et puis je ne te suffis plus il t’en faut une autre.
Marc : tu sais bien que mon fantasme c’est de te voir faire l’amour avec une femme. Aujourd’hui c’est l’occasion, Cathy est belle, douce, comme toi.
Tout en disant ça, il s’était levé, était passé derrière Cathy et avait ouvert d’un coup sec la robe ne jean.
Elle était nue dessous, elle ne savait que faire. Elle s’aperçut, à ce moment là, que Marc lui aussi était nu, et qu’il bandait très fort.
Christine, ne disait rien elle la regardait comme pétrifiée.
Marc profita de cet instant pour délicatement, faire glisser la robe à terre, et pousser gentiment ma femme vers la sienne sur le lit.
Le deux femmes se regardaient en silence, et Marc pris les choses en main.
D’abord il débarrassa le lit de tous draps ou couverture. Il prit une main de Cathy et commença à l’accompagner pour caresser le corps de sa femme qui ne bronchait toujours pas. Le visage, le cou, les seins, le ventre, les cuisses, les jambes tout y passa, sauf le sexe.
Dans le même temps (les caresses continuaient mais il avait lâché la main), il demandait, à Christine d’embrasser Cathy, elle commença par le cou, remonta jusqu’à l’oreille, redescendit jusqu’aux seins, qu’elle goba délicatement. Cathy là caressait toujours, en s’attardant plus sur les siens fermes et doux. Marc pris la tête de sa femme et l’embrassa à pleine bouche, en lui disant : c’est bien je t’aime continue, embrasse là, et il remplaça sa bouche par celle de Cathy.
Les deux bouches collées et fermées, elles ne bougeaient pas, après quelques instants, Chris, entrouvrit les lèvres et avec sa langue força la bouche à Cathy. En peu de temps leur baiser devint fougueux leurs langues et leurs salives se mélangeaient, leurs mains caressaient, leurs ventres se cherchaient.
Marc était descendu du lit, et observait ces deux belles femmes en chaleur. Moi sur la terrasse je bandais comme un taureau.
Cathy pris l’initiative, lentement elle parcouru le corps de sa maitresse, de petits bisous, pour arriver à son sexe offert. Elle hésita un instant, puis commença par un petit coup de langue, puis un autre sa bouche se colla au pubis, aspira le clitoris, le lécha, sa langue pénétra le vagin, elle buvait le plaisir de Christine qui s’écoulait. Les mains de Chris lui appuyaient sur la tête, elle se cambrait, s’offrait les cuisses largement ouvertes. La langue de Cathy étant rivée sur le petit bouton rose, elle introduisit deux doigts dans la grotte des plaisirs et commença à la limer de plus ne plus fort. Christine, se mit à jouir très fort. Toujours sous le regard de Marc (et du mien), Cathy remonta embrasser son amie, lui demanda si ça allait.
Chris répondit que oui, qu’elle avait adoré, et elle posa la même question à ma femme qui répondit qu’elle n’avait pas eu de jouissance mais qu’elle avait aimé lui faire du bien avec sa bouche.
Christine tout en passant à l’acte lui dit je vais te faire la même chose. Elle la fit mettre sur le dos, écarter les cuisses et sa bouche se posa sur son sexe. Très vite Cathy se mis à gémir, à se tortiller dans tous les sens, à se caresser les seins, à dire qu’elle aimait, qu’elle allait jouir. Marc voyant la croupe de sa femme offerte et ne pouvant certainement plus tenir, se déplaça, en direction de sa femme, le sexe à l main. Sans effort il la pénétra et sans transition se mis à la défoncer à grands coups de reins. Cathy eu un orgasme la première, et marc gicla dans le sexe de sa femme dans un râle communs.
Cathy fut la première à sortir de la torpeur, elle se leva, ramassa sa robe, l’enfila, et allait sortir, quand son téléphone vibra. Elle le regarda et dit : c’est alain, sa journée c’est bien passée, il sera là demain vers 8h avec les croissants. Il vous embrasse.
Elle allait sortir quand marc lui dit : tu ne fais pas la commission ?
Cathy : laquelle ?
Marc : Alain t’a demandé de nous embrasser
Cathy en s’approchant : un petit alors. Mais Chris dort
Marc : je ne dors pas, je prends le sien
Elle se pencha en présentant sa joue, il lui prit la tête entre ses mains, la fit tourner, et l’embrassa sur la bouche
Cathy : non Marc, je suis fatiguée, je ne veux pas tromper plus Alain et ta femme et juste à côté.
Marc en l’attirant à lui un peu plus, et en passant les mains sous sa robe : depuis le début j’ai envie de toi, j’ai adoré t’entendre gémir et jouir, avec Chris, maintenant je veux profiter de ton corps.
Elle se retrouva couchée sur lui. Elle dit non, mais laissa sa robe glissée au sol. Ils s’embrassaient, je voyais ses jambes serrées, puis je vu le sexe de Marc entre ses cuisses. Elle s’offrit à lui, en s’asseyant sur lui. Elle se souleva légèrement, et s’empala sur la bite tendue. Elle se cambra à la pénétration et commença à bouger en frottant son clitoris contre le pubis de son amant. Lui sur le dos lui caressait les seins, et donnait de petits coups de reins.
Il lui dit qu’il voulait l’embrasser, ils changèrent rapidement de position. Elle sur le dos les cuisses largement ouvertes, il s’allongea sue elle, la pénétra et lui fit l’amour doucement longuement en l’embrassant profondément. Ils jouirent ensembles dans de doux gémissements qui ne réveillèrent même pas Chris.
Marc rompit le silence : ça va tu regrettes ?
Cathy : c’était très bon très doux, je ne regrette pas, mais je suis gènée vis-à-vis de ta femme et si Alain apprend tout ça comment va-t-il réagir.
Marc : pour ma femme j’en fais mon affaire, et Alain si on ne lui dit pas il ne saura pas. Aller on dort.
Moi sur ma terrasse je préparais mon retour.
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