Titre de l'histoire érotique : Emilie et Léa (Fin) - Pas une pour rattraper l'autre
Récit érotique écrit par DMN [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Emilie et Léa (Fin) - Pas une pour rattraper l'autre
Dernier volet du récit de la découverte de la fessée par Emilie et Léa.
Je me leva le matin vers 9h30, suivi peu après par Emilie, après un petit déjeuner rapidement expédié, je la mis au coin et la déculotta, elle tressaillit.
En effet elle avait reçu en l'espace de 72 heures plusieurs corrections qui lui avaient fait pleurer toutes les larmes de son corps.
Je me contenta de la déculotter, ses fesses d'un rose assez prononcé étaient très attirantes
et résister à l'envie de les réchauffer n'était vraiment pas chose facile.
Je finis de laver la vaisselle et je la rhabilla. Elle me dit alors qu'elle avait mal au poignet, surpris, elle me montra qu'elle avait des difficultés à le bouger. Moi qui pensait qu'elle s'était foutue de moi encore une fois, je me sentais alors bien con. Quelques heures plus tard, mes randonneurs rentrèrent, et la père des filles s'occupa d'Emilie. Nos mères et Léa me montrèrent les photos, j'étais littéralement subjugué et intérieurement déçu car même si je m'étais éclaté avec Emilie, j'avais espéré pouvoir aller crapahuter dans les forêts pyrénéennes.
Léa dut se rendre compte de quelque chose car elle annonça lors du diner que si je le voulais, nous pouvions partir le lendemain et passer la journée sur les sentiers. J'accepta alors bien volontiers une si aimable proposition, en effet, le lendemain, Emilie allait passer une radio avec son père et nos mères souhaitait papoter entre filles, alors c'était une magnifique aubaine.
Le lendemain, Léa et moi partîmes au lever du soleil vers les sommets.
Au bout de deux heures de marche, nous empruntâmes un sentier qui coupait au travers des bois, j'étais étonné mais je suivis la guide. Après quelques kilomètres, je découvris une petite clairière dans laquelle se dressait un affût, Léa grimpa à l'échelle et ouvrit la trappe avant de s'y engouffrer, je découvris alors un magnifique panorama. Elle me proposa de pique-niquer sur place et de profiter de la vue, ce que j'approuva.
Je redescendis récupérer les sacs que nous avions laissé en bas, je remonta alors le mien et lui passa, au moment d'attraper le sien, la sangle lâcha et le sac s'ouvrit, je le pris et aperçut à l’intérieur la spatule qui avait tant fait souffrir le petit cul d’Emilie. Seulement à moitié étonné, je referma le sac et le remonta. Le repas se passa et la miss ne laissa rien transparaître.
A un moment, elle se leva et se pencha pour observer le point de vue, j’en profita, je pris la spatule et m’approcha d’elle, arrivée à sa hauteur je lui mis un coup sur les fesses, elle sursauta et se retourna, je lui dis alors en désignant la spatule :
- Tu comptais faire la cuisine ?
Elle rougit et me dit qu’elle voudrait que je la cuisine comme j’ai cuisiné sa sœur durant ces derniers jours.
Sans plus de cérémonie, je la fis se pencher au-dessus de la balustrade et commença doucement à lui appliquer la spatule sur le pantalon, je la vis onduler délicieusement,
Après ce départ en douceur, son pantalon arriva à hauteur de ses genoux et je me remis à l’œuvre cette fois ci avec un peu plus de vigueur, son slip couvrant une partie de ses fesses, j’appuya davantage sur les zones couvertes.
Après quelques minutes de ce traitement, je la déculotta et recommença à lui chauffer le cul, cette fois, avec une main davantage plus leste.
Au bout de quelques coups, elle commença à gémir et à renifler, je décida donc de la faire passer sur mes genoux et de continuer « à l’ancienne ».
Elle ne méritait pas de recevoir une trempe comme l’avait reçue Emilie, je ne la ménageais pas pour autant.
La fessée sur mes genoux dura un certain moment, tantôt sévère, tantôt érotique, pendant laquelle elle pleura et gémis de plaisir.
Au bout d’un certain temps, je la mis à 4 pattes et repris la spatule mais cette fois ci, les coups furent plus doux et plus ciblés sur sa chatte. Quelques secondes plus tard, elle vint à en jouir.
S’ensuivit alors un déshabillage complet de l’un comme de l’autre.
En 69, j’entama alors un long cunnilingus tandis qu’elle me suçait doucement.
Après avoir fait durer les préliminaires, Léa me mit un préservatif, et vint s’empaler sur moi, les vas et viens la firent rapidement jouir tandis que je jouais avec son petit trou.
Je la retourna et la mis en levrette. Après lui avoir inséré plusieurs doigts, j’y mis ma bite, le souffle coupé, elle commença alors de très lents allers et retours, j’avais volontairement choisi de la laisser rythmer, du moins au début, car au bout de quelques minutes où elle s’empala complètement, je repris les commandes et accéléra alors la cadence.
Sans virer à la défonce anale, j’allais de plus en plus vite dans son petit cul jusqu’à l’en faire jouir. Coquine, elle se remit face à moi et me pompa jusqu’à que je jouisse à mon tour sur son visage angélique.
Elle me demanda alors des conseils pour qu’elle puisse fesser sa sœur quand celle-ci se montrerait trop espiègle ou trop casse-pied, je passa donc 1/2h à lui apprendre les bases du métier.
Après nous être reposés, nous nous rhabillâmes et repartîmes vers la maison, je pensais avoir d’autres opportunités de faire rougir ces deux petits culs. Notre arrivée fût marquée par la vue d’Emilie, le poignet plâtré par une entorse et par le décès d’une de mes grandes tantes que m’apprit ma mère, nous décidâmes alors d’un commun accord d’écourter notre séjour et de partir le soir même.
Le temps de boucler ma valise, de mettre une claque aux fesses des filles et de dire au revoir à tout le monde, nous avons repris la route le soir même.
Au bout de 2h, je pris une pause et jeta un œil à mon téléphone : 3 MMS et 1 SMS.
J’ouvris le premier et découvris alors que Léa n’avait pas tardé à mettre mes leçons en application, Emilie couchée en travers des genoux de sa sœur, toute habillée.
Je m‘empressa alors d’ouvrir le deuxième pour voir la demoiselle en culotte et les fesses légèrement rosies, je vous laisse imaginer le troisième message :
Je vis en premier lieu les fesses nues et rougies d’Emilie, et légèrement plus bas, son abricot fendu. Puis j’ouvris la dernière photo, le visage d’Emilie apparut, son maquillage avait coulé et des larmes coulaient encore sur ses joues et juste devant elle la spatule.
Le SMS reçu à peine quelques minutes plus tôt disait : « Je prolonge à la spatule ? »
Je lui répondis alors que la spatule nécessitait un dosage très fin et que je désapprouvais l’idée de continuer à la spatule mais que je trouvais cependant les fesses d’Emilie encore bien pâles.
Je repris le volant et décida un peu plus loin de m’arrêter pour passer la nuit.
Au moment de me coucher, je vis que Léa m’avait envoyé un nouveau message, je l’ouvris et vis le petit cul d’Emilie d’un rouge bien brillant comme je l’aime simplement légendé par ces mots : J’espère que c’est assez !
Je lui renvoya un message pour lui dire que c’était à point et qu’elle apprenait vite, je l’invitais également à inverser les rôles, à m’envoyer régulièrement des photos de leurs beaux petits fessiers et que je leur promis de revenir bientôt leur réchauffer le postérieur.
FIN
Ces faits bien réels, j’ai pris plaisir à les écrire avec la collaboration d’Emilie et Léa.
Alors que nous commencions à l’écrire, nous avons appris les attaques qui ont visé Paris
et présentons toutes nos condoléances aux familles des victimes
Comme pour les épisodes précédents, je vous invite à laisser des commentaires au bas de la page afin d’avoir votre avis sur ce dernier récit (pas de panique, d’autres sont en préparation dans d’autres catégories)
Je me leva le matin vers 9h30, suivi peu après par Emilie, après un petit déjeuner rapidement expédié, je la mis au coin et la déculotta, elle tressaillit.
En effet elle avait reçu en l'espace de 72 heures plusieurs corrections qui lui avaient fait pleurer toutes les larmes de son corps.
Je me contenta de la déculotter, ses fesses d'un rose assez prononcé étaient très attirantes
et résister à l'envie de les réchauffer n'était vraiment pas chose facile.
Je finis de laver la vaisselle et je la rhabilla. Elle me dit alors qu'elle avait mal au poignet, surpris, elle me montra qu'elle avait des difficultés à le bouger. Moi qui pensait qu'elle s'était foutue de moi encore une fois, je me sentais alors bien con. Quelques heures plus tard, mes randonneurs rentrèrent, et la père des filles s'occupa d'Emilie. Nos mères et Léa me montrèrent les photos, j'étais littéralement subjugué et intérieurement déçu car même si je m'étais éclaté avec Emilie, j'avais espéré pouvoir aller crapahuter dans les forêts pyrénéennes.
Léa dut se rendre compte de quelque chose car elle annonça lors du diner que si je le voulais, nous pouvions partir le lendemain et passer la journée sur les sentiers. J'accepta alors bien volontiers une si aimable proposition, en effet, le lendemain, Emilie allait passer une radio avec son père et nos mères souhaitait papoter entre filles, alors c'était une magnifique aubaine.
Le lendemain, Léa et moi partîmes au lever du soleil vers les sommets.
Au bout de deux heures de marche, nous empruntâmes un sentier qui coupait au travers des bois, j'étais étonné mais je suivis la guide. Après quelques kilomètres, je découvris une petite clairière dans laquelle se dressait un affût, Léa grimpa à l'échelle et ouvrit la trappe avant de s'y engouffrer, je découvris alors un magnifique panorama. Elle me proposa de pique-niquer sur place et de profiter de la vue, ce que j'approuva.
Je redescendis récupérer les sacs que nous avions laissé en bas, je remonta alors le mien et lui passa, au moment d'attraper le sien, la sangle lâcha et le sac s'ouvrit, je le pris et aperçut à l’intérieur la spatule qui avait tant fait souffrir le petit cul d’Emilie. Seulement à moitié étonné, je referma le sac et le remonta. Le repas se passa et la miss ne laissa rien transparaître.
A un moment, elle se leva et se pencha pour observer le point de vue, j’en profita, je pris la spatule et m’approcha d’elle, arrivée à sa hauteur je lui mis un coup sur les fesses, elle sursauta et se retourna, je lui dis alors en désignant la spatule :
- Tu comptais faire la cuisine ?
Elle rougit et me dit qu’elle voudrait que je la cuisine comme j’ai cuisiné sa sœur durant ces derniers jours.
Sans plus de cérémonie, je la fis se pencher au-dessus de la balustrade et commença doucement à lui appliquer la spatule sur le pantalon, je la vis onduler délicieusement,
Après ce départ en douceur, son pantalon arriva à hauteur de ses genoux et je me remis à l’œuvre cette fois ci avec un peu plus de vigueur, son slip couvrant une partie de ses fesses, j’appuya davantage sur les zones couvertes.
Après quelques minutes de ce traitement, je la déculotta et recommença à lui chauffer le cul, cette fois, avec une main davantage plus leste.
Au bout de quelques coups, elle commença à gémir et à renifler, je décida donc de la faire passer sur mes genoux et de continuer « à l’ancienne ».
Elle ne méritait pas de recevoir une trempe comme l’avait reçue Emilie, je ne la ménageais pas pour autant.
La fessée sur mes genoux dura un certain moment, tantôt sévère, tantôt érotique, pendant laquelle elle pleura et gémis de plaisir.
Au bout d’un certain temps, je la mis à 4 pattes et repris la spatule mais cette fois ci, les coups furent plus doux et plus ciblés sur sa chatte. Quelques secondes plus tard, elle vint à en jouir.
S’ensuivit alors un déshabillage complet de l’un comme de l’autre.
En 69, j’entama alors un long cunnilingus tandis qu’elle me suçait doucement.
Après avoir fait durer les préliminaires, Léa me mit un préservatif, et vint s’empaler sur moi, les vas et viens la firent rapidement jouir tandis que je jouais avec son petit trou.
Je la retourna et la mis en levrette. Après lui avoir inséré plusieurs doigts, j’y mis ma bite, le souffle coupé, elle commença alors de très lents allers et retours, j’avais volontairement choisi de la laisser rythmer, du moins au début, car au bout de quelques minutes où elle s’empala complètement, je repris les commandes et accéléra alors la cadence.
Sans virer à la défonce anale, j’allais de plus en plus vite dans son petit cul jusqu’à l’en faire jouir. Coquine, elle se remit face à moi et me pompa jusqu’à que je jouisse à mon tour sur son visage angélique.
Elle me demanda alors des conseils pour qu’elle puisse fesser sa sœur quand celle-ci se montrerait trop espiègle ou trop casse-pied, je passa donc 1/2h à lui apprendre les bases du métier.
Après nous être reposés, nous nous rhabillâmes et repartîmes vers la maison, je pensais avoir d’autres opportunités de faire rougir ces deux petits culs. Notre arrivée fût marquée par la vue d’Emilie, le poignet plâtré par une entorse et par le décès d’une de mes grandes tantes que m’apprit ma mère, nous décidâmes alors d’un commun accord d’écourter notre séjour et de partir le soir même.
Le temps de boucler ma valise, de mettre une claque aux fesses des filles et de dire au revoir à tout le monde, nous avons repris la route le soir même.
Au bout de 2h, je pris une pause et jeta un œil à mon téléphone : 3 MMS et 1 SMS.
J’ouvris le premier et découvris alors que Léa n’avait pas tardé à mettre mes leçons en application, Emilie couchée en travers des genoux de sa sœur, toute habillée.
Je m‘empressa alors d’ouvrir le deuxième pour voir la demoiselle en culotte et les fesses légèrement rosies, je vous laisse imaginer le troisième message :
Je vis en premier lieu les fesses nues et rougies d’Emilie, et légèrement plus bas, son abricot fendu. Puis j’ouvris la dernière photo, le visage d’Emilie apparut, son maquillage avait coulé et des larmes coulaient encore sur ses joues et juste devant elle la spatule.
Le SMS reçu à peine quelques minutes plus tôt disait : « Je prolonge à la spatule ? »
Je lui répondis alors que la spatule nécessitait un dosage très fin et que je désapprouvais l’idée de continuer à la spatule mais que je trouvais cependant les fesses d’Emilie encore bien pâles.
Je repris le volant et décida un peu plus loin de m’arrêter pour passer la nuit.
Au moment de me coucher, je vis que Léa m’avait envoyé un nouveau message, je l’ouvris et vis le petit cul d’Emilie d’un rouge bien brillant comme je l’aime simplement légendé par ces mots : J’espère que c’est assez !
Je lui renvoya un message pour lui dire que c’était à point et qu’elle apprenait vite, je l’invitais également à inverser les rôles, à m’envoyer régulièrement des photos de leurs beaux petits fessiers et que je leur promis de revenir bientôt leur réchauffer le postérieur.
FIN
Ces faits bien réels, j’ai pris plaisir à les écrire avec la collaboration d’Emilie et Léa.
Alors que nous commencions à l’écrire, nous avons appris les attaques qui ont visé Paris
et présentons toutes nos condoléances aux familles des victimes
Comme pour les épisodes précédents, je vous invite à laisser des commentaires au bas de la page afin d’avoir votre avis sur ce dernier récit (pas de panique, d’autres sont en préparation dans d’autres catégories)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel délice cette série avec ces 2 coquines ^^
Dommage que les photos ne soient pas inclues :)
Dommage que les photos ne soient pas inclues :)