Titre de l'histoire érotique : Escorte boy
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Escorte boy
J'avais une très bonne situation ans une boite privée. La situation économique étant ce qu'elle est je me suis retrouvé au chômage. Je suis marié avec une gentille fille de 30 ans, plus jeune que moi de 2 ans. Elle est fonctionnaire et a la sécurité de l'emploi. Au début de ma non activité je prenais les choses du bon coté: je cherchais à peu près partout une autre situation. Rien de venant je commençais à avoir le splen.
Heureusement que ma femme me consolait quand nous baisions. Elle aimait bien quand je lui suçais le con ou que j'y jouissais. Un soir, nous finissions une baise quand elle me dit que comme je baisais fort bien, je devrais avoir des relations avec d'autres femmes qui payeraient pour se faire mettre. Je trouvais risible de sa proposition. Le lendemain elle
insistait à tel point que nous avons mis au point mon futur "travail". Même si je devais baiser et faire jouir une autre femme, elle ne m'en voudrait pas, à condition que je la tienne au courant de mes faits et geste avec les autres: ça l'exciterait beaucoup et je pourrais ensuite
Lui faire ce que je j'aurais fait aux autres.
L'après midi, vers 17 heures j'allais baguenauder dans les établissements où un petit dancing permettait au femmes plus ou moins mures de trouver une queue pour jouir quand et où elles voulaient. Le premier fût morne: à dire vrai je n'étais pas encore prêt? Ce n'est que le lendemain que j'osais inviter une femme de 40 ans environ. Nous dansions ensemble plusieurs slows. Je la serrais de plus en plus. Et sans l'avertir, je posais ma bouche sur la sienne. Elle répondait au baiser. C'est elle qui me demandait de venir chez elle. J'acceptais bien sur: elle m'emmenait dans un taxi où je reprenais encore sa bouche et cette fois en lui
caressant les cuisses. On aurait dit un couple amoureux alors que je connaissais la dame depuis moins d'une heure. Nous allons dans un appartement de grand luxe. Elle mettait une musique d'ambiance bien faite pour la suite: le boléro de Ravel.
Nous avons dansé un peu, nous nous sommes embrassés beaucoup. Enfin je lui prenais la taille pour descendre mes mains vers ses fesses. Elle me laissait faire. Je la chauffais à fond. Quand elle voulut aller dans la chambre je lui ai demandé 200 €. Je m'attendais à un refus bien senti.
Elle me payait la somme demandée en y ajoutant un petit quelque chose: je ne devais pas être son premier "prostitué". Je ne pouvais plus reculer. Une fois dans la chambre elle me demandait de la déshabiller: je le faisais avec beaucoup de tendresse, alors que je me foutais d'elle comme une guigne. Je l'embrassais à nouveau plus profondément. Ensuite
j'attaquais sa poitrine qui se tenait fort bien: je suçais les pointes et je commençais enfin à bander. Une de mes mains allait vers son con et je cherchais le clitoris. Elle ouvrait ses jambes et je la branlais. Elle ne tardais pas à jouir. Nous nous sommes couchés et là j'ai du faire ce pour quoi j'étais payé. Je l'embrassais encore et me penchais bien en avant pour la sucer. Elle me laissait faire en poussant des gémissements tels qu'ile devaient s'entendre à l'autre bout de l'appartement. Elle jouissait encore: je voulais enlever ma tête. Elle me retenait pour que je recommence à la sucer. A sa seconde jouissance avec ma langue, elle
me laisser lui faire autre chose. J'aimais enculer les filles et parti comme c'était parti je devant attendre de la baiser avant de la sodomiser, si elle aimait avoir une queue dans le cul. Je m'installais confortablement sur elle la bite bien dure et je cherchais l'entrée du con.
Elle prenait ma queue pour me diriger. Je rentrais en elle facilement tellement elle était mouillée. Je devais fort bien m'y prendre: elle jouissait plusieurs fois. A chaque orgasme je le sentais autour de ma pine et j'en bandais plus fort. Je jouissais, moins qu'avec ma femme sensuelle.
Enfin je me relevais de sur elle et lui glissais à l'oreille: je vais t'enculer. D'accord à condition que le lui lèche le cul avant pour le mouiller. Je n'aimais pas trop faire cette chose et je le lui dit: elle me proposait 100€ de plus si le la léchais. Pour cette somme je ne pouvait pas refuser. Je lui demandait de me caresser les couilles pendant cette opération.
Elle faisait plus que ça, elle me les caressait le cul en m'y rentrant un doigt. Ma langue se glissait entre ses fesses ouvertes et enfin je lui mettait ma langue sur le cul, sans y pénétrer: je me contentais de faire ce qu'elle demandait: je lui léchais simplement le tour de l'anus. Elle en jouissait. Enfin elle ouvrait largement les fesses et je l'enculais. Dès l'entrée de ma queue dans son cul elle recommençait à gémir très fort. Elle jouissait encore. J'avais plus de peine qu'elle. Je sortais d'elle sans avoir déchargé.
Elle ne s'en apercevait pas. Elle me demandais de lui sucer une dernière fois le clitoris. Je la satisfaisais. Avant de partir elle me donnait les 100€ supplémentaires pour la sodomie.
Avant de partir elle me demandait de la revoir au même endroit la semaine suivante: elle devenait ainsi ma première cliente attitrée. Trois fois par semaine j'ai des rendez vous galants avec l'une ou l'autre de ces dames. Je tiens à ne passer que l'après midi avec elles.
Je tiens trop à mon épouse qui depuis qu'elle m'a poussé à me vendre prend de plus en plus d'initiative: elle fait un cinéma que je me dois de réaliser. Elle a acheté une belle collection de godemichés et s'en sert souvent devant moi ou quand elle sait que je baise une autre femme qu'elle.
Heureusement que ma femme me consolait quand nous baisions. Elle aimait bien quand je lui suçais le con ou que j'y jouissais. Un soir, nous finissions une baise quand elle me dit que comme je baisais fort bien, je devrais avoir des relations avec d'autres femmes qui payeraient pour se faire mettre. Je trouvais risible de sa proposition. Le lendemain elle
insistait à tel point que nous avons mis au point mon futur "travail". Même si je devais baiser et faire jouir une autre femme, elle ne m'en voudrait pas, à condition que je la tienne au courant de mes faits et geste avec les autres: ça l'exciterait beaucoup et je pourrais ensuite
Lui faire ce que je j'aurais fait aux autres.
L'après midi, vers 17 heures j'allais baguenauder dans les établissements où un petit dancing permettait au femmes plus ou moins mures de trouver une queue pour jouir quand et où elles voulaient. Le premier fût morne: à dire vrai je n'étais pas encore prêt? Ce n'est que le lendemain que j'osais inviter une femme de 40 ans environ. Nous dansions ensemble plusieurs slows. Je la serrais de plus en plus. Et sans l'avertir, je posais ma bouche sur la sienne. Elle répondait au baiser. C'est elle qui me demandait de venir chez elle. J'acceptais bien sur: elle m'emmenait dans un taxi où je reprenais encore sa bouche et cette fois en lui
caressant les cuisses. On aurait dit un couple amoureux alors que je connaissais la dame depuis moins d'une heure. Nous allons dans un appartement de grand luxe. Elle mettait une musique d'ambiance bien faite pour la suite: le boléro de Ravel.
Nous avons dansé un peu, nous nous sommes embrassés beaucoup. Enfin je lui prenais la taille pour descendre mes mains vers ses fesses. Elle me laissait faire. Je la chauffais à fond. Quand elle voulut aller dans la chambre je lui ai demandé 200 €. Je m'attendais à un refus bien senti.
Elle me payait la somme demandée en y ajoutant un petit quelque chose: je ne devais pas être son premier "prostitué". Je ne pouvais plus reculer. Une fois dans la chambre elle me demandait de la déshabiller: je le faisais avec beaucoup de tendresse, alors que je me foutais d'elle comme une guigne. Je l'embrassais à nouveau plus profondément. Ensuite
j'attaquais sa poitrine qui se tenait fort bien: je suçais les pointes et je commençais enfin à bander. Une de mes mains allait vers son con et je cherchais le clitoris. Elle ouvrait ses jambes et je la branlais. Elle ne tardais pas à jouir. Nous nous sommes couchés et là j'ai du faire ce pour quoi j'étais payé. Je l'embrassais encore et me penchais bien en avant pour la sucer. Elle me laissait faire en poussant des gémissements tels qu'ile devaient s'entendre à l'autre bout de l'appartement. Elle jouissait encore: je voulais enlever ma tête. Elle me retenait pour que je recommence à la sucer. A sa seconde jouissance avec ma langue, elle
me laisser lui faire autre chose. J'aimais enculer les filles et parti comme c'était parti je devant attendre de la baiser avant de la sodomiser, si elle aimait avoir une queue dans le cul. Je m'installais confortablement sur elle la bite bien dure et je cherchais l'entrée du con.
Elle prenait ma queue pour me diriger. Je rentrais en elle facilement tellement elle était mouillée. Je devais fort bien m'y prendre: elle jouissait plusieurs fois. A chaque orgasme je le sentais autour de ma pine et j'en bandais plus fort. Je jouissais, moins qu'avec ma femme sensuelle.
Enfin je me relevais de sur elle et lui glissais à l'oreille: je vais t'enculer. D'accord à condition que le lui lèche le cul avant pour le mouiller. Je n'aimais pas trop faire cette chose et je le lui dit: elle me proposait 100€ de plus si le la léchais. Pour cette somme je ne pouvait pas refuser. Je lui demandait de me caresser les couilles pendant cette opération.
Elle faisait plus que ça, elle me les caressait le cul en m'y rentrant un doigt. Ma langue se glissait entre ses fesses ouvertes et enfin je lui mettait ma langue sur le cul, sans y pénétrer: je me contentais de faire ce qu'elle demandait: je lui léchais simplement le tour de l'anus. Elle en jouissait. Enfin elle ouvrait largement les fesses et je l'enculais. Dès l'entrée de ma queue dans son cul elle recommençait à gémir très fort. Elle jouissait encore. J'avais plus de peine qu'elle. Je sortais d'elle sans avoir déchargé.
Elle ne s'en apercevait pas. Elle me demandais de lui sucer une dernière fois le clitoris. Je la satisfaisais. Avant de partir elle me donnait les 100€ supplémentaires pour la sodomie.
Avant de partir elle me demandait de la revoir au même endroit la semaine suivante: elle devenait ainsi ma première cliente attitrée. Trois fois par semaine j'ai des rendez vous galants avec l'une ou l'autre de ces dames. Je tiens à ne passer que l'après midi avec elles.
Je tiens trop à mon épouse qui depuis qu'elle m'a poussé à me vendre prend de plus en plus d'initiative: elle fait un cinéma que je me dois de réaliser. Elle a acheté une belle collection de godemichés et s'en sert souvent devant moi ou quand elle sait que je baise une autre femme qu'elle.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai trouvé cette histoire très excitante et très bandente.