Titre de l'histoire érotique : J'aime les filles qui ôsent...

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : J'aime  les filles qui ôsent... Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : J'aime les filles qui ôsent...
De puis toujours en tout cas depuis que suis en âge de le faire, j'aime bien avoir des filles qui ne font pas de scène de jalousie si elles me voient avec une autre. Si je picore de droite et de gauche, ce n'est pas de ma faute, mais celle des filles : pourquoi y en a-t-il autant, aussi désirables et provocantes ? D'accord je suis facile à conquérir et en plus si la fille m'asticote un peu je ne résiste pas.
Dernièrement une fille m'a fait du charme au cour d'un séminaire d'entreprise. Je la connaissais vaguement de vue. Assis l'un à coté de l'autre, pendant une pose elle me pose la question de savoir si j'étais marié et avait des enfants. Je suis célibataire. Du coup elle ne me lâche plus. Ses intentions sont évidentes, elle me veut comme amant. Comme elle est fort bien faite à 30 ans et semble-t-il d'évidentes dispositions à la baise, je me laisse draguer.
Ce n'est pas courant qu'une jeune femme me fasse des propositions de ce type. Je la laisse faire pour lui monter que je ne suis de ceux que l'on peut mettre dans son lit facilement. En somme je joue à l'inverse de l'ordinaire. Le premier soir elle m'invite à venir dans sa chambre pour prendre un verre. Je refuse : peut être demain.
Le lendemain matin, à la reprise du séminaire, toujours assise à mes côtés, elle continue à me faire du charme. Cette fois je joue à fond. Si elle me veut, il faut qu'elle me fasse des propositions peu ordinaires dans la bouche d’une fille. Vers la fin de la journée, elle me glisse à l'oreille qu'elle me désire, et que ce soir si je viens prendre un verre dans sa chambre elle me récompenserait. Je la regarde bien dans les yeux et je pose une main sur son genou. Ce n'est pas la peine de faire un dessin. J'accepte.
Le soir, nous dinons ensemble et elle va pour se lever et me demande d'attendre un peu pour monter dans sa chambre. J'attends peut-être dix minutes et monte chez elle. Je frappe et elle me répond d'entrer. J'ai une surprise: elle ne porte sur elle qu'une paire de bas et un t-shirt très court qui laisse voir sa poitrine et le reste de son corps.
Elle m'ordonne de me déshabiller devant elle. Une fois nu je veux aller vers elle: ce n'est pas le moment, avant elle veut se branler devant moi. Et le plus fort est qu'elle se couche, écarte les jambes devant moi et je vois sa main droite aller caresser son bouton. Elle me regarde et comme je bande elle m'interdit de ma branler. Il faut que j'attende qu'elle jouisse.
Heureusement qu'elle ne tarde pas trop. Je m'approche d'elle et je me penche pour enfin l'embrasser. Elle ouvre a bouche et nos langues rentrent dans la bouche de l'autre. Je lui caresse un sein. Enfin je descends ma main vers son con. Il est très humide de cyprine: je ne la branle pas encore je caresse toute son entre cuisse avant de me fixer sur son petit trou. Elle ma laisse faire et je mouille mon doigt directement à la source avant de l'enfoncer dans son cul. Je fais aller et venir mon doigt: elle gémit doucement et jouit. Si elle aime la sodomie, je sais fort bien enculer une fille et la rendre heureuse.
Pourtant je bande comme un âne et je me refuse à la baiser: je pose ma bouche sur son clitoris. Je l'aspire et ma langue le lèche sans arrêt. Elle jouit encore et je recommence mon cunnilingus puisqu'il semble apprécier l'amour lingual. Elle me tient la tête, ne me guide même pas et prend son plaisir d’une façon naturelle. Elle ne fais rien pour moi, alors je me positionne entre ses jambes et viens poser mon mandrin sur sa moule. Elle me guide vers son vagin et accompagne tous mes mouvements. En femme très au courant elle met ses jambes autour de mes hanches. Je m'enfonce à fond dans son con, notre jouissance commune est divine.
Elle m'embrasse longtemps et sa main vient sur ma pine pour que je bande encore. Ce qu'elle ne sait pas c'est que dans ces conditions ma deuxième érection dure longtemps, très longtemps. Je me retourne et la suce encore. J'ai mis ma queue sur sa bouche qu'elle ouvre et me suce délicatement: sa langue effleure à peine mon gland pour venir me lécher toute la colonne. Enfin elle me prend presque en entier et suce maintenant comme si elle tétait.
De mon coté je lui ai pris le clitoris une fois de plus, et j'y ajoute deux doigts dans le cul.
Nous pratiquons l'amour d'une façon très libre. Elle jouit bien avant moi. Quand je décharge, je ne le lui dis même pas. Elle prend mon sperme dans la bouche et le déguste avant de l'avaler.
Je bande toujours et la fait mettre sur le ventre: je lui prends de la cyprine et la met sur son cul. J'approche ma queue de son anus. Elle me demande d'aller doucement: elle est vierge de ce coté là. Elle écarte les jambes au maximum et écarte avec les mains les globes de ses fesses.
Pour lui faire aimer cette première fois je passe une main sous elle pour la branler. Elle me repousse et c'est elle qui se branle en attendant que je lui mette ma bite en elle. Aussi j'y vais très lentement: mon gland écarte son sphincter qui s'ouvre facilement finalement. Elle dit qu'elle a un peu mal quand je lui mets toute la longueur de ma bite. les vas. Je commence les vas et viens quand d'un seul coup, elle me dit avec surprise qu'elle aime cette sensation
Avoir une pine au cul et se branler est formidable. Je lui demande de finir de se masturber pour profiter uniquement de ma queue. Elle écoute et soudain accompagne mes mouvements. Enfin elle jouit. Je continue à lui limer le cul jusqu'à ce que je jouisse, ce qui entraine chez elle une autre jouissance.
Nous nous écroulons complètement vidés. Mais je continu à bander: elle prend ma bite dans sa main droite et avec beaucoup de dextérité elle me branle jusqu'à ce que je jouisse. Cette fois je débande complètement: elle aurait aimé continuer. Je ne peux plus la baiser, alors, pour être le plus possible impudique elle pose ses genoux de part et d'autre de mon visage, écarte ses lèvre, fait ressortit son clitoris et se met en devoir de se masturber. Je vois en gros plan ses doigts s'agitaient sur son con. Elle va jouir quand elle remarque que ma bite bande à nouveau. Elle fini de se donner du plaisir pour enfin venir s'enferrer sur ma bite dans son con. C'est elle seule qui se baise. Nous jouissons une dernière fois.
La suite du séminaire se déroule dans les mêmes conditions, sauf que parfois elle se branle pendant les interventions des intervenants.

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