Titre de l'histoire érotique : L'ETE INDIEN
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : L'ETE INDIEN
L’ETE INDIEN
Je m’appelle Alice. Permettez-moi une brève description de ma personne. Célibataire, vingt deux ans, brune (souche italienne oblige) aux cheveux longs. Yeux vert (certes, ca fait très cliché, mais je n’y peux rien), un mètre soixante douze, 90b. Et... un joli petit sexe rasé de près.
Que dire d’autre… ?
Outre un très léger strabisme je suis plutôt bien foutue, fine et élancée.
Ha oui ! J’ai une passion.
J’adore allumer les hommes. Oui, oui, je suis belle et bien ce qu’on appelle une allumeuse.
Je ne peux pas passer une journée sans rendre un homme fou de désir pour moi et disparaitre en douce au premier tournant.
Je n’hésite pas à utiliser des stratagèmes machiavéliques pour les faire tomber dans ma toile. Pour moi ca aurait presque plus d’intérêt qu’un acte sexuel.
Voir des bosses dans des pantalons, esquiver des caresses ou des baisers après les avoir cherchés ou encore se régaler des regards brillant d’envies sont autant de petites choses qui m’excitent et réchauffent mon ventre.
Mais parfois le jeu dérape. Une claque peut tomber ou une situation peut m’échapper.
Et c’est ce qui c’est produit aujourd’hui.
Laissez-moi plutôt vous raconter.
Nous sommes le quinze septembre. Depuis trois jours il fait chaud. Trop chaud pour la saison parait t’il.
Personne ne s’en plaint et surtout pas moi.
Je déambule au bois de Vincennes, mon grand sac de paille en bandoulières et mes lunettes de soleil rivées sur mon nez.
Mise en valeur par une toute petite jupe en jeans, j’exhibe mes jambes nues.
Mon regard dissimulé derrière les verres teintés, je peux tout à mon aise observer ceux des promeneurs.
Certains matent discrètement, d’autre sont insistant. Il y en a même qui se sentent obligés de siffler ou de faire des bruits ridicules avec leur bouche.
Mais ceux que je préfère, ce sont les hommes accompagnés de leurs épouses ou de leurs maitresses. Ils m’amusent beaucoup. J’aime leurs coups d’œil rapides et frustrés.
Certains se font prendre. J’adore entendre leurs explications.
« Mais non chérie ! Je n’ai pas regardé ! Je m’en fou de cette greluche ! »
Mais oui, bien sur !
Je m’approche du bord du lac et je m’accroupie. Je sais que dans cette posture mes cuisses sont encore plus visibles et que ma jupe qui se tend, dessine avec précision les courbes de mon fessier.
Je pose mon sac près de moi et fouille dedans à la recherche du pain rassis que j’ai apporté à mes amis canards.
J’aime les regarder s’ébattre dans l’eau.
Ils sont drôles.
« Ils sont drôles. »
Un homme vient de s’arrêter près de moi. Il reste debout et je dois lever la tête pour voir à quoi il ressemble.
La quarantaine avancée, pas mal fait et bien habillé.
Le fait qu’il ait engagé la conversation me conforte dans l’idée qu’il pourrait faire une bonne victime.
A moi de le séduire.
« Oui, très drôles. C’est ce que je me disais. »
Je jette deux ou trois bouts de pain et j’essuie mes mains sur mes cuisses.
Ce geste pourrait sembler anodin, mais pour un homme qui a des vus sur moi, il est forcement excitant.
Autre technique, j’écarte le col de ma chemise et dégage mon épaule pour la masser ou la gratouiller.
Cinq centimètres de peau nus le rend dingue et l’effet ne se fait pas attendre.
Je vois une bosse gonfler dans son pantalon. Mieux, je vois son sexe le long de sa cuisse.
Cet homme porte un caleçon, ou peut être même, rien du tout.
Il a les mains dans ses poches. Pensant que je ne le vois pas, il se caresse un peu et essaye de la placer confortablement.
Il se rapproche un peu et s’accroupi aussi.
Je le regarde et lui fais mon plus beau sourire. Je le sais déjà à ma merci.
« Je m’appelle Emilio. »
Il me tend la main. Je lui donne la mienne.
Pendant une seconde il a plongé sont regard dans mon décolleté.
C’est bon signe.
« Enchantée, moi c’est Alice. »
Je porte une chemise blanche. Une chemise d’homme. Une chemise deux fois trop grande. Une chemise que mon grand père aurait pu porter.
Vous ne voyez pas pourquoi ?
L’avantage de ce style de vêtement, c’est que mes seins sont à leurs aises. Imaginons que je défasse un bouton de plus à mon décolleté. Que se passe-t-il ?
Il suffit de se pencher un tout petit peu pour pouvoir les contempler. Et voilà !
Je vous avais prévenu, je peux être machiavélique.
A quelque mètre derrière lui, un enfant trébuche et tombe.
« Ho ! Le pauvre ! »
Il se retourne et mon bouton saute, ni vu, ni connu.
Je pose mon sac devant mes genoux et je me penche un peu pour le fouiller.
Ce que j’espérais fonctionne.
Le tissu s’écarte de ma poitrine. Il peut maintenant la contempler à loisir.
Derrière mes lunettes je l’observe discrètement.
Ses yeux ne quittent plus mes seins. Il se tord les doigts et semble très nerveux.
J’aime ca.
« Vous venez souvent, ici ? »
Question bateau qui prouve son trouble. Il ne sait pas comment m’aborder.
« Ho ! À chaque fois que j’ai du pain dur et que le ciel est bleu. »
Je tends mon bras en direction des canards ce qui ouvre encore plus ma chemise. Il doit apercevoir le haut de mon ventre en plus de mes seins.
Je l’entrevois toucher sa queue en douce.
Il est à l’étroit.
Humm ! Quel bonheur.
« Mariée ? Des enfants ? »
Dommage qu’il n’ait pas plus de conversation que ca.
Il va commencer à être pénible. Je vais lui faire penser à autre chose.
« Mariée ? Surement pas. Ni petit ami. Je suis une célibataire endurcie. J’aime trop ma…Oups ! »
Rappelez-vous, je suis accroupie.
Je fais mine de perdre l’équilibre. Je tourne sur mes pieds, me jette en arrière et je maitrise ma chute en posant une main par terre.
Dans cette position, j’ai les jambes écartées et mon sexe lisse, bien visible, lui explose au visage, à quelque centimètres de ses yeux.
Son cœur doit battre la chamade.
Derrière mes verres fumés je m’amuse de le voir troublé, gêné mais terriblement excité.
Il ne pense même pas à m’aider à me relever.
Je lui tends la main. Il me tire doucement et à regret me regarde resserrer mes cuisses.
C’est trop dur pour lui. Il tente une approche et pose sa main sur mon genou.
« Ca vas ? Vous ne vous êtes pas fait mal ? »
« Non, c’est bon ! »
Je le casse un peu en lui retirant la main. Il va bientôt être temps de lui porter l’estocade.
Mais pour l’instant, je laisse monter la pression. Il contemple mes seins avec de plus en plus d’assurance.
« Je ne comprend pas qu’une jolie fille comme vous, soit encore seule ! »
Je lance du pain et m’essuie de nouveau sur mes cuisses. Petite variante, je les frotte également sur mes fesses.
Il craque.
« Vous êtes ravissante. »
« Merci, c’est gentil. »
Je dois faire vite avant qu’il ne sorte une nouvelle bêtise.
Je ramasse mon sac et je me lève en me penchant au maximum une dernière fois.
« Bonne journée ! »
Je tourne les talons et m’éloigne, le laissant seul comme un con, accroupi au bord de l’eau.
Je jubile de plaisir.
J’ai été très bonne.
J’entame un nouveau tour de lac. J’adore marcher. Surtout lorsque je sens mon coquillage humide. Et c’est le cas. Ce type m’a bien excitée tout de même.
Le regard des hommes que je croise à changé. Je ne comprends pas. Pour le coup ils me détaillent avec une incroyable insistance. Ils me font de grands et larges sourires. Je sens même qu’ils se retournent sur moi.
Je passe ma main sur mes fesses pour vérifier que ma jupe ne soit pas relevée. Ce n’est pas le cas.
Il faudra un vent léger pour que je comprenne. Je suis très surprise de le sentir souffler sur mon ventre.
Houlàlà ! Non seulement j’ai oublié de remettre le bouton que j’avais ôté, mais deux autres ont également sautés. Surement quand j’ai fais ma fausse chute.
En fait, je suis quasiment les seins à l’air.
Bravo ! Moi qui aime aguicher, je fais fort.
Je me reboutonne discrètement et reprend ma promenade.
La honte ! J’ai tout de même fais plus de la moitié du tour du lac ainsi.
Bof ! Je m’en remettrais.
Au bout d’une heure, je termine ma promenade et me voilà revenue à mon point de départ.
Je m’installe sur un banc. De mon sac, j’extirpe un livre de poche, puis je le cale ensuite entre mes jambes. Je les laisse légèrement écartées pour exposer l’intérieur de mes cuisses.
Lecture des plus coquines. « Les onze mille verges » de Guillaume Apollinaire.
« Si je ne fais pas vingt fois l'amour de suite, que les onze mille vierges ou onze mille verges me châtient. Il n'avait pas baisé vingt fois de suite, ... »
Je suis toute à la vie et aux amours de cet hospodar lorsque je suis dérangée.
« Intéressant ? »
C’est l’homme de tout à l’heure. Il s’assoit près de moi.
Je ferme mon livre et le retourne sur mes cuisses et pose mes mains dessus. Il ne verra pas de quoi il s’agit.
« Ho ! ca ? Non, pas du tout. Un roman à l’eau de rose. »
« Vous êtes partie tellement vite tout à l’heure que je n’ai pas eu le temps de vous dire au revoir. »
« Vraiment ? Je suis partie si vite que ca ? »
Je lui remettrais bien la pression. Il m’a l’air…chaud, bouillant ce pauvre homme.
Mince, je regrette d’avoir fermé mes boutons. Il ne va pas m’être aisé d’en ouvrir ne serrait ce qu’un seul.
Mon portable sonne. Voilà peut être une opportunité intéressante.
Je prends mon sac et le pose près de moi. Je pars à la recherche de mon téléphone. Et oui ! C’est un sac de femme ! C’est le bazar.
Comme je tourne le dos au type, je peux ouvrir ma chemise sans qu’il puisse voir que c’est volontaire.
J’entends un bruit. Je n’y porte pas attention. Pourtant, je devrais.
Voilà mon téléphone. Trop tard. Pas grave c’est une amie. Elle rappellera.
Fière de mon embrouille, je replace mon sac entre mes jambes.
Merde ! Merde ! Et re merde !
Il a mon livre entre les mains. Il le frotte. Voilà ce qu’était ce bruit. Mon livre a glissé et il est tombé.
Ce n’est pas dans ma nature, mais je deviens rouge comme une pivoine.
« Tiensss ! Ce bon vieux « Apo » ! Voilà longtemps que je ne l’ai pas relu. »
Honteuse, je lui arrache presque des mains et le balance dans mon sac.
« Vous appelez ca de l’eau de rose, vous ? C’est plutôt de la grosse pornographie, bien caustique et perverse ! Non ? »
Je ne réponds pas. Mince ! Je suis totalement déstabilisée.
Il faut absolument que je reprenne le contrôle. Mais comment.
« Vous arrivez encore à voir quelque chose avec vos lunettes de soleil ? Le soleil se couche ! »
« Ho ! Oui ! Vous avez raison. »
Je les retire et tente de profiter de cette perche tendue.
Je me penche et prend mon temps pour les ranger dans mon sac.
Regarde-t-il ? Je n’en sais rien. Il faut que je sache.
Alors, avant de me relever, je tourne la tête brusquement vers lui.
Oui, oui, il regardait. Je me redresse en lui adressant un large sourire.
« Vous aviez raison ! Je vois mieux ainsi. Hihi ! »
« Humm ! Vous avez des yeux magnifiques ! »
Aille ! Raté ! Je n’ai pas repris le contrôle.
Il se glisse presque contre moi et pose son bras derrière mon dos, sur le dossier du banc. Puis, de son autre main, il tourne un peu plus mon visage vers lui en appuyant doucement sur ma joue.
Ce n’est pas possible ! Je suis troublée !
Merde, je suis à sa merci.
« Deux magnifiques émeraudes ! »
« Pff ! Vous voulez rire, je louche ! C’est affreux ! »
« Si peu ! Presque pas ! Ca vous donne un air fripon, c’est mignon comme tout. »
Une fois de plus, je rougie.
C’est foutu, je ne ferais pas grand-chose de plus avec ce type. Il a gagné.
« Bon ! Je vais y aller. Il commence à se faire tard. »
« Mais non, il est à peine dix neuf heure trente et personne qui ne vous attend à la maison ! »
Il devient entreprenant. Ce n’est pas fait pour me déplaire.
Sa main dans mon dos, viens sur mon épaule. Il m’attire à lui, tout en posant son autre main à plat sur mon ventre. Je trésaille.
J’expire rapidement et ma respiration se bloque.
Comment a-t-il deviné que mon ventre était la zone la plus érogène de mon corps ?
« On est pas bien, là ? »
Je deviens une fille de coton, sans force, molle. C’est une impression étrange.
Un couple qui passe nous salut en souriant.
Ma différence d’âge avec cet homme, ses gestes ambigus, tout peut laisser penser que je suis sa maitresse. Je sourirais aussi, c’est sur.
Ca me gêne et du coup je resserre mes jambes. Je ne sais pas trop pourquoi, car le bois c’est vidé de ses promeneurs. Outre ce petit couple qui s’éloigne, il ne reste que quelques hommes de ci de là.
Il commence à faire très sombre.
Son pouce glisse entre deux boutons et touche mon nombril. Je sursaute.
« Et bien ! Vous êtes très sensible ! »
Je chavire. Je me sens perdue.
« Peut être vaudrait t’il mieux que je m’en aille, maintenant. »
« Hum ! Après le cirque que tu m’as fait cet après midi, moi je trouve que ta place est ici ! Avec moi ! Non ? »
Ce tutoiement soudain me glace le sang.
Il a fait sauter un bouton et c’est maintenant sa main entière qui palpe et caresse mon ventre sous ma chemise.
Je sens mon antre couler comme une fontaine et anéantie par une envie incontrôlable de jouir, je ferme les yeux pour me calmer.
Sa main qui était sur mon épaule, attire mon visage au sien.
Ses lèvres frôlent les miennes et sa langue n’aura aucune peine à les ouvrir et à pénétrer ma bouche.
Je ne parviendrais plus à me calmer. J’en ai pour preuve ma main qui vient de se poser sur sa cuisse et mes doigts qui s’y crispent.
Il sait qu’il a gagné. Tout en m’embrassant fougueusement, sa main fouille et glisse dans ma chevelure tandis que de l’autre, dans ma chemise, il m’étreint, caresse mon flan, puis mes seins et encore mon ventre. Elle est partout à la fois.
Posant son front contre le mien, noyant son regard dans mes « émeraudes », il réitère sa question.
« On est pas bien, là ? »
De plus en plus perturbée, incapable de répondre, je tourne la tête vers le lac. Un ciel orangé s’y reflète. Le soleil a déjà disparut derrière les grands arbres. Dans dix minutes à peine, la nuit s’installera sur le bois.
C’est évident, je suis bien !
Je remonte ma main le long de sa cuisse et caresse doucement le renflement dans son pantalon.
Sa main quitte ma chemise et glisse sous ma jupe.
Inutile de chercher à résister. J’écarte mes cuisses, je lui ouvre le passage. L’heure n’est plus à la provoque. Je me donne
Son doigt glisse sur ma fente lisse.
« Tu baignes dans ton jus, salope ! »
La grossièreté ne me dérange pas, bien au contraire, elle m’excite.
Mes doigts trouvent la languette de sa fermeture éclair. Je la fais glisser, doucement.
Ses doigts plongent entre mes grandes lèvres, ma main dans sa braguette ouverte.
Il fouille ma chatte bouillante et gluante, je me démène pour trouver l’ouverture de son caleçon. Il titille mon bouton rose, je sors son membre puissant, tendu.
Mais soudain, je me raidie.
« Qu’y a-t-il ? ca ne vas pas ? »
« Là bas ! Derrière l’arbre ! Il y a quelqu'un qui nous regarde. »
Un type à moitié caché, se masturbe en nous observant.
« Oui, en effet, je le vois. T’inquiète pas, ce n’est pas grave. Embrasse-moi.»
Je suis une allumeuse, pas une exhibitionniste. Déjà me faire peloter sur un banc n’est pas dans mes habitudes, mais devant un vicelard… j’ai du mal.
« Je peux pas ! Pas devant lui ! »
« Bien sur que si ! On va même lui en donner plus. Laisse faire. »
Il défait les boutons de ma chemise. Je l’arrête.
« Putain ! Arrête de faire ta sainte nitouche ! Ouvre ca ! »
Il tire sur le tissu et voilà mes seins à l’air.
« Branle moi, salope ! »
Même si je reste peu rassurée, j’essais de faire abstraction de ce gêneur.
Sa queue est belle, chaude. Je la presse et la tire. Mon pouce passe sur son gland et étale une goutte de sirop de plaisir. Hum ! J’y gouterais volontiers.
Il doit lire dans mes pensées.
« Humm ! Suce-moi, putain ! »
Un coup d’œil au voyeur. Il n’a pas bougé.
Je me penche et laisse sa queue prendre possession de ma bouche.
J’aime son gout, elle est divinement bonne.
« Hummm ! Ouiii ! Prend la bien à fond ! »
Ne pouvant plus atteindre ma chatte, il tire sur ma jupe. Le tissu tendu se relâche et roule sur lui-même. Je me retrouve le cul à l’air avec une ceinture de jeans.
Il a beau faire nuit, je n’ai pas l’habitude d’être nue, en plein air, devant tout le monde.
Enfin ! Au moins un. A ce propos.
Je me tourne pour voir si le type est toujours aussi discret.
Je frémies.
Il n’est plus derrière sont arbre et c’est rapproché. Bien qu’il soit encore à bonne distance, je veux faire part de mes craintes et me redresse. Je rabats ma chemise sur moi et serre les cuisses.
« Qu’est ce que tu fou ? »
« Le type, là ! Il c’est rapproché ! Qu’est ce qui veut ? Il ne peut pas s’en aller et nous laisser tranquille ! »
« Pourquoi ferait-il ca ? Ce n’est pas tout les jours qu’on tombe sur une salope qui montre son cul ! Hahaha ! »
« Peut être, mais moi ca m’embarrasse. »
« Qu’est ce que tu veux ! Il ne va pas laisser sa place aux autres, non plus ! »
« Aux autres ? Quels autres ? »
« Ben, eux ! »
Il m’indique deux autres hommes, plus ou moins cachés dans les sous bois. Je n’en crois pas mes yeux.
« T’a rien à craindre. Ils ne vont pas te manger ! Quoi que… »
Etrangement, la surprise passée, je trouve ca, plutôt excitant et je décide de jouer le jeu à fond.
Je me lève et me penche pour reprendre ma fellation, le cul bien haut, exposé à mes nouveaux amis.
Je n’attendrais pas longtemps avant de sentir une chose chaude toucher mes fesses.
Des bruits de pas et des mains qui se posent sur moi, m’indiquent qu’ils sont là tout les trois.
Alors qu’un membre puissant prend place dans mon ventre. Des mains caressent, mes fesses, mes seins qui ballotent.
Ils me prennent tour à tour coté pile et coté face.
Emilio m’a fait don de sa semence et me regarde satisfaire ses collègues.
J’avoue qu’il y avait longtemps que je n’avais pas jouie si fort.
Les types sont partis et Emilio me laisse reprendre mes esprits tout en me caressant.
« Tu es venue comment ? »
« En métro. »
« À cette heure ci, ce n’est plus très prudent, surtout habillée ainsi. Je te ramène. Ne crains rien, je ne vais pas t’enlever. Haha ! »
« Humm ! Je n’ai pas peur ! »
Nous remontons une allée qui ramène à un petit parking. Il est désert. Seul, le 4X4 d’Emilio.
C’est un monstre impressionnant.
Je grimpe.
L’intérieur est immense. Je n’aurais jamais pensé ca.
Evidement, Emilio profite de la situation.
Nous nous embrassons. Il me caresse les seins, puis les cuisses et enfin le sexe.
Il s’aperçoit que je déborde.
« Beurck ! C’est dégueulasse ! Merde ! Je voulais te la bouffer ! »
« Désolée ! Je n’y peux rien ! Hihihi ! »
« Cesse de rire, idiote ! Dis moi plutôt ce que tu penses de mon levier de vitesse. »
« Il est énorme ! »
C’est vrai qu’il est énorme et surmonté d’une belle et grosse boule.
« Tu la veux ? »
« Comment ca ? »
« Empale-toi ! »
Je pose ma main dessus. Je le caresse, je le jauge.
L’idée me plait bien.
Je passe par-dessus, jambes grandes ouvertes. Je fais glisser ma vulve sur la boulle chromée. Elle est énorme, presque trop. J’hésite.
Emilio me présente sa queue une fois de plus. Je me penche pour l’atteindre de ma bouche.
Je n’ai pas le choix. Si je veux le sucer, il me faut gagner du terrain en m’empalant.
Je frotte pour bien lubrifier du foutre des autres hommes et je retente la pénétration en écartant bien mes grandes lèvres.
J’y suis arrivée. J’ai gobé la boule et me laisse glisser sur le manche.
C’est trop bon et je délaisse Emilio pour être tout à mon plaisir. C’est fantastique. Je ferme les yeux.
Mais tout à coup je me sens traversée par la foudre mêlée au tonnerre.
C’est Emilio qui vient de mettre le contact. Tout le véhicule c’est mis à vibrer et bien sur, le levier avec.
Je suis secouée par un orgasme violent.
Emilio en veut plus et appui sur l’accélérateur.
Le gode géant cogne mes parois vaginal. Je suis secouée de l’intérieur et je jouie encore et encore. Jamais plus, je pense, je ne ressentirais ce genre de chose.
Finalement, une journée qui dérape, ca peut avoir du bon.
Non ?
Je m’appelle Alice. Permettez-moi une brève description de ma personne. Célibataire, vingt deux ans, brune (souche italienne oblige) aux cheveux longs. Yeux vert (certes, ca fait très cliché, mais je n’y peux rien), un mètre soixante douze, 90b. Et... un joli petit sexe rasé de près.
Que dire d’autre… ?
Outre un très léger strabisme je suis plutôt bien foutue, fine et élancée.
Ha oui ! J’ai une passion.
J’adore allumer les hommes. Oui, oui, je suis belle et bien ce qu’on appelle une allumeuse.
Je ne peux pas passer une journée sans rendre un homme fou de désir pour moi et disparaitre en douce au premier tournant.
Je n’hésite pas à utiliser des stratagèmes machiavéliques pour les faire tomber dans ma toile. Pour moi ca aurait presque plus d’intérêt qu’un acte sexuel.
Voir des bosses dans des pantalons, esquiver des caresses ou des baisers après les avoir cherchés ou encore se régaler des regards brillant d’envies sont autant de petites choses qui m’excitent et réchauffent mon ventre.
Mais parfois le jeu dérape. Une claque peut tomber ou une situation peut m’échapper.
Et c’est ce qui c’est produit aujourd’hui.
Laissez-moi plutôt vous raconter.
Nous sommes le quinze septembre. Depuis trois jours il fait chaud. Trop chaud pour la saison parait t’il.
Personne ne s’en plaint et surtout pas moi.
Je déambule au bois de Vincennes, mon grand sac de paille en bandoulières et mes lunettes de soleil rivées sur mon nez.
Mise en valeur par une toute petite jupe en jeans, j’exhibe mes jambes nues.
Mon regard dissimulé derrière les verres teintés, je peux tout à mon aise observer ceux des promeneurs.
Certains matent discrètement, d’autre sont insistant. Il y en a même qui se sentent obligés de siffler ou de faire des bruits ridicules avec leur bouche.
Mais ceux que je préfère, ce sont les hommes accompagnés de leurs épouses ou de leurs maitresses. Ils m’amusent beaucoup. J’aime leurs coups d’œil rapides et frustrés.
Certains se font prendre. J’adore entendre leurs explications.
« Mais non chérie ! Je n’ai pas regardé ! Je m’en fou de cette greluche ! »
Mais oui, bien sur !
Je m’approche du bord du lac et je m’accroupie. Je sais que dans cette posture mes cuisses sont encore plus visibles et que ma jupe qui se tend, dessine avec précision les courbes de mon fessier.
Je pose mon sac près de moi et fouille dedans à la recherche du pain rassis que j’ai apporté à mes amis canards.
J’aime les regarder s’ébattre dans l’eau.
Ils sont drôles.
« Ils sont drôles. »
Un homme vient de s’arrêter près de moi. Il reste debout et je dois lever la tête pour voir à quoi il ressemble.
La quarantaine avancée, pas mal fait et bien habillé.
Le fait qu’il ait engagé la conversation me conforte dans l’idée qu’il pourrait faire une bonne victime.
A moi de le séduire.
« Oui, très drôles. C’est ce que je me disais. »
Je jette deux ou trois bouts de pain et j’essuie mes mains sur mes cuisses.
Ce geste pourrait sembler anodin, mais pour un homme qui a des vus sur moi, il est forcement excitant.
Autre technique, j’écarte le col de ma chemise et dégage mon épaule pour la masser ou la gratouiller.
Cinq centimètres de peau nus le rend dingue et l’effet ne se fait pas attendre.
Je vois une bosse gonfler dans son pantalon. Mieux, je vois son sexe le long de sa cuisse.
Cet homme porte un caleçon, ou peut être même, rien du tout.
Il a les mains dans ses poches. Pensant que je ne le vois pas, il se caresse un peu et essaye de la placer confortablement.
Il se rapproche un peu et s’accroupi aussi.
Je le regarde et lui fais mon plus beau sourire. Je le sais déjà à ma merci.
« Je m’appelle Emilio. »
Il me tend la main. Je lui donne la mienne.
Pendant une seconde il a plongé sont regard dans mon décolleté.
C’est bon signe.
« Enchantée, moi c’est Alice. »
Je porte une chemise blanche. Une chemise d’homme. Une chemise deux fois trop grande. Une chemise que mon grand père aurait pu porter.
Vous ne voyez pas pourquoi ?
L’avantage de ce style de vêtement, c’est que mes seins sont à leurs aises. Imaginons que je défasse un bouton de plus à mon décolleté. Que se passe-t-il ?
Il suffit de se pencher un tout petit peu pour pouvoir les contempler. Et voilà !
Je vous avais prévenu, je peux être machiavélique.
A quelque mètre derrière lui, un enfant trébuche et tombe.
« Ho ! Le pauvre ! »
Il se retourne et mon bouton saute, ni vu, ni connu.
Je pose mon sac devant mes genoux et je me penche un peu pour le fouiller.
Ce que j’espérais fonctionne.
Le tissu s’écarte de ma poitrine. Il peut maintenant la contempler à loisir.
Derrière mes lunettes je l’observe discrètement.
Ses yeux ne quittent plus mes seins. Il se tord les doigts et semble très nerveux.
J’aime ca.
« Vous venez souvent, ici ? »
Question bateau qui prouve son trouble. Il ne sait pas comment m’aborder.
« Ho ! À chaque fois que j’ai du pain dur et que le ciel est bleu. »
Je tends mon bras en direction des canards ce qui ouvre encore plus ma chemise. Il doit apercevoir le haut de mon ventre en plus de mes seins.
Je l’entrevois toucher sa queue en douce.
Il est à l’étroit.
Humm ! Quel bonheur.
« Mariée ? Des enfants ? »
Dommage qu’il n’ait pas plus de conversation que ca.
Il va commencer à être pénible. Je vais lui faire penser à autre chose.
« Mariée ? Surement pas. Ni petit ami. Je suis une célibataire endurcie. J’aime trop ma…Oups ! »
Rappelez-vous, je suis accroupie.
Je fais mine de perdre l’équilibre. Je tourne sur mes pieds, me jette en arrière et je maitrise ma chute en posant une main par terre.
Dans cette position, j’ai les jambes écartées et mon sexe lisse, bien visible, lui explose au visage, à quelque centimètres de ses yeux.
Son cœur doit battre la chamade.
Derrière mes verres fumés je m’amuse de le voir troublé, gêné mais terriblement excité.
Il ne pense même pas à m’aider à me relever.
Je lui tends la main. Il me tire doucement et à regret me regarde resserrer mes cuisses.
C’est trop dur pour lui. Il tente une approche et pose sa main sur mon genou.
« Ca vas ? Vous ne vous êtes pas fait mal ? »
« Non, c’est bon ! »
Je le casse un peu en lui retirant la main. Il va bientôt être temps de lui porter l’estocade.
Mais pour l’instant, je laisse monter la pression. Il contemple mes seins avec de plus en plus d’assurance.
« Je ne comprend pas qu’une jolie fille comme vous, soit encore seule ! »
Je lance du pain et m’essuie de nouveau sur mes cuisses. Petite variante, je les frotte également sur mes fesses.
Il craque.
« Vous êtes ravissante. »
« Merci, c’est gentil. »
Je dois faire vite avant qu’il ne sorte une nouvelle bêtise.
Je ramasse mon sac et je me lève en me penchant au maximum une dernière fois.
« Bonne journée ! »
Je tourne les talons et m’éloigne, le laissant seul comme un con, accroupi au bord de l’eau.
Je jubile de plaisir.
J’ai été très bonne.
J’entame un nouveau tour de lac. J’adore marcher. Surtout lorsque je sens mon coquillage humide. Et c’est le cas. Ce type m’a bien excitée tout de même.
Le regard des hommes que je croise à changé. Je ne comprends pas. Pour le coup ils me détaillent avec une incroyable insistance. Ils me font de grands et larges sourires. Je sens même qu’ils se retournent sur moi.
Je passe ma main sur mes fesses pour vérifier que ma jupe ne soit pas relevée. Ce n’est pas le cas.
Il faudra un vent léger pour que je comprenne. Je suis très surprise de le sentir souffler sur mon ventre.
Houlàlà ! Non seulement j’ai oublié de remettre le bouton que j’avais ôté, mais deux autres ont également sautés. Surement quand j’ai fais ma fausse chute.
En fait, je suis quasiment les seins à l’air.
Bravo ! Moi qui aime aguicher, je fais fort.
Je me reboutonne discrètement et reprend ma promenade.
La honte ! J’ai tout de même fais plus de la moitié du tour du lac ainsi.
Bof ! Je m’en remettrais.
Au bout d’une heure, je termine ma promenade et me voilà revenue à mon point de départ.
Je m’installe sur un banc. De mon sac, j’extirpe un livre de poche, puis je le cale ensuite entre mes jambes. Je les laisse légèrement écartées pour exposer l’intérieur de mes cuisses.
Lecture des plus coquines. « Les onze mille verges » de Guillaume Apollinaire.
« Si je ne fais pas vingt fois l'amour de suite, que les onze mille vierges ou onze mille verges me châtient. Il n'avait pas baisé vingt fois de suite, ... »
Je suis toute à la vie et aux amours de cet hospodar lorsque je suis dérangée.
« Intéressant ? »
C’est l’homme de tout à l’heure. Il s’assoit près de moi.
Je ferme mon livre et le retourne sur mes cuisses et pose mes mains dessus. Il ne verra pas de quoi il s’agit.
« Ho ! ca ? Non, pas du tout. Un roman à l’eau de rose. »
« Vous êtes partie tellement vite tout à l’heure que je n’ai pas eu le temps de vous dire au revoir. »
« Vraiment ? Je suis partie si vite que ca ? »
Je lui remettrais bien la pression. Il m’a l’air…chaud, bouillant ce pauvre homme.
Mince, je regrette d’avoir fermé mes boutons. Il ne va pas m’être aisé d’en ouvrir ne serrait ce qu’un seul.
Mon portable sonne. Voilà peut être une opportunité intéressante.
Je prends mon sac et le pose près de moi. Je pars à la recherche de mon téléphone. Et oui ! C’est un sac de femme ! C’est le bazar.
Comme je tourne le dos au type, je peux ouvrir ma chemise sans qu’il puisse voir que c’est volontaire.
J’entends un bruit. Je n’y porte pas attention. Pourtant, je devrais.
Voilà mon téléphone. Trop tard. Pas grave c’est une amie. Elle rappellera.
Fière de mon embrouille, je replace mon sac entre mes jambes.
Merde ! Merde ! Et re merde !
Il a mon livre entre les mains. Il le frotte. Voilà ce qu’était ce bruit. Mon livre a glissé et il est tombé.
Ce n’est pas dans ma nature, mais je deviens rouge comme une pivoine.
« Tiensss ! Ce bon vieux « Apo » ! Voilà longtemps que je ne l’ai pas relu. »
Honteuse, je lui arrache presque des mains et le balance dans mon sac.
« Vous appelez ca de l’eau de rose, vous ? C’est plutôt de la grosse pornographie, bien caustique et perverse ! Non ? »
Je ne réponds pas. Mince ! Je suis totalement déstabilisée.
Il faut absolument que je reprenne le contrôle. Mais comment.
« Vous arrivez encore à voir quelque chose avec vos lunettes de soleil ? Le soleil se couche ! »
« Ho ! Oui ! Vous avez raison. »
Je les retire et tente de profiter de cette perche tendue.
Je me penche et prend mon temps pour les ranger dans mon sac.
Regarde-t-il ? Je n’en sais rien. Il faut que je sache.
Alors, avant de me relever, je tourne la tête brusquement vers lui.
Oui, oui, il regardait. Je me redresse en lui adressant un large sourire.
« Vous aviez raison ! Je vois mieux ainsi. Hihi ! »
« Humm ! Vous avez des yeux magnifiques ! »
Aille ! Raté ! Je n’ai pas repris le contrôle.
Il se glisse presque contre moi et pose son bras derrière mon dos, sur le dossier du banc. Puis, de son autre main, il tourne un peu plus mon visage vers lui en appuyant doucement sur ma joue.
Ce n’est pas possible ! Je suis troublée !
Merde, je suis à sa merci.
« Deux magnifiques émeraudes ! »
« Pff ! Vous voulez rire, je louche ! C’est affreux ! »
« Si peu ! Presque pas ! Ca vous donne un air fripon, c’est mignon comme tout. »
Une fois de plus, je rougie.
C’est foutu, je ne ferais pas grand-chose de plus avec ce type. Il a gagné.
« Bon ! Je vais y aller. Il commence à se faire tard. »
« Mais non, il est à peine dix neuf heure trente et personne qui ne vous attend à la maison ! »
Il devient entreprenant. Ce n’est pas fait pour me déplaire.
Sa main dans mon dos, viens sur mon épaule. Il m’attire à lui, tout en posant son autre main à plat sur mon ventre. Je trésaille.
J’expire rapidement et ma respiration se bloque.
Comment a-t-il deviné que mon ventre était la zone la plus érogène de mon corps ?
« On est pas bien, là ? »
Je deviens une fille de coton, sans force, molle. C’est une impression étrange.
Un couple qui passe nous salut en souriant.
Ma différence d’âge avec cet homme, ses gestes ambigus, tout peut laisser penser que je suis sa maitresse. Je sourirais aussi, c’est sur.
Ca me gêne et du coup je resserre mes jambes. Je ne sais pas trop pourquoi, car le bois c’est vidé de ses promeneurs. Outre ce petit couple qui s’éloigne, il ne reste que quelques hommes de ci de là.
Il commence à faire très sombre.
Son pouce glisse entre deux boutons et touche mon nombril. Je sursaute.
« Et bien ! Vous êtes très sensible ! »
Je chavire. Je me sens perdue.
« Peut être vaudrait t’il mieux que je m’en aille, maintenant. »
« Hum ! Après le cirque que tu m’as fait cet après midi, moi je trouve que ta place est ici ! Avec moi ! Non ? »
Ce tutoiement soudain me glace le sang.
Il a fait sauter un bouton et c’est maintenant sa main entière qui palpe et caresse mon ventre sous ma chemise.
Je sens mon antre couler comme une fontaine et anéantie par une envie incontrôlable de jouir, je ferme les yeux pour me calmer.
Sa main qui était sur mon épaule, attire mon visage au sien.
Ses lèvres frôlent les miennes et sa langue n’aura aucune peine à les ouvrir et à pénétrer ma bouche.
Je ne parviendrais plus à me calmer. J’en ai pour preuve ma main qui vient de se poser sur sa cuisse et mes doigts qui s’y crispent.
Il sait qu’il a gagné. Tout en m’embrassant fougueusement, sa main fouille et glisse dans ma chevelure tandis que de l’autre, dans ma chemise, il m’étreint, caresse mon flan, puis mes seins et encore mon ventre. Elle est partout à la fois.
Posant son front contre le mien, noyant son regard dans mes « émeraudes », il réitère sa question.
« On est pas bien, là ? »
De plus en plus perturbée, incapable de répondre, je tourne la tête vers le lac. Un ciel orangé s’y reflète. Le soleil a déjà disparut derrière les grands arbres. Dans dix minutes à peine, la nuit s’installera sur le bois.
C’est évident, je suis bien !
Je remonte ma main le long de sa cuisse et caresse doucement le renflement dans son pantalon.
Sa main quitte ma chemise et glisse sous ma jupe.
Inutile de chercher à résister. J’écarte mes cuisses, je lui ouvre le passage. L’heure n’est plus à la provoque. Je me donne
Son doigt glisse sur ma fente lisse.
« Tu baignes dans ton jus, salope ! »
La grossièreté ne me dérange pas, bien au contraire, elle m’excite.
Mes doigts trouvent la languette de sa fermeture éclair. Je la fais glisser, doucement.
Ses doigts plongent entre mes grandes lèvres, ma main dans sa braguette ouverte.
Il fouille ma chatte bouillante et gluante, je me démène pour trouver l’ouverture de son caleçon. Il titille mon bouton rose, je sors son membre puissant, tendu.
Mais soudain, je me raidie.
« Qu’y a-t-il ? ca ne vas pas ? »
« Là bas ! Derrière l’arbre ! Il y a quelqu'un qui nous regarde. »
Un type à moitié caché, se masturbe en nous observant.
« Oui, en effet, je le vois. T’inquiète pas, ce n’est pas grave. Embrasse-moi.»
Je suis une allumeuse, pas une exhibitionniste. Déjà me faire peloter sur un banc n’est pas dans mes habitudes, mais devant un vicelard… j’ai du mal.
« Je peux pas ! Pas devant lui ! »
« Bien sur que si ! On va même lui en donner plus. Laisse faire. »
Il défait les boutons de ma chemise. Je l’arrête.
« Putain ! Arrête de faire ta sainte nitouche ! Ouvre ca ! »
Il tire sur le tissu et voilà mes seins à l’air.
« Branle moi, salope ! »
Même si je reste peu rassurée, j’essais de faire abstraction de ce gêneur.
Sa queue est belle, chaude. Je la presse et la tire. Mon pouce passe sur son gland et étale une goutte de sirop de plaisir. Hum ! J’y gouterais volontiers.
Il doit lire dans mes pensées.
« Humm ! Suce-moi, putain ! »
Un coup d’œil au voyeur. Il n’a pas bougé.
Je me penche et laisse sa queue prendre possession de ma bouche.
J’aime son gout, elle est divinement bonne.
« Hummm ! Ouiii ! Prend la bien à fond ! »
Ne pouvant plus atteindre ma chatte, il tire sur ma jupe. Le tissu tendu se relâche et roule sur lui-même. Je me retrouve le cul à l’air avec une ceinture de jeans.
Il a beau faire nuit, je n’ai pas l’habitude d’être nue, en plein air, devant tout le monde.
Enfin ! Au moins un. A ce propos.
Je me tourne pour voir si le type est toujours aussi discret.
Je frémies.
Il n’est plus derrière sont arbre et c’est rapproché. Bien qu’il soit encore à bonne distance, je veux faire part de mes craintes et me redresse. Je rabats ma chemise sur moi et serre les cuisses.
« Qu’est ce que tu fou ? »
« Le type, là ! Il c’est rapproché ! Qu’est ce qui veut ? Il ne peut pas s’en aller et nous laisser tranquille ! »
« Pourquoi ferait-il ca ? Ce n’est pas tout les jours qu’on tombe sur une salope qui montre son cul ! Hahaha ! »
« Peut être, mais moi ca m’embarrasse. »
« Qu’est ce que tu veux ! Il ne va pas laisser sa place aux autres, non plus ! »
« Aux autres ? Quels autres ? »
« Ben, eux ! »
Il m’indique deux autres hommes, plus ou moins cachés dans les sous bois. Je n’en crois pas mes yeux.
« T’a rien à craindre. Ils ne vont pas te manger ! Quoi que… »
Etrangement, la surprise passée, je trouve ca, plutôt excitant et je décide de jouer le jeu à fond.
Je me lève et me penche pour reprendre ma fellation, le cul bien haut, exposé à mes nouveaux amis.
Je n’attendrais pas longtemps avant de sentir une chose chaude toucher mes fesses.
Des bruits de pas et des mains qui se posent sur moi, m’indiquent qu’ils sont là tout les trois.
Alors qu’un membre puissant prend place dans mon ventre. Des mains caressent, mes fesses, mes seins qui ballotent.
Ils me prennent tour à tour coté pile et coté face.
Emilio m’a fait don de sa semence et me regarde satisfaire ses collègues.
J’avoue qu’il y avait longtemps que je n’avais pas jouie si fort.
Les types sont partis et Emilio me laisse reprendre mes esprits tout en me caressant.
« Tu es venue comment ? »
« En métro. »
« À cette heure ci, ce n’est plus très prudent, surtout habillée ainsi. Je te ramène. Ne crains rien, je ne vais pas t’enlever. Haha ! »
« Humm ! Je n’ai pas peur ! »
Nous remontons une allée qui ramène à un petit parking. Il est désert. Seul, le 4X4 d’Emilio.
C’est un monstre impressionnant.
Je grimpe.
L’intérieur est immense. Je n’aurais jamais pensé ca.
Evidement, Emilio profite de la situation.
Nous nous embrassons. Il me caresse les seins, puis les cuisses et enfin le sexe.
Il s’aperçoit que je déborde.
« Beurck ! C’est dégueulasse ! Merde ! Je voulais te la bouffer ! »
« Désolée ! Je n’y peux rien ! Hihihi ! »
« Cesse de rire, idiote ! Dis moi plutôt ce que tu penses de mon levier de vitesse. »
« Il est énorme ! »
C’est vrai qu’il est énorme et surmonté d’une belle et grosse boule.
« Tu la veux ? »
« Comment ca ? »
« Empale-toi ! »
Je pose ma main dessus. Je le caresse, je le jauge.
L’idée me plait bien.
Je passe par-dessus, jambes grandes ouvertes. Je fais glisser ma vulve sur la boulle chromée. Elle est énorme, presque trop. J’hésite.
Emilio me présente sa queue une fois de plus. Je me penche pour l’atteindre de ma bouche.
Je n’ai pas le choix. Si je veux le sucer, il me faut gagner du terrain en m’empalant.
Je frotte pour bien lubrifier du foutre des autres hommes et je retente la pénétration en écartant bien mes grandes lèvres.
J’y suis arrivée. J’ai gobé la boule et me laisse glisser sur le manche.
C’est trop bon et je délaisse Emilio pour être tout à mon plaisir. C’est fantastique. Je ferme les yeux.
Mais tout à coup je me sens traversée par la foudre mêlée au tonnerre.
C’est Emilio qui vient de mettre le contact. Tout le véhicule c’est mis à vibrer et bien sur, le levier avec.
Je suis secouée par un orgasme violent.
Emilio en veut plus et appui sur l’accélérateur.
Le gode géant cogne mes parois vaginal. Je suis secouée de l’intérieur et je jouie encore et encore. Jamais plus, je pense, je ne ressentirais ce genre de chose.
Finalement, une journée qui dérape, ca peut avoir du bon.
Non ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique histoire
que du bon
au plaisir d'en lire d'autre
que du bon
au plaisir d'en lire d'autre