Titre de l'histoire érotique : L'héritage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : L'héritage
Un de mes oncles m'a légué une grande maison immense entourée d'un très grand parc fermé par des murs très haut: personne ne peut voir ce qui se passe chez moi. J'aime assez la nudité qui à chaque fois me fait bander. Je me promène donc nu, dans ce parc. Je vais me baigner dans la piscine souvent.
J'invite des amis à venir partager les joies de mon chez moi. C'est rare que quelqu'un refuse de venir.
J'ai une femme de ménage qui outre ses occupations passe la nuit chez moi, quelque fois dans ma chambre. Il faut comprendre cette trentenaire qui me voit sans arrêt me promener partout nu a des envie de jouissance. Elle est bien faite et aime baiser, ce qui pour moi est important. Je sais qu'elle se branle assez souvent: je l'entend quand elle se douche: les gémissements ne sont pas simulés au moment de sa jouissance.
Quand j'invite mes amis, elle sait comment faire: elle est nue sous un simple tablier de serveuse. Elle doit être plus que sexy. Mes amis arrivent en couple, la plus part du temps. Nous allons nous installer près de la piscine et là, tout le monde se retrouve à poils. Le spectacle ne manque pas de piquant: les hommes bandent déjà plus ou moins les filles elles font semblant de ne pas remarquer les queues qui raidissent. Enfin la bonne vient porter des rafraîchissements et aussi peu vêtue elle fait un véritable tabac: même les filles en sont toutes émoustillées.
C'est alors que la réception prend tout son charme. Chacun ou chacune choisit son ou sa partenaire.
Pour ma part je choisis en premier la femme de mon meilleur ami. C'est de sa faute, il me parle toujours des baisses extraordinaires qu'ils font. Je l'avais jugé une fois et j'en avais été étonné: quel cul et quel tempérament. Un seul homme ne suffisant pas à la satisfaire, je demandais à un autre homme de venir pour une baise en trio. Son mari lui aimait bien baiser ma bonne qui ne demandait pas mieux. Cette fois je prenais sa femme comme un animal, sans préparatif. Je pensais quelle se plaindrait un peu: non elle aimait baiser aussi comme je la prenait. Mon associé dans cette baise avait une bite assez grosse. Il se mettait sur elle et à ma surprise la bonne que je croyais en train de baiser, venait mouiller le cul et préparer celui-ci pour la sodomie. Elle mettait également la pine en place.
Dans tous les coins il n'y avait que des couples ou des trios baisant. Les couples n'était pas toujours mixtes: Je voyais deux amis se faire un 69 et ils semblaient y prendre beaucoup de plaisir. A coté d'eux deux filles que je ne pensais pas attirer pas le même sexe, se faisait l'amour dans le piscine: on pouvait les voir se masturbant en s'embrassant à pleine bouche. Enfin je remarquais que la bonne aussi demander et obtenait qu'une fille lui fasse l'amour à son tour. A la voir faire je comprenais qu'elle avait l'habitude de Sapho.
Les baises duraient tout l'après midi et les moins vaillants qui avaient déposé les armes reprenait des forces. Ainsi les deux hommes qui se suçaient tout à l'heure venaient baiser soit leur femme soit une autre. Je demandais à la bonne de servir des alcools pour relever encore un peu l'atmosphère. Bien sur les femmes surtout se montraient très vicieuses. Surtout celles qui se branlaient dans la piscine.
Celles ci se donnaient à un homme qui en suçait une et baisait l'autre: les deux femmes face à face, se pelotaient.
Quant à la bonne, elle tenait à s'occuper de moi et elle mettait toute sa science de la baise à ma disposition. Tout y passait: branler, sucer, baiser, sodomiser. Nous jouissions à chaque fois.
La nuit tombée nous nous séparions. J'entendais quelques fois une des femmes qui demandait à son mari s'il avait bien jouit dans la bouche d'un autre homme et il répondait que oui.
La nuit qui commençait n'était que le début de la baise avec la bonne qui pour me mettre en train se branlait sans pudeur devant moi. Nous en aurions jusqu'au matin jouissant sans arrêt.
J'invite des amis à venir partager les joies de mon chez moi. C'est rare que quelqu'un refuse de venir.
J'ai une femme de ménage qui outre ses occupations passe la nuit chez moi, quelque fois dans ma chambre. Il faut comprendre cette trentenaire qui me voit sans arrêt me promener partout nu a des envie de jouissance. Elle est bien faite et aime baiser, ce qui pour moi est important. Je sais qu'elle se branle assez souvent: je l'entend quand elle se douche: les gémissements ne sont pas simulés au moment de sa jouissance.
Quand j'invite mes amis, elle sait comment faire: elle est nue sous un simple tablier de serveuse. Elle doit être plus que sexy. Mes amis arrivent en couple, la plus part du temps. Nous allons nous installer près de la piscine et là, tout le monde se retrouve à poils. Le spectacle ne manque pas de piquant: les hommes bandent déjà plus ou moins les filles elles font semblant de ne pas remarquer les queues qui raidissent. Enfin la bonne vient porter des rafraîchissements et aussi peu vêtue elle fait un véritable tabac: même les filles en sont toutes émoustillées.
C'est alors que la réception prend tout son charme. Chacun ou chacune choisit son ou sa partenaire.
Pour ma part je choisis en premier la femme de mon meilleur ami. C'est de sa faute, il me parle toujours des baisses extraordinaires qu'ils font. Je l'avais jugé une fois et j'en avais été étonné: quel cul et quel tempérament. Un seul homme ne suffisant pas à la satisfaire, je demandais à un autre homme de venir pour une baise en trio. Son mari lui aimait bien baiser ma bonne qui ne demandait pas mieux. Cette fois je prenais sa femme comme un animal, sans préparatif. Je pensais quelle se plaindrait un peu: non elle aimait baiser aussi comme je la prenait. Mon associé dans cette baise avait une bite assez grosse. Il se mettait sur elle et à ma surprise la bonne que je croyais en train de baiser, venait mouiller le cul et préparer celui-ci pour la sodomie. Elle mettait également la pine en place.
Dans tous les coins il n'y avait que des couples ou des trios baisant. Les couples n'était pas toujours mixtes: Je voyais deux amis se faire un 69 et ils semblaient y prendre beaucoup de plaisir. A coté d'eux deux filles que je ne pensais pas attirer pas le même sexe, se faisait l'amour dans le piscine: on pouvait les voir se masturbant en s'embrassant à pleine bouche. Enfin je remarquais que la bonne aussi demander et obtenait qu'une fille lui fasse l'amour à son tour. A la voir faire je comprenais qu'elle avait l'habitude de Sapho.
Les baises duraient tout l'après midi et les moins vaillants qui avaient déposé les armes reprenait des forces. Ainsi les deux hommes qui se suçaient tout à l'heure venaient baiser soit leur femme soit une autre. Je demandais à la bonne de servir des alcools pour relever encore un peu l'atmosphère. Bien sur les femmes surtout se montraient très vicieuses. Surtout celles qui se branlaient dans la piscine.
Celles ci se donnaient à un homme qui en suçait une et baisait l'autre: les deux femmes face à face, se pelotaient.
Quant à la bonne, elle tenait à s'occuper de moi et elle mettait toute sa science de la baise à ma disposition. Tout y passait: branler, sucer, baiser, sodomiser. Nous jouissions à chaque fois.
La nuit tombée nous nous séparions. J'entendais quelques fois une des femmes qui demandait à son mari s'il avait bien jouit dans la bouche d'un autre homme et il répondait que oui.
La nuit qui commençait n'était que le début de la baise avec la bonne qui pour me mettre en train se branlait sans pudeur devant moi. Nous en aurions jusqu'au matin jouissant sans arrêt.
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