Titre de l'histoire érotique : l'interrogatoire tourne mal - histoire érotique

Une heure, çà fait une heure que Pierre, photographe de vingt deux ans, est dans le bureau de l'inspectrice Marion G., belle rousse de vingt huit ans. Elle est assistée de ses deux équipiers, Paul, beau mec, et de Maggie, pas mal. Pierre s'est fait verbaliser pour un stationnement, mais, surtout, a été très agressif envers les forces de l'ordre. Allant presque jusqu'à l'insulte.
-J'espère que vous n’allez pas me garder toute la soirée, dit Pierre, j'ai du travail ce soir.
-Ah, répond Marion, fallait y penser avant, mon petit gars. Bon on reprend.
Et elle repart dans les mêmes questions depuis une heure. C'est sur, c'est une arriviste, une connasse. Elle ne va pas le lâcher comme çà.
-Je suis entrain de perdre ma place, répète Pierre.
Marion ignore totalement ce que dit Pierre.
-On fait une pause, dit Marion, on a le temps.
Les policiers sortent, supplié du regard par Pierre.
Paul et Maggie essayent de raisonner Marion.
-Ce serai bête qu'il perde son emploi, dit Paul. On en verra d'autre.
-J'ai horreur qu'on me prenne pour un conne, reprend Marion. Il faut qu'il nous respecte.
On le fera revenir demain.
Pierre est enfin libre. Il rejoint vite sa copine pour finir le développement des photos qu'il doit remettre ce soir à son client. En fait, Pierre est payér pour prendre des photos dans des soirées chaudes, chez des clients fortunés. Beaucoup de couples d'échangistes mais aussi des célibataires.
-Quelle bande de salaud, dit Pierre en voyant son travail.
-On ira un jour, répond sa copine Laure.
Laure est une belle brune de dix neuf ans. Pierre contrôle une dernière fois ses clichés, quand plusieurs photos attirent son attention.
-C'est pas vrai, dit-il. L'inspectrice de police Marion. Putain.
Pierre repasse les photos une à une, et en sort huit où Marion participe à des jeux érotiques assez osés.
-Je vais monter un dossier pour ma convocation de demain, dit Pierre en souriant. Je prends celle là.
Une superbe photo où Marion, entièrement nue, est empalée sur un black, se faisant caresser les seins et gratter la chatte. On aperçoit très bien son bouton, complètement sorti. La bouche ouverte, les yeux mi-clos, elle à l'air de se régaler. Pierre fait plusieurs exemplaires de la photo.
Le lendemain, il se rend à sa convocation. L'accueil est toujours aussi froid.
-Bon, reprenons, dit Marion. Toujours pas d'excuses ?
-Peut être, mais pas devant vos collègues.
Marion fait un signe, et se retrouve seule avec Pierre.
-Ecoute moi bien, petite pute, dit Pierre. Voilà mon adresse. Je t’attends ce soir à dix heures sinon.
-Encore des insultes, mais tu te prends pour qui? C'est moi qui commande connard.
Et puis sinon quoi ?
Calmement, Pierre pousse un enveloppe vers Marion. Surprise, elle l'ouvre. Elle porte les mains devant son visage.
-Mon dieu, fait-elle, ce n’est pas vrai. Qui a pu me faire çà.
Elle arpente le bureau de long en large, se demandant comment sortir de cette situation.
Son portable sonne.
-Allo, répond-elle.
-Allo, Marion, c'est moi ma chéri. Je pars en déplacement jusqu'à demain soir. Je tenais à te prévenir. Au fait, j'ai reçu un courrier un peu bizarre. La photo d'une jambe avec le départ d'une cuisse nue. On dirai que la photo est coupé en quatre. Au dos." La suite pour bientôt." Cà te dit quelque chose ?
-Pas du tout, répond Marion en tremblant. Il faut que je te laisse, je suis sur un interrogatoire.
Elle raccroche, et s'assied.
-Qu'est ce que tu veux? Demande-t-elle.
-Au dos de la photo, il y a la tenue vestimentaire que tu dois mettre. Je vais te baiser, et t'enculer toute la nuit. Et je ne parle pas des pipes.
Marion a le regard livide. Des larmes coulent le long de ses joues.
-J'y serai, dit-elle. Je vais dire à mes collègues qu'on en reste là. Puis-je compter sur ta discrétion.
-Cà dépend de toi, lui répond-il. A ce soir.
Dix heures pétantes, elle sonne à la porte. Elle est vêtue comme il avait demandé. Une jupe ultra courte, et un blouson, la fermeture éclair pratiquement ouverte. Il s'avance vers elle pour voir si elle a bien obéit. Il passe ses mains sous les habits. Parfait, elle est toute nue dessous.
Pierre, lui, porte juste un peignoir. Il se place derrière elle, baisse la fermeture éclair du blouson et lui caresse les seins. L'autre main glisse entre ses cuisses et lui gratte la chatte.
-Qu'est-ce tu vas me faire, dit-elle.
-Que du bien, tu vas voir comme tu vas aimer, répond-il. Tu es un peu sèche, je vais te faire mouiller.
Il entre deux doigts entre ses lèvres, la doigte doucement, tout en lui grattant le clitoris.
L'autre main caresse les seins. Le corps de Marion commence à réagir. Son bassin va à la rencontre des caresses. Elle passe une main derrière elle, écarte le peignoir et lui saisit la queue et les couilles. Il bande.
-Ta chatte commence à mouiller, remarque Pierre, Tu aimes hein?
-Déshabillons-nous, dit-elle, prend moi. De suite.
Ils se mettent tout nue. Elle se penche sur la table, offrant son sexe sans retenu. Il avance sa queue entre ses fesses et commence à la pénétrer. Elle pousse un petit cri. Elle glisse une main entre ses cuisses, et lui caresse les couilles..
-Ecarte toi d'avantage, ordonne-t-il.
Elle met carrément un genou sur la table. Là, elle est complètement offerte.
-Qu'est-ce- que tu me fais salaud, dit-elle. Que c'est bon de se faire baiser par une grosse queue. Vas-y, défonce moi, oh ouai oui oui, t'arrête pas.
Pierre sort sa bite de la chatte de Marion, et la place contre sa rosette.
-Vas-y, dit-elle, pousse, encule moi, j'aime aussi. Gratte moi mon petit bouton en même temps.
Pierre prend le clitoris entre deux doigts, et le pince. Marion pousse des petits cris. Il accélère ses mouvements.
-Je joui, salope, ah ah oui oui, tu sens comme je me vide dans ton cul. Quel régal, baiser un flic.
Marion sent les jets de foutre gicler au fond de son corps. Elle crie de bonheur..
-Ton lit, mène moi dans ton lit, demande-t-elle.
Elle l'embrasse à pleine bouche tout en le poussant vers la chambre. La chambre de
Pierre ressemble à un labo photos. Paravent pour se changer, trépied, spots, tout.
Marion le jette sur le lit et lui saute dessus.
-J'espère que tu as rien de prévu demain ? Dit-elle. Avec ce que je vais te mettre cette nuit, çà m'étonnerai que tu lèves. Tant que tu auras une érection, je ne te lâcherai pas.
Marion est à genoux entre les jambes de Pierre. D'une main, elle le branle, de l'autre, elle lui gratte les couilles, un doigt enfoncé dans son cul, qu'elle fait bouger dans tout les sens.
-Oua, putain, qu'est ce que tu me fais, gémit Pierre. Que c'est bon, oh la salope.
-Tu vois qu'une femme peut doigter un homme aussi, dit Marion. Qui c'est la salope, tu vas voir ta queue comme elle va pleurer.
-Oh oui, branle moi tout, je joui, haaaa,oui,oui, t'arrête pas, s'il te plait.
Marion veut rien perdre. Elle plonge sur la queue de Pierre et l'avale. Le sperme gicle dans sa gorge. Quand elle l'a bien nettoyé, elle se met à genoux sur lui, sa chatte sur sa bouche.
-Tu vois mon clitoris comme il est ? Mange le. Fait moi crier.
Pierre obéit. Avec ses lèvres, il décalotte le clitoris de Marion et l'aspire. Une fois bien sortie, il le mordille violemment. Marion pousse un cri.
-Aie aie, salaud, çà va pas.
Ses yeux sont remplis de larmes, mais elle accepte. Pour ne pas être en reste, elle envoie une main entre les cuisses de Pierre, et de deux doigts, lui saisit un testicule. Elle joue avec serrant légèrement. Pierre agite ses jambes.
-Aie,aie, s'il te plait, dit-il, ne me fait pas mal.
Puis il reprend en bouche le bouton de Marion, continuant le même traitement.
-Et toi, petite frappe, tu me fais pas mal ? Lui répond-elle. Et en plus tu me fais jouir, salaud.
Je pleure et je joui, c'est la première fois que çà m'arrive.
Marion tient toujours le testicule entre ses doigts.
-Tu sais que j'ai fais parler plus d'un mec en le prenant par là, dit-elle.
Elle change de position. Elle se place plus bas pour lécher les couilles de Pierre, tout en lui caressant le bout de la queue. Elle décide de l'achever. Le sexe de Pierre est toujours en érection. Elle s'y empale dessus.
-Je vais te faire venir, mais doucement, dit-elle. Tu vas voir comme tu vas te régaler. Tu vas me supplier de te faire cracher. Regarde ma chatte comme elle avale ta queue. Tu ne vas pas la reconnaître quand elle va sortir.
Elle se déhanche lentement, arrachant de râles à son amant d'une nuit. Elle le regarde, dominatrice, sure d'elle. Elle veut l'épuiser. Mais petit à petit, le sourire de Marion s'estompe, ses yeux se ferment, elle se mord les lèvres.
"Oh l'enculé, c'est lui qui va m'avoir".
-Saalauauaud, comme tu me niques, oui oui, je joui, enculé.
-En parlant d'enculé, dit-il, si tu changeais de trou, petite pute.
En un mouvement, elle se soulève et se fait prendre par le cul. Ses yeux sont cernés. La fatigue se fait sentir.
-Quel baiseur tu es, dit-elle, quel tempérament. Comment tu t'es servi de moi.
-C'est de savoir que je baise une inspectrice qui m'a donné la force.
Marion ne réagit plus. Elle sent juste la semence de Pierre envahir ses entrailles.

Pierre sort le premier de la douche, et en homme d’intérieur, il change les draps.
Quand à son tour, elle revient du bain, il est couché entrain de regarder une photo.
-Je peux coucher ici, demande-t-elle, j'aimerai dormir dans tes bras.
Il l'a regarde en souriant, et ouvre le lit. Elle se précipite contre lui et l'embrasse.
-C'est quoi cette photo, demande-t-elle.
-C'est ton puzzle, lui dit-il. Vais-je l'envoyer.
-Ne fait pas çà, supplie-t-elle. Tu m'auras quand tu voudras, mais ne me fait pas çà.
Même si je vais le quitter pour d'autre raison. Je cherche un appartement justement.
-Je peux t'héberger en attendant que tu trouves autre chose, propose-t-il. Mais il te faudra supporter ma copine.
-Tu as une copine? Demande-t-elle en souriant. Si tu voyais comme je sais me servir des femmes aussi. Tu veux que je te fasse voir avec elle.
-Chiche, répond Pierre. Elle arrive vers neuf heures. Tu te fais passé pour ma soeur. Moi je me cacherai derrière le paravent.
-Mais attention, reprend Marion, je risque de la brusquer.
Pierre passe derrière le paravent. Marion met un peignoir et éteint la lumière.

A suivre