Titre de l'histoire érotique : La dame blanche
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La dame blanche
C'est une jeune femme sans histoire particulière qui habite ce village. Elle est toujours habillée de blanc, d'où son surnom. Elle a dans 30 ans et personne ne lui connait de relation, sauf celles de ses voisins autour d'elle. Pourtant elle a une vie un peu cachée. Elle a une relation qu'elle ne voit qu'une seule fois par semaine quand elle va faire de course le
samedi à la petite ville la plus proche. Elle a une amie depuis toujours: elles se font l'amour depuis longtemps, depuis la mort du mari de la dame en blanc. Elle est très sensuelle et préfère avoir une relation lesbienne plutôt qu'une relation avec un homme. Pour ça elle a ce qu'il faut chez elle: divers godemichés; des boules de geishas etc.
Si les villageois la regardaient de plus près il verraient qu'elle ne porte rien sur elle mis à part sa robe blanche. Chez elle elle vie nue à longueur de temps: elle ne s'habille que pour aller chez le boulanger, épicier et autres commerçants du village.
Sa journée commence toujours de la même façon: elle se réveille excitée et se calme en se masturbant juste avant de se lever. Elle se douche et encore une fois elle se met la main au clitoris et jouit sous l'eau. Elle revêt sa robe blanche et va faire les quelques courses et rentre: elle se déshabille dès le retour et passe la journée toujours nue. L'après-midi se
passe en ménage et aux travaux habituels d"une femme normale. Ce n'est que le soir qu'elle sort ses jouets et se masturbe souvent sur son divan. Elle se fait l'amour en ayant des fantasmes sur ses anciennes étreintes avec feu son époux.
Pourtant la présence d'un homme pour la baiser devient de plus en plus pressante. Elle en parle à son amante se plus en plus. Celle-ci vient la voir un dimanche: elles n'ont pas peur de se faire remarquer puisqu'il est courant que les gens reçoivent des étranger au village ce jour là. Elles se font l'amour comme elles aiment : elles s'embrassent à pleine bouche, se pelotent et se branlent avant d'entamer leurs 69. Si ajoute l'utilisation fréquente de godemiché. Elles passent l'après midi à se faire jouir. Et malgré ça la dame blanche veut toujours un amant qui puisse lui remplir le con et /ou le cul. Son amante qui l'aime ne comprend pas trop ce désir. Il faut dire que c'est une lesbienne pure et dure. La dame blanche lui dit que si elle ne lui trouve pas un homme bien monté elle ne lui fera plus l'amour, ou alors plus rarement.
Mise au pied du mur l'amante doit se débrouiller comme elle peut. Elle connait des gens et les interrogent. La difficulté est de trouver un homme bien monté capable de satisfaire son amante est mission quasi impossible. Coup de hasard elle a un vague cousin et elle se souvient qu'il se ventait d'avoir une très grosse quéquette en étant jeune et il se ventait aussi de ses conquêtes. Elle le rencontre et lui demande de venir chez samedi après midi, non pas pour elle mais pour une amie, sans plus.
Attiré par la nouveauté il vient le jour dit et il voit enfin cette dame en blanc. Il en tombe de haut en la voyant: elle est très belle et aussitôt il pense qu'elle ne voudra jamais de lui. Elle le regarde et son regard ne trompe pas: elle a envie de lui. L'amante s'efface pour laisser la place au cousin. Elle les regarde commencer les approches et quand ils s'embrassent elle a un pincement au coeur.
Elle n'en a pas fini: il commence à la peloter, la dame ferme les yeux: son fantasme se réalise. Il descend une main vers ses fesse, elle se colle à lui: elle sent enfin une vrai bite contre son ventre: une bite qui bande. Elle mouille déjà. La main descend encore et vient dans sa raie. Elle attendait une main là depuis la mort de son mari. S'il pouvait lui
caresser le cul se serait parfait.Il enlève sa main et vient lui chercher le clitoris directement puisqu'elle est nue sous la robe.
Pour faciliter les caresses elle enlève sa robe et parait nue enfin aux yeux de cet homme qui va la baiser. L'amante aussi la regarde en se disant qu'elle ne pourra plus avoir pour elle ce corps qu'elle aime. Elle laisse le couple se faire les préliminaire d'une baise qui ne va pas tarder. Curieuse, elle regarde se qu'ils se font. La dame écarte ses jambes pour permettre à cet homme de la branler: sa main sur le clitoris est de plus en plus insistante, et son besoin à elle aussi. Elle jouit rapidement et demande encore: l'homme est impatient comme toujours la première fois. Il la couche sur le divan: elle écarte les jambes et le guide vers son vagin. Quand il la pénètre elle est déjà sur le point de jouir, et quand il fait les vas et viens elle commence à jouir. Au moment où il jouit dans son con elle aussi jouit.
L'amante se sent inutile. Pourtant l'homme débande. La dame vient vers son amante et pour lui montrer qu'elle ne l'oublie pas, elle l'embrasse et pose sa tête entre ses cuisses: elle lui prend le clitoris et le suce jusqu'à l'orgasme.
En les voyant l'homme bande encore et il veut continuer avec la dame qui ne dit pas non, sauf qu'elle e le veut pas dans le con. Elle lui prend la bite dans la bouche et retrouve les gestes familiers : elle lui lèche d'abord le gland, puis la queue de haut en bas et de bas en haut. Enfin elle rentre cette bite bien dure dans la bouche. En quelques mouvement elle le fait juter dans la bouche. Elle déguste le sperme. Il ne débande pas: alors elle se met e levrette, écarte bien les fesses: sans rien dire l'homme vient lui mettre sa pine au cul. elle n'a plus l'habitude d'avoir le cul occupé. Elle se détend le plus possible et enfin elle le laisse
la limer. Voyant son amante seule et désemparée elle penche son corps en avant en gardant précieusement la bite dans le cul et encore une fois lui suce le clitoris. Miracle de la nature ils jouissent tous dans la même seconde.
La dame en blanc ne veut plus de secret dans sa vie: l'homme viendra chez elle quand il le voudra. C'est ce qui se passe et les gens du village après quelques jours de curiosité la laissent en paix.
samedi à la petite ville la plus proche. Elle a une amie depuis toujours: elles se font l'amour depuis longtemps, depuis la mort du mari de la dame en blanc. Elle est très sensuelle et préfère avoir une relation lesbienne plutôt qu'une relation avec un homme. Pour ça elle a ce qu'il faut chez elle: divers godemichés; des boules de geishas etc.
Si les villageois la regardaient de plus près il verraient qu'elle ne porte rien sur elle mis à part sa robe blanche. Chez elle elle vie nue à longueur de temps: elle ne s'habille que pour aller chez le boulanger, épicier et autres commerçants du village.
Sa journée commence toujours de la même façon: elle se réveille excitée et se calme en se masturbant juste avant de se lever. Elle se douche et encore une fois elle se met la main au clitoris et jouit sous l'eau. Elle revêt sa robe blanche et va faire les quelques courses et rentre: elle se déshabille dès le retour et passe la journée toujours nue. L'après-midi se
passe en ménage et aux travaux habituels d"une femme normale. Ce n'est que le soir qu'elle sort ses jouets et se masturbe souvent sur son divan. Elle se fait l'amour en ayant des fantasmes sur ses anciennes étreintes avec feu son époux.
Pourtant la présence d'un homme pour la baiser devient de plus en plus pressante. Elle en parle à son amante se plus en plus. Celle-ci vient la voir un dimanche: elles n'ont pas peur de se faire remarquer puisqu'il est courant que les gens reçoivent des étranger au village ce jour là. Elles se font l'amour comme elles aiment : elles s'embrassent à pleine bouche, se pelotent et se branlent avant d'entamer leurs 69. Si ajoute l'utilisation fréquente de godemiché. Elles passent l'après midi à se faire jouir. Et malgré ça la dame blanche veut toujours un amant qui puisse lui remplir le con et /ou le cul. Son amante qui l'aime ne comprend pas trop ce désir. Il faut dire que c'est une lesbienne pure et dure. La dame blanche lui dit que si elle ne lui trouve pas un homme bien monté elle ne lui fera plus l'amour, ou alors plus rarement.
Mise au pied du mur l'amante doit se débrouiller comme elle peut. Elle connait des gens et les interrogent. La difficulté est de trouver un homme bien monté capable de satisfaire son amante est mission quasi impossible. Coup de hasard elle a un vague cousin et elle se souvient qu'il se ventait d'avoir une très grosse quéquette en étant jeune et il se ventait aussi de ses conquêtes. Elle le rencontre et lui demande de venir chez samedi après midi, non pas pour elle mais pour une amie, sans plus.
Attiré par la nouveauté il vient le jour dit et il voit enfin cette dame en blanc. Il en tombe de haut en la voyant: elle est très belle et aussitôt il pense qu'elle ne voudra jamais de lui. Elle le regarde et son regard ne trompe pas: elle a envie de lui. L'amante s'efface pour laisser la place au cousin. Elle les regarde commencer les approches et quand ils s'embrassent elle a un pincement au coeur.
Elle n'en a pas fini: il commence à la peloter, la dame ferme les yeux: son fantasme se réalise. Il descend une main vers ses fesse, elle se colle à lui: elle sent enfin une vrai bite contre son ventre: une bite qui bande. Elle mouille déjà. La main descend encore et vient dans sa raie. Elle attendait une main là depuis la mort de son mari. S'il pouvait lui
caresser le cul se serait parfait.Il enlève sa main et vient lui chercher le clitoris directement puisqu'elle est nue sous la robe.
Pour faciliter les caresses elle enlève sa robe et parait nue enfin aux yeux de cet homme qui va la baiser. L'amante aussi la regarde en se disant qu'elle ne pourra plus avoir pour elle ce corps qu'elle aime. Elle laisse le couple se faire les préliminaire d'une baise qui ne va pas tarder. Curieuse, elle regarde se qu'ils se font. La dame écarte ses jambes pour permettre à cet homme de la branler: sa main sur le clitoris est de plus en plus insistante, et son besoin à elle aussi. Elle jouit rapidement et demande encore: l'homme est impatient comme toujours la première fois. Il la couche sur le divan: elle écarte les jambes et le guide vers son vagin. Quand il la pénètre elle est déjà sur le point de jouir, et quand il fait les vas et viens elle commence à jouir. Au moment où il jouit dans son con elle aussi jouit.
L'amante se sent inutile. Pourtant l'homme débande. La dame vient vers son amante et pour lui montrer qu'elle ne l'oublie pas, elle l'embrasse et pose sa tête entre ses cuisses: elle lui prend le clitoris et le suce jusqu'à l'orgasme.
En les voyant l'homme bande encore et il veut continuer avec la dame qui ne dit pas non, sauf qu'elle e le veut pas dans le con. Elle lui prend la bite dans la bouche et retrouve les gestes familiers : elle lui lèche d'abord le gland, puis la queue de haut en bas et de bas en haut. Enfin elle rentre cette bite bien dure dans la bouche. En quelques mouvement elle le fait juter dans la bouche. Elle déguste le sperme. Il ne débande pas: alors elle se met e levrette, écarte bien les fesses: sans rien dire l'homme vient lui mettre sa pine au cul. elle n'a plus l'habitude d'avoir le cul occupé. Elle se détend le plus possible et enfin elle le laisse
la limer. Voyant son amante seule et désemparée elle penche son corps en avant en gardant précieusement la bite dans le cul et encore une fois lui suce le clitoris. Miracle de la nature ils jouissent tous dans la même seconde.
La dame en blanc ne veut plus de secret dans sa vie: l'homme viendra chez elle quand il le voudra. C'est ce qui se passe et les gens du village après quelques jours de curiosité la laissent en paix.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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gentil. j'ai bien aimé