Titre de l'histoire érotique : La fête du parc des sports - histoire érotique

Ce soir, c'est l'inauguration du nouveau court de tennis couvert de la ville. Pour l'occasion, une vingtaine de couples sont invités. La soirée est orchestrée par un jeune animateur, un peu DJ. A l'entrée, toutes les femmes reçoivent un numéro pour participer à un jeu.
Le président, Yves, trente ans, veilleur de nuit, arrive avec sa belle et jeune épouse Marie-Laure, âgée de vingt deux ans. Une bombe. Elle travaille comme infirmière du matin à l'hôpital de la ville, et on lui prête des façons peu orthodoxes pour calmer ses patients, allant de la pipe pour les hommes, jusqu'au doigtage du clitoris pour les femmes. Avec leur accord, bien sur.
Ce soir, Marie-Laure est très attirante, vêtue d'une mini jupe, et d'un petit haut. Tous les hommes n'ont d'yeux que pour elle. Les amis proches d’Yves insistent pour danser avec elle. Surtout Marc, un bon copain qui a tendance à prendre ses aises. Il invite à danser, et immédiatement, l'attire contre lui, osant même glisser une main sous le petit haut, pour lui caresser le dos, puis lui glisser quelques mots vicieux au creux de l'oreille, ce qui a pour effet de l'a faire rire. Aucune résistance. A la fin de la danse, elle le remercie d'un sourire coquin, lui réservant une nouvelle danse. Ils regagnent le buffet pour rejoindre Yves et d'autres copains.
Arrive le moment du tirage du fameux jeu. Le DJ mélange les billets, et en sort un au hasard.
-Numéro soixante neuf, crie-t-il en riant. Allez, à qui appartient ce numéro ?
Marie-Laure ?
Surprise, la jeune femme monte sur l'estrade et rejoint l'animateur.
-Félicitations, sourit le DJ. Vôtre mari est président du club, je crois, mais vous même, aimez-vous le tennis ?
-Disons que je préfère le pénis. Je sais mieux me servir d'une bonne queue, que d'une raquette.
L'assistance éclate de rire devant tant de franchise. Yves n'a rien entendu. Il s'installe avec trois autres copains derrière un paravent, troué à la hauteur du sexe pour qu'une main puisse passer. C'est le gain du jeu.
Il faut que Marie- Laure reconnaisse son mari parmi les participants, en leur palpant les attributs. Elle ne se gêne pas pour s'attarder sur certain.
-Alors, chère amie, dit le DJ. Reconnaissez-vous vôtre mari parmi ces beaux mâles ?
-Oui, répond Marie-Laure. C'est le numéro trois. Je ne peux pas me tromper, c'est la plus petite.
Les invités éclatent de rire. Pour rattraper le coup, le DJ envoie la musique. A peine sorti de derrière le paravent, Yves fusille sa femme du regard, et l'entraine à l'écart.
-Qu'est-ce-qu'il t'arrive? Gronde-t-il. Tu me fais passer pour un con devant tout le monde. Et puis, comment sais-tu que j'ai la plus petite. tu as déjà vu celle de mes copains ?
-Mais bien sur mon chéri, de temps en temps, il y en a un qui passe me donner un bon coup de queue pendant que tu travailles. L'autre nuit, ils sont venus à deux. Comme ils m'ont faites crier ces salauds. Pendant que un m'enculais, l'autre me bouffait la chatte. Mon clitoris était tout décalotté.
En sang qui me l'a mis. Comme ils se sont amusés avec moi. J'ai besoin de çà tu sais mon chéri.
Yves serre les poings, il hésite à frapper son épouse. Mais après tout, ne l'a délaisse pas sexuellement. Elle est jeune, belle, son corps a des appétits sexuels, normal. Yves l'a prend dans ses bras et l'embrasse.
-Pardonne moi ma chérie, s'excuse-t-il, je te comprends. Tu seras moins seule cette semaine, tu sais que mes parents nous rendent visite.
Effectivement, Richard, cinquante cinq ans, et Marcelle, sa femme âgée de quarante neuf ans, viennent passer une semaine de vacances chez leur fils. Ce qui contrecarre les plans de Marie-Laure. Mais bon, une semaine, c'est vite passé.

Le lundi, les parents d’Yves rappliquent. C'est Marie-Laure qui les reçoit. Richard l'a déshabille du regard.
-Bonjour ma chérie, dit-il, toujours aussi belle.
-Merci, répond Marie-Laure, c'est gentil, çà va Marcelle? On s'embrasse.
Marcelle n'aime pas le genre de sa belle fille. Elle sait que son fils souffre de ses écarts. Elle le plaint.
Le soir, vers minuit, et pendant que Marcelle dort, Richard va souhaiter une bonne nuit à sa belle fille. Celle-ci est nue sous sa nuisette transparente, extrêmement belle. Il l'a serre dans ses bras, sentant sa magnifique poitrine tendu contre son torse. Tout comme elle sent la queue en érection de son beau père contre son ventre.
-Bonne nuit ma chérie, dit-il, fait de beaux rêves.
-Attendez, répond-elle en le tirant vers le lit. Assoyons-nous cinq minutes. Vous avez sommeil ?
Richard la fixe dans les yeux, l'a prend parle cou, et l'allonge sur le lit. Il glisse une main sous la nuisette. Marie-Laure le prend par la nuque, et l'attire à elle. Elle l'embrasse en forçant ses lèvres avec sa langue. Elle fait passer sa mini chemise par dessus sa tête, et apparait dans toute sa nudité. Elle s'allonge sur le lit.
-Déshabillez-vous, dit-elle. Prenez moi, j'ai envie de me le faire mettre, s'il vous plait.
Tout s'accélère dans la tête de Richard. Il sait qu'il va coucher avec la femme de son fils. Mais le désir l'emporte. Il ôte son caleçon, et se glisse sous le drap. Il commence à lui caresser les seins, puis descend vers la chatte. Marie-Laure se cambre sous les caresses de son beau père, qui lui excite le clitoris entièrement décalotté.
-Saalaauud...soupire-t-elle. Comme tu me doigtes..Tourne-toi que je puisse te tailler une pipe..Tu me niqueras après..J’ai besoin d'un bon coup de queue tu sais. Yves sais pas se servir d'une femme lui.
Richard se tend pour éjaculer dans la gorge de sa belle fille. Elle avale tout, et nettoie le gland.
-Tourne toi ma chérie, dit-il, je vais te prendre en levrette, tu vas voir comme je vais bien te le mettre, comme je vais exciter le bout de tes seins, et ton petit bouton. Toi, tu me gratteras les couilles, d'accord?
-Oh oui, beau papa, allez-y, tant pis si vous me faite gueuler. Vous me sodomiserez après, hein ? S'il vous plait.
-Mais bien sur ma chérie. Tiens, tu me sens là, petite pute.
-Ha..ha..pourquoi vôtre fils me nique pas comme çà.. allez-y..oui.. oh putain.. ma petite chatte se régale là....
Brusquement, Richard change de trou. Le corps de Marie-Laure se cambre, faisant ressortir sa croupe.
-Haaaaa...comme tu m'encules...haaa..salaud..vas-y..vide tes grosses couilles dans mon petit trou...Tu vas voir comme je vais bien te nettoyer la queue après.
Soudain, la porte s'ouvre. C'est Marcelle sans doute attirée par les cris de plaisir de sa belle fille. Elle saisit son mari par les couilles et le tire en arrière. Richard pousse un cri de douleur.
- Casse-toi, lui ordonne-t-elle. C'est mon tour. Allez, viens ici qu'on se gouine toute les deux.
Marie-Laure hurle de plaisir une bonne parti de la nuit. Prise d'épuisement, elle s'endort dans les bras de sa belle mère.