Titre de l'histoire érotique : LA REPRESENTANTE EN DETRESSE...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : LA REPRESENTANTE EN DETRESSE...
La nuit était tombée depuis belle lurette quand j’ai pris ma voiture pour rentrer chez moi. Je roulais à vive allure sur une petite route de campagne quand mes faisceaux de lumières éclairaient une voiture stationnée sur la bas côté, avec ses feux de secours allumés. Je ralentis mon allure en arrivant à sa hauteur. Grâce à la lueur du plafonnier, je découvris une femme derrière le volant qui me fit de grands signes à travers sa vitre. Heureuse sans doute de trouver âme compatissante dans ce coin perdu dans nulle part. J’ai décidé de lui porter secours et pour ça je me suis garé juste devant le capot de son véhicule. J’ai coupé le contact et je suis allé à sa rencontre munie d’une torche.
Elle attendit sagement que j’arrive à la hauteur de sa portière pour entrouvrir sa vitre.
- Bonsoir monsieur, je crois que j’ai crevé…
Je fis le tour de la voiture pour m’apercevoir qu’effectivement le pneu avant droite était déchiqueté. Rassurée sur mon compte, elle était sortie de l’habitacle pour venir aux nouvelles. Debout, je pus me rendre compte que c’était une belle femme, vêtue d‘un tailleur bleu pétrole. Environ 40 ans, Blonde, plutôt petite malgré ses escarpins à hauts talons, dotée de formes généreuses et d’une poitrine opulente. J’admets que c’était loin d’être la tenue appropriée pour changer une roue en rase campagne, et de nuit en surcroit.
- Je ne vous serez toujours reconnaissante monsieur de vous êtes arrêter. J’avoue que je n’en menais pas large avant votre arrivée. Vous êtes mon sauveur. Fit-elle en me faisant une bise sur ma joue.
- Mais c’est tout naturel, madame. Bon ce n’est pas tout, il faut que je me mette au travail.
Je me dirigeais pour ça à l’arrière de la voiture, la femme à mes côtés, me suivant comme mon ombre. Le coffre était verrouillé.
- Vous pouvez l’ouvrir s’il vous plaît ?
- Oui… bien sûr ! Je vais chercher la clé…
Au moment où elle pivota sur ses talons, l’un de ses pans de sa jupe s’écarta. Il me semblait avoir brièvement aperçu l’esquisse d’une partie de bas à l’ancienne. Pour lui permettre de rejoindre l’habitacle sans encombre je pointais le faisceau de ma torche sur ses escarpins. Là pour atteindre la clé sur le contact elle dû poser son fessier sur le siège, laissant une jambe à l’extérieur. Dans le mouvement, la jupe avait glissé très haut sur sa cuisse. J’ai eu le plaisir de faire connaissance avec l’attache d’une jarretelle qui maintenait le bas. À son retour, clé en main, consciente de ce qu’elle m’avait dévoilé, elle s’empressa de se justifier en se présentant comme étant représentante pour une célèbre marque de lingerie fine.
Très émoustillé avec tout ça, comme vous pouvez l‘imaginer, je pris sur moi-même pour effectuer à bien ma mission. Pour ça j’attrapais dans le coffre maintenant grand ouvert, le cric et la manivelle puis la roue. J’ai eu toute les peines du monde à stabiliser le cric sur la terre. Mais alors que je m’apprêtais à retirer la roue j’entendis tout proche comme un jet. Je me suis saisi de la torche et j’ai arrosé les alentours de lumière. Que fus ma surprise de surprendre la représentante accroupie devant moi en équilibre sur la pointe de ses escarpins, la jupe retroussée, les cuisses largement ouvertes, offrant à mes rétines un spectacle des plus affriolant. D’une main elle tirait vers le haut sa vulve épilée, pour maintenir ouvert son méat urinaire, d’où s’échappée à gros bouillon une urine claire.
La force était si intense que les gouttes rebondissaient sur le sol herbeux éclaboussant ses chaussures.
- Je m’excuse ! Se justifiait-elle. Mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
Il m’était à cet instant très difficile de dévier le faisceau de lumière de la scène. D’ailleurs cela ne devait pas la gênée. Puisqu’à aucun moment elle c’était offusquée. Le jet de pisse avait laissé la place à un filet, puis à des gouttes avant de se tarir. Pour le plus grand plaisir de mes yeux, elle ôta sa main, m’exhiba quelques secondes encore son minou entièrement rasé qui formait une sorte de cicatrice ourlée de couleur rose.
- J’espère que je ne vous trouble pas trop ? Commenta-t-elle, en s‘essuyant la fente à l‘aide de sa culotte.
- Tout au contraire ma chère…
- Ah oui ! Vous n’allez pas me dire que cela vous fait de l’effet ? Un grand garçon comme toi…
- Et comment ! Que cela me fait de l’effet…
- Au point de bander ? Me questionna-t-elle.
- Justement… j’allais vous le confesser…
Pas le temps de finir ma phrase qu’elle s’était redressée.
- Voyant ça, de plus près vous le voulez bien ?
- A votre guise…
Elle prit l’initiative de poser sa main sur mon sexe.
- Mais c’est vrai, qu’il bande !
- Sachez ma belle que je mens jamais… surtout avec ces choses là !
- Je vois ça ! Fit-elle s’attaquant à ma braguette, passant sa main dans l’ouverture pour atteindre mon gros oiseau, qu‘elle tira hors de son nid.
Elle donna de petits baisers sur toute sa longueur, avant de poser ses lèvres sur mes couilles, leurs prodiguant une caresse douce de succion qui ravissaient mes (jumelles). Puis elle revenait sur le dur. Ses lèvres étaient de velours, ses mains de satin. Elle m’engloutit presque aussitôt dans une bouche très avenante, passionnée. Je fus aussitôt aspiré, léché, enserrée entre deux lèvres gourmandes. On aurait dit deux mâchoires d’étau.
Plus les secondes défilaient, plus j’avais du mal à me contrôler. Quelques mouvements encore, et j’arrivais à l’extase. J’ai joui, avec une immense plénitude. Le sperme gicla dans sa bouche, et elle déglutit, son regard de braise fixé dans mes yeux plissés.
J’ai pensé que c’était une façon bien sympa de me remercier. Sitôt tout ranger, la femme me souffla à l’oreille :
- Avec toi… je pourrais faire les pires folies… je ne me sentirais pas sale comme je le sens des fois avec les mecs qui me baisent… Ils ne me respectent pas… je ne suis pour eux qu'une poupée gonflable… Viens par là…
Elle m’attira à bord de sa voiture.
- Je ne me trompe pas… au-moins ?
Elle faisait basculer le siège en avant.
- Pas du tout M’dame, vous m’avez tout à fait bien cerné…
Elle prit place sur la banquette arrière. Écartant totalement ses jambes en ramenant ses pieds vers ses fesses. Une lueur d’intérêt brilla dans ses yeux en amandes. Je me pliais en deux et m’approchais d’elle, à la toucher. Elle en profita pour me saisir la tête, l’approchant de son bas-ventre :
- Goûte alors à ma chatte… salaud, tu en meurs d’envie !
- Mais vous êtes Devin M’dame…
- Alors au travail mon beau…
Je me jetais sur le con offert, m’enivrant de senteurs marines. Deux ou trois baisers sur sa chatte pour m’authentifier de sa douceur. Aussi douce que les joues d’un homme après en avoir rasé la barbe de huit jours.
Elle m’observait, un sourire logé au coin des lèvres. Je me mis alors à fouiller la vulve. Alternant les caresses du bout de la langue sur les petites lèvres et les bords du vagin. Elle donnait des coups de reins en me barbouillant la figure de mouille épaisse. Remuant la tête sur un rythme de plus en plus rapide.
Je m’abandonnais à lui donner le plus de plaisir que je le pouvais. Pour moi, c’était la plus belle chose au monde. Rien que pour cela, j’aurai pu chérir d’épouser la carrière de gigolo, pour défendre ce pouvoir divin de faire jouir une femme.
Elle laissa échapper un gémissement. M’agrippant par mes cheveux, en tendant son ventre. Je ne lui laissais pas de reprendre ses esprits, remettant le couvert, lapant entre ses lèvres intimes, comme l’aurait fait un chien. Enfonçant ma langue au plus profond de son vagin.
- Oui ! Oui ! Oui… c’est ça… oh ! Continu….
Je la dégustais à grands coups de langue, insistant sur le bourgeon enflammé qui se dressait. La mouille me coulait dans ma bouche. Le volume de ses gémissements avait augmenté. Elle enchaîna deux orgasmes de suite avant d’écarter ma bouche en agrippant mes cheveux.
Je profitais de sa phase de récupération pour m’étendre sur elle et tenter par la même occasion de la pénétrer. Mais elle m’en empêcha.
- Accès interdit… beau jeune homme.
Elle coinça alors mon sexe bandé entre ses cuisses. Puis se mit à se branler avec, comme si c’était un gode. C’était pour moi une sensation assez étrange, mais cela me procurais néanmoins beaucoup de plaisir. À en éjaculer pour la seconde fois.
Elle prit sa culotte assortie à son porte-jarretelles, et l’enfila. J’eus de nouveau le plaisir de voir une dernière fois ses belles jambes mais aussi son adorable minou baveux.
- Il est temps pour nous de nous séparer ! Me fit-elle en m’adressant un joli sourire.
Sitôt dehors elle remit en place son siège et prit place dessus. Puis elle mit le contact.
- J’ai trouvé ce petit incident très agréable ! Je pense que vous serez d’accords avec moi, fit-elle en abandonnant le tutoiement.
- Et comment, j’en ai encore un souvenir en bouche.
Cela la fit bien rire. Elle alluma ses feux et embraya pour disparaître à tout jamais de ma vue.
Elle attendit sagement que j’arrive à la hauteur de sa portière pour entrouvrir sa vitre.
- Bonsoir monsieur, je crois que j’ai crevé…
Je fis le tour de la voiture pour m’apercevoir qu’effectivement le pneu avant droite était déchiqueté. Rassurée sur mon compte, elle était sortie de l’habitacle pour venir aux nouvelles. Debout, je pus me rendre compte que c’était une belle femme, vêtue d‘un tailleur bleu pétrole. Environ 40 ans, Blonde, plutôt petite malgré ses escarpins à hauts talons, dotée de formes généreuses et d’une poitrine opulente. J’admets que c’était loin d’être la tenue appropriée pour changer une roue en rase campagne, et de nuit en surcroit.
- Je ne vous serez toujours reconnaissante monsieur de vous êtes arrêter. J’avoue que je n’en menais pas large avant votre arrivée. Vous êtes mon sauveur. Fit-elle en me faisant une bise sur ma joue.
- Mais c’est tout naturel, madame. Bon ce n’est pas tout, il faut que je me mette au travail.
Je me dirigeais pour ça à l’arrière de la voiture, la femme à mes côtés, me suivant comme mon ombre. Le coffre était verrouillé.
- Vous pouvez l’ouvrir s’il vous plaît ?
- Oui… bien sûr ! Je vais chercher la clé…
Au moment où elle pivota sur ses talons, l’un de ses pans de sa jupe s’écarta. Il me semblait avoir brièvement aperçu l’esquisse d’une partie de bas à l’ancienne. Pour lui permettre de rejoindre l’habitacle sans encombre je pointais le faisceau de ma torche sur ses escarpins. Là pour atteindre la clé sur le contact elle dû poser son fessier sur le siège, laissant une jambe à l’extérieur. Dans le mouvement, la jupe avait glissé très haut sur sa cuisse. J’ai eu le plaisir de faire connaissance avec l’attache d’une jarretelle qui maintenait le bas. À son retour, clé en main, consciente de ce qu’elle m’avait dévoilé, elle s’empressa de se justifier en se présentant comme étant représentante pour une célèbre marque de lingerie fine.
Très émoustillé avec tout ça, comme vous pouvez l‘imaginer, je pris sur moi-même pour effectuer à bien ma mission. Pour ça j’attrapais dans le coffre maintenant grand ouvert, le cric et la manivelle puis la roue. J’ai eu toute les peines du monde à stabiliser le cric sur la terre. Mais alors que je m’apprêtais à retirer la roue j’entendis tout proche comme un jet. Je me suis saisi de la torche et j’ai arrosé les alentours de lumière. Que fus ma surprise de surprendre la représentante accroupie devant moi en équilibre sur la pointe de ses escarpins, la jupe retroussée, les cuisses largement ouvertes, offrant à mes rétines un spectacle des plus affriolant. D’une main elle tirait vers le haut sa vulve épilée, pour maintenir ouvert son méat urinaire, d’où s’échappée à gros bouillon une urine claire.
La force était si intense que les gouttes rebondissaient sur le sol herbeux éclaboussant ses chaussures.
- Je m’excuse ! Se justifiait-elle. Mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
Il m’était à cet instant très difficile de dévier le faisceau de lumière de la scène. D’ailleurs cela ne devait pas la gênée. Puisqu’à aucun moment elle c’était offusquée. Le jet de pisse avait laissé la place à un filet, puis à des gouttes avant de se tarir. Pour le plus grand plaisir de mes yeux, elle ôta sa main, m’exhiba quelques secondes encore son minou entièrement rasé qui formait une sorte de cicatrice ourlée de couleur rose.
- J’espère que je ne vous trouble pas trop ? Commenta-t-elle, en s‘essuyant la fente à l‘aide de sa culotte.
- Tout au contraire ma chère…
- Ah oui ! Vous n’allez pas me dire que cela vous fait de l’effet ? Un grand garçon comme toi…
- Et comment ! Que cela me fait de l’effet…
- Au point de bander ? Me questionna-t-elle.
- Justement… j’allais vous le confesser…
Pas le temps de finir ma phrase qu’elle s’était redressée.
- Voyant ça, de plus près vous le voulez bien ?
- A votre guise…
Elle prit l’initiative de poser sa main sur mon sexe.
- Mais c’est vrai, qu’il bande !
- Sachez ma belle que je mens jamais… surtout avec ces choses là !
- Je vois ça ! Fit-elle s’attaquant à ma braguette, passant sa main dans l’ouverture pour atteindre mon gros oiseau, qu‘elle tira hors de son nid.
Elle donna de petits baisers sur toute sa longueur, avant de poser ses lèvres sur mes couilles, leurs prodiguant une caresse douce de succion qui ravissaient mes (jumelles). Puis elle revenait sur le dur. Ses lèvres étaient de velours, ses mains de satin. Elle m’engloutit presque aussitôt dans une bouche très avenante, passionnée. Je fus aussitôt aspiré, léché, enserrée entre deux lèvres gourmandes. On aurait dit deux mâchoires d’étau.
Plus les secondes défilaient, plus j’avais du mal à me contrôler. Quelques mouvements encore, et j’arrivais à l’extase. J’ai joui, avec une immense plénitude. Le sperme gicla dans sa bouche, et elle déglutit, son regard de braise fixé dans mes yeux plissés.
J’ai pensé que c’était une façon bien sympa de me remercier. Sitôt tout ranger, la femme me souffla à l’oreille :
- Avec toi… je pourrais faire les pires folies… je ne me sentirais pas sale comme je le sens des fois avec les mecs qui me baisent… Ils ne me respectent pas… je ne suis pour eux qu'une poupée gonflable… Viens par là…
Elle m’attira à bord de sa voiture.
- Je ne me trompe pas… au-moins ?
Elle faisait basculer le siège en avant.
- Pas du tout M’dame, vous m’avez tout à fait bien cerné…
Elle prit place sur la banquette arrière. Écartant totalement ses jambes en ramenant ses pieds vers ses fesses. Une lueur d’intérêt brilla dans ses yeux en amandes. Je me pliais en deux et m’approchais d’elle, à la toucher. Elle en profita pour me saisir la tête, l’approchant de son bas-ventre :
- Goûte alors à ma chatte… salaud, tu en meurs d’envie !
- Mais vous êtes Devin M’dame…
- Alors au travail mon beau…
Je me jetais sur le con offert, m’enivrant de senteurs marines. Deux ou trois baisers sur sa chatte pour m’authentifier de sa douceur. Aussi douce que les joues d’un homme après en avoir rasé la barbe de huit jours.
Elle m’observait, un sourire logé au coin des lèvres. Je me mis alors à fouiller la vulve. Alternant les caresses du bout de la langue sur les petites lèvres et les bords du vagin. Elle donnait des coups de reins en me barbouillant la figure de mouille épaisse. Remuant la tête sur un rythme de plus en plus rapide.
Je m’abandonnais à lui donner le plus de plaisir que je le pouvais. Pour moi, c’était la plus belle chose au monde. Rien que pour cela, j’aurai pu chérir d’épouser la carrière de gigolo, pour défendre ce pouvoir divin de faire jouir une femme.
Elle laissa échapper un gémissement. M’agrippant par mes cheveux, en tendant son ventre. Je ne lui laissais pas de reprendre ses esprits, remettant le couvert, lapant entre ses lèvres intimes, comme l’aurait fait un chien. Enfonçant ma langue au plus profond de son vagin.
- Oui ! Oui ! Oui… c’est ça… oh ! Continu….
Je la dégustais à grands coups de langue, insistant sur le bourgeon enflammé qui se dressait. La mouille me coulait dans ma bouche. Le volume de ses gémissements avait augmenté. Elle enchaîna deux orgasmes de suite avant d’écarter ma bouche en agrippant mes cheveux.
Je profitais de sa phase de récupération pour m’étendre sur elle et tenter par la même occasion de la pénétrer. Mais elle m’en empêcha.
- Accès interdit… beau jeune homme.
Elle coinça alors mon sexe bandé entre ses cuisses. Puis se mit à se branler avec, comme si c’était un gode. C’était pour moi une sensation assez étrange, mais cela me procurais néanmoins beaucoup de plaisir. À en éjaculer pour la seconde fois.
Elle prit sa culotte assortie à son porte-jarretelles, et l’enfila. J’eus de nouveau le plaisir de voir une dernière fois ses belles jambes mais aussi son adorable minou baveux.
- Il est temps pour nous de nous séparer ! Me fit-elle en m’adressant un joli sourire.
Sitôt dehors elle remit en place son siège et prit place dessus. Puis elle mit le contact.
- J’ai trouvé ce petit incident très agréable ! Je pense que vous serez d’accords avec moi, fit-elle en abandonnant le tutoiement.
- Et comment, j’en ai encore un souvenir en bouche.
Cela la fit bien rire. Elle alluma ses feux et embraya pour disparaître à tout jamais de ma vue.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai rendu un petit service a une dame qui avait crevé ,elle avait bien 50 ans et moi juste 18 ans je faisais un footing en bordure de forêt, alors que je changeais la roue ,je vis la Dame derrière une petite haie qui avait la culotte aux chevilles et qui faisait un énorme pipi ,elle me montrait bien sa chatte bien poilue elle avait de belles cuisses,un peu de ventre,j'avais ma bite qui ressortait de mon schort,elle s'esssuya avec sa culotte et s'approcha de la voiture et vit ma bite Et bien mon Petit je vois
que je te fais de l'effet,si tu veux esssuyer ma chatte elle est a toi ,elle était appuyée contre la porte de la voiture ,la jupe remontée et me fit sucer cette chatte toute humide de son urine elle sentait un peu fort,son clito était énorme bien dur,c'était la première fois que je suçais une belle chatte,je crois que c'est elle qui me baisa dans la voiture,mais un bon souvenir!
que je te fais de l'effet,si tu veux esssuyer ma chatte elle est a toi ,elle était appuyée contre la porte de la voiture ,la jupe remontée et me fit sucer cette chatte toute humide de son urine elle sentait un peu fort,son clito était énorme bien dur,c'était la première fois que je suçais une belle chatte,je crois que c'est elle qui me baisa dans la voiture,mais un bon souvenir!