Titre de l'histoire érotique : LE CONCERT au théâtre Antique
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : LE CONCERT au théâtre Antique
J’ai la chance d’habiter une ville, avec un magnifique théâtre antique ou tous les ans, sont organisés en été, des concerts, de tous les genres.
Classiques, pop, rock, artistes étrangers ou français.
L’histoire que je vais vous raconter, c’est passée cette année, un soir de juillet, durant le concert d’un chanteur français, d’une cinquantaine d’année, dont le publique est surtout féminin de 7 à 77 ans.
Pour faire plaisir à ma femme et pour servir de chauffeur à ces copines (qui ne veulent pas rentrer seule le soir tard), j’ai accepté d’aller à ce spectacle.
Nous sommes arrivés presque en retard et nous nous sommes retrouvés, assis tout au-dessus de l’amphithéâtre, accolés à un mur.
Les trois filles discutaient et papotaient sans s’intéresser à moi, quand je vis arriver et s’assoir juste à ma droite, une jeune femme ravissante, les cheveux remontés en chignon, un joli visage avec des pommettes saillantes, des grands yeux, derrière une paire de lunettes de couleur rouge. Elle portait un débardeur très échancré, qui ne cachait presque rient du soutien gorge rouge et noir, qui maintenait deux seins ronds et ferme . Pour finir elle avait une jupe courte à plis, qui dès qu’elle fut assise ne cacha plus ses cuisses, bronzées et fermes. Elle me sourit timidement, me demanda si la place était libre, je lui répondis que oui.
Elle se tourna et fit signe à un homme qui portait une enfant dans ses bras, et qui vint s’assoir vers elle en me saluant à son tour.
J’étais déçu, je me voyais passer la soirée à faire du charme (sans plus) à cette femme et elle n’était pas seule.
Etant quand même un homme bien élevé, qui adore les enfants je ne pus m’empêcher d’entamer la conversation. D’abord avec le mari qui c’était mis à côté de moi.
J’appris qu’ils habitaient, juste derrière le théâtre, que pour les dédommager, par rapport aux désagréments, subis pendant un mois de concert successifs, la ville leur offrait des places pour des spectacles, de leur choix. C’est comme ça que nous nous sommes aperçus, que nous avions fait tous les deux plaisir à nos femmes.
Puis Sophie sa jolie femme vint à côté de moi, car leur fille la petite Ludivine, a voulu que ses parents changent de place, pour mon plus grand plaisir.
Le concert commença, chansons nouvelles, chansons anciennes, rythmées ou douces. Je m’ennuyais ferme, et j’étais surtout très mal assis en résumé j’avais mal aux fesses.
Au cours d’une chanson lente, pour laisser mon postérieur se reposer, je pris appui sur mes mains, et la promiscuité voulu que mon auriculaire droit effleure la cuisse de ma voisine. Par jeu et pour mon plaisir personnel, je ne reculais pas ma main, pensant qu’elle allait elle s’écarter. Mais rien ne se passa, elle ne bougeait pas, j’avais même l’impression qu’elle accentuait la pression volontairement.
Pour en avoir le cœur net, je me mis à lui caresser le côté de la cuisse avec deux doigts, elle avait la peau douce et soyeuse et elle ne bougeait toujours pas.
J’étais surpris et excité, je n’osais regarder dans sa direction, mais j’accentuais ma caresse. J’allais lui glisser un mot à l’oreille, quand la petite Ludivine, qui était fatiguée, vint se blottir dans ses bras.
Je pensais : zut c’est foutu, mais le mari pris la meilleure décision de la soirée, il se leva, repris la petite des bras de sa mère, en lui disant : elle est crevée, je rentre je vais la coucher. Je te laisse finir le concert, je t’attends devant un film.
Sophie : ok soyez sage tous les 2 (en leur faisant un bisou, bonne nuit ma poupée, je rentre vite après la dernière note, mais tu sais les gens ne sont jamais pressés de sortir, mais je fais le plus vite possible mon chéri.
L’artiste entamait une chanson très rythmée, et toutes les groupies se levèrent pour se trémousser et reprendre le refrain en cœur.
Ma voisine debout, moi assis mon visage est à la hauteur de son postérieur qui bouge sous la petite jupe plissée,
Je bande, j’ai envie de plus,
Je regarde à gauche, m’assure que ma femme et ses copines sont toutes bien occupées avec le concert.
Et, délicatement je passe mes doigts derrière le genou, gauche de Sophie, Elle s’arrête un instant de danser, les jambes légèrement écartées, juste le dessus de son corps bouge.
Ma main descend sur son mollet, remonte derrière le genou, passe sous la jupe sur l’arrière de la cuisse. Je fais ce chemin plusieurs fois, en essayant que la caresse soit la plus sensuelle possible.
Toujours aucune réaction négative de sa part. la chanson terminée, elle se rassoit, et là, elle colle délibérément sa cuisse contre la mienne la situation fait que je bande comme un fou.
Je me dis pourvu que la prochaine chanson, la fasse se lever. BINGO tout le monde debout, sauf moi.
Dès les premières mesures, je passe ma main, qui remonte la cuisse, elle écarte légèrement les jambes pour que je puisse atteindre son entre jambe. J’ai vite senti que sa culotte était humide. Je me mets à la caresser à travers le léger rempart, mes doigts écartent l’élastique, et pendant que mon majeur et mon index lui titillent le clitoris, je la pénètre avec mon pouce. Elle est déjà très humide. A ce moment elle se remet à danser, son bassin fait des mouvements circulaires, je ne bouge plus, elle se masturbe sur mes doigts. Le temps de la chanson elle augmente son rythme, les frottements sont de plus en plus vif, et juste avant les dernières notes, ma main est inondée de mouille, elle vient de jouir, en se mordant les lèvres pour ne pas crier, et en serrant les cuisses, comme si elle voulait garder mes doigts pour un plaisir futur.
Tout le monde se rassoit, toujours pas un regard, j’essuie mes doigts, dans un mouchoir, elle se penche vers moi et me dit : on se retrouve dans 10 minutes devant chez moi. Elle se lève et s’en va.
Les 10 minutes suivantes me permettent de trouver une excuse pour sortir. Le temps écoulé, je me penche vers ma femme et ses amies et je leur dit : je ne tiens plus je vais aux toilettes, mais comme c’est bientôt fini je ne reviens pas je vous retrouve, vers le métro. Ok ?
Elle acquiesse de la tête, et je pars rapidement vers la sortie. Au moment où j’arrive devant l’immeuble, la porte des garages s’ouvre. Elle m’attend, elle me fait un signe de la main, dans laquelle elle tiens sa culotte, je me précipite dans sa direction, Comme si elle voulait m’échapper, elle se met aussi à courir autour des voitures garées. Je la rejoins rapidement, elle est allongée sur le capot d’une voiture, les jambes légèrement écartées, la jupe remontés, je vois son sexe offert, elle a les yeux fermés, je m’approche, je me baisse, et embrasse cette chatte, luisante de mouille. Ma langue descend et remonte, doucement s’insinue dans son vagin, remonte jusqu’au clito, qu’elle titille, aspire,
Sophie : arrête je vais jouir encore,
Mais dans le même temps elle me plaque encore plus la tête sur son sexe.
Sophie oooooooohhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii que c’est bon, je jouiiiiiiiiiiiii
Et dans un dernier sursaut, ses jambes se détendes, elle jouit.
Après quelques instants, elle pour reprendre ses esprits et moi pour boire son plaisir, je me relève, m’allonge sur elle, et l’embrasse fougueusement. Nos langues et nos salives se mélangent. Mes mains prennent possession de ses seins fermes à la peau douce
Sophie : prends moi (en sortant mon sexe tendu à faire mal)
Je suis juste à la hauteur, je rentre dans son ventre comme dans du beurre, je retombe sur elle, et nous nous embrassons de nouveau, sans bouger l’un dans l’autre.
Sophie : prends moi fort, défonce moi la chatte vas y fort, fort. Mais tu n’éjacules pas dans mon sexe. Je ne veux pas être salle pour mon mari
Moi : c’est promis je te préviendrai, avant de jouir et je me retirerai.
Et je commence à la besogner comme un fou. Elle gémit, elle a passé sa main entre nous et se masturbe, tout en caressant mon sexe qui sort et rentre profondément de sa grotte.
Très rapidement je lui annonce que je vais jouir, que je vais me retirer,
Sophie : oui vas y
Je me retire, et au même moment elle se laisse glisser de son capot, se retrouve à genoux devant moi, et m’engloutit avec sa bouche chaude et sensuelle. A l’instant précis où je jouis comme un fou. J’éjacule à grands jets,
Moi : oh c’est bon, t’es bonne ma cochonne, avale tout salope ouiiiiiiiiiii
Elle avale tout, et me nettoie entièrement avec sa langue.
Elle se relève, m’embrasse, en me disant : Merci, maintenant sauves toi vite ta femme et ses copines t’attendent.
Classiques, pop, rock, artistes étrangers ou français.
L’histoire que je vais vous raconter, c’est passée cette année, un soir de juillet, durant le concert d’un chanteur français, d’une cinquantaine d’année, dont le publique est surtout féminin de 7 à 77 ans.
Pour faire plaisir à ma femme et pour servir de chauffeur à ces copines (qui ne veulent pas rentrer seule le soir tard), j’ai accepté d’aller à ce spectacle.
Nous sommes arrivés presque en retard et nous nous sommes retrouvés, assis tout au-dessus de l’amphithéâtre, accolés à un mur.
Les trois filles discutaient et papotaient sans s’intéresser à moi, quand je vis arriver et s’assoir juste à ma droite, une jeune femme ravissante, les cheveux remontés en chignon, un joli visage avec des pommettes saillantes, des grands yeux, derrière une paire de lunettes de couleur rouge. Elle portait un débardeur très échancré, qui ne cachait presque rient du soutien gorge rouge et noir, qui maintenait deux seins ronds et ferme . Pour finir elle avait une jupe courte à plis, qui dès qu’elle fut assise ne cacha plus ses cuisses, bronzées et fermes. Elle me sourit timidement, me demanda si la place était libre, je lui répondis que oui.
Elle se tourna et fit signe à un homme qui portait une enfant dans ses bras, et qui vint s’assoir vers elle en me saluant à son tour.
J’étais déçu, je me voyais passer la soirée à faire du charme (sans plus) à cette femme et elle n’était pas seule.
Etant quand même un homme bien élevé, qui adore les enfants je ne pus m’empêcher d’entamer la conversation. D’abord avec le mari qui c’était mis à côté de moi.
J’appris qu’ils habitaient, juste derrière le théâtre, que pour les dédommager, par rapport aux désagréments, subis pendant un mois de concert successifs, la ville leur offrait des places pour des spectacles, de leur choix. C’est comme ça que nous nous sommes aperçus, que nous avions fait tous les deux plaisir à nos femmes.
Puis Sophie sa jolie femme vint à côté de moi, car leur fille la petite Ludivine, a voulu que ses parents changent de place, pour mon plus grand plaisir.
Le concert commença, chansons nouvelles, chansons anciennes, rythmées ou douces. Je m’ennuyais ferme, et j’étais surtout très mal assis en résumé j’avais mal aux fesses.
Au cours d’une chanson lente, pour laisser mon postérieur se reposer, je pris appui sur mes mains, et la promiscuité voulu que mon auriculaire droit effleure la cuisse de ma voisine. Par jeu et pour mon plaisir personnel, je ne reculais pas ma main, pensant qu’elle allait elle s’écarter. Mais rien ne se passa, elle ne bougeait pas, j’avais même l’impression qu’elle accentuait la pression volontairement.
Pour en avoir le cœur net, je me mis à lui caresser le côté de la cuisse avec deux doigts, elle avait la peau douce et soyeuse et elle ne bougeait toujours pas.
J’étais surpris et excité, je n’osais regarder dans sa direction, mais j’accentuais ma caresse. J’allais lui glisser un mot à l’oreille, quand la petite Ludivine, qui était fatiguée, vint se blottir dans ses bras.
Je pensais : zut c’est foutu, mais le mari pris la meilleure décision de la soirée, il se leva, repris la petite des bras de sa mère, en lui disant : elle est crevée, je rentre je vais la coucher. Je te laisse finir le concert, je t’attends devant un film.
Sophie : ok soyez sage tous les 2 (en leur faisant un bisou, bonne nuit ma poupée, je rentre vite après la dernière note, mais tu sais les gens ne sont jamais pressés de sortir, mais je fais le plus vite possible mon chéri.
L’artiste entamait une chanson très rythmée, et toutes les groupies se levèrent pour se trémousser et reprendre le refrain en cœur.
Ma voisine debout, moi assis mon visage est à la hauteur de son postérieur qui bouge sous la petite jupe plissée,
Je bande, j’ai envie de plus,
Je regarde à gauche, m’assure que ma femme et ses copines sont toutes bien occupées avec le concert.
Et, délicatement je passe mes doigts derrière le genou, gauche de Sophie, Elle s’arrête un instant de danser, les jambes légèrement écartées, juste le dessus de son corps bouge.
Ma main descend sur son mollet, remonte derrière le genou, passe sous la jupe sur l’arrière de la cuisse. Je fais ce chemin plusieurs fois, en essayant que la caresse soit la plus sensuelle possible.
Toujours aucune réaction négative de sa part. la chanson terminée, elle se rassoit, et là, elle colle délibérément sa cuisse contre la mienne la situation fait que je bande comme un fou.
Je me dis pourvu que la prochaine chanson, la fasse se lever. BINGO tout le monde debout, sauf moi.
Dès les premières mesures, je passe ma main, qui remonte la cuisse, elle écarte légèrement les jambes pour que je puisse atteindre son entre jambe. J’ai vite senti que sa culotte était humide. Je me mets à la caresser à travers le léger rempart, mes doigts écartent l’élastique, et pendant que mon majeur et mon index lui titillent le clitoris, je la pénètre avec mon pouce. Elle est déjà très humide. A ce moment elle se remet à danser, son bassin fait des mouvements circulaires, je ne bouge plus, elle se masturbe sur mes doigts. Le temps de la chanson elle augmente son rythme, les frottements sont de plus en plus vif, et juste avant les dernières notes, ma main est inondée de mouille, elle vient de jouir, en se mordant les lèvres pour ne pas crier, et en serrant les cuisses, comme si elle voulait garder mes doigts pour un plaisir futur.
Tout le monde se rassoit, toujours pas un regard, j’essuie mes doigts, dans un mouchoir, elle se penche vers moi et me dit : on se retrouve dans 10 minutes devant chez moi. Elle se lève et s’en va.
Les 10 minutes suivantes me permettent de trouver une excuse pour sortir. Le temps écoulé, je me penche vers ma femme et ses amies et je leur dit : je ne tiens plus je vais aux toilettes, mais comme c’est bientôt fini je ne reviens pas je vous retrouve, vers le métro. Ok ?
Elle acquiesse de la tête, et je pars rapidement vers la sortie. Au moment où j’arrive devant l’immeuble, la porte des garages s’ouvre. Elle m’attend, elle me fait un signe de la main, dans laquelle elle tiens sa culotte, je me précipite dans sa direction, Comme si elle voulait m’échapper, elle se met aussi à courir autour des voitures garées. Je la rejoins rapidement, elle est allongée sur le capot d’une voiture, les jambes légèrement écartées, la jupe remontés, je vois son sexe offert, elle a les yeux fermés, je m’approche, je me baisse, et embrasse cette chatte, luisante de mouille. Ma langue descend et remonte, doucement s’insinue dans son vagin, remonte jusqu’au clito, qu’elle titille, aspire,
Sophie : arrête je vais jouir encore,
Mais dans le même temps elle me plaque encore plus la tête sur son sexe.
Sophie oooooooohhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii que c’est bon, je jouiiiiiiiiiiiii
Et dans un dernier sursaut, ses jambes se détendes, elle jouit.
Après quelques instants, elle pour reprendre ses esprits et moi pour boire son plaisir, je me relève, m’allonge sur elle, et l’embrasse fougueusement. Nos langues et nos salives se mélangent. Mes mains prennent possession de ses seins fermes à la peau douce
Sophie : prends moi (en sortant mon sexe tendu à faire mal)
Je suis juste à la hauteur, je rentre dans son ventre comme dans du beurre, je retombe sur elle, et nous nous embrassons de nouveau, sans bouger l’un dans l’autre.
Sophie : prends moi fort, défonce moi la chatte vas y fort, fort. Mais tu n’éjacules pas dans mon sexe. Je ne veux pas être salle pour mon mari
Moi : c’est promis je te préviendrai, avant de jouir et je me retirerai.
Et je commence à la besogner comme un fou. Elle gémit, elle a passé sa main entre nous et se masturbe, tout en caressant mon sexe qui sort et rentre profondément de sa grotte.
Très rapidement je lui annonce que je vais jouir, que je vais me retirer,
Sophie : oui vas y
Je me retire, et au même moment elle se laisse glisser de son capot, se retrouve à genoux devant moi, et m’engloutit avec sa bouche chaude et sensuelle. A l’instant précis où je jouis comme un fou. J’éjacule à grands jets,
Moi : oh c’est bon, t’es bonne ma cochonne, avale tout salope ouiiiiiiiiiii
Elle avale tout, et me nettoie entièrement avec sa langue.
Elle se relève, m’embrasse, en me disant : Merci, maintenant sauves toi vite ta femme et ses copines t’attendent.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
le genre de truc qui t'arrive une seule fois dans une vie...et qu'on laisse passer tellement on est surpris...
Très bien écrie,un peut érotique