Titre de l'histoire érotique : Le fantasme devenu histoire...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Le fantasme devenu histoire...
À tant l’espérer, c’est arrivée… mais seulement en rêve.
Ce soir-là, nous avions invité Olivier et sa compagne a venir partager notre repas. Il est arrivé vers les vingt heures avec sa fille et deux petits garçons, excusant son amie qui viendrait nous rejoindre un peu plus tard.
Dans le jardin, autour de la table nous avions servis l’apéro. Un verre puis un autre, et un autre, avant que Béatrice fasse son apparition. Après les présentations d’usage, nous nous sommes installés de nouveau sur la terrasse. Nous avions fait plus ample connaissance avec la nouvelle venue. Elle était vêtue en robe légère chaussée de sandales. Sur un corps dodue, elle avait son charme. Elle portait à merveille, un surplus de poids. Mais ce qui me plu chez elle, c’était son postérieur. Putain, un cul, donc j’imaginais le pauvre gringalet d’Olivier s’y perdre dedans.
Nous sommes allé faire un tour au parc tous ensemble pour nous dégourdir les jambes avant d’attaquer le repas. Claire comme à son habitude, nous a mitraillé avec son appareil photos. J’ai pu à loisirs admirer le morceau de roi de notre invitée. Les traces de son string à dentelle partageant à part égal ses deux joues fessiers, était un appel au peuple. Heureusement pour ma libido, elle décida de conduire ses fils sur le trampoline.
Nous avons continué seul notre ballade avant de la rejoindre quelques minutes plus tard, pour aller manger.
Pendant le repas rien d’intéressant à ce mettre sous la dents, je parle pas du dîner, mais de notre invitée. Béatrice étant une maigre convive, négative, en voulant à la terre entière, regrettant sans doute d‘être venue partager notre repas. Rien d’enthousiasment, elle avait un beau cul, point, et rien autour. Et comme souvent avec ce genre de personne, elle est parti avec ses gamins après avoir pris le désert.
Nous avions continué à boire comme pour fêter son départ. Malgré l’heure avancer, nous avions la pêche, Claire, Olivier et moi, les filles c’étant réfugier dans leur chambre avec la nouvelle copine pour y dormir.
Mais très vite je me fais plus raffiné, plus insidieux, plus vicelard. Je me mis dans la tête d’aller pêcher à la ligne, avec elle, Claire, pour appas, et le poisson, sera…. Olivier.
J’ai attendu qu’il aille vidanger pour soumettre mon idée à Claire.
- Il faut que tu lui montre ta belle chatte ?
Claire ne prit pas la peine de répondre. J’insistais. Elle se marra.
- C’est un voyeur. Il va aimer ça… avec un type pareil, tu risques rien. Qu’est-ce que ça te coûte de lui offrir une vue sur ton sexe.
Les mots-clefs qui vont la faire ce décider.
- Allez, Claire, va te changer… on vas lui faire voir ta grosse moule poilue… qu’il en attrape un infarctus…
Au retour d’Olivier, Claire a filé préparer le café. En lui servant un énième verres, j’ai proposé à Olivier si il pouvait me rendre un service un peu particulier. Je lui es exposé mon souhait. Olivier comprend très vite ce que je veux.
- Bien sûr, avec plaisir…
Claire, le plateau contenant le café dans ses mains, vint nous rejoindre sur la terrasse. Elle fit le service, dans un silence de mort. Nous prîmes, Olivier et moi nos tasses. Mais alors que Claire allait reprendre sa place, je lui soumis qu’elle serait mieux sur mes genoux. Ce qu’elle fit.
Mais avant qu’elle se pose sur moi, sans lui laisser le temps de réagir, je retroussais la jupe jusqu’au nombril.
- Montre à Olivier le jolie bijou…
Olivier est bouche bée devant ce qui voie. Un string bijou perdu au milieu d’une forêt de poils. C’est plus que de la surprise que je lis sur son visage quand je fais bâiller le sexe de Claire. Comme convenu, il se saisit de l’appareil et nous fusille de flash. Je tirais davantage sur les cuisses de ma protégée, lui murmurant des obscénités. Olivier nous mitraillait, s’approchant, tournant autour de nous.
Il cadre ma main qui fait s’ouvrir le vagin de Claire, et mon doigt qui s’y introduit.
- Alors, Olivier, comment à tu trouvais ça ?
Il cherchait ses mots.
- Emballant…
Tout le monde pris sa place initiale, sentant très bien, tous les trois, que quelque chose se tramait. L’excitation pousse souvent des êtres à aller au-delà des convictions.
- Tu trouves pas qu’elle possède une belle chatte…
Il but son café comme pour ce donner du temps pour réfléchir.
- Oui, pas mal !
- Et ta copine à toi… elle aussi, possède une chatte poilu ?
- Oui… Oui…
- Ça te gênerais, de nous prendre en photos ?
- Non, fit-il avec un rire gêné.
Claire de son côté, touillait son café à plus en finir.
- Si tu es un homme Olivier, tu vas bandé ?
Ses yeux se promenaient de moi à Claire.
- Oui… je ne pourrais que bander.
- Et toi Claire, dis-moi ma chérie, tu as aimé.
- A ton avis ?
Je me suis mi à rire bruyamment.
- Que je suis bête ma chérie… excuse-moi, bien sûr que tu as aimé, j’en es la preuve aux bout de mes doigts.
La conversation devenait de plus en plus excitante. Le champagne en était pour quelque chose. Claire s’était dégelée. Nous convenions entre adultes, que le sexe il y avait pas mieux. J’avais remis ma main sous la jupe de Claire, sous les yeux de notre invité. Son sexe bavait dans ma main.
- Belle soirée ma chérie ? Tu mouilles ma cochonne.
- Oh… oui…
- Dis-donc toi, Olivier, avec ta morue, ça t’arrive de faire ça ?
- Je ne sais pas si elle accepterait, tu la vue, elle est un peu coincée.
- Ah, oui pour la voir je l’es vu. J’ai pu admirer son merveilleux fessier, tout en fouillant la chatte de Claire. Tu sais ce que je suis en train de faire sous la jupe de Claire ?
- Oui, j’imagine tout au moins.
- Dis nous le…
Coup d’œil à Claire, qui joue le jeu.
- Tu la masturbe ?
- Putain, t’es pas con. Je suis effectivement en train de lui masser le sexe, et tu peux croire qu‘elle aime ça, la cochonne... Tu ne sais pas de ta place à quel point elle aime ça la salope.
Le salaud dévorait ma compagne des yeux. Elle qui avait le visage rouge, et en sueur.
- Dis-moi Olivier, tu n’aimerais pas que je la mène jusqu’à l’orgasme ? Que tu l’entende gouiner de plaisir…
- Oui, pourquoi pas ?
Il se servit le reste de champagne dans son verre et le bu coup sec. Je retirais mes doigts du vagin. J’en fourrais deux dans son anus dilaté. Je faisais part de mon geste à Olivier. Il me fixa de son regard troublait.
- Mais… comme je suis ! Désolé mon ami, t’aimerait pas mieux participer avec nous?
Il ne sait que faire. Interrogea Claire du regard, pour son avis.
- Aller vient, elle est d’accord, fait moi confiance, elle n‘attend que ça.
Je retirais mes doigts du cul de Claire et la tendais à Olivier pour l’inviter à venir nous rejoindre.
- Il va te branler, ma belle, comme tu le désirais dans tes fantasmes.
Elle cligna des yeux comme pour me donner son aval. Il s’agenouilla à nos pieds, et enfila sa main sous la jupe.
- Alors ma chérie, il te fait du bien le coquin.
- Il me tripote, me lança Claire.
- Ça te plaît… c’est-ce que tu désirais non ?
Elle fit oui, assez fort pour qu’Olivier l’entende.
- Il t’a mis combien de doigts ?
- Aucun, il me caresse pour l‘instant…
- Il fait le tour du propriétaire le con… dis-lui ma chérie, que tu veux qu’il t’enfile tes doigts dans tous tes trous.
Mais elle n’avait pas eu le temps de lui dire, il avait perçu mon message. Le haut-le-corps de ma bien aimée était là pour en témoigner. Son bassin basculait pour offrir son sexe à cette main qui la fouillait. De temps en temps elle me décochait un coup d’œil. Elle allait et venait, les fesses ballottâtes se levait, se rasseyait sur mes genoux, ignorait la main qui s’appropriait sa chair.
- Alors, dis-moi, Olivier, comment tu la trouve ma chérie… alors salaud, hein, avoue que c’est un cul qui donne des idées… et tu peux me croire, il faut pas lui en promettre… à la salope, il faut lui en donner.
Claire était dans tous ses état, et moi je bandais comme jamais. Je prenais alors ma chère par-dessous les genoux et la tiré vers le haut, ramenant ses pieds sur mes genoux. Elle écartait les cuisses le plus possible. J’ai soulevé sa jupe. Je voyais les doigts de la main droite d’Olivier s’activait dans le sexe de Claire. Ils étaient luisants de mouille épaisse.
- Putain, quelle spectacle… tu aimes ma chérie ? Non… préfères-tu qu’il te suce maintenant ? Tu n’oses pas lui dire, qu’il te bouffe la chatte. Que tu es timide ma chérie… allez Olivier, fait lui plaisir suce là.
Il s’attabla devant la chatte baveuse. J’en profitais pour embrasser ma bien-aimée. Olivier sortit la langue et commencé à la sucer. Il lui bouffait la moule. La langue la fouillant dans le moindre recoin, du clitoris au vagin. Elle gémissait, ondulait du bassin sur mon visage, se massant les seins, étirant ses pointes à travers son T-shirt. Olivier la mordillait, mâchait ses chairs intimes, rouges, gorgées de sang, dégoulinantes. Elle était tellement ouverte que sa langue s'enfonçait dans son con comme une bite.
Parfois, dans ses mouvements désordonnés du bassin, sa langue allait jusqu'à son anus, qu’il léchait avec la même avidité. J'étais aux anges. Elle étouffait ses gémissements, seul de temps en temps un soupir sortait de ses lèvres.
Elle respirait très fortement. Elle continuait à remuer son bassin et à pincer fortement ses tétons. J'appréciais la situation. Mais j’en voulais encore plus. Il était temps de passer dans la chambre.
J’ai sorti un préservatif de ma poche, tout était prévu, et le jeta à l’intention d’Olivier. Il a parfaitement compris le message. L’ami se débarrassa de son pantalon, puis de son slip. Une queue bien raide fit son apparition. Il déchira l’emballage, prit la rondelle caoutchoutais et j’enfila sur sa queue, comme une femme enfile son bas. Je soutenais toujours les cuisses de Claire, la présentant à l’homme qui allait la satisfaire.
Elle eut un mouvement de recul, mais moi, derrière elle, pesais sur ses épaules.
- Allons, ma puce, laisse-toi faire ! Tu vas apprécier une autre queue que la mienne.
- Non ! Je ne veux pas !
- Mais si, tu veux ! Disais-je en l’attirant sur le lit où elle chuta à plat ventre.
Sans perdre de temps, Olivier se coucha sur elle en agrippant ses seins.
Comme elle tenait de se dégager, je lui soufflais à l’oreille des encouragements salaces.
- On va bien te baiser, tu auras deux belles queues pour toi toute seule !
Elle sentit le membre dur d’Olivier rouler contre ses fesses. L’invité enduisit sa verge de salive avant de la caler entre les rondeurs excitantes. Elle commença à ressentir un délicieux frisson malgré la douleur sourde qui élargissait son anus. Tandis qu’Olivier s’échinait en la pénétrant difficilement, je glissais les doigts entre ses cuisses pour la masturber sournoisement. Je questionnais Olivier.
- Tu y arrives ?
- Elle a un gros cul mais son trou est rudement serré…
Claire souleva la croupe pour permettre au membre turgide de trouver son chemin. Dans le même instant, tout son sexe s’embrassa sous ma main.
- Aah ! Soupira-t-elle, vous êtes… des… salauds…
Olivier réussit enfin à se souder au fessier opulent. Il accompli un mouvement de rotation et fit percevoir à Claire le plein choc de sa verge durcie. Je glissais sous elle et n’eus aucun mal à lui planter mon pieu entre les cuisses. Sous l’effet de ce nouvel assaut, Claire gémit longuement, dans un indescriptible plaisir, bien qu’elle craignit de ne pouvoir endurer la violence lubrique de nos queues. Mais nos deux membres se mirent à la travailler sans brusquerie. Quand je retirais de sa vulve, Olivier glissait profondément dans sa gaine anale, puis ce dernier se dégageait et c’était moi qui la fouillait. Une vague de plaisir la submergeait quand Olivier la refluait. À chaque fois, une raideur massive répondait à son émotion.
- Je crois que je vais décharger ! Disait subitement Olivier.
À ces mots, je m’immobilisais.
- Tu peux y aller, disais-je en soulevant le ventre pour demeurer bien enfoui tout au fond de la vulve.
Olivier se pencha et mordilla le lobe de l’oreille de Claire.
- Ne bouge plus… je vais te… Aah !
Il ne put terminer sa phrase. Au travers de la fine membrane qui séparait l’anus du vagin, je le sentais palpiter.
Éjaculant avec force, Olivier délira.
- Tiens, ma belle ! Tiens ! Je le bourre bien ton beau cul, hein ?
Ne pouvant plus me contenir, je projetais à mon tour une série de jets fulgurants, sans remuer, et en émettant de petits gémissements. Prise sous la propulsion des deux verges en folie, Claire se mit à râler comme si elle agonisait. Moi et Olivier semblions nous perdre en elle en longs jets de sperme.
Ils étaient temps pour nous, d’aller prendre une bonne douche réparatrice
Je lui demandais de passer le premier. Alors qu’il prenait le chemin de la salle de bain, je me mis à lui reluquer son petit cul. Une poussé de libido, me poussait.
Il était en train de se savonner lorsque que l’ai rejoint.
- Quand il y en a pour un, il y en a pour deux ! Fais-moi de la place !
Je fus surpris qu’il ne m’invite pas de sortir. D’ailleurs, je ne serai pas sorti. Nous étions à l’étroit et nos deux corps se touchaient en permanence. En regardant sa queue, je m’exclamais.
- Dis donc mon salaud, tu la bien baiser, il faudra un jour prévoir un plan pour que je baise à mon tour Béatrice. Tu bandes encore mon salaud !
Je l’attrapais et la secouais en rigolant. Malgré lui, il bandait et ne savait que faire pour échapper à mon regard. Lentement, je le décalottais et fit aller doucement la peau de son prépuce sur son gland tout en me blottissant contre lui.
- Humm ! C’est bon un morceau comme ça ! Est-ce que tu veux que je te savonne ?
Il bredouilla.
- Non, non, Alain ! C’est pas la peine, ça va !
Mais sa queue maintenant bandait totalement, lui barrant le ventre.
- Allez quoi, on est entre mecs ! Lui lançais-je.
Je pris la savonnette, commençais à la passer délicatement sur sa poitrine, la faisant mousser dans ses poils. Son torse était couvert de mousse dans laquelle je plongeais mes mains pour étaler sur tout son corps. Mes mains rencontrèrent à nouveau sa queue que j’enduisais du gland jusqu’aux couilles et que je massais lentement entre mes doigts. Il restait là les bras ballants, me laissant faire, appréciant, malgré sa honte, la caresse. De ses couilles, je passais dans la raie des fesses que je câlinais doucement du bout des doigts. Faisant attention de ne pas l’effrayer.
- Tu vois, on s’habitue puis on y prend gout !
C’était vrai. Il tendait maintenant sa croupe pour que je prolonge mes caresses. Je continuais tranquillement puisque nous avions le temps, tandis qu’il prenait sa queue raide dans sa main. Il commençait à gémir.
- Là ! Tu vois, ce n’est pas bien terrible ! En disant cela, j’enfonçais d’un coup deux doigts dans son cul.
Il poussa un hurlement.
- Arrête, t’es con ! Pas ça !
- Comment pas ça ! T’as tellement l’air d’aimer que je te tripote ! Tu gémis comme une gonzesse !
Mes paroles eurent sur lui un effet euphorisant. Il se calmait lentement, s’habituant mon l’index et majeur, qui l’encombraient l’anus, tout en la branlant de plus belle. Je ne me rendais plus compte où j’étais. Je ne pensais qu’à son cul, à mes doigts qui le soulevaient presque de terre.
- Il faut bien que je t’ouvre. T’es encore puceau ! Tu vas sentir comme ma queue est bonne !
Il ne put se retenir plus longtemps. Tout son foutre gicla contre le carrelage de la douche.
Tout en lui fouillant dans le cul, avec une idée en tête, j’ordonnais d’une voix dure.
- Vas-y petit ! Lèche bien le mur ! Tu ne peux pas gaspiller ta semence ! regarde comme elle est jolie, on dirait un dessin !
Je lui pliais la taille et poussa sa tête vers le dallage. Il sortit sa langue et commençait à laper.
Je passais derrière Olivier. Je posais ma main sur ses fesses fermes, rondes, je les trouvais douces, presque aussi douces que celle d’une femme. Mon cœur s’affolait en empoignant le postérieur d‘Olivier. J’approchais mon sexe. Olivier avait entrouvert les cuisses. Il savait ce qui l’attendait. Je serrais ma verge, l’accompagnais, la guidais, jusqu’au cratère brun de l’homme et m’engageais plus avant.
Hop ! D’un coup de reins. Une pression. Je creusais ses fessiers et mon sexe pénétra dans l’homme. Je reculais comme pour mieux emmagasiner ce que je venais de lui entrer dans les fesses.
Olivier poussa un cri rauque…
Claire se délectait. Voyant mes testicules au-dessus de ceux d’Oliver. Elle approcha ses doigts et me les caressa. Il m’en fallait pas plus pour que je crache mon foutre dans le trou à merde d’Olivier.
Ce soir-là, nous avions invité Olivier et sa compagne a venir partager notre repas. Il est arrivé vers les vingt heures avec sa fille et deux petits garçons, excusant son amie qui viendrait nous rejoindre un peu plus tard.
Dans le jardin, autour de la table nous avions servis l’apéro. Un verre puis un autre, et un autre, avant que Béatrice fasse son apparition. Après les présentations d’usage, nous nous sommes installés de nouveau sur la terrasse. Nous avions fait plus ample connaissance avec la nouvelle venue. Elle était vêtue en robe légère chaussée de sandales. Sur un corps dodue, elle avait son charme. Elle portait à merveille, un surplus de poids. Mais ce qui me plu chez elle, c’était son postérieur. Putain, un cul, donc j’imaginais le pauvre gringalet d’Olivier s’y perdre dedans.
Nous sommes allé faire un tour au parc tous ensemble pour nous dégourdir les jambes avant d’attaquer le repas. Claire comme à son habitude, nous a mitraillé avec son appareil photos. J’ai pu à loisirs admirer le morceau de roi de notre invitée. Les traces de son string à dentelle partageant à part égal ses deux joues fessiers, était un appel au peuple. Heureusement pour ma libido, elle décida de conduire ses fils sur le trampoline.
Nous avons continué seul notre ballade avant de la rejoindre quelques minutes plus tard, pour aller manger.
Pendant le repas rien d’intéressant à ce mettre sous la dents, je parle pas du dîner, mais de notre invitée. Béatrice étant une maigre convive, négative, en voulant à la terre entière, regrettant sans doute d‘être venue partager notre repas. Rien d’enthousiasment, elle avait un beau cul, point, et rien autour. Et comme souvent avec ce genre de personne, elle est parti avec ses gamins après avoir pris le désert.
Nous avions continué à boire comme pour fêter son départ. Malgré l’heure avancer, nous avions la pêche, Claire, Olivier et moi, les filles c’étant réfugier dans leur chambre avec la nouvelle copine pour y dormir.
Mais très vite je me fais plus raffiné, plus insidieux, plus vicelard. Je me mis dans la tête d’aller pêcher à la ligne, avec elle, Claire, pour appas, et le poisson, sera…. Olivier.
J’ai attendu qu’il aille vidanger pour soumettre mon idée à Claire.
- Il faut que tu lui montre ta belle chatte ?
Claire ne prit pas la peine de répondre. J’insistais. Elle se marra.
- C’est un voyeur. Il va aimer ça… avec un type pareil, tu risques rien. Qu’est-ce que ça te coûte de lui offrir une vue sur ton sexe.
Les mots-clefs qui vont la faire ce décider.
- Allez, Claire, va te changer… on vas lui faire voir ta grosse moule poilue… qu’il en attrape un infarctus…
Au retour d’Olivier, Claire a filé préparer le café. En lui servant un énième verres, j’ai proposé à Olivier si il pouvait me rendre un service un peu particulier. Je lui es exposé mon souhait. Olivier comprend très vite ce que je veux.
- Bien sûr, avec plaisir…
Claire, le plateau contenant le café dans ses mains, vint nous rejoindre sur la terrasse. Elle fit le service, dans un silence de mort. Nous prîmes, Olivier et moi nos tasses. Mais alors que Claire allait reprendre sa place, je lui soumis qu’elle serait mieux sur mes genoux. Ce qu’elle fit.
Mais avant qu’elle se pose sur moi, sans lui laisser le temps de réagir, je retroussais la jupe jusqu’au nombril.
- Montre à Olivier le jolie bijou…
Olivier est bouche bée devant ce qui voie. Un string bijou perdu au milieu d’une forêt de poils. C’est plus que de la surprise que je lis sur son visage quand je fais bâiller le sexe de Claire. Comme convenu, il se saisit de l’appareil et nous fusille de flash. Je tirais davantage sur les cuisses de ma protégée, lui murmurant des obscénités. Olivier nous mitraillait, s’approchant, tournant autour de nous.
Il cadre ma main qui fait s’ouvrir le vagin de Claire, et mon doigt qui s’y introduit.
- Alors, Olivier, comment à tu trouvais ça ?
Il cherchait ses mots.
- Emballant…
Tout le monde pris sa place initiale, sentant très bien, tous les trois, que quelque chose se tramait. L’excitation pousse souvent des êtres à aller au-delà des convictions.
- Tu trouves pas qu’elle possède une belle chatte…
Il but son café comme pour ce donner du temps pour réfléchir.
- Oui, pas mal !
- Et ta copine à toi… elle aussi, possède une chatte poilu ?
- Oui… Oui…
- Ça te gênerais, de nous prendre en photos ?
- Non, fit-il avec un rire gêné.
Claire de son côté, touillait son café à plus en finir.
- Si tu es un homme Olivier, tu vas bandé ?
Ses yeux se promenaient de moi à Claire.
- Oui… je ne pourrais que bander.
- Et toi Claire, dis-moi ma chérie, tu as aimé.
- A ton avis ?
Je me suis mi à rire bruyamment.
- Que je suis bête ma chérie… excuse-moi, bien sûr que tu as aimé, j’en es la preuve aux bout de mes doigts.
La conversation devenait de plus en plus excitante. Le champagne en était pour quelque chose. Claire s’était dégelée. Nous convenions entre adultes, que le sexe il y avait pas mieux. J’avais remis ma main sous la jupe de Claire, sous les yeux de notre invité. Son sexe bavait dans ma main.
- Belle soirée ma chérie ? Tu mouilles ma cochonne.
- Oh… oui…
- Dis-donc toi, Olivier, avec ta morue, ça t’arrive de faire ça ?
- Je ne sais pas si elle accepterait, tu la vue, elle est un peu coincée.
- Ah, oui pour la voir je l’es vu. J’ai pu admirer son merveilleux fessier, tout en fouillant la chatte de Claire. Tu sais ce que je suis en train de faire sous la jupe de Claire ?
- Oui, j’imagine tout au moins.
- Dis nous le…
Coup d’œil à Claire, qui joue le jeu.
- Tu la masturbe ?
- Putain, t’es pas con. Je suis effectivement en train de lui masser le sexe, et tu peux croire qu‘elle aime ça, la cochonne... Tu ne sais pas de ta place à quel point elle aime ça la salope.
Le salaud dévorait ma compagne des yeux. Elle qui avait le visage rouge, et en sueur.
- Dis-moi Olivier, tu n’aimerais pas que je la mène jusqu’à l’orgasme ? Que tu l’entende gouiner de plaisir…
- Oui, pourquoi pas ?
Il se servit le reste de champagne dans son verre et le bu coup sec. Je retirais mes doigts du vagin. J’en fourrais deux dans son anus dilaté. Je faisais part de mon geste à Olivier. Il me fixa de son regard troublait.
- Mais… comme je suis ! Désolé mon ami, t’aimerait pas mieux participer avec nous?
Il ne sait que faire. Interrogea Claire du regard, pour son avis.
- Aller vient, elle est d’accord, fait moi confiance, elle n‘attend que ça.
Je retirais mes doigts du cul de Claire et la tendais à Olivier pour l’inviter à venir nous rejoindre.
- Il va te branler, ma belle, comme tu le désirais dans tes fantasmes.
Elle cligna des yeux comme pour me donner son aval. Il s’agenouilla à nos pieds, et enfila sa main sous la jupe.
- Alors ma chérie, il te fait du bien le coquin.
- Il me tripote, me lança Claire.
- Ça te plaît… c’est-ce que tu désirais non ?
Elle fit oui, assez fort pour qu’Olivier l’entende.
- Il t’a mis combien de doigts ?
- Aucun, il me caresse pour l‘instant…
- Il fait le tour du propriétaire le con… dis-lui ma chérie, que tu veux qu’il t’enfile tes doigts dans tous tes trous.
Mais elle n’avait pas eu le temps de lui dire, il avait perçu mon message. Le haut-le-corps de ma bien aimée était là pour en témoigner. Son bassin basculait pour offrir son sexe à cette main qui la fouillait. De temps en temps elle me décochait un coup d’œil. Elle allait et venait, les fesses ballottâtes se levait, se rasseyait sur mes genoux, ignorait la main qui s’appropriait sa chair.
- Alors, dis-moi, Olivier, comment tu la trouve ma chérie… alors salaud, hein, avoue que c’est un cul qui donne des idées… et tu peux me croire, il faut pas lui en promettre… à la salope, il faut lui en donner.
Claire était dans tous ses état, et moi je bandais comme jamais. Je prenais alors ma chère par-dessous les genoux et la tiré vers le haut, ramenant ses pieds sur mes genoux. Elle écartait les cuisses le plus possible. J’ai soulevé sa jupe. Je voyais les doigts de la main droite d’Olivier s’activait dans le sexe de Claire. Ils étaient luisants de mouille épaisse.
- Putain, quelle spectacle… tu aimes ma chérie ? Non… préfères-tu qu’il te suce maintenant ? Tu n’oses pas lui dire, qu’il te bouffe la chatte. Que tu es timide ma chérie… allez Olivier, fait lui plaisir suce là.
Il s’attabla devant la chatte baveuse. J’en profitais pour embrasser ma bien-aimée. Olivier sortit la langue et commencé à la sucer. Il lui bouffait la moule. La langue la fouillant dans le moindre recoin, du clitoris au vagin. Elle gémissait, ondulait du bassin sur mon visage, se massant les seins, étirant ses pointes à travers son T-shirt. Olivier la mordillait, mâchait ses chairs intimes, rouges, gorgées de sang, dégoulinantes. Elle était tellement ouverte que sa langue s'enfonçait dans son con comme une bite.
Parfois, dans ses mouvements désordonnés du bassin, sa langue allait jusqu'à son anus, qu’il léchait avec la même avidité. J'étais aux anges. Elle étouffait ses gémissements, seul de temps en temps un soupir sortait de ses lèvres.
Elle respirait très fortement. Elle continuait à remuer son bassin et à pincer fortement ses tétons. J'appréciais la situation. Mais j’en voulais encore plus. Il était temps de passer dans la chambre.
J’ai sorti un préservatif de ma poche, tout était prévu, et le jeta à l’intention d’Olivier. Il a parfaitement compris le message. L’ami se débarrassa de son pantalon, puis de son slip. Une queue bien raide fit son apparition. Il déchira l’emballage, prit la rondelle caoutchoutais et j’enfila sur sa queue, comme une femme enfile son bas. Je soutenais toujours les cuisses de Claire, la présentant à l’homme qui allait la satisfaire.
Elle eut un mouvement de recul, mais moi, derrière elle, pesais sur ses épaules.
- Allons, ma puce, laisse-toi faire ! Tu vas apprécier une autre queue que la mienne.
- Non ! Je ne veux pas !
- Mais si, tu veux ! Disais-je en l’attirant sur le lit où elle chuta à plat ventre.
Sans perdre de temps, Olivier se coucha sur elle en agrippant ses seins.
Comme elle tenait de se dégager, je lui soufflais à l’oreille des encouragements salaces.
- On va bien te baiser, tu auras deux belles queues pour toi toute seule !
Elle sentit le membre dur d’Olivier rouler contre ses fesses. L’invité enduisit sa verge de salive avant de la caler entre les rondeurs excitantes. Elle commença à ressentir un délicieux frisson malgré la douleur sourde qui élargissait son anus. Tandis qu’Olivier s’échinait en la pénétrant difficilement, je glissais les doigts entre ses cuisses pour la masturber sournoisement. Je questionnais Olivier.
- Tu y arrives ?
- Elle a un gros cul mais son trou est rudement serré…
Claire souleva la croupe pour permettre au membre turgide de trouver son chemin. Dans le même instant, tout son sexe s’embrassa sous ma main.
- Aah ! Soupira-t-elle, vous êtes… des… salauds…
Olivier réussit enfin à se souder au fessier opulent. Il accompli un mouvement de rotation et fit percevoir à Claire le plein choc de sa verge durcie. Je glissais sous elle et n’eus aucun mal à lui planter mon pieu entre les cuisses. Sous l’effet de ce nouvel assaut, Claire gémit longuement, dans un indescriptible plaisir, bien qu’elle craignit de ne pouvoir endurer la violence lubrique de nos queues. Mais nos deux membres se mirent à la travailler sans brusquerie. Quand je retirais de sa vulve, Olivier glissait profondément dans sa gaine anale, puis ce dernier se dégageait et c’était moi qui la fouillait. Une vague de plaisir la submergeait quand Olivier la refluait. À chaque fois, une raideur massive répondait à son émotion.
- Je crois que je vais décharger ! Disait subitement Olivier.
À ces mots, je m’immobilisais.
- Tu peux y aller, disais-je en soulevant le ventre pour demeurer bien enfoui tout au fond de la vulve.
Olivier se pencha et mordilla le lobe de l’oreille de Claire.
- Ne bouge plus… je vais te… Aah !
Il ne put terminer sa phrase. Au travers de la fine membrane qui séparait l’anus du vagin, je le sentais palpiter.
Éjaculant avec force, Olivier délira.
- Tiens, ma belle ! Tiens ! Je le bourre bien ton beau cul, hein ?
Ne pouvant plus me contenir, je projetais à mon tour une série de jets fulgurants, sans remuer, et en émettant de petits gémissements. Prise sous la propulsion des deux verges en folie, Claire se mit à râler comme si elle agonisait. Moi et Olivier semblions nous perdre en elle en longs jets de sperme.
Ils étaient temps pour nous, d’aller prendre une bonne douche réparatrice
Je lui demandais de passer le premier. Alors qu’il prenait le chemin de la salle de bain, je me mis à lui reluquer son petit cul. Une poussé de libido, me poussait.
Il était en train de se savonner lorsque que l’ai rejoint.
- Quand il y en a pour un, il y en a pour deux ! Fais-moi de la place !
Je fus surpris qu’il ne m’invite pas de sortir. D’ailleurs, je ne serai pas sorti. Nous étions à l’étroit et nos deux corps se touchaient en permanence. En regardant sa queue, je m’exclamais.
- Dis donc mon salaud, tu la bien baiser, il faudra un jour prévoir un plan pour que je baise à mon tour Béatrice. Tu bandes encore mon salaud !
Je l’attrapais et la secouais en rigolant. Malgré lui, il bandait et ne savait que faire pour échapper à mon regard. Lentement, je le décalottais et fit aller doucement la peau de son prépuce sur son gland tout en me blottissant contre lui.
- Humm ! C’est bon un morceau comme ça ! Est-ce que tu veux que je te savonne ?
Il bredouilla.
- Non, non, Alain ! C’est pas la peine, ça va !
Mais sa queue maintenant bandait totalement, lui barrant le ventre.
- Allez quoi, on est entre mecs ! Lui lançais-je.
Je pris la savonnette, commençais à la passer délicatement sur sa poitrine, la faisant mousser dans ses poils. Son torse était couvert de mousse dans laquelle je plongeais mes mains pour étaler sur tout son corps. Mes mains rencontrèrent à nouveau sa queue que j’enduisais du gland jusqu’aux couilles et que je massais lentement entre mes doigts. Il restait là les bras ballants, me laissant faire, appréciant, malgré sa honte, la caresse. De ses couilles, je passais dans la raie des fesses que je câlinais doucement du bout des doigts. Faisant attention de ne pas l’effrayer.
- Tu vois, on s’habitue puis on y prend gout !
C’était vrai. Il tendait maintenant sa croupe pour que je prolonge mes caresses. Je continuais tranquillement puisque nous avions le temps, tandis qu’il prenait sa queue raide dans sa main. Il commençait à gémir.
- Là ! Tu vois, ce n’est pas bien terrible ! En disant cela, j’enfonçais d’un coup deux doigts dans son cul.
Il poussa un hurlement.
- Arrête, t’es con ! Pas ça !
- Comment pas ça ! T’as tellement l’air d’aimer que je te tripote ! Tu gémis comme une gonzesse !
Mes paroles eurent sur lui un effet euphorisant. Il se calmait lentement, s’habituant mon l’index et majeur, qui l’encombraient l’anus, tout en la branlant de plus belle. Je ne me rendais plus compte où j’étais. Je ne pensais qu’à son cul, à mes doigts qui le soulevaient presque de terre.
- Il faut bien que je t’ouvre. T’es encore puceau ! Tu vas sentir comme ma queue est bonne !
Il ne put se retenir plus longtemps. Tout son foutre gicla contre le carrelage de la douche.
Tout en lui fouillant dans le cul, avec une idée en tête, j’ordonnais d’une voix dure.
- Vas-y petit ! Lèche bien le mur ! Tu ne peux pas gaspiller ta semence ! regarde comme elle est jolie, on dirait un dessin !
Je lui pliais la taille et poussa sa tête vers le dallage. Il sortit sa langue et commençait à laper.
Je passais derrière Olivier. Je posais ma main sur ses fesses fermes, rondes, je les trouvais douces, presque aussi douces que celle d’une femme. Mon cœur s’affolait en empoignant le postérieur d‘Olivier. J’approchais mon sexe. Olivier avait entrouvert les cuisses. Il savait ce qui l’attendait. Je serrais ma verge, l’accompagnais, la guidais, jusqu’au cratère brun de l’homme et m’engageais plus avant.
Hop ! D’un coup de reins. Une pression. Je creusais ses fessiers et mon sexe pénétra dans l’homme. Je reculais comme pour mieux emmagasiner ce que je venais de lui entrer dans les fesses.
Olivier poussa un cri rauque…
Claire se délectait. Voyant mes testicules au-dessus de ceux d’Oliver. Elle approcha ses doigts et me les caressa. Il m’en fallait pas plus pour que je crache mon foutre dans le trou à merde d’Olivier.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu crois que écrire «désolation complète» c est un encouragement, on a pas le même sens du terme, bref, chacun son truc.
Merci Petite futée, de l’attention que tu portes à mon avis. OUI, il m’arrive d’écrire et j’en connais les difficultés et les contraintes. NON, je ne juge pas, émettre une opinion n’est pas juger. Je ne critique pas l’histoire. Remarque bien, je ne fais que penser ce que les gens du site recommandent, à savoir soigner la syntaxe et l’orthographe. Mon commentaire va dans ce sens-là, et justement j’espère qu’il va encourager l’auteur dans cette voie.
Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, les récits des auteurs sont des cadeaux qu’ils offrent aux lecteurs, merci à eux, mais si le cadeau est une histoire, mieux elle sera présentée, plus elle sera appréciée ; et le contraire se peut aussi !
Nous nous reparlerons peut-être autrement. Merci de m’avoir lu. Sans rancune.
Un méchant lecteur
Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, les récits des auteurs sont des cadeaux qu’ils offrent aux lecteurs, merci à eux, mais si le cadeau est une histoire, mieux elle sera présentée, plus elle sera appréciée ; et le contraire se peut aussi !
Nous nous reparlerons peut-être autrement. Merci de m’avoir lu. Sans rancune.
Un méchant lecteur
Moi je voudrais savoir monsieur le lecteur si tu écris ? Sais tu à quel point c est un exercice compliqué et long d écrire, on est pas à l école où l on saque les élèves, c est sur un autre site que ça se fait. C est justement ce genre de critique que veulent éviter les dirigeants du site et non un site pour pseudo profs de français.
Le but c est le sujet des histoires, moi j ai pour credo de ne pas juger si j aime pas, je commente pour encourager et non le contraire.
Le but c est le sujet des histoires, moi j ai pour credo de ne pas juger si j aime pas, je commente pour encourager et non le contraire.
Sur l'histoire elle-même, pas de critique, il suffit d'aimer ça!! Par contre pour le reste, c'est la désolation complète ! Syntaxe et orthographe y sont joyeusement malmenées !! Il me semble que c'est beaucoup de concession à la pauvreté de l'expression écrite !!!