Titre de l'histoire érotique : Le goût change - histoire érotique

D'accord, quand on a tout juste 20 ans, que l'on ne connait de l'amour que les masturbations où les relations uniquement féminines, on ne peut tout savoir. Elle n'a connu dans sa vie que des filles avec qui elle a toujours pris beaucoup de plaisir.
Maintenant elle a la trentaine, bien fichue physiquement elle reste campée sur ses positions : l'amour lesbien est ce qu'il y a de mieux.
Elle a vu un jour une de ces copine sucer un garçon et avaler le sperme : c'est dégoutant de se prêter à ce jeu dégradant, pas tellement de sucer une bite, mais de garder dans sa bouche ce jus gluant. Pour elle ce pas elle ne le franchira jamais. Cahincaha, Elle ne baise qu'avec des filles dont une pour laquelle elle éprouve des sentiments amoureux très intenses et qui sont partagés.
Elles sont ensemble dans la vie, vient ensemble et surtout baisent ensemble. Le seul écart fût celui qu'elle a eu à 21 ans quand elle a connu son premier homme qui l'a dépucelé : ce n'était pas mauvais.
Malgré tout elle reste fidèle.
Donc avec son amante elle vit en harmonie, surtout quand elles se font l'amour. Ces moment là sont tout simplement magiques : elle se fait embrasser, peloter, caresser les fesses et surtout l'entrejambe.
Surtout l'entre jambe, là où la peau est si douce et réceptive à tout les massages que lui donne sa maîtresse. Elle ne fait que répondre, ne prend jamais d'initiative et "subit" avec beaucoup plaisir les palpations sur son sexe. Elle aime sentir des doigts caresser les petites lèvres avant d'aller se perdre dans son intimité où les doigts trouvent toujours son point G. Son amie sait bien la faire jouir plusieurs fois à la suite tout en l'embrassant.
Au bout d'un moment, elle doit à son tour faire jouir sa camarade.
Elle procède comme elle pour lui rendre caresses pour caresses.
Elle aime sentir sur son clitoris la langue aller et venir pour lécher son petit bouton jusqu'à ce qu'elle se crispe jusqu'à emprisonner la tête de sa partenaire entre ses jambes bien serrées.
Elle aime quand elles se mettent en 69, pour sentir encore cette langue sur son sexe et mettre à son tour sa langue sur le bouton de l'autre et de goûter sa cyprine. Elle aime en avoir d'avantage dans sa bouche quand elle la sent jouir.
Un jour son amie achète deux godemichés similaires pour pimenter un peu les ébats. Bien sur leurs façons de baiser changent : si elle se fait toujours sucer, elle accepte en plus de se faire mettre par son amie à qui elle rend le même service. Plus le temps passe, plus leurs jeux deviennent différents : Son amante désire qu'elle lui mette un gode dans le cul. Jusqu'à présent elle aimait seulement avoir deux ou trois doigts ans le cul.
Entre se faire mettre dans le con et prendre un godemiché dans le cul, il y a une grande différence. Les désirs de sa maîtresse sont presque des ordres. Aussi un jour, pendant un 69 elle doit l'enculer.
Elle a peur de faire du mal et rentre très lentement dans l'anus. Son amante lui demande de le mettre à fond. Elle le fait tout en continuant à la lécher. L'orgasme est violent, elle en est étonnée. A son tour elle demande le même traitement.
Elle se crispe un peu et finalement reçoit le gode sans trop de difficulté. Elle jouit. Les deux filles se promettent de recommencer souvent cette nouvelle façon de se faire jouir.
Un jour arrive un événement : elle rencontre un garçon qui venait faire quelques réparations électrique dans l'appartement. Il semble un peu plus vieux qu'elle. Comme c'est l'été il se met torse nu pour être plus à l'aise. Elle remarque qu'il est bien fait et au fond d'elle même une petite voix lui dit que peut être, avec lui elle pourrait avoir une faiblesse.
Sans s’en douter elle est sur une pente différente que celle sur laquelle elle est. Le garçon fini son travail, lui demande de signer un papier prouvant qu'il est bien venu faire les réparations. Elle signe et quand elle rend le document elle garde juste un instant la main de ce quasi inconnu. Il la regarde en souriant, elle lâche la main.
C'est déjà trop tard, il se penche un peu et pose un petit bisou sur les lèvres. Pour elle c'est ou trop ou pas assez : elle appuie un peu, ouvre la bouche, leurs langues se rencontrent et commencent un très long baiser. Pour une fois c'est elle qui prend l'initiative et caresse la poitrine offerte de cet ouvrier. Il ne se laisse pas faire il lui prend un sein et le caresse à travers son t-shirt. Au fond d'elle même elle voudrait qu'il aille vite là où elle mouille. Elle est elle même surprise quand elle pose sa main sur la bite et la serre un peu, juste le temps de la faire bander. Elle trouve que c'est plus souple qu'un gode. Pour en avoir le cœur net elle essaye maladroitement de la faire sortir. Il l'aide et directement, sachant où ça va finir, il se déshabille totalement. Elle voit sa première queue depuis une dizaine d'année. Au moment où elle veut la prendre en main, elle sent sur son con la main de ce garçon. Il la branle à travers ses vêtements et elle voudrait un peu plus de contact. Elle aussi est nue. Cette fois elle va avoir à subir la loi de la sexualité dite normale. D'avance elle accepte tout ce que pourra lui faire ce jeune homme. Il remet sa main sur le bouton et le caresse presque aussi bien que son amante. Elle est sur le point de jouir. Il arrête ses caresses, se penche et pose sa langue sur le bouton. Là elle se laisse faire, totalement subjuguée par cette nouveauté. Il la couche directement sur le planché et recommence la sucer. Il lui met deux doigts sur le cul et continue son jeux avec sa langue qu'il change de place: il rentre dans sa vulve et trouve son point G qu'il caresse du bout de sa langue. Elle jouit sans arrêt. Elle ne s'étonne pas quand il lui demande de venir faire un 69. Il est dessous et elle s'étonne de prendre dans la bouche un sexe d'homme, ce qu'elle ne voulait pas du tout à cause du sperme. Elle sent que le goût est différent du con de son amante. Ce n'est pas désagréable. Habituée à ne sucer qu'un clitoris, la différence est de taille avec le gland. Elle l'entoure de sa langue, le frotte avec et finalement fait comme toutes les femmes, elle le rentre bien dans sa bouche en faisant des aller-et- venues. Elle sent aussi s'activer sur son clitoris la langue aussi experte que celle de son amie. Arrive le moment où elle ne peut plus revenir en arrière, elle contracte ses jambes autour de la tête de son amant et jouit. Son orgasme est le signal pour la bite qui se décharge dans sa bouche. Elle en est écœurée au début et finalement le garde en bouche: le goût n'en est pas mauvais. A sa grande surprise, le garçon bande encore. Cette fois c'est une autre affaire. Elle s met sur le dos, ouvre en grand ses jambes, demande à l'homme de venir la lui mettre. Avec délicatesse, il s'approche et en posant la queue sur le con, il l'embrasse longuement avant de la pénétrer. Elle reçoit en une vraie queue et éprouve un plaisir autre qu'avec une fille: c'est plus profond et elle se sent pleine du désir de bien jouir. Elle se plait avec cette bite en elle et ne peut pas en profiter longtemps: elle jouit encore. Lui de sort pas et elle peut encore jouir. Elle se tourne, lui présente ses fesses et sans rien dire, elle mouille bien son anus avec sa mouille et dirige vers son cul la bite. Il l'a pénètre: elle sent son cul se dilater au moment de l'entrée de la queue. Elle ne commence à prendre son pied que quand cette pine est à fond en elle. Elle jouit encore et la dernière fois elle fait jouir en même temps son amant.
Ils se rhabillent. Elle se pose une question. Que va-t-elle dire à son amante ? Qu'elle a bien fait l'amour avec un homme et qu'elle a beaucoup aimé ? Le lui cacher ?
Elle ne sait que faire. A moins qu'elle lui demande de baiser ensemble avec un homme, qui sait, elle acceptera ? Et si elle refuse ou accepte mal ce qu'elle vient de faire ?
Avant que son amant parte elle tient à lui dire qu'elle aime une fille avec qui elle fait souvent l'amour. Il sourit et lui dit qu'il s'en doutait: la présence d'une autre est très visible: il y a deux vestes de tailleur pendues au cintres. Il lui avoue qu'il a pris beaucoup de plaisir à la baiser, mais qu'il est marié et ne compte pas du tout entamer une liaison: il a simplement profité d'elle.