Titre de l'histoire érotique : LE SERVICE.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 924 773 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 572 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : LE SERVICE.
Je n’ai pas honte de moi. Même si ma discrétion peut faire illusion. Je vous avoue que les contraintes que je m’impose dans le domaine de la discrétion me pèsent énormément et que de temps en temps elles volent en éclat. Je n’ai donc pas honte d’être comme je suis. Mes envies, mes fantasmes, mes déviances je les assume parfaitement…
J’étais à table en train de savourer ma tranche de foie aux petits pois lorsque la sonnette du téléphone se fit distinguer. Comme souvent ce fut ma mère qui allait répondre. Je l’entendis discuter quelques instants, avant de poser le récepteur sur le meuble et vienne jusqu’à moi, dans la cuisine.
- C’est pour toi. Une certaine Dominique. Me lança-t-elle.
- Dominique ? Fils-je incapable de donner immédiatement un visage au prénom.
- Oui, dis-je, en collant le combiné à mon oreille.
- C’est moi Dominique.
Il m’en fallait pas plus pour reconnaître mon interlocutrice. C’était bonnement la présidente du club dont j'étais l'entraineur.
- Je m’excuse de te déranger, mais j’ai un gros problème et je ne savais à qui faire appel, vois-tu ?
- Non… non, t’excuse pas. Tu as bien fait de m'appeler. Il s'agit de quoi;
- J’ai le gardien du complexe sportif qui vient de m’appeler, pour me signaler qu’il sera à 13H30 sur le terrain annexe pour me déposer les filets ainsi que la clé des vestiaires. Mais voilà, mon mari est parti jouer dans la région parisienne et il a pris notre voiture, donc je suis à pied, et je me vois mal charrier les filets sous mes bras. Et à part toi je ne vois pas qui appeler.
- Bien, je m’en occupe. Je finis de manger et je fonce au rendez-vous… - C’est que… - Oui, la coupais-je.
- Il faut qu’un membre du bureau soit sur place pour pouvoir réceptionner les filets.
- Oui bien sur je vois.
Comme je voyais aussi que j’allais gâcher mon samedi après-midi. Ce fut tout de même à contre cœur que je lui proposais :
- Bon, alors je passe de prendre.
- Oui avec plaisir. Tu m’en veux pas au moins .
- Non, non… Faisant comme ça ! Fils-je déçus.
Mais le plus désagréable dans cette affaire c’était que j’avais me coltiner son fiston Thierry. Un agité que rien ne calmer. Même la punition.
À l’heure dite, je fus chez elle. Je constatais que pour une fois elle était prête. Vêtue d’une jupette assez courte, en coton tellement moulant qu’elle épousait le sillon de ses fesses autant que le renflement de son sexe, mais aussi le début de ses cuisses grasses. Aux pieds elle portait de jolis escarpins qui accentuaient la cambrure musclée de ses jambes gainées de résille fantaisiste ornés de ce que je devinais être des roses.
Plus haut, elle portait un chemisier. Dont les boutons du haut étaient ouverts. Formant un décolleté tentateur, qui révélait aux regards insidieux, une absence de soutien-gorge. Une vraie récréation
pour ses gros seins. Qui ballotaient lourdement à ses faits et gestes. Un frisson me parcourait tout le corps. J'étais tombé sous son charme. Le fait de voir autant de belle chose en si peu de temps, me réconcilia avec ma décision de lui rendre service.
Ce fut dans cet état d’exhortation que je démarrais la voiture et m'engageais dans la circulation, me dirigeant vers la sortie du faubourg. Dominique sur le siège passager. Pour mon plus grand plaisir, un de plus, elle avait cantonné son Thierry à faire ses devoirs. Un moyen comme un autre pour qu’en se retrouve seul. Je soupçonnais qu’elle avait un projet en tête. J’étais prêt à bondir sur elle à la première opportunité. J'étais pressé d'arriver sur place.
- Je suis très touché que tu es accepté de me rendre ce service. Me dit-elle, alors que je m’engageais sur le parking du stade. Côté visiteur. Au milieu de nulle part. Sur ma droite se tenait une bâtisse faisant office de vestiaire. Bien sûr en ce samedi l’endroit était désert, à la différence des jours de match. Je coupais le moteur et serrais le frein à main.
Dominique prit ses aises, en allongeant ses jambes. J’en profiter pour lorgner ses cuisses gainées de bas résille fantaisie.
- Il fait chaud dans la voiture, fit-elle en déboutonnant les boutons de son manteau. Pour en écarter les pans. Ses seins faisaient pointés son chemisier. Je n’ai pas pu résister de jeter à nouveau un œil dans son décolleté. Mes doigts fourmillaient de l’envie de les palper. Je sentais le volume de mes testicules changer. Comme si ma sève en remplissait peu à peu l’intérieur. Ma verge se dressa remplissant tout l’espace de mon slip. De sa place, elle ne pouvait pas ignorer mon état.
- Le gardien ne va pas tarder. Me forçais-je à dire comme pour me contenir mon excès d’excitation. Mais pour aussi couper court au silence qui s’était installé depuis notre arrivée. Sans doute chacun attendant que l’autre prenne l’initiative de faire le premier pas.
- Oui. Répondit-elle en regardant sa montre. Il ne va pas tarder. Il est pile 13H30.
Je tournais alors la tête du côté de ma vitre, pour guetter l’arrivée proche du gardien. J’avais délaissé pour quelques instants le décolleté de ma présidente. Je profitais de ce moment d’inaction pour agiter mes méninges. Cherchant une ouverture pour me faire la présidente. Surtout que mes besoins sexuels devenaient dévorants. Je me masturbais toutes les nuits, plusieurs fois et souvent même, au cours de la journée.
Je ne savais pas combien de minutes s’étaient égrainées et
toujours pas de gardien.
- Il n’est pas ponctuel, fils-je en tournant ma tête du côté de ma passagère. Et là je fus témoin d’une scène utopique. Sur son siège, ma chère présidente avait relevé sa jupe. Hormis son collant résille avec une fenêtre, elle ne portait strictement rien dessous. On en mangerait, me disais-je. Je restais paralysé par l’étonnement. Liquéfier devant cette spontanéité immorale. Ma tension artérielle bondit. Irradiant mon corps d’ondes de bonheur. J’avais du mal à détacher mes yeux du gros minou, luisant au milieu d’une toison pubienne brute de toutes tailles Je me sentis rougir. Je captais aussi une ficelle de couleur blanche qui m’échapper de son antre.
Elle tournait lentement la tête et nos yeux se croisaient. Son sourire avait disparu pour laisser place à un regard lascif, brillant de désir. Toujours en me fixant droit dans les yeux elle posa un pied sur le tableau de bord, et s’ouvrit de façon à faire bâiller largement la corolle poilue de son sexe.
Un sourire un peu fou qui lui faisait retrousser les lèvres, la gourmande, s’empressa de précipiter un de ces doigts sur sa fourche entre ensoleiller. Jouant en toute innocence avec sa chatte poilue. D’une caresse sensuelle. J’étais focalisé par ce qui me dérouler sous mes yeux. Dominique commençait à gémir. L’intensité de son regard me transperçait. Les lèvres de sa chatte étaient très foncées au milieu d’un fouillis de poils trempés.
Je me suis penché un peu en avant, et j’ai décelé au lieu et place de l’anus, une base d’un Plug. La grosse cochonne s’était comblée. Mon désir fut alors poussé à son paroxysme. Je ne pouvais attendre une seconde de plus. La dévorant d’un regard luisant de convoitise je posais ma main droite sur le mollet gainé pour le caresser. Le contact m’électrisa. Puis elle monta, contourna le genou, effleura la cuisse tendre. Doucement je remontais vers son sexe. Prise connaissance de la fente glissante de jus puis, sans s’attarder plongeait mon index dans la vulve, m'attendant d’y toucher le tampon. Mais ce fut quelque chose de dur qui se présenta à moi. La coquine avait comblé ses deux orifices. Cela donnait une idée de l’audace dont était capable cette femme.
Entre deux doigts je me suis saisis de la ficelle, et la tirais en arrière. Sous l’effet Dominique bondi. La bouche ouverte laissant échapper le langoureux gémissement sous des yeux à demi clos. Mon érection en devenait limite douloureuse. Tirant toujours délicatement sur la cordelette je vis naître un début de sphère argentée qui sous la poussée écartait les lèvres luisantes. Dominique fut alors agitée de tremblements et éjecta de son antre la boule dans son entier ainsi qu’une vague de mouille.
Gardant la même pression sur la cordelette, une seconde sphère se présenta à l'entrée de son sexe. Jumelle a la première. Écartelant tout sur son passage. Elle aussi accompagné d'une rasade crémeuse. Secouée de spasmes, elle semblait sur le point de jouir. Son clitoris gros comme un téton émergea des poils. Je le cajolais avec le gras de mon pouce. Elle me fit comprendre par un gémissement qu'elle approuvait. Sa tête roulait de droite à gauche tandis que je pinçai son bouton. Elle se tendait, se contorsionnait. Faisant bouger par ses contractions le Plug. Mais pas assez pour le pousser hors de l’anus. Elle insista, creusant son ventre pour mieux le bombait par la suite, faisant ainsi sortir millimètre après millimètre le Plug. Alors elle se mit à geindre, et d’un nouvel effort, expulsa le joujou de son trou du cul, qui alla s’écraser sur le plancher. Son anus était béant prêt à être investi de nouveau.
N’y tenant plus, je descendis de mon siège, pour m’installer genoux sur le plancher. Ma joue câlinant l’intérieur d’une cuisse
gainée, je respirais son sexe à plein poumons. Comme sous l’emprise de cette drogue, je poussais plus loin son périple. Plongeant mon visage au milieu des cuisses écartées et conclut la chute sur la figue, ma langue en caressait déjà le corps.
- Alain, que vas-tu faire là ?
- L’amour, lui répondis-je. Bascule ton siège, tu seras mieux.
Apparemment, elle n’avait jamais bénéficié d’un cunnilingus, comme certaines femmes de cette époque. Elle s’exécuta en minaudant. Ma langue s’immisça dans sa fente. Son goût était particulier puissant au point d’imposer son arôme dans toute ma bouche. Plus je la savoure plus j’en voulais davantage. Tout cela me convenait parfaitement. Je l’entendais émettre des soupirs. Je lapais furieusement avec l’urgence d’une bête assoiffée. Ses doigts se glissaient dans ma chevelure. Imprimant à ma tête un lent mouvement de poussée vers son vagin.
J'entreprenais d’éponger sa source. Essuyant de ma langue, un crème devenu de plus en plus épais. Elle se tendait, se tordait. J’étais fier des sensations que je lui offrais. M’appliquant comme un orfèvre.
Dominique me tenait fermement la tête tandis que son bas-ventre venait de plus en plus rapidement à la rencontre de mon visage.
Malgré toute cette effervescence, mes sens restaient néanmoins en alerte. Ce fut alors que mon oreille détecta un bruit de moteur d'automobile. Tout proche, roulant sur du gravillon.
Submerger d’une soudaine panique, je relevais mon visage trempé de sécrétions vaginales. Je me redressais légèrement, malgré l’emprise de ma partenaire. Je jetais un coup d’œil discret entre le tableau de bord et le volant. Je reconnais le fourgon municipal, c’était le gardien. La présidente, bouche ouverte, les yeux fermés, transfigurée par une angélique expression de jouissance ne s’était
aperçus de rien.
Ce fut avec une mâchoire crispée par une crampe ainsi qu’une langue qui me brûlait que j'allasse au-devant du gardien. Il avait déjà ouvert les portes arrière de son camion. J’avais l’impression de porter sur moi le parfum de chatte.
Après les saluts d’usage, il me fit un petit court sûr comment installation des filets sur leurs supports. Dominique vint nous rejoindre. Elle portait sur son visage les stigmates d’une femme qui venait de prendre son pied.
Mais c’était loin des préoccupations de notre gardien. Il ne pensait qu’à une chose, remplir sa mission et filer au plus vite. D'ailleurs tout de suite après avoir charrié les filets dans mon coffre, il avait insisté pour aller faire l’état des lieux. Le tout avait à peine pris quinze minutes.
- Eh bien, c’était un rapide celui-là . Fils-je.
- Tant mieux, répliqua Dominique, l’œil brillant. Verrouillant la porte d’entrée du vestiaire. Nous avons quelque chose à finir. Non, tu ne crois pas ?
Elle m’embrassa à pleine bouche. Sa main se posa sur mon ventre et me malaxa la verge à travers le jean. Ma respiration s'embrouilla. Mes battements cardiaques s'accélérèrent.
- Tu es prêt à m’en donner encore .
Je faisais oui de la tête. Je sentais ses doigts cherchaient ma braguette. Une peu gauchement. Cette maladresse accroissait mon désir. Une fois le pantalon à mes chevilles, Dominique posait une main sur le devant de mon slip devenu visqueux.
- Elle est bien dure. Cela ne te gêne pas . Je pense savoir ce qu’il te faut. Laisse-moi faire. Fit elle mon slip alla rejoindre mon pantalon. Dominique n’appartenait pas à la catégorie de simples femmes aux coutumes dites courantes. Mais à celles des créatures faisant l’amour pour l’amour. La jouissance pour la jouissance. Une assoiffée de plaisir.
Dans mon esprit à cet instant ça ne faisait plus le moindre doute. J’étais le joujou qu’elle avait choisi pour passer un moment agréable.
Mais alors que je m’attendais qu’elle me prenne en bouche, elle fuit ma présence. Se dandinant de façon obscène. Dans son dos elle tirait sur sa jupe qui remontait, découvrant les cuisses gainées, puis les fesses. Elle en fit un bourrelet qu’elle coinça à sa taille. Ses mains glissaient dans le sillon étroit, écartant les fesses. Entravé par le jean, je dut faire un grand nombre de petits pas pour arrivée à sa hauteur, alors qu’elle me fit face, en se déhanchant. Elle attrapa le devant de sa jupe qu’elle coinça pareillement. Sourire aux lèvres, elle écarta les cuisses avant de tirer ses grandes lèvres avec deux doigts.
- Regarde comme j’en ai envie, fit-elle d’une voix rauque, en me défiant du regard. Comme je suis large... Aller ne perdant pas de temps.
Elle me prit par ma verge et me tira jusqu’au vestiaire. D’un geste autoritaire elle me fit m’asseoir sur le banc. Elle fit passer mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Fit glisser son bassin le long de mon torse nu, puis sur mon ventre. Elle s’empara de ma verge et la caressa légèrement.
S’appuyant sur mes jambes, elle se redressa légèrement, amena son bassin à la verticale de mon sexe rigide. Sans me quitter des yeux, elle fit glisser la virilité. Au milieu de sa cible puis se laissa descendre lentement. Elle s’empala dessus jusqu’à ce que ses fesses largement écartées, viennent buter sur mes cuisses.
Je savourai cette pénétration. Prenant appui sur ses mains, elle remonta légèrement son bassin. Faisant presque entièrement ressortir mon membre. Avec un soupir de satisfaction, elle se laissa ensuite retomber brutalement sur ma queue, et elle commença un long mouvement de pompe.
Je posais mes doigts sur son anus. J’introduisis d’abord l’index. Puis très vite deux doigts dans le petit orifice. Il était encore tout dilaté, mais surtout bien lubrifié. J’enlevais alors mes doigts, puis l’attirais légèrement en avant. Elle comprit tout de suite.
- Tu veux me la mettre dans mon cul me fit-elle. C’est plus sale, mais c’est meilleur.
Elle avança son bassin, se pencha et guida ma queue. C’était gras et pas tellement serré. Cela cédait sans problème. Elle reprit son va-et-vient. Plus lent cette fois. Je sentais monter une chaleur qui était déjà presque un regret. Je me retenais et des gouttes de sueur perlaient sur la nuque. Ma compagne délirait et tremblait. Un spasme la secoua une première fois, puis une autre. Elle cria, elle aimait çà. Son cul branlait mon sexe. Me faisant pénétrer loin en elle. Ses contractions capturaient mon sexe, le malaxaient. Je ne pouvais presque plus bouger tellement elle me serrait. Incapable de résister à un tel traitement, je me laissais aller. J’éjaculais à gros jets, puissants chauds. Elle m’attrapa par le cou et me donna un baiser avant de me dire :
- Merci c'était vraiment trop bon. On recommence quand tu veux.
Ses yeux brillaient, rieurs. En tout cas elle avait pris son pied. Comme moi. Je me rajustais, essoufflé. La tête aussi vide que le reste.
Quelques minutes plus tard, j’étais chez elle, dans son salon, assis sur le divan, face à son époux.
Putain que j’adorais ses instants privilégiés où après la poignée de main, avec celle qui avait tripoté sa femme quelques minutes plus tôt, nous voilà en train de discuter amicalement alors que mon sperme souille encore le cul de sa femme.
Mais le cocu était euphorique, d’avoir passé avec son équipe un tour supplémentaire de coupe de France.
- Et la bouteille de champagne. J’espère que tu la mis au réfrigérateur. Fit sa femme.
Le mari se mit à rire.
- C’est vraie chérie. J’aurai dû en prendre une.
- Il n’est pas tard mon cher. Tu peux toujours aller en chercher une.
- Oh ! Je ne sais pas si… répondit-il.
Sans être Devin, je devinais qu’elle désirait éloigner son époux.
- Bon je crois que je ne n’ai pas le choix. Fit-il en se redressant. Tu viens avec moi Alain .
- Non… non, répliqua Dominique, nous devons encore nous mettre d’accord pour le match de demain. Tiens Thierry va donc avec ton père.
Le gamin ne se fit pas prier. Laissant choir ses devoirs sur la table, il partit mettre ses baskets. Je savais que j’allais de nouveau donner de ma personne.
À peine avait-il franchit la porte d’entrée, qu’elle me sauta dessus.
- Perdant pas de temps, me lançait-elle.
J'eus, un bref instant, l'étrange impression d'être devenue à présent la proie de la dévoreuse Dominique. Elle prit pour l’occasion un air supérieur et autoritaire pour me dire :
- Je veux te voir nu comme un ver à mon retour.
Alors que je me déshabillais je l’entendis verrouiller la porte d’entrée. À son retour elle tenait une bombe de chantilly. Alors Dominique fit quelque chose que je n’oublierais jamais. Elle pressa sur le spray chantilly déposant une noix de crème épaisse sur le bout du pénis. Me fixant des yeux, elle s’agenouilla et approcha à sa bouche entrouverte pour m’engloutir. Sa langue lapa la chantilly. Interloqué, le regard rivé au sien, je restais sans voix. Elle se retira pour remettre de la chantilly sur toute la longueur de ma verge. La crème froide et onctueuse me donnait des petits fritssons. La bouche de Dominique revint à la charge cette fois plus ouverte que jamais.
Ses lèvres se refermèrent sur la base de ma verge. À l'intérieur, sa langue s'affairait tandis que les parois internes de ses joues aspiraient mon membre. Dans sa dégustation, madame la présidente poussait des petits grognements. J’aurais tant aimé que cela dure, mais ce n’était pas son avis. Elle se redressa et alla prendre place sur le divan.
Elle approcha la bombe vers sa bouche et s'en aspergea. Une couche épaisse de crème blanche recouvrait ses lèvres.
- Embrasse-moi, mon entraineur !
Je plongeai sur elle. Collant mes lèvres sur les siennes. Dévorant cette crème onctueuse jusqu’à la dernière trace. Reprenant possession de sa bouche, elle me lança un regard amusé. Elle s’allongea sur le dos, ramena ses talons sous ses fesses et s’ouvrit largement les cuisses.
Dans cette position éphémère, elle dirigea la tête du tube de chantilly vers sa fente et l’aspergea. Puis d'un ton impérieux, elle me dit :
- Et si tu… Sans lui laisser le temps de terminer sa phrase, je m’agenouillai. J’avançai la tête au niveau de sa croupe. Une de ses mains me saisit par les cheveux et me m’attira vers sa chatte. Je me mis à brouter le minou de madame la présidente. La bouche grande ouverte, ma langue lapait le haut de ses cuisses, son aine et son pubis. J’aspirai la chantilly à même le buisson de poils. Elle appuya sur ma tête. Mon visage vint s’écraser contre son sexe. Me barbouillant de crème sucrée, mais aussi collante.
Je donnais de larges et méthodiques coups de langue. Balayant la chantilly qui peu à peu, disparut. Sa chatte luisait maintenant, de salive et mouille. Dominique reprit son tube de chantilly et logea le bec verseur à l’intérieur des grandes lèvres de son antre. La crème débordait sur le clitoris.
Pas besoin de mot pour savoir ce qu’elle désirait. La bouche ouverte, je replongeais dans son intimité. Mes lèvres enserrèrent son berlingot. Ma langue se logea entre ses grandes lèvres et se faufila dans l'entrée du vagin.
Elle étouffait un long gémissement et se balançait sur son fessier. Oscillant dans tous les sens. Les tressautements de son corps duraient plusieurs secondes, elle vibrait parfois secouée par des ondes intérieures plus violentes. Elle se figea enfin et son corps n’était plus qu’une statue que je contemplais fasciné.
Il était temps pour moi de penser à ma jouissance. Je me plantais devant elle, debout, précédé par mon orgueilleuse virilité, un sourire conquérant au coin de mes lèvres minces.
Sans perdre un instant, je la pénétrai, mes mains solidement arrimées à ses cuisses. Madame la présidente inspira profondément. Son minou brûlant et glissant comprimait ma verge à chaque coup. Je la ramonais avec frénésie. Les coups que je lui portais et sa propre excitation faisaient vibrer son ventre. Son nombril semblait se contracter.
Je ne voulais cependant pas éjaculer tout de suite, malgré le retour du mari d'un moment à l'autre. Je me retirais pour me calmer un peu.
- On va changer de position, dis-je, essoufflé.
D’elle-même, elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le canapé. Le cul en l'air. Pour avoir une meilleure assise, elle écarta les jambes. Dans son mouvement elle fit tomber la chantilly qui roula sur le sol. Une idée illumina mon cerveau. Je m’en suis saisis avant d’en déversais tout le long de la raie des fesses. Après avoir mis débarrassé de mon entrave, je suis monté sur le canapé et plongeai ma tête sur son croupion. En partant de sa chatte, ma langue remontait sa raie. En suçant tout sur son passage. La chantilly, la mouille, mais aussi mon sperme.
Son anus dilaté semblait vouloir me parler. Mais aucun son n’en sort sortir. Il baillait d'envie. Je me mis à embrasser son imposant fessier au goût de sucre vanillé. Je lapais le disque anal avec dévotion.
J’enfonçais mon pénis lentement mais résolumens dans son anus. Petit à petit, il disparut dans ses chairs. Madame la présidente miaula de ravissement. Ma queue était entièrement dans son cul. À l'intérieur de son rectum, je me mis à le faire gigoter en tous sens. Madame la présidente ronronnait de plus belle. Allant jusqu’à embrasser le tissu du divan.
- Aaaaaah ... Oui Alain ... C'est bon.
Je la chevauchais de plus en plus énergiquement. Voulant jouir avant l’arrivée du cocu. Mes mains fermement cramponnées sur ses hanches. Ses chairs anales refluaient et s'enfonçaient à chaque va-et-vient. Mon excitation grandissait. La cadence s'accélérait encore. Dominique poussait des cris rauques à chaque poussée.
Je l'enculais avec une telle vigueur qu’il était évidemment que mon plaisir allait me rattraper. Je lui explosai encore une fois dans le cul. Elle reçut mon foutre dans ses entrailles.
Je me retirais d’un coup de reins en arrière, alors qu'elle se retourna. Je n’ai pas pu m’empêcher de malaxer son sein droit à travers le chemisier.
- Je regrette de m’en être occupé.
- Une prochaine fois, lâcha-t-elle.
Signe qu'il y aura une suite. Je venais de trouver une bonne partenaire et elle le moyen de prendre son pied.
- Tu sais que je n’ai jamais trompé mon mari jusqu’à maintenant. Tiens-toi le pour dit.
Je ne sais pas si je dois la croire sur parole. Mais cela n’était pas mon affaire.
- Oh ! S’exclama-t-elle, mais tu bandes de nouveau !
En me prenant entre deux doigts.
- Je pensais t’avoir vidé les couilles. Il t’en reste encore . Quel dommage qu’il faille que nous redevenions gentils. Tu reviendras me voir .
- Bien sûr, affirmais-je, dans une dernière malaxation, avant de me revêtir.
- Cette fois-ci je saurais te vider complètement les couilles ! Fit-elle en se rajustant.
- J’ai hâte de voir ça, lançais-je en enfilant mon slip.
Nous nous dévisageâmes quelques secondes. Mais alors qu’elle allait sortir du salon pour déverrouiller la porte d’entrée elle se retourna pour me dire :
- Sache que toutes les portes de chez moi sont ouvertes pour toi. De la petite à la plus grande…
J’étais à table en train de savourer ma tranche de foie aux petits pois lorsque la sonnette du téléphone se fit distinguer. Comme souvent ce fut ma mère qui allait répondre. Je l’entendis discuter quelques instants, avant de poser le récepteur sur le meuble et vienne jusqu’à moi, dans la cuisine.
- C’est pour toi. Une certaine Dominique. Me lança-t-elle.
- Dominique ? Fils-je incapable de donner immédiatement un visage au prénom.
- Oui, dis-je, en collant le combiné à mon oreille.
- C’est moi Dominique.
Il m’en fallait pas plus pour reconnaître mon interlocutrice. C’était bonnement la présidente du club dont j'étais l'entraineur.
- Je m’excuse de te déranger, mais j’ai un gros problème et je ne savais à qui faire appel, vois-tu ?
- Non… non, t’excuse pas. Tu as bien fait de m'appeler. Il s'agit de quoi;
- J’ai le gardien du complexe sportif qui vient de m’appeler, pour me signaler qu’il sera à 13H30 sur le terrain annexe pour me déposer les filets ainsi que la clé des vestiaires. Mais voilà, mon mari est parti jouer dans la région parisienne et il a pris notre voiture, donc je suis à pied, et je me vois mal charrier les filets sous mes bras. Et à part toi je ne vois pas qui appeler.
- Bien, je m’en occupe. Je finis de manger et je fonce au rendez-vous… - C’est que… - Oui, la coupais-je.
- Il faut qu’un membre du bureau soit sur place pour pouvoir réceptionner les filets.
- Oui bien sur je vois.
Comme je voyais aussi que j’allais gâcher mon samedi après-midi. Ce fut tout de même à contre cœur que je lui proposais :
- Bon, alors je passe de prendre.
- Oui avec plaisir. Tu m’en veux pas au moins .
- Non, non… Faisant comme ça ! Fils-je déçus.
Mais le plus désagréable dans cette affaire c’était que j’avais me coltiner son fiston Thierry. Un agité que rien ne calmer. Même la punition.
À l’heure dite, je fus chez elle. Je constatais que pour une fois elle était prête. Vêtue d’une jupette assez courte, en coton tellement moulant qu’elle épousait le sillon de ses fesses autant que le renflement de son sexe, mais aussi le début de ses cuisses grasses. Aux pieds elle portait de jolis escarpins qui accentuaient la cambrure musclée de ses jambes gainées de résille fantaisiste ornés de ce que je devinais être des roses.
Plus haut, elle portait un chemisier. Dont les boutons du haut étaient ouverts. Formant un décolleté tentateur, qui révélait aux regards insidieux, une absence de soutien-gorge. Une vraie récréation
pour ses gros seins. Qui ballotaient lourdement à ses faits et gestes. Un frisson me parcourait tout le corps. J'étais tombé sous son charme. Le fait de voir autant de belle chose en si peu de temps, me réconcilia avec ma décision de lui rendre service.
Ce fut dans cet état d’exhortation que je démarrais la voiture et m'engageais dans la circulation, me dirigeant vers la sortie du faubourg. Dominique sur le siège passager. Pour mon plus grand plaisir, un de plus, elle avait cantonné son Thierry à faire ses devoirs. Un moyen comme un autre pour qu’en se retrouve seul. Je soupçonnais qu’elle avait un projet en tête. J’étais prêt à bondir sur elle à la première opportunité. J'étais pressé d'arriver sur place.
- Je suis très touché que tu es accepté de me rendre ce service. Me dit-elle, alors que je m’engageais sur le parking du stade. Côté visiteur. Au milieu de nulle part. Sur ma droite se tenait une bâtisse faisant office de vestiaire. Bien sûr en ce samedi l’endroit était désert, à la différence des jours de match. Je coupais le moteur et serrais le frein à main.
Dominique prit ses aises, en allongeant ses jambes. J’en profiter pour lorgner ses cuisses gainées de bas résille fantaisie.
- Il fait chaud dans la voiture, fit-elle en déboutonnant les boutons de son manteau. Pour en écarter les pans. Ses seins faisaient pointés son chemisier. Je n’ai pas pu résister de jeter à nouveau un œil dans son décolleté. Mes doigts fourmillaient de l’envie de les palper. Je sentais le volume de mes testicules changer. Comme si ma sève en remplissait peu à peu l’intérieur. Ma verge se dressa remplissant tout l’espace de mon slip. De sa place, elle ne pouvait pas ignorer mon état.
- Le gardien ne va pas tarder. Me forçais-je à dire comme pour me contenir mon excès d’excitation. Mais pour aussi couper court au silence qui s’était installé depuis notre arrivée. Sans doute chacun attendant que l’autre prenne l’initiative de faire le premier pas.
- Oui. Répondit-elle en regardant sa montre. Il ne va pas tarder. Il est pile 13H30.
Je tournais alors la tête du côté de ma vitre, pour guetter l’arrivée proche du gardien. J’avais délaissé pour quelques instants le décolleté de ma présidente. Je profitais de ce moment d’inaction pour agiter mes méninges. Cherchant une ouverture pour me faire la présidente. Surtout que mes besoins sexuels devenaient dévorants. Je me masturbais toutes les nuits, plusieurs fois et souvent même, au cours de la journée.
Je ne savais pas combien de minutes s’étaient égrainées et
toujours pas de gardien.
- Il n’est pas ponctuel, fils-je en tournant ma tête du côté de ma passagère. Et là je fus témoin d’une scène utopique. Sur son siège, ma chère présidente avait relevé sa jupe. Hormis son collant résille avec une fenêtre, elle ne portait strictement rien dessous. On en mangerait, me disais-je. Je restais paralysé par l’étonnement. Liquéfier devant cette spontanéité immorale. Ma tension artérielle bondit. Irradiant mon corps d’ondes de bonheur. J’avais du mal à détacher mes yeux du gros minou, luisant au milieu d’une toison pubienne brute de toutes tailles Je me sentis rougir. Je captais aussi une ficelle de couleur blanche qui m’échapper de son antre.
Elle tournait lentement la tête et nos yeux se croisaient. Son sourire avait disparu pour laisser place à un regard lascif, brillant de désir. Toujours en me fixant droit dans les yeux elle posa un pied sur le tableau de bord, et s’ouvrit de façon à faire bâiller largement la corolle poilue de son sexe.
Un sourire un peu fou qui lui faisait retrousser les lèvres, la gourmande, s’empressa de précipiter un de ces doigts sur sa fourche entre ensoleiller. Jouant en toute innocence avec sa chatte poilue. D’une caresse sensuelle. J’étais focalisé par ce qui me dérouler sous mes yeux. Dominique commençait à gémir. L’intensité de son regard me transperçait. Les lèvres de sa chatte étaient très foncées au milieu d’un fouillis de poils trempés.
Je me suis penché un peu en avant, et j’ai décelé au lieu et place de l’anus, une base d’un Plug. La grosse cochonne s’était comblée. Mon désir fut alors poussé à son paroxysme. Je ne pouvais attendre une seconde de plus. La dévorant d’un regard luisant de convoitise je posais ma main droite sur le mollet gainé pour le caresser. Le contact m’électrisa. Puis elle monta, contourna le genou, effleura la cuisse tendre. Doucement je remontais vers son sexe. Prise connaissance de la fente glissante de jus puis, sans s’attarder plongeait mon index dans la vulve, m'attendant d’y toucher le tampon. Mais ce fut quelque chose de dur qui se présenta à moi. La coquine avait comblé ses deux orifices. Cela donnait une idée de l’audace dont était capable cette femme.
Entre deux doigts je me suis saisis de la ficelle, et la tirais en arrière. Sous l’effet Dominique bondi. La bouche ouverte laissant échapper le langoureux gémissement sous des yeux à demi clos. Mon érection en devenait limite douloureuse. Tirant toujours délicatement sur la cordelette je vis naître un début de sphère argentée qui sous la poussée écartait les lèvres luisantes. Dominique fut alors agitée de tremblements et éjecta de son antre la boule dans son entier ainsi qu’une vague de mouille.
Gardant la même pression sur la cordelette, une seconde sphère se présenta à l'entrée de son sexe. Jumelle a la première. Écartelant tout sur son passage. Elle aussi accompagné d'une rasade crémeuse. Secouée de spasmes, elle semblait sur le point de jouir. Son clitoris gros comme un téton émergea des poils. Je le cajolais avec le gras de mon pouce. Elle me fit comprendre par un gémissement qu'elle approuvait. Sa tête roulait de droite à gauche tandis que je pinçai son bouton. Elle se tendait, se contorsionnait. Faisant bouger par ses contractions le Plug. Mais pas assez pour le pousser hors de l’anus. Elle insista, creusant son ventre pour mieux le bombait par la suite, faisant ainsi sortir millimètre après millimètre le Plug. Alors elle se mit à geindre, et d’un nouvel effort, expulsa le joujou de son trou du cul, qui alla s’écraser sur le plancher. Son anus était béant prêt à être investi de nouveau.
N’y tenant plus, je descendis de mon siège, pour m’installer genoux sur le plancher. Ma joue câlinant l’intérieur d’une cuisse
gainée, je respirais son sexe à plein poumons. Comme sous l’emprise de cette drogue, je poussais plus loin son périple. Plongeant mon visage au milieu des cuisses écartées et conclut la chute sur la figue, ma langue en caressait déjà le corps.
- Alain, que vas-tu faire là ?
- L’amour, lui répondis-je. Bascule ton siège, tu seras mieux.
Apparemment, elle n’avait jamais bénéficié d’un cunnilingus, comme certaines femmes de cette époque. Elle s’exécuta en minaudant. Ma langue s’immisça dans sa fente. Son goût était particulier puissant au point d’imposer son arôme dans toute ma bouche. Plus je la savoure plus j’en voulais davantage. Tout cela me convenait parfaitement. Je l’entendais émettre des soupirs. Je lapais furieusement avec l’urgence d’une bête assoiffée. Ses doigts se glissaient dans ma chevelure. Imprimant à ma tête un lent mouvement de poussée vers son vagin.
J'entreprenais d’éponger sa source. Essuyant de ma langue, un crème devenu de plus en plus épais. Elle se tendait, se tordait. J’étais fier des sensations que je lui offrais. M’appliquant comme un orfèvre.
Dominique me tenait fermement la tête tandis que son bas-ventre venait de plus en plus rapidement à la rencontre de mon visage.
Malgré toute cette effervescence, mes sens restaient néanmoins en alerte. Ce fut alors que mon oreille détecta un bruit de moteur d'automobile. Tout proche, roulant sur du gravillon.
Submerger d’une soudaine panique, je relevais mon visage trempé de sécrétions vaginales. Je me redressais légèrement, malgré l’emprise de ma partenaire. Je jetais un coup d’œil discret entre le tableau de bord et le volant. Je reconnais le fourgon municipal, c’était le gardien. La présidente, bouche ouverte, les yeux fermés, transfigurée par une angélique expression de jouissance ne s’était
aperçus de rien.
Ce fut avec une mâchoire crispée par une crampe ainsi qu’une langue qui me brûlait que j'allasse au-devant du gardien. Il avait déjà ouvert les portes arrière de son camion. J’avais l’impression de porter sur moi le parfum de chatte.
Après les saluts d’usage, il me fit un petit court sûr comment installation des filets sur leurs supports. Dominique vint nous rejoindre. Elle portait sur son visage les stigmates d’une femme qui venait de prendre son pied.
Mais c’était loin des préoccupations de notre gardien. Il ne pensait qu’à une chose, remplir sa mission et filer au plus vite. D'ailleurs tout de suite après avoir charrié les filets dans mon coffre, il avait insisté pour aller faire l’état des lieux. Le tout avait à peine pris quinze minutes.
- Eh bien, c’était un rapide celui-là . Fils-je.
- Tant mieux, répliqua Dominique, l’œil brillant. Verrouillant la porte d’entrée du vestiaire. Nous avons quelque chose à finir. Non, tu ne crois pas ?
Elle m’embrassa à pleine bouche. Sa main se posa sur mon ventre et me malaxa la verge à travers le jean. Ma respiration s'embrouilla. Mes battements cardiaques s'accélérèrent.
- Tu es prêt à m’en donner encore .
Je faisais oui de la tête. Je sentais ses doigts cherchaient ma braguette. Une peu gauchement. Cette maladresse accroissait mon désir. Une fois le pantalon à mes chevilles, Dominique posait une main sur le devant de mon slip devenu visqueux.
- Elle est bien dure. Cela ne te gêne pas . Je pense savoir ce qu’il te faut. Laisse-moi faire. Fit elle mon slip alla rejoindre mon pantalon. Dominique n’appartenait pas à la catégorie de simples femmes aux coutumes dites courantes. Mais à celles des créatures faisant l’amour pour l’amour. La jouissance pour la jouissance. Une assoiffée de plaisir.
Dans mon esprit à cet instant ça ne faisait plus le moindre doute. J’étais le joujou qu’elle avait choisi pour passer un moment agréable.
Mais alors que je m’attendais qu’elle me prenne en bouche, elle fuit ma présence. Se dandinant de façon obscène. Dans son dos elle tirait sur sa jupe qui remontait, découvrant les cuisses gainées, puis les fesses. Elle en fit un bourrelet qu’elle coinça à sa taille. Ses mains glissaient dans le sillon étroit, écartant les fesses. Entravé par le jean, je dut faire un grand nombre de petits pas pour arrivée à sa hauteur, alors qu’elle me fit face, en se déhanchant. Elle attrapa le devant de sa jupe qu’elle coinça pareillement. Sourire aux lèvres, elle écarta les cuisses avant de tirer ses grandes lèvres avec deux doigts.
- Regarde comme j’en ai envie, fit-elle d’une voix rauque, en me défiant du regard. Comme je suis large... Aller ne perdant pas de temps.
Elle me prit par ma verge et me tira jusqu’au vestiaire. D’un geste autoritaire elle me fit m’asseoir sur le banc. Elle fit passer mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Fit glisser son bassin le long de mon torse nu, puis sur mon ventre. Elle s’empara de ma verge et la caressa légèrement.
S’appuyant sur mes jambes, elle se redressa légèrement, amena son bassin à la verticale de mon sexe rigide. Sans me quitter des yeux, elle fit glisser la virilité. Au milieu de sa cible puis se laissa descendre lentement. Elle s’empala dessus jusqu’à ce que ses fesses largement écartées, viennent buter sur mes cuisses.
Je savourai cette pénétration. Prenant appui sur ses mains, elle remonta légèrement son bassin. Faisant presque entièrement ressortir mon membre. Avec un soupir de satisfaction, elle se laissa ensuite retomber brutalement sur ma queue, et elle commença un long mouvement de pompe.
Je posais mes doigts sur son anus. J’introduisis d’abord l’index. Puis très vite deux doigts dans le petit orifice. Il était encore tout dilaté, mais surtout bien lubrifié. J’enlevais alors mes doigts, puis l’attirais légèrement en avant. Elle comprit tout de suite.
- Tu veux me la mettre dans mon cul me fit-elle. C’est plus sale, mais c’est meilleur.
Elle avança son bassin, se pencha et guida ma queue. C’était gras et pas tellement serré. Cela cédait sans problème. Elle reprit son va-et-vient. Plus lent cette fois. Je sentais monter une chaleur qui était déjà presque un regret. Je me retenais et des gouttes de sueur perlaient sur la nuque. Ma compagne délirait et tremblait. Un spasme la secoua une première fois, puis une autre. Elle cria, elle aimait çà. Son cul branlait mon sexe. Me faisant pénétrer loin en elle. Ses contractions capturaient mon sexe, le malaxaient. Je ne pouvais presque plus bouger tellement elle me serrait. Incapable de résister à un tel traitement, je me laissais aller. J’éjaculais à gros jets, puissants chauds. Elle m’attrapa par le cou et me donna un baiser avant de me dire :
- Merci c'était vraiment trop bon. On recommence quand tu veux.
Ses yeux brillaient, rieurs. En tout cas elle avait pris son pied. Comme moi. Je me rajustais, essoufflé. La tête aussi vide que le reste.
Quelques minutes plus tard, j’étais chez elle, dans son salon, assis sur le divan, face à son époux.
Putain que j’adorais ses instants privilégiés où après la poignée de main, avec celle qui avait tripoté sa femme quelques minutes plus tôt, nous voilà en train de discuter amicalement alors que mon sperme souille encore le cul de sa femme.
Mais le cocu était euphorique, d’avoir passé avec son équipe un tour supplémentaire de coupe de France.
- Et la bouteille de champagne. J’espère que tu la mis au réfrigérateur. Fit sa femme.
Le mari se mit à rire.
- C’est vraie chérie. J’aurai dû en prendre une.
- Il n’est pas tard mon cher. Tu peux toujours aller en chercher une.
- Oh ! Je ne sais pas si… répondit-il.
Sans être Devin, je devinais qu’elle désirait éloigner son époux.
- Bon je crois que je ne n’ai pas le choix. Fit-il en se redressant. Tu viens avec moi Alain .
- Non… non, répliqua Dominique, nous devons encore nous mettre d’accord pour le match de demain. Tiens Thierry va donc avec ton père.
Le gamin ne se fit pas prier. Laissant choir ses devoirs sur la table, il partit mettre ses baskets. Je savais que j’allais de nouveau donner de ma personne.
À peine avait-il franchit la porte d’entrée, qu’elle me sauta dessus.
- Perdant pas de temps, me lançait-elle.
J'eus, un bref instant, l'étrange impression d'être devenue à présent la proie de la dévoreuse Dominique. Elle prit pour l’occasion un air supérieur et autoritaire pour me dire :
- Je veux te voir nu comme un ver à mon retour.
Alors que je me déshabillais je l’entendis verrouiller la porte d’entrée. À son retour elle tenait une bombe de chantilly. Alors Dominique fit quelque chose que je n’oublierais jamais. Elle pressa sur le spray chantilly déposant une noix de crème épaisse sur le bout du pénis. Me fixant des yeux, elle s’agenouilla et approcha à sa bouche entrouverte pour m’engloutir. Sa langue lapa la chantilly. Interloqué, le regard rivé au sien, je restais sans voix. Elle se retira pour remettre de la chantilly sur toute la longueur de ma verge. La crème froide et onctueuse me donnait des petits fritssons. La bouche de Dominique revint à la charge cette fois plus ouverte que jamais.
Ses lèvres se refermèrent sur la base de ma verge. À l'intérieur, sa langue s'affairait tandis que les parois internes de ses joues aspiraient mon membre. Dans sa dégustation, madame la présidente poussait des petits grognements. J’aurais tant aimé que cela dure, mais ce n’était pas son avis. Elle se redressa et alla prendre place sur le divan.
Elle approcha la bombe vers sa bouche et s'en aspergea. Une couche épaisse de crème blanche recouvrait ses lèvres.
- Embrasse-moi, mon entraineur !
Je plongeai sur elle. Collant mes lèvres sur les siennes. Dévorant cette crème onctueuse jusqu’à la dernière trace. Reprenant possession de sa bouche, elle me lança un regard amusé. Elle s’allongea sur le dos, ramena ses talons sous ses fesses et s’ouvrit largement les cuisses.
Dans cette position éphémère, elle dirigea la tête du tube de chantilly vers sa fente et l’aspergea. Puis d'un ton impérieux, elle me dit :
- Et si tu… Sans lui laisser le temps de terminer sa phrase, je m’agenouillai. J’avançai la tête au niveau de sa croupe. Une de ses mains me saisit par les cheveux et me m’attira vers sa chatte. Je me mis à brouter le minou de madame la présidente. La bouche grande ouverte, ma langue lapait le haut de ses cuisses, son aine et son pubis. J’aspirai la chantilly à même le buisson de poils. Elle appuya sur ma tête. Mon visage vint s’écraser contre son sexe. Me barbouillant de crème sucrée, mais aussi collante.
Je donnais de larges et méthodiques coups de langue. Balayant la chantilly qui peu à peu, disparut. Sa chatte luisait maintenant, de salive et mouille. Dominique reprit son tube de chantilly et logea le bec verseur à l’intérieur des grandes lèvres de son antre. La crème débordait sur le clitoris.
Pas besoin de mot pour savoir ce qu’elle désirait. La bouche ouverte, je replongeais dans son intimité. Mes lèvres enserrèrent son berlingot. Ma langue se logea entre ses grandes lèvres et se faufila dans l'entrée du vagin.
Elle étouffait un long gémissement et se balançait sur son fessier. Oscillant dans tous les sens. Les tressautements de son corps duraient plusieurs secondes, elle vibrait parfois secouée par des ondes intérieures plus violentes. Elle se figea enfin et son corps n’était plus qu’une statue que je contemplais fasciné.
Il était temps pour moi de penser à ma jouissance. Je me plantais devant elle, debout, précédé par mon orgueilleuse virilité, un sourire conquérant au coin de mes lèvres minces.
Sans perdre un instant, je la pénétrai, mes mains solidement arrimées à ses cuisses. Madame la présidente inspira profondément. Son minou brûlant et glissant comprimait ma verge à chaque coup. Je la ramonais avec frénésie. Les coups que je lui portais et sa propre excitation faisaient vibrer son ventre. Son nombril semblait se contracter.
Je ne voulais cependant pas éjaculer tout de suite, malgré le retour du mari d'un moment à l'autre. Je me retirais pour me calmer un peu.
- On va changer de position, dis-je, essoufflé.
D’elle-même, elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le canapé. Le cul en l'air. Pour avoir une meilleure assise, elle écarta les jambes. Dans son mouvement elle fit tomber la chantilly qui roula sur le sol. Une idée illumina mon cerveau. Je m’en suis saisis avant d’en déversais tout le long de la raie des fesses. Après avoir mis débarrassé de mon entrave, je suis monté sur le canapé et plongeai ma tête sur son croupion. En partant de sa chatte, ma langue remontait sa raie. En suçant tout sur son passage. La chantilly, la mouille, mais aussi mon sperme.
Son anus dilaté semblait vouloir me parler. Mais aucun son n’en sort sortir. Il baillait d'envie. Je me mis à embrasser son imposant fessier au goût de sucre vanillé. Je lapais le disque anal avec dévotion.
J’enfonçais mon pénis lentement mais résolumens dans son anus. Petit à petit, il disparut dans ses chairs. Madame la présidente miaula de ravissement. Ma queue était entièrement dans son cul. À l'intérieur de son rectum, je me mis à le faire gigoter en tous sens. Madame la présidente ronronnait de plus belle. Allant jusqu’à embrasser le tissu du divan.
- Aaaaaah ... Oui Alain ... C'est bon.
Je la chevauchais de plus en plus énergiquement. Voulant jouir avant l’arrivée du cocu. Mes mains fermement cramponnées sur ses hanches. Ses chairs anales refluaient et s'enfonçaient à chaque va-et-vient. Mon excitation grandissait. La cadence s'accélérait encore. Dominique poussait des cris rauques à chaque poussée.
Je l'enculais avec une telle vigueur qu’il était évidemment que mon plaisir allait me rattraper. Je lui explosai encore une fois dans le cul. Elle reçut mon foutre dans ses entrailles.
Je me retirais d’un coup de reins en arrière, alors qu'elle se retourna. Je n’ai pas pu m’empêcher de malaxer son sein droit à travers le chemisier.
- Je regrette de m’en être occupé.
- Une prochaine fois, lâcha-t-elle.
Signe qu'il y aura une suite. Je venais de trouver une bonne partenaire et elle le moyen de prendre son pied.
- Tu sais que je n’ai jamais trompé mon mari jusqu’à maintenant. Tiens-toi le pour dit.
Je ne sais pas si je dois la croire sur parole. Mais cela n’était pas mon affaire.
- Oh ! S’exclama-t-elle, mais tu bandes de nouveau !
En me prenant entre deux doigts.
- Je pensais t’avoir vidé les couilles. Il t’en reste encore . Quel dommage qu’il faille que nous redevenions gentils. Tu reviendras me voir .
- Bien sûr, affirmais-je, dans une dernière malaxation, avant de me revêtir.
- Cette fois-ci je saurais te vider complètement les couilles ! Fit-elle en se rajustant.
- J’ai hâte de voir ça, lançais-je en enfilant mon slip.
Nous nous dévisageâmes quelques secondes. Mais alors qu’elle allait sortir du salon pour déverrouiller la porte d’entrée elle se retourna pour me dire :
- Sache que toutes les portes de chez moi sont ouvertes pour toi. De la petite à la plus grande…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...