Titre de l'histoire érotique : LE TRAIN POUR VENISE - histoire érotique

Nous sommes au printemps 1992, nous partons pour Venise en train.

Il fait beau et chaud, et nous savons que nous partons pour visiter cette très jolie ville mais aussi pour baiser.

je vous passe les détails; mais dans la couchette nous sommes 5 un couple d'une quarantaine d'année et leur fils de 15 ans.

le petit demande la couchette du haut, Cathy un peut claustrophobe, demande la couchette du bas, sous l'ado, ce qui lui permettra d'avoir plus de place, si nous ne rabattons pas la couchette du milieu. le père prends la deuxième couchette supérieure au niveau de son fils, la mère la couchette du milieu, et moi celle du bas, au même étage que ma Cathy.

il est 2h du matin, je me réveille, le compartiment est dans la pénombre, il n'y a aucun bruit, sauf celui du train qui file sur les voies.
je regarde vers Cathy, qui dort sur le coté en me tournant le dos. elle n'est plus couverte, j'ai une vue imprenable sur ses fesses, et le bas de son dos.
à cette vue je prends une érection formidable. après quelques instants de réflexion, voyant qu'il n' y a aucun mouvement chez nos voisins, je me décide à aller la retrouver sur son lit.
doucement je m'approche d'elle, je m'allonge tout contre elle en la prenant dans mes bras.
elle se réveille en sursaut : mais qui etes vo................ ?
je lui mets une main sur la bouche pour la faire taire et lui chuchote à l'oreille : c'est moi, je n'arrive pas à dormir trop chaud
Cathy: et tu viens me réveiller
moi : oui en plus tu sens j'ai une crampe.
et je me colle encore plus contre elle, pour bien lui faire comprendre mon état
Cathy(en souriant): et tu veux me sauter dans l'allée centrale, pendant sue je suce le père, et que la mère et le gosse applaudissent
moi : évidement que non, mais la comme ça, si tu me laisse passer on devrait y arriver
Cathy: mais tu es malade, sil ils se réveillent, nous aurons l'air malin. non je ne veux pas, retourne chez toi
moi : je peux rester vers toi, je serai sage
Cathy : (en se collant contre moi) Ok mais si tu bouge je te vire

je sais comment la faire craquer, je passe une main sous son épaule et délicatement je lui caresse à travers son tee-shirt, un sein qui très vite durci. Dans le même temps je l'embrasse dans le coup, et sur l'oreille. la première minute passée, elle ne m'a pas jeté, je sais que c'est gagné. ma deuxième main, passe sous le tee-shirt et remonte le long de son corps.
Cathy :(se mettant sur le dos): tu es chiant, mais c'est bien agréable, tu continue tes caresses mais tu ne me touche pas le sexe
moi ok, mais tu enlèves le haut que je puisse m'occuper de tes seins.
elle s'exécute, et je prends ses tétons tout dures entre mes lèvres. je la sens se détendre, elle me caresse les cheveux, j'ai envie de mettre ma bouche plus bas, mais je sais qu'il est encore un peu tôt
moi : passes une main dans ta culotte masturbes toi s'il te plait.
je la sens hésiter, je mets ma tête sur son épaule, l'embrasse délicatement sur la joue, je prends sa main et la pose sur son sexe
moi (dans le même temps) : j'ai promis de ne pas te toucher la chatte mais toi tu as le droit
après de nouvelles secondes de retenue, elle passe sa main sous l'élastique du fin tissu, et commence à se masturber, je devine ses doigts entrain de glisser sur le clitoris , descendre et pénétrer son vagin tout humide de plaisir. revenir rentre sortir. Le mouvement s'accélère, sa respiration aussi. elle va jouir dans sa main. Pour ne pas hurler son plaisir elle tourne la tête et m'embrasse fougueusement pendant son orgasme.
elle se relâche, nos bouches se séparent
Cathy : merci tu as bien fait de me réveiller
moi : de rient
Cathy (prenant mon sexe dans sa main): je peux pas te laisser comme ça
n'y tenant plus, d'un coup de rein je me retrouve allongé sur elle. Je bande tellement que mon sexe est douloureux, je fais glisser mon shorty je passe une main entre nos corps, écarte l'élastique de son slip, et je la pénètre brutalement
moi : désolé c'est trop fort
Cathy : ('en écartant les cuisses) je ne suis pas d'accord, tu me le paieras
dans le même temps je sens son bassin venir à ma rencontre comme pour me dire vas y baises moi
alors sans plus de retenue, je la lime très fort et très vite, nous nous embrassons pour cacher nos plaintes et soupirs
très vite notre jouissance arrive, et j'éjacule à long jets brûlants dans sa grotte encore plus chaude et humide.
après avoir repris nos esprits je suis retourné sur ma couche j'ai dormi comme un bébé jusqu'à l'arrivée.
quelques jours plus tard en reparlant de notre aventure, je lui fait part de ma surprise, au sujet de son sexe encore plus mouillé et de son deuxième orgasme
Cathy : c'est vrai je ne voulais pas, pas par manque d'envie, mais par peur d'être vue. après m’être caressée, quand tu m'as chevauché, j'ai tourné la tête et j'ai vu la mère du gamin, qui nous regardait. en une fraction de seconde, je me suis dit, qu'elle m'avait vu entrain de me donner du plaisir. alors là je t'ai laissé entrer en écartant les cuisses. Durant tout le temps que tu me faisais l'amour, je la fixais droit dans les yeux. et j'ai eu mon orgasme, quand elle c'est assise au bord de sa couchette, remonté sa chemise de nuit, et c'est à son tour masturbé et jouit sous mes yeux.