Titre de l'histoire érotique : Lendemain de soirée 1 : Réveil surprenant mais délicieux

- Par l'auteur HDS Jerem 19 -
Récit érotique écrit par Jerem 19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Lendemain de soirée 1 : Réveil surprenant mais délicieux Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Lendemain de soirée 1 : Réveil surprenant mais délicieux
[H] Hugo ouvrit les yeux lentement. Le flou se dissipa après quelques instants et laissa la place à l’obscurité d’une pièce dans laquelle seuls quelques traits de lumière passaient par la fenêtre. Il balaya la pièce du regard le temps qu’il se réveil. Une armoire. Un bureau. Un tableau. Quelques photos accrochées aux murs. Au milieu d’un grand lit deux places vide il essaya de se lever mais dut le faire lentement, trop engourdi. Il avait la tête qui tournait et à chaque mouvement qu’il faisait il avait l’impression qu’il utilisait ses muscles pour la première fois depuis des siècles. Il ne savait pas où il était mais il était trop fatigué pour s’en inquiéter. Il réussit à se glisser vers le bord du lit posa les pieds au sol et se redressa. Il attendit que sa tête arrête de tourner et que ses muscles acceptent d’avoir été réveillés.
[H] Quand il se senti mieux il remarqua quelque chose d’étrange. Depuis qu’il s’était assis il avait une drôle d’impression. Au niveau du bassin il sentait quelque chose, une gêne plus qu’une douleur. Il n’avait jamais ressenti quelque chose d’aussi profond. Il se dit que ce devait être une courbature d’après soirées comme les autres. Juste qu’elle ne voulait pas passer.
[H] Il se leva difficilement, s’étira comme un chat, dépliant ses jambes et étendant son long torse et ses bras du plus qu’il put. Debout il marcha vers le mur où étaient accrochées les photos. A chaque pas, la gêne se faisait ressentir. Quand il reconnut sur les photos une des filles de la famille il comprit où il était. C’était comme si un coup de vent avait tout d’un coup soufflé le brouillard qui l’entourait. Elodie, évidemment ! Hier soir elle avait fêté ses 22 ans. Elodie et lui se connaissaient depuis le collège mais ils ne s’étaient pas toujours fréquenter assidument. Au lycée ils ne se voyaient presque plus et cela faisait quelques mois qu’ils avaient vraiment repris contact. Au fur et à mesure qu’il y pensait, les souvenirs lui revenaient petit à petit. Il se souvint de la soirée, de quelques passages, mais pas de tout. Loin de là. Il se souvenait d’avoir surtout parlé avec un mec barbu et avec quelques filles, mais pas de beaucoup plus. C’est ça d’aller à une soirée où on ne connaît pas grand monde, on la passe toujours avec les mêmes personnes, ça a au moins l’avantage de les marquer dans la mémoire, y compris après une cuite. Parce que visiblement il avait dut en prendre une, et pas une petite ! Il faut dire que cette soirée était bien tombée. Pile au moment où il avait des problèmes à oublier. Après le lycée il avait essayé un casting pour faire du mannequinat, ce n’était pas un projet de vie pour lui, mais ça l’intéressait, et puis il en avait les moyens. Ça avait bien marché pendant un temps, les problèmes inhérents au métier mis à part, mais récemment ça s’était dégradé. Une photographe le saquait parce qu’il avait repoussé ses avances, un autre ne voulait pas de lui parce que « le roux ne vend pas », mais surtout il s’était rendu compte soudainement que le métier qu’il avait appris à s’aimer et pour lequel il sacrifiait beaucoup pouvait s’arrêter à tout moment sans lui laisser le moindre diplôme qui lui aurait permis de se reconvertir. Le monde dans lequel il s’était construit semblait s’écrouler doucement mais surement, et il avait du mal à le digérer.
[H] Vu la lumière qui passait sous le volet, il se dit qu’il serait peut-être temps de sortir de la chambre qui lui servait de grotte. Il ouvrit la porte passa dans le couloir et assaillit par la lumière tant de lumière il resta au milieu du couloir quelques instant avant de chercher la salle de bain.
[A] Anaïs s’était levée deux heures plus tôt. Elle avait aidé Elodie à ranger la maison. La soirée n’avait pas fait beaucoup de dégâts mais le sol devait être lavé, les bouteilles jetées, les lits refaits, etc. Bien sûr elle n’avait pas été la seule à se réveiller pour cela mais la plus part des autres avait dû partir tôt et ne put donc pas beaucoup aider.
[A] Elle avait bien profité de la soirée mais s’était couché parmi les premières, du coup elle découvrait au fur et à mesure des réveils qui était resté pour dormir. Elle connaissait la plus part des gens vu qu’elle était la meilleure amie d’Elodie. L’ambiance était détendue. A un moment Elodie lui dit d’aller voir si tout le monde était réveillé, à midi, il était temps qu’ils se bougent quand même. Du coup elle monta l’escalier, toqua à la porte de la chambre du frère d’Elodie, réquisitionnée pour l’occasion, et y réveilla deux filles qu’elles connaissaient assez peu. Puis elle sorti dans l’idée d’aller réveiller ceux qui s’étaient couchés dans le bureau, la dernière pièce où il n’y avait pas de lumière sous la porte.
[A] Quand elle sorti de la première chambre, quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit là, debout, au milieu du couloir, un homme, en caleçon. Il était de dos et ne la voyait donc pas. Elle non plus ne le voyait pas. La seule chose qu’elle pouvait voir, et qu’elle n’arrivait pas à arrêter de regarder, était son dos large et musculeux, un corps et des cuisses effilés et dessinés, de la tête au pied. Il se frotta les yeux et se gratta la tête. A cette occasion Anaïs vu chaque muscle de son corps s’activer l’un après l’autre, dans une danse terriblement agréable. Son caleçon couvrait et moulait un fessier à tomber par terre. Elle n’avait pas vu son visage mais elle savait très bien de qui il s’agissait. Hugo était suffisamment roux pour qu’on le reconnaisse. Il se trouve qu’en plus il avait eu la bonne idée de passer la soirée en partie torse nu donc elle reconnut facilement ce corps félin qui l’avait tant attiré la veille. Le jeune homme se mit subitement à bouger, il semblait un peu gêné, mais toujours aussi sexy, et il rentra dans la salle de bain. Anaïs contempla son l’Apollon jusqu’à ce qu’il ferme la porte toujours sans se rendre compte qu’il avait été vu.
[H] Quand il entra dans la salle de bain, Hugo se mit de l’eau sur le viager et s’est en se regardant dans la glace qu’il prit conscience qu’il était en caleçon. Il venait donc de traverser le couloir à moitié nu sans même le savoir. Ça ne le dérangeait pas dans le fond, d’autant qu’il n’avait vu personne, mais bon ça aurait pu le mettre dans une situation très étrange. Cela posait d’ailleurs une autre question : où étaient ses vêtements ? Après tout, ils peuvent servir. Il enleva son caleçon, libérant un sexe en demi-molle qui n’aurait sans doute rien arrangé s’il avait dû croiser quelqu’un. Hugo enjamba la baignoire et accrocha la pomme sur le mur pour prendre une douche.
[H] Il frissonna quand l’eau entra en contact avec son corps puis il la laissa ruisseler doucement sur sa tête et son corps. A mesure que l’eau se réchauffait, son corps se détendait, mais la courbature qu’il ressentait au niveau du bassin était toujours là. Tant pis se dit-il, il ne pouvait rien n’y faire, mais ça l’intriguait quand même. Il trouva un gel douche et en pris un petit peu, il n’avait pas envie de squatter mais il n’avait pas ses affaires donc il n’avait pas vraiment le choix. Il profita ainsi de la douche.
[A] Anaïs était restée dans le couloir. Elle entendit l’eau de la douche et se dit qu’elle n’était pas prête de voir le bel Hugo sortir de la douche devant elle, par hasard. Ce n’était pas son genre, vraiment pas son genre, de faire ça, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. Il était si beau, elle si seule et surtout ils avaient sympathisé la veille et il lui plaisait vraiment beaucoup. Ils s’étaient parlé avant que l’alcool ne fasse son effet et après il l’avait fait danser une grande partie la soirée. Certes il était ailleurs, torse nu pour d’autres raisons (qu’elle) et elle n’avait pas été la seule fille avec qui il s’était autant amusé. Ce n’était peut-être pas du flirt pour lui, mais ça avait eu un grand effet sur elle qui n’était pas habituée à flirter.
[A] Soudain une sonnerie de téléphone se fit entendre dans le bureau où Hugo avait dormi. Anaïs se dit d’abord que ce devait être un appel, elle se précipita dans le bureau, chercha le téléphone à l’oreille et le pris. Quand elle l’eu dans les mains elle se rendit compte qu’elle ne savait pas quoi en faire. Rentrer dans la salle de bain alors qu’il prend une douche, répondre et dire de rappeler, le reposer et finalement ne rien faire ? Décidée à lui donner, par véritable bonne volonté, elle alla devant la porte, le téléphone à la main. Au moment où elle allait toquer à la porte, celle-ci s’ouvrit sur un Hugo au corps mouillé seulement couvert par une serviette au niveau de la taille. Les cheveux mouillés le rendaient encore plus beau, et son corps imberbe et sculpté était plus sexy que jamais maintenant ses pectoraux et ses abdos finement taillés étaient couverts de gouttes d’eau qui convergeaient le long de son V. Visiblement la serviette n’était pas très solidement nouée et il la tenait d’une main.
- Salut Hugo… je ne voulais pas te déranger, ton téléphone sonnait…je…je me suis dit que tu voudrais répondre…
- Ah salut, c’est gentil, en fait c’est un réveil, apparemment hier j’avais tout oublié sauf de mettre un réveil. Je sortais de la douche pour l’arrêter.
- Ah…bah…tiens, dit-elle en lui donnant le téléphone. Je vais te laisser finir du coup, tu peux prendre mon temps, je suis la seule à ne pas être encore passée par la salle de bain pour m’habiller complètement.
- Si tu veux, tu peux entrer avec moi, j’ai presque fini et pour ce qu’il me reste je n’ai pas besoin d’être pudique disons.
- Euh…d’accord pourquoi pas. Je vais chercher mes affaires.
- Dis-moi, est-ce que tu sais où sont nos sacs ? moi aussi j’ai des affaires à prendre, et j’ai un peu oublié où étaient mes affaires.
- On a mis tous les sacs dans la chambre du fond. Les gens qui y ont dormi sont déjà partis donc tu peux y aller tranquillement.
- Merci, à tout de suite.
[A] Comment ça pourquoi pas ? Comment avait-elle pu répondre quelque chose comme ça ? C’est malin, maintenant il en reste plus qu’à assumer. Elle avait déjà pris une douche donc qu’à se maquiller et à changer son jogging de lendemain de soirée pour de vrais vêtements. Mais de là à le faire avec lui dans la pièce, ne serait-ce qu’au début, c’était très étrange, et en même temps tellement excitant. Après tout elle ne le reverrait peut-être pas, ou plutôt elle pourrait s’arranger pour ne plus le revoir si c’était une catastrophe, et puis maintenant qu’elle avait dit oui, elle ne pouvait plus refuser. De toute façon il n’aurait pas eu à la forcer longtemps pour qu’elle accepte de rester avec lui à demi nu dans une pièce.
[H] Hugo un peu troublé de ce qui venait de se passer sorti de la salle de bain, avec toujours sa serviette autour de la taille et se dirigea vers la chambre qu’elle lui avait montré. La douleur au fond de son bassin ne voulait décidément pas le quitter. Dans la chambre il trouva son sac et sorti ses affaires. Il enfila le caleçon propre qu’il y avait trouvé et retourna dans la salle de bain sa serviette et son sac à la main. Sortant d’une autre chambre, Anaïs arriva au niveau de la porte en même temps que lui. Ne comprenant pas que l’autre, trop gêné pour être clair, laissa l’autre passé ils essayèrent d’entrer en même temps et leurs corps se touchèrent plus qu’ils ne l’auraient prévu. Hugo se dit qu’il avait de la chance d’avoir choisi un caleçon qui ne le moulait pas trop car sinon sa demi-molle réactivé par la gêne et le contact inattendu se serait un peu trop vu.
[H] Hugo et Anaïs posèrent leurs affaires sur le lavabo et sortir ce dont ils avaient besoin. L’un et l’autre vaquèrent à leur occupation en faisant comme si de rien n’était.
- C’était une bonne soirée non ? dit Anaïs en se lavant le visage.
- Oui, enfin je crois, je ne me souviens pas de tout ahah, lui répondit Hugo qui étalait de la mousse à raser sur son visage et son cou.
- Elodie était avait l’air contente en tout cas.
- C’est tout ce qui compte.
- Désolé de demander ça comme ça mais, pourquoi est-ce que tu te rases ? en une soirée ta barbe n’a pas pu repousser.
- SI je pouvais m’en passer, ça m’arrangerait bien. En fait je suis mannequin et dans le contrat que j’ai en ce moment je dois avoir un visage rasé de près, pas que le visage d’ailleurs, dit-il en désignant son torse d’un signe de tête. Du coup le rasoir c’est tous les matins.
- Ah d’accord, tout s’explique alors. Comment t’es devenu mannequin ?
- Ça s’est fait comme ça, au début c’était pour me faire un peu d’argent et puis au bout d’un moment entre les différents calendriers, la nutrition et le sport qu’il me faut pour rester au niveau, j’ai fini par continuer pris dans l’engrenage. Tant que je peux le faire je le fais, et comme j’aime bien ça, autant continuer.
- Tu as raisons, en plus la nature t’aide bien.
[A] Ça y est ! Elle avait la gaffe. Pourquoi avait-elle dit ça ? En plus avec le rouge qui lui était monté aux joues, impossible qu’il ne se rende pas compte de sa gêne. La nature d’aide bien. Pourquoi ne pas lui dire qu’il est beau comme un dieu et qu’elle a envie de lui tant qu’on y est ?!
- Ah c’est gentil, je lui dirai merci la prochaine fois que je la vois.
[A] Et en plus il est drôle…
[A] Quand Anaïs eut fini de se maquiller elle décida de se changer en profitant du blanc qu’elle venait de créer pour que ça passe inaperçu. Mine de rien elle approcha son jean et enleva son jogging. Quand elle se retrouva pliée en deux pour l’enlever elle se rendit compte que la position était sans doute bien plus suggestive qu’elle ne l’avait espéré, tant pis, encore une fois la gaffe était faite. Une fois son jogging totalement enlevée, toujours courbée, elle déplia son jean et enfila une jambe. Elle vit du coin de l’œil qu’Hugo, par politesse, par gêne ou par voyeurisme bien dissimulé rangeait ses affaires dans sa trousse de toilette proche du lavabo comme si de rien était. Elle en profita pour mater son profil ultra sexy en ramenant ses yeux vers le sol, mais hélas c’était le regarde de trop. Sans s’en rendre compte elle s’était penchée et quand elle essaya de se relever pour enfiler le jean sur sa jambe gauche elle bascula et tomba à la renverse.
[A] En un éclair elle ne contrôla plus rien. Empêtrée dans son jean à moitié enfilé et dans son jogging. Quand le monde arrêta de tourner autour d’elle, elle rouvrit les yeux. Il lui fallut un peu de temps pour repérer où elle était. Elle décolla son visage de ce sur quoi elle était appuyée se rendant compte qu’il s’agissait du bas du torse d’Hugo. Elle comprit en voyant qu’elle était nez à nez avec le bas de ses abdos, au début du V si sexy du jeune homme. Mais là n’était pas tout. Elle avait été de tomber par terre en s’agrippant à sa taille et se faisant elle avait à moitié baissé son caleçon. La base du pénis d’Hugo était ainsi apparente. Mais comment avait-elle pu se retrouver dans telle situation. À moitié nue sur son phantasme fait homme mais surtout en train de le déshabiller.
- Oooooooooooh pardon ! … je … je suis désolée … je suis tombée … je ne voulais pas te … Oh la la… dit-elle en se relevant et en se mettant à l’autre bout de la pièce tremblant de gêne et ne sachant plus où se mettre.
- Ah…eh…t’inquiète pas…c’est pas très grave. Je ne m’attendais pas vraiment à ça. Dit-il en remontant son caleçon, masquant le pénis qu’Anaïs aurait tout de même secrètement aimé voir plus longtemps. Mais dit moi, ça va ? tu ne t’es pas fait mal ? dit-il d’un ton rassurant, tendre et en la prenant par les épaules pour calmer ses tremblements. Si ça peut te rassurer, il y a bien pire que de voir une belle fille comme ça.
[H] C’est vrai qu’Hugo avait été très surpris. Dans la position dans laquelle elle était tombée il avait eu en plus une vue plongeante sur sa poitrine par le colle de son T-shirt. Anaïs était plutôt sexy en plus. Taille moyenne, cheveux bruns longs et fins. Pas un corps de sec de top model, et tant mieux, le tout rehaussé par des fesses rondes et fermes et par deux beaux seins en formes de poires, et un visage très mignon. Déjà la veille quand ils avaient dansé il l’avait bien remarqué.
[A] Comme si elle n’était pas assez rouge de gêne comme ça, voilà qu’il lui faisait des compliments maintenant.
[H] Il avait repéré les regards en coins d’Anaïs quand il était sorti de la douche. Il savait donc qu’il lui plaisait. Mais il sentait qu’elle était vraiment gênée de l’avoir dessapée comme ça, surtout qu’elle l’avait mis nu à proprement parlé. Mais venant d’une fille qui lui plaisait aussi, pourquoi pas. Si elle ne l’avait pas fait volontairement il ne l’aurait pas mal pris. Au contraire d’ailleurs.
[A] Hugo tenait maintenant Anaïs dans ses bras, elle commençait à se calmer. C’est là qu’elle se rappela qu’elle était avait en plus été en culotte pendant tout ce temps. Elle recommença à s’excuser. Il lui dit encore d’arrêter, que ce n’était pas grave. Soudain alors qu’elle expliquait comment elle était tombée il la fit taire en l’embrassant. Elle fut énormément surprise mais elle rendit le baiser fougueusement. Honnêtement, elle n’attendait que ça.
- Ça va tu es rassurée sur le fait que je ne l’ai pas pris mal là ?
- Oui, là ce serait étrange sinon. Ah ah…
- Et ça ne te dérange pas que je t’embrasse ?
- Euh…non, laissa-t-elle échappée. Beau, drôle, attentionné et respectueux en plus.
- Donc je peux recommencer alors ?
[A] Elle ne lui laissa pas le temps de le faire, on ne peut pas être constamment passive non plus, et l’embrassa directement. Un long baisé délicieusement sexy. Elle ne savait pas où tout ça allait les mener.
[H] Hugo caressa son corps pendant qu’ils s’embrassaient. D’abord les épaules et le dos et attendit de voir si elle le touchait aussi pour être sûr qu’elle en avait aussi. Quand il sentit ses mains se délecter du contact avec ses abdos, ses pecs et ses fesses, il se fit plus entreprenant caressant maintenant tout son corps. Il palpait ses fesses, glissait le long de son dos et jouait avec ses beaux sains et ses tétons pointés. Après avoir embrassé son cou il lui chuchota à l’oreille :
- J’ai envie de toi…là…maintenant…
- Moi aussi.
[A] Tu parles qu’elle en avait envie, sa culotte devait être trempée tellement elle en avait envie. Il l’embrassa une nouvelle fois puis passa à son cou et commença à embrasser son corps en descendant. Il faisait monter la pression doucement en descendant jusqu’à son bassin. Il la tira vers lui et la fit s’assoir sur le rebord de la baignoire, lui enleva sa culotte et finit de descendre la tête entre ses jambes. Anaïs, la tête renversée profitait des vagues de plaisirs que lui envoyait ses baisés. Lorsqu’elle senti sa langue contre sa vulve et son clitoris elle gémit d’un plaisir surpris et se rappela qu’il valait mieux être discret. Mais vu ce que sa langue lui faisait ça allait être difficile. Il la doigtait en même temps. Elle s’attendait à un coup vite fait mais il prenait tout son temps au contraire. Et qu’est-ce que c’était bon. Après quelques minutes de ce traitement elle lâcha « prend-moi Hugo » qui ne tomba dans l’oreille d’un sourd.
[H] Hugo remonta rapidement pour la ré-embrasser. Et ils se levèrent tous les deux. Il baissa son caleçon laissant sortir son sexe en érection. D’une main il atteint sa trousse de toilette où il avait toujours une capote au cas où et il l’enfila. Anaïs glissa ses mains le long de son torse et caressa ce sexe long et fin avec plaisir. Il la poussa doucement contre le mur de la salle de bain, se colla contre elle, la prit par les fesses. Il la portait par les jambes qu’elle avait serrées fortement autour de sa taille, et il la pénétra ainsi. Après des vas-et-viens lents et profonds pour qu’ils s’habituent l’un à l’autre, il se prit un rythme doux mais soutenu. La gêne était toujours là au niveau de son bassin, il en ressentait une aussi au bout de son gland, comme s’il avait déjà fait l’amour. Mais ça ne devait pas être ça, il s’en souviendrait quand même.
[A] Jamais Anaïs n’avait été prise comme ça contre un mur. Elle était plutôt du genre simple, du genre à ne pas faire de folie avec son corps. Il l’avait surprise mais elle adorait ce qu’il lui faisait. Son sexe était si bon. Elle gémissait de plaisir pendant qu’elle sentait son souffle chaud s’accélérer dans son cou. Lorsque le plaisir ne lui faisait pas perdre trop la tête elle se concentrait pour serrer les muscles de son vagin ce qui avait pour effet immédiat de faire gémir Hugo encore plus. Au bout de quelques minutes. Hugo, qui ne devait pas en pouvoir de la tenir ainsi en la prenant, sorti délicatement après l’avoir embrassé. Elle eut du mal à tenir debout après ça mais elle ouvrit la porte doucement pour voir s’il y avait quelqu’un, personne n’étant dans le couloir, elle l’emmena dans le bureau où le lit était toujours déplié. Quand il eut fermé la porte elle l’enlaça et l’embrassa puis le retourna et le poussa sur le lit. Elle vint s’empaler à califourchon sur lui et les gémissements reprirent. Dans cette position elle sentait l’intégralité du long sexe d’Hugo en elle et elle pouvait se cambrer pour le faire gémir encore plus. De temps en temps Hugo reprenait le contrôle et allait plus vite ou moins profondément, jouant avec la zone sensible à l’entrée de son vagin, puis s’était à son tour de mener la danse en imposant son rythme. Parfois les deux faisaient leurs vas et à viens à des rythmes différents. Le tout dans des gémissements étouffés par la volonté de discrétion et par leurs baisés. Lorsque l’orgasme monta en Anaïs elle ne put contrôler ses cris qu’en mettant une main sur sa bouche. Son corps se resserrant sous l’effet de la jouissance, Hugo qui n’en était déjà pas loin jouit aussi éjaculant dans son préservatif au fond de son vagin.
[H] Il fallut quelques minutes aux deux amants pour se remettre. Anaïs s’était couchée à côté d’Hugo qui avait enlevé la capote, l’avait noué et l’avait mise par terre.
- C’était bon…dit Anaïs dans un soupir.
- Oui c’était super. Je crois qu’on en avait bien envie tous les deux. Déjà hier tu m’avais tapé dans l’œil.
- A qui le dis-tu, répondit-il dans un mélange de rire et de mollesse post-orgasme.
[H] Ils parlèrent encore quelques instants puis Hugo reparti prendre sa douche. Pendant toute leur partie de jambe en l’air il avait ressenti la gêne qu’il avait depuis le début au niveau du bassin. Celle au niveau de son gland était passée avec l’excitation et était présente à nouveau maintenant qu’il avait jouit. Il se demandait bien d’où cela pouvait bien venir. En tout cas, ce lendemain de soirée avait été tout aussi surprenant que délicieux pour lui.

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