Titre de l'histoire érotique : Lendemain de soirée 2 : De surprises en surprises - histoire érotique

Hugo mit son jogging et son T-shirt puis quitta la salle de bain laissant Anaïs se rhabiller et préparer son sac pour rentrer chez elle. Il descendit dans la cuisine. Il y retrouva Elodie, deux filles qu’il se souvenait avoir croisé la veille sans plus, et Thomas un des mecs avec qui il avait passé un bout de la soirée. Il prit un des cafés qu’Elodie avait fait pour eux, dit bonjour, remercia Elodie et s’assit à côté de Thomas, celui qu’il connaissait le moins mal.
Hugo ne se souvenait pas de grand-chose de la soirée. Une fois assit à côté de Thomas il prit conscience qu’il avait même oublié ce à quoi il ressemblait vraiment. Il se souvenait de son visage et de sa chemise bleue foncée, mais pas de beaucoup plus. Du coup assit à côté de lui il redécouvrit à quel point Thomas était massif. Le grand brun barbu portait la même chemise que la veille n’ayant dû amener que celle-là. Entre les pans du col de sa chemise Hugo repéra sa toison foncée. Il était très sensible à ce genre de détail. Pour son agence de mannequinat il était obligé de se raser complètement le torse, alors quand un mec avait la pilosité classe, ça faisait tilt dans sa tête.
Autour du café ils discutèrent de la soirée. Anaïs passa rapidement mais n’eut le temps que de dire au revoir devant rentrer chez elle en voiture. En passant devant Hugo ils eurent un regard gêné questionnant comment ils devaient réagir l’un à l’autre après avoir baisé si ardemment seulement quelques minutes avant. La discussion mena les restants de la soirée sur un sujet auquel Hugo ne s’attendait pas. Les trois filles discutaient du mec le plus sexy de la soirée en regardant les photos de la soirée. Elles firent passer le téléphone à Thomas. Il rit en voyant les photos.
- Ah ah vous avez de photos de ce moment ? Je ne savais même pas que vous en aviez prise. Oh oh la la !
Quand le téléphone arriva sous les yeux d’Hugo, il ouvrit grand les yeux de surprise. Sur l’une des photos il était à califourchon sur Elodie, en caleçon, lui tenant les mains pour guider ses caresses sur son torse. Sur une autre il était au milieu de tous les autres mecs de la soirée, eux aussi en caleçon dans des poses sexy.
Apparemment il avait vraiment tout oublié. Enfin la gêne dans le bas de son dos, elle, il ne risquait pas de l’oublier.
- Tu te souviens vraiment de rien ? demanda Thomas avec un grand sourire en voyant le regard surpris d’Hugo.
- En tout cas, pas de tout ça. Ni striptease, ni poses sexy ah ah.
- Moi je ne suis pas prête de l’oublier pourtant, rit Elodie.
- C’est déjà ça ah ah, ironisa Hugo.
- Si tu veux je peux te raconter ce que je sais, histoire de remplir ce black-out. Ce n’est pas hyper agréable de ne se souvenir de rien. Et puis ce serait dommage d’oublier une soirée comme celle-là.
- Ouais je veux bien.
- Par contre il faut que je parte dans pas longtemps. Je pars en voiture, si tu veux on part ensemble et je te raconte sur le chemin.
- Ça me va très bien. On va faire nos affaires ?
Ils montèrent dans la chambre où étaient toutes les affaires et se préparèrent à partir en discutant.
- Dis donc t’as dû te prendre une cuite monstre pour en arriver là.
- Ouais j’ai l’impression la seule chose dont je me souviens, c’est de m’être réveillé dans la pièce d’à côté en ayant très…non rien.
- Pour les photos de tout à l’heure, en gros un des gars s’est rendu compte qu’il était venu sans cadeau pour Elodie, du coup il a proposé de lui faire un striptease. Ça a lancé le jeu. On lui en a chacun fait un pour qu’elle choisisse le plus sexy. Elle a choisie Johan. Je ne sais pas si c’était vraiment très fair-play, lui, il a tout enlevé.
- Sérieusement ?
- Oui oui, quand il a enlevé sa chemise il l’a utilisé comme rideau pour qu’elle puisse lui enlever son caleçon avec les dents.
- Dis donc il ne rigole pas lui. Mais dis-moi…je n’ai pas fait de truc dans ce genre ? Avec Elodie ou une autre d’ailleurs.
- Non ne t’inquiète pas. Les filles ont dû être déçues vu comme elles t’ont maté. D’autant que t’es resté toute la soirée en caleçon après. On a pris les photos tous ensemble en caleçon puis on s’est rhabillé (entièrement ou non) mais toi t’étais bien comme ça ah ah.
-Tu t’es rhabillé toi ?
- Ouais, ce n’est pas trop mon truc de me balader à poil comme ça au milieu de gens habillés.
- Pourtant vu les photos il y a pas de raison d’avoir honte.
- Ah ah, ria-t-il, c’est marrant que tu dises ça. Mais je prends le compliment surtout venant d’un mannequin.
- Mais je te comprends sur le fond. Et puis je comprends aussi d’autres trucs du coup si j’ai passé la soirée comme ça… T’es prêt ? On y va ?
- Ouais c’est bon j’ai tout.

Hugo et Thomas descendirent leurs sacs à la main. Ils dirent au revoir à Elodie et aux autres filles dans la cuisine puis montèrent dans la voiture de Thomas.
- Au fait tout à l’heure qu’est-ce que tu voulais dire quand tu parlais de mieux comprendre des choses ? demanda Thomas après avoir commencé à rouler.
- Ah, je suppose que je peux le dire, quand je me suis réveillé, je suis allé prendre une douche et j’ai croisé Anaïs. En tombant elle m’a dessapé et disons qu’on en a bien profité.
- Dis donc tu te mets bien au réveil toi ah ah. C’est vrai qu’hier vous avez pas mal dansé ensembles.
- J’avais pas vraiment prévu de coucher avec une fille au réveil.
- Je crois que ce n’est pas la seule chose que t’avais pas prévu, mais apparemment tu te souviens vraiment de rien.
- Euh…comment-ça ? Il s’est passé autre chose ?
- Je ne sais pas trop comment je dois le prendre, dit Thomas en lui faisant un clin d’œil.
- C’est quoi ce sous-entendu ? … J’ai peur de comprendre.
- Hier ça ne te faisait pas peur en tout cas.
- Toi et moi ?
- J’ai bien peur que oui.
- Quoi ?!
Hugo ne savait plus où se mettre. Thomas avait l'air sérieux et fier de lui. Et pourtant, il fallait le deviner qu'il était gay. Et puis Hugo ne l'était pas. Il n'avait jamais été attiré par les hommes. Comment ça avait pu arriver? Il était perdu. Surpris, apeuré, mais pas dégouté, juste inquiet de savoir réellement ce qui s'était passé et de retrouver la mémoire.
- Je suppose qu’on est arrivé au moment où l’hétéro est dégoûté et veut me frapper ? Ou alors le curieux d’hier soir cherche à savoir ce qui s’est passé parce qu’il sent qu’il a bien prit son pied ?
- On a qu’à la jouer curieux, je déciderai quand je saurais ce qui s’est passé. Autant que j’en sache un peu plus. Et puis si je te frappe de colère en plus de ne pas servir à grand-chose, vu que tu conduis on serait bien dans la merde. Mais je ne suis pas gay du tout, juste pour être clairs, d’ailleurs tu l’es toi ?
- Oui je suis gay, tout le monde ne le sait pas dans mes potes, mais bon tu ne connaissais pas grand monde donc tu ne pouvais pas deviner ah ah. Mais bon de toute façon pour moi gay, hétéro, bi, tout ça, ça ne dépend que du moment, de la situation, de l’attirance.
- Ouais enfin bon c’est un peu plus qu’un caprice quand même. Comment on est arrivé…à…
- Coucher ensemble, faire l’amour, baiser comme des bêtes, prendre notre pied, s’éclater ? Je sais il y a beaucoup de choix possibles.
- Oui bah il va me falloir du temps pour m’habituer à l’idée d’avoir couché avec un mec.
- C’est vrai, désolé, je vais y aller plus doucement, sans mauvais jeu de mot. Je vais te raconter. La soirée a duré très longtemps. Je pense que c’est les jeux d’alcool qui t’ont envoyé dans un autre monde. Et pourtant on t’a dit d’y aller mollo pour ne pas finir mal. On était à côté pendant les jeux, du coup c’est là qu’on c’est un peu rapproché. On avait déjà discuté mais pas autant mais pas autant. Tu m’as raconté pour ton mannequinat et tout. Tu te doutes bien que je ne suis pas resté insensible à ton charme évident .Après les jeux, certains ont dû partir, du coup on a fait les cadeaux, il devait être 1h30 du matin. Avec les cadeaux il y a eu l’épisode des strip-teases que je t’ai raconté tout à l’heure. Bien sûr j’en ai bien profité. En plus je ai dit que j’aime les mecs à mes potes mecs, du coup il n’y avait pas besoin de discrétion pour mater. D’ailleurs Adrien aussi est gay, au cas où tu te souviendrais de lui.
Comme je te le disais, tu es resté en caleçon toute la soirée, moi je m’étais rhabillé, même si t’as pris un malin plaisir à essayer de relever ma chemise une ou deux fois pour ne pas être le seul torse nu. La soirée c’est bien passé, on a dansé, discuté, etc. Vers 5 heures du matin, on s’est tous couchés. T’étais un peu redescendu mais bon avec la fatigue en plus t’étais pas encore totalement sobre. Certaines des filles avaient prévu de dormir ensemble et avaient déjà posé leurs affaires dans une des chambres pour la réserver. Du coup toi on moi on s’est installé dans le bureau où il restait un canapé deux places déplié. Moi aussi en caleçon on s’est allongé l’un à côté de l’autre. Comme il faisait chaud, et il faut bien le dire on y était pour quelque chose, ni toi ni moi ne n’étions couverts du drap. J’en ai un peu profité pour observer ton magnifique corps et la belle bosse dans ton caleçon. Mais bon au bout d’un moment je me suis mis sur le côté pour dormir et au cas où j’aurais une érection. A ta respiration j’avais l’impression que tu t’étais endormis pour de vrai, je sentais le sommeille venir et puis d’un coup tu t’es rapproché de moi et t’as passé ton bras autour de mon cou comme t’aurais pu le faire autour de ta copine. Tu devais apprécier de ne pas dormir tout seul parce que t’as mis ta jambe par-dessus les miennes en collant au passage ton caleçon contre mes fesses.
Cette position crois-moi était loin de me déranger mais tu ne t’es pas arrêter là. Je faisais comme si de rien était et puis tu t’es mis à me caresser de ta main posée contre mes pecs. C’était plutôt agréable de sentir ton souffle chaud dans mon cou et tes doigts effleurer mon torse et glisser entre mes poils. Je commençais même à me demander si la bosse contre mes fesses ne grossissait pas. Je suis un homme de principe donc j’ai demandé, sans vraiment savoir si tu étais suffisamment réveillé pour me répondre :
- Hugo, est-ce que tu sais que c’est un mec que tu caresse là ?
- Oui, c’est ça qui m’excite d’ailleurs, m’as-tu répondu sans le moindre gène et d’une voix un peu fatiguée. Je suis en manque de cul. J’ai rien fais depuis plus d’un mois, et t’es là, viril, musclé, beau…
- Tu dois être encore bien bourré pour dire ça.
- Je ne sais pas mais…, là tu as commencé à m’embrasser dans le cou, … tu m’excite et j’ai envie de toi.
- T’es sûr de toi ?
Pour seule réponse tu as empoigné mon sexe à pleine main.
Du coup je me suis retourné de ton côté en en profitant pour me coucher sur toi à califourchon. Cette fois c’est moi qui t’embrassais dans le cou avant que dans un mouvement sensuel et animal nous nous embrassâmes à pleine bouche. On se caressait l’un l’autre, c’était hyper sexe comme moment. Je peux te dire que tu y allais à fond. En caressant ton corps je suis descendu en embrassant ton torse de dieu jusqu’à ton entre-jambe. Ton caleçon enlevé, j’ai joué un peu avec son sexe en le branlant avant de le prendre en bouche. Tu bandais déjà complètement. Elle est pas mal ta bite Hugo ! Et vu tes gémissements ma fellation ne devait pas être mauvaise. Quand je t’ai fait une gorge profonde j’ai cru que t’allais tout lâcher au fond. Mais non tu en voulais encore et moi aussi.
Je t’ai laissé prendre le contrôle. Tu m'as fait bouger brutalement pour que je me mette à 4 pattes, t'as pris une capote dans ton sac et t'as commencé à me prendre en levrette. Ce qui est bien avec vous les hétéros c'est que vous ne prenez pas de gants quand vous couché avec un mec, vous partez du principe qu'on a l'habitude de la sodomie du coup c'est plutôt chaud. Et j'adore ça. Tu m’as pris super rapidement les mains sur mes hanches. Tu t'en doutes, là c'est moi qui gémissais. Je sentais ta queue aller si loin en moi. On a changé de position, tu t'es allongé sur dos et je me suis empalé sur ton sexe. Là tu m'as littéralement pilonné par le bas. A la fin j'en étais complètement couché contre ton torse et tu me mettais des coups de reins espacés et puissants. J'ai jouie comme ça, sur nos torses.
T'as voulu que je te finisse en te suçant. Du coup je m'y suis remis. Mais bon cette fois je l'ai fait comme je le fais d'habitude. Je t'ai aussi doigté. Au début tu t'en es pas particulièrement rendu compte. Je pense que ce n'étais qu'une vague de plaisir parmi d'autres vu que je te suçais. Mais bon quand mon deuxième doigt est rentré t'as sursauté en gémissant. Tu disais qu’on ne t’avait jamais fait quelque chose comme ça et que c'était délicieux, que je devais continuer, que ça allait te faire jouir. Effectivement après tout ça, t'as jouit alors que je te suçais et que trois de mes doigts faisaient des allés et retour en toi.
J'ai avalé ce que je pouvais et j'ai continué à te sucer et à te doigter encore un peu. Ce n’est pas tous les jours qu'on peut doigter un hétéro. Tu m'as dit à ce moment-là :
- C'est ça que ça fait de se faire baiser?
- En encore plus fort.
- Ça fait bien envie. Qu'est-ce que tu as bien jouit tout à l'heure.
- Ça c'est parce que t'es un bon coup, qu'est-ce que ça doit être quand t'es sobre !
- Montre-moi.
- J'ai bien entendu? Tu veux vraiment ça?
- Oui, baise-moi.
Entendre ça m’a fait rebander tout de suite. Du coup j'ai écarté tes jambes et j'ai commencé à te lécher la rosette pour te lubrifier. Dans le même temps je branlais ton sexe qui reprenait du volume d'excitation lui-aussi. Tu as vraiment apprécié quand je te suçais. Tu en gémissais. J'ai continué à t'élargir avec mes doigts. Quand j'ai pu en mettre 4 sans que ça ne te fasse mal, j'ai approché mon gland contre ta rosette. J’ai mis une capote prise dans ton sac. Puis j'ai entré mon gland en toi. Je t'ai pénétré lentement. Tu t'es habitué rapidement et très vite tu gémis fort très fort. Du coup je t'ai baisé dans ce missionnaire. Je pouvais mater ta belle gueule et ton il torse frissonner de plaisir. Nos bourses claquaient dans mes va-et-vient. C'était délicieux. T’étais complétement serré vu que c’était ta première fois. Qu’est-ce que tu as jouit à la fin. T’as éjaculé une seconde fois en en mettant sur ton torse. Quand J’ai jouit aussi, je t’ai léché le torse et tes abdos où coulait ton sperme. C’était tellement bon de se faire prendre par un mec comme toi, alors quand tu m’as dit que tu voulais que je te prenne j’étais au paradis. Juste après t’en pouvais plus mais t’as pas arrêté de répéter combien t’avais aimé te faire prendre comme ça.
On s’est embrassé et caressé encore quelques minutes et on s’est endormi.
Quand je me suis réveillé, tu dormais tellement fort que je me suis levé sans te réveiller, et après quand t’es descendu je me suis demandé comment tu réagirais mais vu que tu ne te souvenais de rien forcément c’est différent.
Et…t’en penses quoi du coup ?
- Je n’en reviens pas. J’en reviens pas qu’on ait couché ensemble et j’en reviens pas que j’ai pu oublier ça, surtout si tu m’as pris. Mais du coup je sais d’où me vient la gêne au niveau du bassin.
- Ah oui effectivement…la gêne c’est normal, au bout d’un moment on la sent moins. La première fois que je me suis fait prendre, c’était très fort, dès que je bougeais je la sentais. J’avais l’impression d’être une grenouille essayant de sauter avec du plomb dans le ventre. Mais c’était tellement bon ce soir-là. J’étais dans le même état que toi hier.
- Il va me falloir du temps pour digérer ça quand.
- C’est normal. Si t’as besoin d’en parler n’hésite pas. Et puis t’inquiète pas je dirai rien à personne. En tout cas, je ne sais pas si ça peut te rassurer, mais t’es sans doute le meilleur hétéro avec qui j’ai pu coucher.

Hugo revu Anaïs à plusieurs reprises. Il revu le viril Thomas aussi. Il recoucha avec les deux et se découvrit un penchant bisexuel qu’il ne soupçonnait pas.