Titre de l'histoire érotique : Ma femme et les autres
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme et les autres
Connaissez vous Mende en Lozère, petite ville où dans le temps les filles étaient pour une partie assez dévergondées. Une jolie vue depuis le Causse. C'est-ce que nous regardons avec ma femme qui désirait connaître les lieux où j'avais sévis. Comme nous fêtons nos 10 ans de mariage, elle a décidé de pendre les commandes pendant nos baises.
Je vous la présente rapidement : brune presque noire, des yeux bleus une poitrine très dure avec des tétons assez gros, ventre plat qui surmonte une petite fourrure soigneusement épilée en cœur, des fesses qui attirent les mains. Ensuite, mais là c'est caché, un tempérament de feu. Elle aime tout ce qui fait jouir : ses doigts, une serviette de bains quant elle arrive à la mettre dans son con bien ouvert qu'elle fait aller rapidement, sans la faire sortir, se contentant de lui faire toucher ses endroits sensibles tous à la fois : le clitoris, l'entrée du sexe et le cul. Quand elle a entré le plus possible de serviette, elle pose dessus ses deux mains pour avoir la force de la faire bouger. Quand elle jouit ainsi elle balance sa tête dans tous les sens. Par contre elle ne m'accepte plus pendant une bonne heure.
C'est elle seule qui a découvert le plaisir avec le pommeau de douche. Elle ne m'en parlait pas. Ce n'est que le lendemain qu'elle mettait au point la meilleure façon de se branler. Elle s'assaillait dans l'angle du bac à douche, les jambes bien ouvertes, avec le jet qu'elle passait d'abord de loin sur toute la chatte, pour enfin trouver la courte distance qui la satisfaisait. C'était un dimanche matin, jour de grasse matinée pour moi. Elle m'appelle pour voir quelque chose. Je crains le pire: une grosse araignée ou un gros insecte. J'entrouvre le rideau, je la vois ainsi installée. J'enlève le pyjama pour la rejoindre. Évidemment ma queue se lève immédiatement. Elle n'arrête pas pour autant, elle continue : elle balance souvent la tête en jouissant. Elle n'arrête pas pour autant. Je lui conseille de passer le jet sur son anus. Elle lève ses jambes : ses genoux touchent sa poitrine ajoutant ainsi un autre plaisir. Elle trouve la bonne distance : elle enlève le jet de cet endroit pour faire durer son plaisir. Comme je bande pas mal, je veux me branler aussi. Elle me demande d'attendre un peu. Elle jouit de son anus. Pour essayer une autre sensation elle pose le jet presque contre son vagin. La puissance du jet la fait encore jouir. Cette fois elle se lève, gardant le jet entre ses mains, elle veut me branler. Elle pose le jet à peu de distance de ma bite, je sens bien quelque chose, mais pas assez puissant. Je prend le jet est en le levant de 50 centimètres au moins cette fois je sens que je vais jouir. Elle reprend le jet, le passe tout le long de ma bite depuis le pubis jusqu'au gland. Elle arrive à me faire jouir : elle regarde les jets de sperme jaillir du méat. Quand je fini de jouir, elle m'embrasse de telle façon qu'elle me fasse encore bander. Nous nous séchons pour aller sur le lit où nous préférons baiser.
Elle a déjà eu sa dose d'orgasme: elle ne m'en demande qu'un seul : nous faisons un 69. Comme souvent je lui mets un doigt dans le cul, en lui suçant le clitoris. En guise d'une seule jouissance je lui en donne trois à la suite. Je jouis dans sa bouche et comme souvent nous partageons nos liquides.
Donc nous sommes à Mende. Je lui montre de loin la chambre où j'ai baisé la première fois, et l'endroit au bord du Lot où j'aimais aller avec mes conquêtes. Comme promis, elle me demande de l'emmener sans ce coin. Au fond il n'a rien de terrible cet endroit, mis à part qu'une fois installé personne ne peut voir ce qui s'y passe. Nous nous couchons sur une couverture. Elle commence par m'embrasser sur la bouche. Nos langues entrent aussitôt en action.
Elle veux que je lui décrive celle qui baisait le mieux. Je me souviens d'une fille de Florac qui disant avoir les seins en forme de poire. Comme je voulais les voir, nous étions venus là. En effet j'arrivais, après les protestations de rigueur à la voir torse nu. En effet ses seins avaient la forme annoncée. Mais de montrer une paire de sein et aller plus bas, il y avait une marge qu'elle ne voulait pas franchir. Je la forçais à peine en passant une main sous sa jupe. Elle se laissait faire jusqu'à ce que j'arrive à sa culotte. Elle ne voulait pas que j'aille plus haut. Tant pis pour elle, j'arrivais tant bien que mal à passer un seul doigt dans la culotte. C'était suffisant pour que je lui caresse le clitoris. Elle restait couchée pour profiter de mon doigt. Ce n'est qu'après cet orgasme qu'elle m'autorisait à aller bien plus loin. Je la déshabillais me mettais également nu.
Cette fois je n'avais pas à lui demander quoi que ce soit. Je lui écartais les cuisses pour lui faire un cunnilingus. Je devais être son premier à lui faire une pareille chose : au début elle me repoussait avant d'accepter ma langue dans sa chatte. Elle se rendait compte enfin qu'elle avait un plaisir bien supérieur à mon doigt. Je pouvais même lui entrer une partie de la langue dans son anus. Elle tenait ma tête de peur que je la quitte. J'arrivais à tous ce que je voulais, même la sodomiser pour sa première fois, elle n'avait que 16 ans à l'époque. Nous nous sommes séparés bien plus tard, alors qu'elle et moi avions des aventures avec d'autres, ce qui ne comptais pas beaucoup. Nous ne baisions ensemble que pour le plaisir. Elle s'est mariée plus tard. Elle doit faire le bonheur de son mari.
En entendant ce que je racontais ma femme passait une main sous sa jupe tout en me disant ce qu'elle se faisait, comme si je ne le savais pas. Je voulais la baiser à cet endroit. Non pas encore: elle ne l'a pas décidé.
- Coupes moi une petite branche.
- Pourquoi faire ?
- J'ai oublié mon gode à la maison.
- Tu veux que je te taille un gode ?
- Oui.
Je cherche une branche qui pourra convenir. Elle me guide, celle là, non l'autre. J'arrive à trouver une branche de noisetier qui lui convient. Je la coupe avec le couteau du casse croûte. Il faut que j'enlève l'écorce, que je taille un arrondi pour ne pas la blesser. Elle suit ma préparation avec attention. Je la lui donne. Aussitôt elle se déshabille pour être à l'aise. Elle se recouche sur la couverture, écarte à nouveau les jambes. Je connais fort bien sa chatte. Lentement elle se baise avec le bout de bois très dur.
- C'est bon de se mettre ce machin dans le con.
- Régales toi bien !!!
- Je ne vais pas m'en passer.
- Tu ne veux pas me sucer ?
- Non pas maintenant, laisse moi jouir comme ça.
Elle y met tout son cœur pour se faire jouir. Je la vois balancer sa tête : elle jouit. Je vois enfin
le moment où elle me prendra dans sa bouche. Elle minaude encore.
- J'aurais aimé être avec ta copine d'avant : j'ai envie d'une femme. C'est ma première fois qu'elle me fait une telle demande. Je ne savais même pas qu'elle aimait les filles. Ce n'est pas ça, son envie consterne mon ex. Elle aurait aimé baiser une seule fois avec cette fille.
- As-tu déjà baisé avec une autre fille ?
- Oui, je devais avoir une quinzaine d'année.
- Et alors c'était bon ?
- Bof, comme ça. Je ne me souviens même pas avoir joui.
- Alors pourquoi cette fille : je ne sais même pas où elle est.
- Dommage, c'est avec elle seule que j'aurais aimé.
- Branles toi en pensant que tu es avec elle.
Le plus fort est qu'elle ferme les yeux, me demande de la décrire encore plus, elle a deux fois sur le clitoris qu'elle vient de mouiller avec sa salive. Je recommence à décrire cette nana, ma femme en profite pour se branler les yeux fermés. Non seulement ses doigts la caresse de plus en plus vite, mais de plus, elle bouge son bas ventre en cadence. Cette fois je n'en peux plus : je me met sur sa poitrine, pose ma bite sur sa bouche. Elle ne fait qu'embrasser le bout. Elle se fait encore jouir. Enfin elle prend ma bite. Je ne sais pas encore pourquoi. Elle se tourne en levrette je vais avoir droit à son cul. Ce n'est pas son intention: elle veut une double pénétration. Elle me demande de lui mette le bout de bois dans l'anus, je dois me mettre sous elle pour la lui mettre dans la moule. J'ai des difficultés pour entrer, pourtant elle est mouillée au maximum en forçant un peu j'arrive à la lui mettre. Quand je suis dedans elle me demande si j'ai vu le bonhomme qui nous regarde depuis un moment sur l'autre rive et qui se branle. Il a une belle queue, j'aimerai qu'il me la mette aussi. Et sans attendre je l'entends dire très fort :
- Venez me baiser aussi avec mon mari dans le con.
- C'est vrai ?
- Bien sur je ne ment jamais en matière de sexe.
J'entends les pas dans l'eau et je vois un type quelconque qui a toujours sa bite dehors. Je me demande d'où elle sort une pareille idée. Quand il est presque sur elle. La demande est simple : enfonce moi le bout de bois dans mon cul, à fond. C'est-ce que fait ce type. Il vient derrière elle comme s'il allait la sodomiser. Elle lui prend la pine pour la mettre juste à coté de la mienne et il enfonce comme moi. Je me trouve avec une bite contre la mienne, et elle en a deux à l'endroit où normalement elle n'en met qu'une seule. Cette fois elle jouit comme une damnée : je jouis, je jouis. Du coup le type jouit aussi suivit pas moi. Elle me demande de lui enlever le morceau de bois de son cul : elle jouit une dernière fois.
Nous rentrons, elle ne porte plus sur elle que sa robe et tient dans sa main le morceau de bois. Souvent elle ouvre sa jupe, écarte les jambes pour placer pour un temps indéterminé cet ersatz de
gode.
Elle le garde précieusement pour s'en servir surtout quand je suis là: elle connaît la suite: une nuit de baise, d'abord avec la serviette et ma bite au cul. Avant de passer par la case gode en bois. Les autres godes sont réservés aux grandes fêtes de sexe. Elle me parle souvent de triple pénétration. Elle aimerai recommencer.
Je vous la présente rapidement : brune presque noire, des yeux bleus une poitrine très dure avec des tétons assez gros, ventre plat qui surmonte une petite fourrure soigneusement épilée en cœur, des fesses qui attirent les mains. Ensuite, mais là c'est caché, un tempérament de feu. Elle aime tout ce qui fait jouir : ses doigts, une serviette de bains quant elle arrive à la mettre dans son con bien ouvert qu'elle fait aller rapidement, sans la faire sortir, se contentant de lui faire toucher ses endroits sensibles tous à la fois : le clitoris, l'entrée du sexe et le cul. Quand elle a entré le plus possible de serviette, elle pose dessus ses deux mains pour avoir la force de la faire bouger. Quand elle jouit ainsi elle balance sa tête dans tous les sens. Par contre elle ne m'accepte plus pendant une bonne heure.
C'est elle seule qui a découvert le plaisir avec le pommeau de douche. Elle ne m'en parlait pas. Ce n'est que le lendemain qu'elle mettait au point la meilleure façon de se branler. Elle s'assaillait dans l'angle du bac à douche, les jambes bien ouvertes, avec le jet qu'elle passait d'abord de loin sur toute la chatte, pour enfin trouver la courte distance qui la satisfaisait. C'était un dimanche matin, jour de grasse matinée pour moi. Elle m'appelle pour voir quelque chose. Je crains le pire: une grosse araignée ou un gros insecte. J'entrouvre le rideau, je la vois ainsi installée. J'enlève le pyjama pour la rejoindre. Évidemment ma queue se lève immédiatement. Elle n'arrête pas pour autant, elle continue : elle balance souvent la tête en jouissant. Elle n'arrête pas pour autant. Je lui conseille de passer le jet sur son anus. Elle lève ses jambes : ses genoux touchent sa poitrine ajoutant ainsi un autre plaisir. Elle trouve la bonne distance : elle enlève le jet de cet endroit pour faire durer son plaisir. Comme je bande pas mal, je veux me branler aussi. Elle me demande d'attendre un peu. Elle jouit de son anus. Pour essayer une autre sensation elle pose le jet presque contre son vagin. La puissance du jet la fait encore jouir. Cette fois elle se lève, gardant le jet entre ses mains, elle veut me branler. Elle pose le jet à peu de distance de ma bite, je sens bien quelque chose, mais pas assez puissant. Je prend le jet est en le levant de 50 centimètres au moins cette fois je sens que je vais jouir. Elle reprend le jet, le passe tout le long de ma bite depuis le pubis jusqu'au gland. Elle arrive à me faire jouir : elle regarde les jets de sperme jaillir du méat. Quand je fini de jouir, elle m'embrasse de telle façon qu'elle me fasse encore bander. Nous nous séchons pour aller sur le lit où nous préférons baiser.
Elle a déjà eu sa dose d'orgasme: elle ne m'en demande qu'un seul : nous faisons un 69. Comme souvent je lui mets un doigt dans le cul, en lui suçant le clitoris. En guise d'une seule jouissance je lui en donne trois à la suite. Je jouis dans sa bouche et comme souvent nous partageons nos liquides.
Donc nous sommes à Mende. Je lui montre de loin la chambre où j'ai baisé la première fois, et l'endroit au bord du Lot où j'aimais aller avec mes conquêtes. Comme promis, elle me demande de l'emmener sans ce coin. Au fond il n'a rien de terrible cet endroit, mis à part qu'une fois installé personne ne peut voir ce qui s'y passe. Nous nous couchons sur une couverture. Elle commence par m'embrasser sur la bouche. Nos langues entrent aussitôt en action.
Elle veux que je lui décrive celle qui baisait le mieux. Je me souviens d'une fille de Florac qui disant avoir les seins en forme de poire. Comme je voulais les voir, nous étions venus là. En effet j'arrivais, après les protestations de rigueur à la voir torse nu. En effet ses seins avaient la forme annoncée. Mais de montrer une paire de sein et aller plus bas, il y avait une marge qu'elle ne voulait pas franchir. Je la forçais à peine en passant une main sous sa jupe. Elle se laissait faire jusqu'à ce que j'arrive à sa culotte. Elle ne voulait pas que j'aille plus haut. Tant pis pour elle, j'arrivais tant bien que mal à passer un seul doigt dans la culotte. C'était suffisant pour que je lui caresse le clitoris. Elle restait couchée pour profiter de mon doigt. Ce n'est qu'après cet orgasme qu'elle m'autorisait à aller bien plus loin. Je la déshabillais me mettais également nu.
Cette fois je n'avais pas à lui demander quoi que ce soit. Je lui écartais les cuisses pour lui faire un cunnilingus. Je devais être son premier à lui faire une pareille chose : au début elle me repoussait avant d'accepter ma langue dans sa chatte. Elle se rendait compte enfin qu'elle avait un plaisir bien supérieur à mon doigt. Je pouvais même lui entrer une partie de la langue dans son anus. Elle tenait ma tête de peur que je la quitte. J'arrivais à tous ce que je voulais, même la sodomiser pour sa première fois, elle n'avait que 16 ans à l'époque. Nous nous sommes séparés bien plus tard, alors qu'elle et moi avions des aventures avec d'autres, ce qui ne comptais pas beaucoup. Nous ne baisions ensemble que pour le plaisir. Elle s'est mariée plus tard. Elle doit faire le bonheur de son mari.
En entendant ce que je racontais ma femme passait une main sous sa jupe tout en me disant ce qu'elle se faisait, comme si je ne le savais pas. Je voulais la baiser à cet endroit. Non pas encore: elle ne l'a pas décidé.
- Coupes moi une petite branche.
- Pourquoi faire ?
- J'ai oublié mon gode à la maison.
- Tu veux que je te taille un gode ?
- Oui.
Je cherche une branche qui pourra convenir. Elle me guide, celle là, non l'autre. J'arrive à trouver une branche de noisetier qui lui convient. Je la coupe avec le couteau du casse croûte. Il faut que j'enlève l'écorce, que je taille un arrondi pour ne pas la blesser. Elle suit ma préparation avec attention. Je la lui donne. Aussitôt elle se déshabille pour être à l'aise. Elle se recouche sur la couverture, écarte à nouveau les jambes. Je connais fort bien sa chatte. Lentement elle se baise avec le bout de bois très dur.
- C'est bon de se mettre ce machin dans le con.
- Régales toi bien !!!
- Je ne vais pas m'en passer.
- Tu ne veux pas me sucer ?
- Non pas maintenant, laisse moi jouir comme ça.
Elle y met tout son cœur pour se faire jouir. Je la vois balancer sa tête : elle jouit. Je vois enfin
le moment où elle me prendra dans sa bouche. Elle minaude encore.
- J'aurais aimé être avec ta copine d'avant : j'ai envie d'une femme. C'est ma première fois qu'elle me fait une telle demande. Je ne savais même pas qu'elle aimait les filles. Ce n'est pas ça, son envie consterne mon ex. Elle aurait aimé baiser une seule fois avec cette fille.
- As-tu déjà baisé avec une autre fille ?
- Oui, je devais avoir une quinzaine d'année.
- Et alors c'était bon ?
- Bof, comme ça. Je ne me souviens même pas avoir joui.
- Alors pourquoi cette fille : je ne sais même pas où elle est.
- Dommage, c'est avec elle seule que j'aurais aimé.
- Branles toi en pensant que tu es avec elle.
Le plus fort est qu'elle ferme les yeux, me demande de la décrire encore plus, elle a deux fois sur le clitoris qu'elle vient de mouiller avec sa salive. Je recommence à décrire cette nana, ma femme en profite pour se branler les yeux fermés. Non seulement ses doigts la caresse de plus en plus vite, mais de plus, elle bouge son bas ventre en cadence. Cette fois je n'en peux plus : je me met sur sa poitrine, pose ma bite sur sa bouche. Elle ne fait qu'embrasser le bout. Elle se fait encore jouir. Enfin elle prend ma bite. Je ne sais pas encore pourquoi. Elle se tourne en levrette je vais avoir droit à son cul. Ce n'est pas son intention: elle veut une double pénétration. Elle me demande de lui mette le bout de bois dans l'anus, je dois me mettre sous elle pour la lui mettre dans la moule. J'ai des difficultés pour entrer, pourtant elle est mouillée au maximum en forçant un peu j'arrive à la lui mettre. Quand je suis dedans elle me demande si j'ai vu le bonhomme qui nous regarde depuis un moment sur l'autre rive et qui se branle. Il a une belle queue, j'aimerai qu'il me la mette aussi. Et sans attendre je l'entends dire très fort :
- Venez me baiser aussi avec mon mari dans le con.
- C'est vrai ?
- Bien sur je ne ment jamais en matière de sexe.
J'entends les pas dans l'eau et je vois un type quelconque qui a toujours sa bite dehors. Je me demande d'où elle sort une pareille idée. Quand il est presque sur elle. La demande est simple : enfonce moi le bout de bois dans mon cul, à fond. C'est-ce que fait ce type. Il vient derrière elle comme s'il allait la sodomiser. Elle lui prend la pine pour la mettre juste à coté de la mienne et il enfonce comme moi. Je me trouve avec une bite contre la mienne, et elle en a deux à l'endroit où normalement elle n'en met qu'une seule. Cette fois elle jouit comme une damnée : je jouis, je jouis. Du coup le type jouit aussi suivit pas moi. Elle me demande de lui enlever le morceau de bois de son cul : elle jouit une dernière fois.
Nous rentrons, elle ne porte plus sur elle que sa robe et tient dans sa main le morceau de bois. Souvent elle ouvre sa jupe, écarte les jambes pour placer pour un temps indéterminé cet ersatz de
gode.
Elle le garde précieusement pour s'en servir surtout quand je suis là: elle connaît la suite: une nuit de baise, d'abord avec la serviette et ma bite au cul. Avant de passer par la case gode en bois. Les autres godes sont réservés aux grandes fêtes de sexe. Elle me parle souvent de triple pénétration. Elle aimerai recommencer.
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