Titre de l'histoire érotique : Ma jeune Collègue (Suite et Fin)
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma jeune Collègue (Suite et Fin)
fin de la 1ere partie :
Valérie : tu vois ma proposition n’était pas si terrible, réfléchi bien, je suis en vacances une semaine, à mon retour tu me diras si tu veux bien faire la sieste avec moi.
Et elle partit en me plantant là.
Je dois avouer que la semaine suivante je pensais très souvent à l'épisode du salon d'écoute, il y avait des moments ou je me disais, tu as de la chance profites de cette jeunette, et à d’autres moments je me disais, tu te rends compte elle pourrait être ta fille tu es un vieux cochon,,,,,,
le lundi suivant j'arrivais de bonne heure, j'avais décidé de lui dire qu'on ne pouvait pas continuer comme ça.
Elle arriva, toute pimpante, le sourire aux lèvres, fit le tour de l'équipe en disant bonjour et un petit mot à chacun elle me garda pour la fin,
Valérie'(en me faisant la bise) : bonjour chef (et un clin d’œil) je ne t'ai pas trop manqué chef ?
Moi : du tout, du tout, aller au boulot tu es en retard (avec un clin d’œil aussi)
Après ma réunion quotidienne avec mon chef, je trouvais le message suivant
Valérie : alors je t'ai manqué
Moi : il faut que l'on parle
Valérie : oui je pense, quand ?
Moi : aujourd'hui
Valérie : ce soir, comme je suis arrivée en retard exprès pour finir en même temps que toi
Moi : ok on se retrouvera au garage, tu es garée au -3 comme d'habitude
Valérie : oui, j'ai envie de ton sexe dans ma bouche, de tes mains sur mon corps
moi : ah non tu ne vas pas, me chercher toute la journée, et puis vu comme tu es habillée, on le voit même pas ton corps
j'avais été un peu méchant, mais c’est vrai qu'elle était mal fagotées, une large chemise fermée jusqu’au col , et qui descendait à mi cuisses, un pantalon large, sans forme et une paire de pataugas,
Valérie : (visiblement en colère) bon puisque c'est comme ça on se parlera ce soir, vieux ringard
Et je n’eus plus de nouvelles de la journée, le soir je ne la vis même pas partir, un peu déçu je fermais la boutique et j'allais chercher ma voiture,
je fus surpris de la trouver, toujours garée à côté de moi, elle me souriait a travers la vitre,
J’allais monter à côté d’elle, elle me fit signe de monter derrière dans ma voiture ,
je montais dans ma voiture, j'étais prêt à m’excuser pour ce matin et à lui dire que nous ne devions pas continuer,
Quand elle sorti de sa voiture, je restais sans voix, elle avait enlevé son pantalon, sa grande chemise était ouverte , et laissait apparaître ses siens libres, la chemise arrivant même pas à mi-cuisse, je voyais la dentelle de ses dim up noirs et son shorty noir aussi, et pour finir des escarpins à talons,
je ne bougeais pas, elle ouvrit la portière, monta, referma, m'enjamba, et colla sa bouche à la mienne pour un baiser fougueux, en une seconde toutes mes résolutions ont volé en éclat,
Mes mains sont passées sous la chemise, j'ai caressé ce corps doux et souple, son dos, ses seins , ses reins, ses fesses, je passais la main dans sa culotte pour lui caresser, la raie jusqu’à son petit trou, notre baiser n'en finissait pas,
doucement je la basculais sur la banquette, mes lèvres quittaient ses lèvres et descendaient dans son cou, mordillaient le lobe de l'oreille, mes mains lui caressaient les seins et ses bras qu'elle avait relevé au-dessus de sa tête, elle soupirait d'aise, maintenant ma bouche est sur ses seins, les bouts sont tendus et s'offrent à ma langue, sous cette caresse, elle se cambre, gémit, son bassin se frotte au mien, comme une invitation à lui faire l'amour, alors je descends encore plus bas, j'embrasse son sexe à travers sa culotte, toute humide, je la lèche, je lui baise l'intérieur des cuisses, et je glisse un doigt sous l'élastique pour lui caresser et pénétrer sa chatte, déjà très chaude, elle pousse un petit cri de surprise et de plaisir, et écarte les cuisses, elle enlève ou plutôt arrache le fin tissu, et me dit baises moi,
je remonte lui faire un bisou, elle me serre dans ses bras pour me retenir, mais je me recule doucement et je repose ma bouche sur son sexe,
Valérie (gémissante) non pas ça je veux que tu me sautes,
Mais je ne l’écoute pas, ma langue, commence à monter et descendre le long de ses grandes lèvres, elle s’arrête sur le vagin, pour le pénétrer et boire un peu de mouille, ressort monte sur le clitoris tout gonflé de plaisir, elle gémit, ma langue accélère, sur le petit bouton de plus en plus dure, Valérie, gémit de plus en plus fort, elle se malaxe les seins, sa tête bascule de gauche à droite, sous ma langue, et deux doigts dans le vagin, je la sens partir dans un orgasme fulgurant, fait de cris et de gémissements, elle referme ses cuisses comme si elle voulait m'étouffer, puis se détend d'un coup, pour ne plus bouger et reprendre son souffle.
Moi : ça va
Valérie (un peu énervée) : oui mais je voulais sentir ton sexe en moi, je suis frustrée, pour quoi tu ne m’as pas couté
Moi : j’avais envie de te lécher, de te rendre, le plaisir que tu m’as donné l’autre jour
Valérie : (en sortant de la voiture, visiblement en colère) donc ce que je veux ça ne compte pas
Moi : (en colère aussi, et surtout encore très excité) attends .
Elle s’arrête me fais face, je descends, lui prend la main, elle cherche à m’échapper, je la rattrape, la colle contre moi,
Valérie (en se débattant) : laisses moi, je dois partir
Je la pousse et la bascule sur le capot d’une voiture, je la tiens fermement d’une main, pendant qu’avec l’autre, je sors mon sec tendu à faire mal. Je relevé la chemise. Elle se débat encore mollement. J’ai une superbe vue, sue sa croupe offerte.
Valérie (en recommençant à se débattre) : non je ne veux plus je n’ai plus envie
Moi (en la pénétrant brutalement) c’est ce que tu voulais tu là.
J’étais planté en elle, bien profond, et je la limais comme un fou, très vite son plaisir monta, elle bougeait le bassin, une de ses mains passa sous son ventre pour se caresser. Plus j’allais fort plus sa main allait vite.
Valérie : tu vas me faire jouir encore ouiiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y défonces moi ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. J’adore ton sexe ta bite ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Moi ; je vais jouir aussi tu es trop bonne, ma cochonne
Valérie (en jouissant) : non non pas dans ma chatte s’il te plait pas dans ma chatte ooooooooooooohhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Et un deuxième orgasme fulgurant la submergea, elle se cambra te retomba sur le capot, au bord de l’explosion, je sortis précipitamment de son sexe et sans prévenir je la sodomisais d’un coup sec. A peine dans ses reins je giclais de longs traits de sperme sur les parois de son intimité, en la maintenant collée à la voiture, et en rallant très fort, je tombais sur elle épuisé.
Elle reprit ses esprits la première,
Valérie : tu me laisses me relever, tu es lourd.
Moi : au pardon mais c’était si fort, si bon, je suis vidé
Valérie : ce sont tes couilles que tu as vidées, et tu n’étais pas obligé, de le faire dans mon cul.
Moi : (en me rhabillant) : tu m’as dit pas dans ma chatte, je n’allais pas éjaculer sur ta belle chemise
Valérie : (en me faisant face et en me prenant par le cou). Tu es un beau salaud, mais j’ai adoré, on recommence quand ?
Et elle m’embrassa tendrement.
Nous avons été amants pendant 4 mois, puis elle a déménagé pour suivre son mari. Pendant ses 4 mois nous avons fait l’amour chez elle dans le salon alors que ses enfants dormaient à l’étage. Je l’ai doigté et elle m’a sucé au cinéma, je l’ai même doigté un soir en rentrant d’une fête, ou nous étions allés avec nos conjoints respectifs. Au retour vers 4h du matin, nous étions avec leur voiture, son mari conduisait. Ma femme était montée devant, car elle est malade en voiture (ne plus elle avait un peu abusé, et la route était sinueuse). Je me retrouvais donc derrière avec Valérie.
Nous avions une centaine de kilomètres à faire dont une soixantaine sur des petites routes de campagne à travers bois. Très vite ma femme s’endormit.
J’attendis un peu, Valérie somnolait à ma droite, légèrement de côté, une jambe repliée sur la banquette, ce qui me laissait entrevoir sa culotte. Son mari très attentif à sa conduite, rapide mais sure, pensais que nous dormions, et comme j’étais derrière lui il ne pouvait me voir même dans le rétroviseur, je posais doucement ma main sur sa cuisse, que je caressais lentement. Elle ouvrit les yeux en grand, surprise par mon audace. Essaya de me repousser, mais je lui fis chut avec mon doigt. Elle ferma les yeux et fit semblant de dormir. J’avais gagné, ma main remonta sous la robe courte, un doigt passa sous l’élastique de la culotte. Pendant que je lui masturbais le clitoris, mon pouce la pénétrait. Très vite je sentis son sexe s’humidifier. Je la regardais elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir, sous mes caresses. Puis tous à coup elle jouit, en ouvrant les yeux en se pinçant les lèvres, en plaquant sa main sur la mienne, et en serrant les cuisses, pour garder mes doigts sur et dans sa chatte.
La fin du voyage se fit sans encombre, son mari conduisait vraiment très bien
Valérie : tu vois ma proposition n’était pas si terrible, réfléchi bien, je suis en vacances une semaine, à mon retour tu me diras si tu veux bien faire la sieste avec moi.
Et elle partit en me plantant là.
Je dois avouer que la semaine suivante je pensais très souvent à l'épisode du salon d'écoute, il y avait des moments ou je me disais, tu as de la chance profites de cette jeunette, et à d’autres moments je me disais, tu te rends compte elle pourrait être ta fille tu es un vieux cochon,,,,,,
le lundi suivant j'arrivais de bonne heure, j'avais décidé de lui dire qu'on ne pouvait pas continuer comme ça.
Elle arriva, toute pimpante, le sourire aux lèvres, fit le tour de l'équipe en disant bonjour et un petit mot à chacun elle me garda pour la fin,
Valérie'(en me faisant la bise) : bonjour chef (et un clin d’œil) je ne t'ai pas trop manqué chef ?
Moi : du tout, du tout, aller au boulot tu es en retard (avec un clin d’œil aussi)
Après ma réunion quotidienne avec mon chef, je trouvais le message suivant
Valérie : alors je t'ai manqué
Moi : il faut que l'on parle
Valérie : oui je pense, quand ?
Moi : aujourd'hui
Valérie : ce soir, comme je suis arrivée en retard exprès pour finir en même temps que toi
Moi : ok on se retrouvera au garage, tu es garée au -3 comme d'habitude
Valérie : oui, j'ai envie de ton sexe dans ma bouche, de tes mains sur mon corps
moi : ah non tu ne vas pas, me chercher toute la journée, et puis vu comme tu es habillée, on le voit même pas ton corps
j'avais été un peu méchant, mais c’est vrai qu'elle était mal fagotées, une large chemise fermée jusqu’au col , et qui descendait à mi cuisses, un pantalon large, sans forme et une paire de pataugas,
Valérie : (visiblement en colère) bon puisque c'est comme ça on se parlera ce soir, vieux ringard
Et je n’eus plus de nouvelles de la journée, le soir je ne la vis même pas partir, un peu déçu je fermais la boutique et j'allais chercher ma voiture,
je fus surpris de la trouver, toujours garée à côté de moi, elle me souriait a travers la vitre,
J’allais monter à côté d’elle, elle me fit signe de monter derrière dans ma voiture ,
je montais dans ma voiture, j'étais prêt à m’excuser pour ce matin et à lui dire que nous ne devions pas continuer,
Quand elle sorti de sa voiture, je restais sans voix, elle avait enlevé son pantalon, sa grande chemise était ouverte , et laissait apparaître ses siens libres, la chemise arrivant même pas à mi-cuisse, je voyais la dentelle de ses dim up noirs et son shorty noir aussi, et pour finir des escarpins à talons,
je ne bougeais pas, elle ouvrit la portière, monta, referma, m'enjamba, et colla sa bouche à la mienne pour un baiser fougueux, en une seconde toutes mes résolutions ont volé en éclat,
Mes mains sont passées sous la chemise, j'ai caressé ce corps doux et souple, son dos, ses seins , ses reins, ses fesses, je passais la main dans sa culotte pour lui caresser, la raie jusqu’à son petit trou, notre baiser n'en finissait pas,
doucement je la basculais sur la banquette, mes lèvres quittaient ses lèvres et descendaient dans son cou, mordillaient le lobe de l'oreille, mes mains lui caressaient les seins et ses bras qu'elle avait relevé au-dessus de sa tête, elle soupirait d'aise, maintenant ma bouche est sur ses seins, les bouts sont tendus et s'offrent à ma langue, sous cette caresse, elle se cambre, gémit, son bassin se frotte au mien, comme une invitation à lui faire l'amour, alors je descends encore plus bas, j'embrasse son sexe à travers sa culotte, toute humide, je la lèche, je lui baise l'intérieur des cuisses, et je glisse un doigt sous l'élastique pour lui caresser et pénétrer sa chatte, déjà très chaude, elle pousse un petit cri de surprise et de plaisir, et écarte les cuisses, elle enlève ou plutôt arrache le fin tissu, et me dit baises moi,
je remonte lui faire un bisou, elle me serre dans ses bras pour me retenir, mais je me recule doucement et je repose ma bouche sur son sexe,
Valérie (gémissante) non pas ça je veux que tu me sautes,
Mais je ne l’écoute pas, ma langue, commence à monter et descendre le long de ses grandes lèvres, elle s’arrête sur le vagin, pour le pénétrer et boire un peu de mouille, ressort monte sur le clitoris tout gonflé de plaisir, elle gémit, ma langue accélère, sur le petit bouton de plus en plus dure, Valérie, gémit de plus en plus fort, elle se malaxe les seins, sa tête bascule de gauche à droite, sous ma langue, et deux doigts dans le vagin, je la sens partir dans un orgasme fulgurant, fait de cris et de gémissements, elle referme ses cuisses comme si elle voulait m'étouffer, puis se détend d'un coup, pour ne plus bouger et reprendre son souffle.
Moi : ça va
Valérie (un peu énervée) : oui mais je voulais sentir ton sexe en moi, je suis frustrée, pour quoi tu ne m’as pas couté
Moi : j’avais envie de te lécher, de te rendre, le plaisir que tu m’as donné l’autre jour
Valérie : (en sortant de la voiture, visiblement en colère) donc ce que je veux ça ne compte pas
Moi : (en colère aussi, et surtout encore très excité) attends .
Elle s’arrête me fais face, je descends, lui prend la main, elle cherche à m’échapper, je la rattrape, la colle contre moi,
Valérie (en se débattant) : laisses moi, je dois partir
Je la pousse et la bascule sur le capot d’une voiture, je la tiens fermement d’une main, pendant qu’avec l’autre, je sors mon sec tendu à faire mal. Je relevé la chemise. Elle se débat encore mollement. J’ai une superbe vue, sue sa croupe offerte.
Valérie (en recommençant à se débattre) : non je ne veux plus je n’ai plus envie
Moi (en la pénétrant brutalement) c’est ce que tu voulais tu là.
J’étais planté en elle, bien profond, et je la limais comme un fou, très vite son plaisir monta, elle bougeait le bassin, une de ses mains passa sous son ventre pour se caresser. Plus j’allais fort plus sa main allait vite.
Valérie : tu vas me faire jouir encore ouiiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y défonces moi ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. J’adore ton sexe ta bite ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Moi ; je vais jouir aussi tu es trop bonne, ma cochonne
Valérie (en jouissant) : non non pas dans ma chatte s’il te plait pas dans ma chatte ooooooooooooohhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Et un deuxième orgasme fulgurant la submergea, elle se cambra te retomba sur le capot, au bord de l’explosion, je sortis précipitamment de son sexe et sans prévenir je la sodomisais d’un coup sec. A peine dans ses reins je giclais de longs traits de sperme sur les parois de son intimité, en la maintenant collée à la voiture, et en rallant très fort, je tombais sur elle épuisé.
Elle reprit ses esprits la première,
Valérie : tu me laisses me relever, tu es lourd.
Moi : au pardon mais c’était si fort, si bon, je suis vidé
Valérie : ce sont tes couilles que tu as vidées, et tu n’étais pas obligé, de le faire dans mon cul.
Moi : (en me rhabillant) : tu m’as dit pas dans ma chatte, je n’allais pas éjaculer sur ta belle chemise
Valérie : (en me faisant face et en me prenant par le cou). Tu es un beau salaud, mais j’ai adoré, on recommence quand ?
Et elle m’embrassa tendrement.
Nous avons été amants pendant 4 mois, puis elle a déménagé pour suivre son mari. Pendant ses 4 mois nous avons fait l’amour chez elle dans le salon alors que ses enfants dormaient à l’étage. Je l’ai doigté et elle m’a sucé au cinéma, je l’ai même doigté un soir en rentrant d’une fête, ou nous étions allés avec nos conjoints respectifs. Au retour vers 4h du matin, nous étions avec leur voiture, son mari conduisait. Ma femme était montée devant, car elle est malade en voiture (ne plus elle avait un peu abusé, et la route était sinueuse). Je me retrouvais donc derrière avec Valérie.
Nous avions une centaine de kilomètres à faire dont une soixantaine sur des petites routes de campagne à travers bois. Très vite ma femme s’endormit.
J’attendis un peu, Valérie somnolait à ma droite, légèrement de côté, une jambe repliée sur la banquette, ce qui me laissait entrevoir sa culotte. Son mari très attentif à sa conduite, rapide mais sure, pensais que nous dormions, et comme j’étais derrière lui il ne pouvait me voir même dans le rétroviseur, je posais doucement ma main sur sa cuisse, que je caressais lentement. Elle ouvrit les yeux en grand, surprise par mon audace. Essaya de me repousser, mais je lui fis chut avec mon doigt. Elle ferma les yeux et fit semblant de dormir. J’avais gagné, ma main remonta sous la robe courte, un doigt passa sous l’élastique de la culotte. Pendant que je lui masturbais le clitoris, mon pouce la pénétrait. Très vite je sentis son sexe s’humidifier. Je la regardais elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir, sous mes caresses. Puis tous à coup elle jouit, en ouvrant les yeux en se pinçant les lèvres, en plaquant sa main sur la mienne, et en serrant les cuisses, pour garder mes doigts sur et dans sa chatte.
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