Titre de l'histoire érotique : Ma Jeune VOISINE
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Ma Jeune VOISINE
J’ai 55 ans, marié à une très jolie femme, 2 fils de 23 et 19 ans. Depuis 12 ans nous habitons dans une petite résidence, ou nous connaissons presque tout le monde, surtout les jeunes qui ont grandi avec nos fils.
Parmi ces jeunes il y a Alexandra, qui a aujourd’hui 19 ans mais que je connais depuis qu’elle a 7 ans. C’était une petite fille blonde, un peu maigre très garçon manqué. Au fil des années le sport (athlétisme) et la nature faisant bien les choses, elle est devenue une très jolie jeune femme, visage fin avec de grands yeux bleus, corps souple et ferme. Jambes galbées et musclées.
Elle vient souvent à la maison, voir mon fils, je la croise en appréciant ses courbes.
Je suis motard (1200 fjr). En mai 2016 le père d’Alexandra vient me voir, et me dit que sa fille souhaite s’acheter, un scooter, qu’elle n’a jamais fait de 2 roues motorisés, qu’il aimerait bien (ainsi que sa femme) que je l’emmène faire un tour (cool) pour qu’elle se rende compte de la dangerosité de la chose. Il me confirme aussi l’accord de sa fille J’accepte volontiers
Début juin, ayant quelques jours de vacances, je propose, si elle est disponible le mardi.
Mardi matin 10h, je la retrouve devant les garages, je l’équipe, tout en lui disant qu’elle est ravissante, en jean baskets, avec un tee-shirt moulant. En fermant la veste de moto, prêtée par ma femme, je ne peux m’empêcher de frôler légèrement sa poitrine.
Après quelques consignes nous voilà parti. En ville elle laisse un espace entre nous. Lors d’un arrêt je lui demande, si tout va bien, elle me dit que oui qu’elle se sent en sécurité, qu’elle ne se tient même pas. Au feu suivant je freine volontairement brusquement, et elle vient s’écraser contre mon dos. Elle s’excuse, mais je lui dis qu’il ne faut jamais relâcher son attention et qu’il serait préférable, qu’elle se tienne soit aux poignées soit à moi.
Nous avons convenu d’un parcours mixte (ville, route sinueuse, autoroute, nationale). En prenant l’autoroute, je lui redis qu’elle n’hésite pas à se coller à moi, si elle a trop d’air et qu’elle éprouve une crainte avec la vitesse. Quelques minutes après le péage, à 140 kmh, je sens ses mains passer devant moi, et son corps se coller à mon dos. Une fois sur les petites routes sinueuses, elle me tient encore plus fort et je sens son pubis s’écraser sur le bas de mes reins, j’ai l’impression qu’elle se frotte exprès.
Nous sommes rentrés depuis 2 jours, j’ai vu ses parents, ils vont sans doute lui acheter son scooter. Elle est ravie elle dit que c’est grâce à moi.
il est 9h, je me lève à peine, je viens de prendre ma douche, quelqu’un sonne, j’enfile rapidement un pantalon de survêtement, et je vais ouvrir. Je tombe sur Alexandra, elle est superbe dans sa robe en jean sans manche, mais très moulante, qui s’enlève en faisant glisser la fermeture éclair située sur le devant. Elle a l’air surprise
moi : bonjour
Alex : bonjour, Nico n’est pas là ?
Moi : eh non ma jolie, il est parti faire du sport avec ses potes, il sera là vrs12h
Alex (l’air déçue) : ah je venais lui faire une surprise j’ai apporté des croissants
Moi (juste avant qu’elle reparte) : il ne t’a rien dit ? allé rentre on va prendre le petit déjeuner tous les deux.
Elle hésite, puis passe devant moi doucement. J’ai le plaisir de sentir son doux parfum.
Nous nous installons sur la terrasse, il fait bon, je suis toujours torse nu, et nu sous mon pantalon, elle est assise en face de moi, sur le canapé du salon de jardin. Sa robe courte remonte haut sur ses cuisses musclées.
Nous discutons à bâton rompu, elle est souriante, nature, j’ai envie de la câliner, de la serrer dans mes bras. Mon regard à de plus en de mal à se détacher de ses cuisses, qui parfois s’ouvrent légèrement et laissent, entrevoir la couleur blanche de sa culotte.
Tout à coup elle regarde sa montre, se lève en disant, qu’elle doit partir, que je dois avoir des choses à faire. Je la rattrape dans le salon
Moi : non reste, je n’ai rien à faire de spécial, et toi ?
Je suis tout près d’elle, si près qu’elle doit, sentir contre sa hanche mon sexe qui commence à durcir.
Alex (en reculant) : je crois que vous allez faire une bêtise
Moi : mais non, nous n’allons pas faire de bêtise, tu es si jolie, et je l’embrasse sur la joue, puis dans le cou. Elle ne bouge plus, ne dit rien la tête baissée.
Moi : laisse-toi allé, tu vas voir ça va être délicieux. Je lui mordille le lobe de l’oreille. Elle ne bouge toujours pas
Je m’enhardis, très délicatement avec la main droite, je commence à faire glisser l’ouverture de la robe, centimètres par centimètres, toujours en lui parlant, et en lui faisant des bisous dans le cou. La robe est ouverte.
Elle sursaute quand mes doigts effleurent son ventre. Je m’aperçois que ses seins sont libres. Je me penche pour les embrasser.
Elle recule en me disant d’une toute petite voix : non arrêtez SVP, pas ça en reculant elle bute contre un fauteuil, elle tombe dedans. La robe c’est ouverte, elle a les bras et les jambes écartées. Avant qu’elle se reprenne, je me mets à genoux devant elle, et lui embrasse les cuisses, qu’elle a refermé rapidement. J’essaie d’insinuer ma tête entre ses jambes, mes mains remontent pour lui empoigner les fesses.
La tête en arrière, elle tente de me repousser en appuyant sur mes épaules, elle force, je résiste, ramène mes bras, passe mes mains entre ses genoux les écartent, et plonge sur son sexe.
Ma bouche se pose sur sa chatte, juste séparée par le léger tissu de sa culotte blanche en coton, j’appuie ma langue, lèche, mes mains remontent sur ses seins, que je palpe. La pression sur mes épaules se fait de moins ne moins forte.
Alex (la voix grave et en soupirant) : pourquoi vous me faites ça ?
Moi : laisses toi aller tu vas adorer,
Je lui embrasse l’intérieur des cuisses, lui remonte les jambes, passe mes mains sous ses fesses, et commence à faire glisser doucement sa culotte.
En disant non, elle soulève légèrement le bassin pour me faciliter la tâche. Je laisse retomber ses jambes. Me relève, l’attire vers moi en lui prenant les épaules, je fais glisser la robe, elle ne bouge pas, je dépose un baiser sur ses lèvres, nos langues se frôlent, je descends en l’embrassant vers son cou, je gobe ses pointes de seins tout dure d’envie, je les suce, les mordille. Elle soupir de plaisir, me caresse les cheveux. Elle se cambre, comme une invitation, tout en continuant à la butiner, ma main descend sur son ventre, elle se contracte, puis sur son sexe, elle se mord les lèvres la tête en arrière les yeux fermés.
Mes doigts, effleurent ses lèvres humides, jusqu’à son petit trou, remontent, se font plus pressants.
La main sur son sexe, je me redresse pour l’embrasser, nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent nos salives se mélangent, elle se colle contre moi et me serrant dans ses bras. Elle pousse un petit cri, et me serre encore plus fort, quand mon pousse pénètre son vagin.
Nous restons ainsi quelques instants, puis je la repousse, m’écarte , lui écarte les jambes, et prend possession de son sexe avec ma bouche.
Ma langue monte et descend, écarte ses grandes lèvres, pénètrent son vagin trempé pour revenir sur son clitoris, qu’elle m’offre et écartant avec ses doigts le petit capuchon. Je le gobe avec mes lèvres et ma langue le lèche lentement. Très vite son plaisir monte, elle respire de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses mains malaxent ses seins, et dans un dernier spasme de jouissance, elle resserre, ses cuisses autour de ma tête, dans un râle rauque et long.
Je ne bouge pas, en attendant qu’elle reprenne ses esprits, je récupère avec ma langue, la mouille qui coule de sa chatte.
Elle desserre son étreinte, me tire doucement les cheveux, pour que je remonte à sa hauteur. M’embrasse délicatement, ses mains glissent le long de mon corps, font tomber mon pantalon. Mon sexe tendu à se rompre apparaît, elle le branle légèrement, toujours en m’embrassant. Puis elle s’arrête, se retourne, s’appuie sur le dossier du fauteuil, cambre les reins et me dit baise moi fort.
Sans me faire prier, je me relève, la pénètre, son sexe est chaud et étroit, je m’enfonce jusqu’au bout, je lui prends les hanches, et je commence les va et vient lents et réguliers.
Alex : baise moi fort et vite vite vite
Alors j’accélère, je vais de plus en plus vite, on entend mes couilles qui tapent ses fesses, et le clapotis de ma bite dans son vagin trempé.
Tres vite je lui dis que je vais jouir,
Alex (au bord l’rogasme) : vas y vas y jouit, défonce moi lé chatte jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. J’adoooooorrrre
Ne pouvant plus tenir j’explose, libérant de long jets de sperme dans son sexe, en me couchant sur elle et en lui prenant les seins à pleines mains.
Nous ne bougeons plus, nous sommes toujours l’un dans l’autre, nous sommes en sueur , elle à la tête appuyée sur le dossier du fauteuil
Alex (d’une toute petite voix) : attention je sens que ça coule tu m’en as tellement mis.
Je me retire doucement, et ma langue vient la lécher et récupérer la mouille et le sperme qui coule de sa petite chatte encore toute gonflée de plaisir.
Alex en me voyant fait une grimace de dégout, mais se laisse faire. Puis pour lui montrer que ce n’est pas salle, ni mauvais je lui roule une pelle.
Alex : ce n’est pas bien ce qu’on a fait, mais j’ai adoré.
Moi : je suis désolé mais tu es trop attirante, et puis tu en avais un peu envie. L’autre jour en moto, quand tu te frottais contre moi, à quoi tu pensais
Alex : tu as senti, j’étais bien, je me suis faite mouiller en espérant que tu t’arrêtes dans un coin tranquille pour te faire ça.
Et elle se met à croupi devant moi et gobe mon sexe, plus très vaillant. Mais en quelques secondes je reprends de la dureté, elle me suce comme experte, en même temps elle se masturbe. Très vite elle me mène à la jouissance, je la préviens elle me répond
Vaji n’ai pas peur, j’avale tout. Alors je me laisse aller, je ferme les yeux. Je jouis dans sa gorge, sa langue me nettoie, elle se relève, m’embrasse goulument en me disant on est quitte.
Elle a remis juste sa robe, et elle est partie sans rien dire.
Parmi ces jeunes il y a Alexandra, qui a aujourd’hui 19 ans mais que je connais depuis qu’elle a 7 ans. C’était une petite fille blonde, un peu maigre très garçon manqué. Au fil des années le sport (athlétisme) et la nature faisant bien les choses, elle est devenue une très jolie jeune femme, visage fin avec de grands yeux bleus, corps souple et ferme. Jambes galbées et musclées.
Elle vient souvent à la maison, voir mon fils, je la croise en appréciant ses courbes.
Je suis motard (1200 fjr). En mai 2016 le père d’Alexandra vient me voir, et me dit que sa fille souhaite s’acheter, un scooter, qu’elle n’a jamais fait de 2 roues motorisés, qu’il aimerait bien (ainsi que sa femme) que je l’emmène faire un tour (cool) pour qu’elle se rende compte de la dangerosité de la chose. Il me confirme aussi l’accord de sa fille J’accepte volontiers
Début juin, ayant quelques jours de vacances, je propose, si elle est disponible le mardi.
Mardi matin 10h, je la retrouve devant les garages, je l’équipe, tout en lui disant qu’elle est ravissante, en jean baskets, avec un tee-shirt moulant. En fermant la veste de moto, prêtée par ma femme, je ne peux m’empêcher de frôler légèrement sa poitrine.
Après quelques consignes nous voilà parti. En ville elle laisse un espace entre nous. Lors d’un arrêt je lui demande, si tout va bien, elle me dit que oui qu’elle se sent en sécurité, qu’elle ne se tient même pas. Au feu suivant je freine volontairement brusquement, et elle vient s’écraser contre mon dos. Elle s’excuse, mais je lui dis qu’il ne faut jamais relâcher son attention et qu’il serait préférable, qu’elle se tienne soit aux poignées soit à moi.
Nous avons convenu d’un parcours mixte (ville, route sinueuse, autoroute, nationale). En prenant l’autoroute, je lui redis qu’elle n’hésite pas à se coller à moi, si elle a trop d’air et qu’elle éprouve une crainte avec la vitesse. Quelques minutes après le péage, à 140 kmh, je sens ses mains passer devant moi, et son corps se coller à mon dos. Une fois sur les petites routes sinueuses, elle me tient encore plus fort et je sens son pubis s’écraser sur le bas de mes reins, j’ai l’impression qu’elle se frotte exprès.
Nous sommes rentrés depuis 2 jours, j’ai vu ses parents, ils vont sans doute lui acheter son scooter. Elle est ravie elle dit que c’est grâce à moi.
il est 9h, je me lève à peine, je viens de prendre ma douche, quelqu’un sonne, j’enfile rapidement un pantalon de survêtement, et je vais ouvrir. Je tombe sur Alexandra, elle est superbe dans sa robe en jean sans manche, mais très moulante, qui s’enlève en faisant glisser la fermeture éclair située sur le devant. Elle a l’air surprise
moi : bonjour
Alex : bonjour, Nico n’est pas là ?
Moi : eh non ma jolie, il est parti faire du sport avec ses potes, il sera là vrs12h
Alex (l’air déçue) : ah je venais lui faire une surprise j’ai apporté des croissants
Moi (juste avant qu’elle reparte) : il ne t’a rien dit ? allé rentre on va prendre le petit déjeuner tous les deux.
Elle hésite, puis passe devant moi doucement. J’ai le plaisir de sentir son doux parfum.
Nous nous installons sur la terrasse, il fait bon, je suis toujours torse nu, et nu sous mon pantalon, elle est assise en face de moi, sur le canapé du salon de jardin. Sa robe courte remonte haut sur ses cuisses musclées.
Nous discutons à bâton rompu, elle est souriante, nature, j’ai envie de la câliner, de la serrer dans mes bras. Mon regard à de plus en de mal à se détacher de ses cuisses, qui parfois s’ouvrent légèrement et laissent, entrevoir la couleur blanche de sa culotte.
Tout à coup elle regarde sa montre, se lève en disant, qu’elle doit partir, que je dois avoir des choses à faire. Je la rattrape dans le salon
Moi : non reste, je n’ai rien à faire de spécial, et toi ?
Je suis tout près d’elle, si près qu’elle doit, sentir contre sa hanche mon sexe qui commence à durcir.
Alex (en reculant) : je crois que vous allez faire une bêtise
Moi : mais non, nous n’allons pas faire de bêtise, tu es si jolie, et je l’embrasse sur la joue, puis dans le cou. Elle ne bouge plus, ne dit rien la tête baissée.
Moi : laisse-toi allé, tu vas voir ça va être délicieux. Je lui mordille le lobe de l’oreille. Elle ne bouge toujours pas
Je m’enhardis, très délicatement avec la main droite, je commence à faire glisser l’ouverture de la robe, centimètres par centimètres, toujours en lui parlant, et en lui faisant des bisous dans le cou. La robe est ouverte.
Elle sursaute quand mes doigts effleurent son ventre. Je m’aperçois que ses seins sont libres. Je me penche pour les embrasser.
Elle recule en me disant d’une toute petite voix : non arrêtez SVP, pas ça en reculant elle bute contre un fauteuil, elle tombe dedans. La robe c’est ouverte, elle a les bras et les jambes écartées. Avant qu’elle se reprenne, je me mets à genoux devant elle, et lui embrasse les cuisses, qu’elle a refermé rapidement. J’essaie d’insinuer ma tête entre ses jambes, mes mains remontent pour lui empoigner les fesses.
La tête en arrière, elle tente de me repousser en appuyant sur mes épaules, elle force, je résiste, ramène mes bras, passe mes mains entre ses genoux les écartent, et plonge sur son sexe.
Ma bouche se pose sur sa chatte, juste séparée par le léger tissu de sa culotte blanche en coton, j’appuie ma langue, lèche, mes mains remontent sur ses seins, que je palpe. La pression sur mes épaules se fait de moins ne moins forte.
Alex (la voix grave et en soupirant) : pourquoi vous me faites ça ?
Moi : laisses toi aller tu vas adorer,
Je lui embrasse l’intérieur des cuisses, lui remonte les jambes, passe mes mains sous ses fesses, et commence à faire glisser doucement sa culotte.
En disant non, elle soulève légèrement le bassin pour me faciliter la tâche. Je laisse retomber ses jambes. Me relève, l’attire vers moi en lui prenant les épaules, je fais glisser la robe, elle ne bouge pas, je dépose un baiser sur ses lèvres, nos langues se frôlent, je descends en l’embrassant vers son cou, je gobe ses pointes de seins tout dure d’envie, je les suce, les mordille. Elle soupir de plaisir, me caresse les cheveux. Elle se cambre, comme une invitation, tout en continuant à la butiner, ma main descend sur son ventre, elle se contracte, puis sur son sexe, elle se mord les lèvres la tête en arrière les yeux fermés.
Mes doigts, effleurent ses lèvres humides, jusqu’à son petit trou, remontent, se font plus pressants.
La main sur son sexe, je me redresse pour l’embrasser, nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent nos salives se mélangent, elle se colle contre moi et me serrant dans ses bras. Elle pousse un petit cri, et me serre encore plus fort, quand mon pousse pénètre son vagin.
Nous restons ainsi quelques instants, puis je la repousse, m’écarte , lui écarte les jambes, et prend possession de son sexe avec ma bouche.
Ma langue monte et descend, écarte ses grandes lèvres, pénètrent son vagin trempé pour revenir sur son clitoris, qu’elle m’offre et écartant avec ses doigts le petit capuchon. Je le gobe avec mes lèvres et ma langue le lèche lentement. Très vite son plaisir monte, elle respire de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses mains malaxent ses seins, et dans un dernier spasme de jouissance, elle resserre, ses cuisses autour de ma tête, dans un râle rauque et long.
Je ne bouge pas, en attendant qu’elle reprenne ses esprits, je récupère avec ma langue, la mouille qui coule de sa chatte.
Elle desserre son étreinte, me tire doucement les cheveux, pour que je remonte à sa hauteur. M’embrasse délicatement, ses mains glissent le long de mon corps, font tomber mon pantalon. Mon sexe tendu à se rompre apparaît, elle le branle légèrement, toujours en m’embrassant. Puis elle s’arrête, se retourne, s’appuie sur le dossier du fauteuil, cambre les reins et me dit baise moi fort.
Sans me faire prier, je me relève, la pénètre, son sexe est chaud et étroit, je m’enfonce jusqu’au bout, je lui prends les hanches, et je commence les va et vient lents et réguliers.
Alex : baise moi fort et vite vite vite
Alors j’accélère, je vais de plus en plus vite, on entend mes couilles qui tapent ses fesses, et le clapotis de ma bite dans son vagin trempé.
Tres vite je lui dis que je vais jouir,
Alex (au bord l’rogasme) : vas y vas y jouit, défonce moi lé chatte jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. J’adoooooorrrre
Ne pouvant plus tenir j’explose, libérant de long jets de sperme dans son sexe, en me couchant sur elle et en lui prenant les seins à pleines mains.
Nous ne bougeons plus, nous sommes toujours l’un dans l’autre, nous sommes en sueur , elle à la tête appuyée sur le dossier du fauteuil
Alex (d’une toute petite voix) : attention je sens que ça coule tu m’en as tellement mis.
Je me retire doucement, et ma langue vient la lécher et récupérer la mouille et le sperme qui coule de sa petite chatte encore toute gonflée de plaisir.
Alex en me voyant fait une grimace de dégout, mais se laisse faire. Puis pour lui montrer que ce n’est pas salle, ni mauvais je lui roule une pelle.
Alex : ce n’est pas bien ce qu’on a fait, mais j’ai adoré.
Moi : je suis désolé mais tu es trop attirante, et puis tu en avais un peu envie. L’autre jour en moto, quand tu te frottais contre moi, à quoi tu pensais
Alex : tu as senti, j’étais bien, je me suis faite mouiller en espérant que tu t’arrêtes dans un coin tranquille pour te faire ça.
Et elle se met à croupi devant moi et gobe mon sexe, plus très vaillant. Mais en quelques secondes je reprends de la dureté, elle me suce comme experte, en même temps elle se masturbe. Très vite elle me mène à la jouissance, je la préviens elle me répond
Vaji n’ai pas peur, j’avale tout. Alors je me laisse aller, je ferme les yeux. Je jouis dans sa gorge, sa langue me nettoie, elle se relève, m’embrasse goulument en me disant on est quitte.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
une bien belle aventure
J'adote
c est bon la suite
très bon; j'aime !
Nature et vrai