Titre de l'histoire érotique : Mon premier homme - histoire érotique

Je m’appelle Alain j’ai 52 ans (168cm 70kg poivre et sel), marié, depuis 20 ans, je suis heureux en couple, malgré la monotonie qui s’est installée dans nos jeux sexuels.
Il y a 2 ans, j’ai soudain eu envie de sucer un homme en regardant ma femme me faire une fellation. Je me suis dit, ça ne va pas tu deviens PD ou quoi ? mais plus le temps passait plus mon envie grandissait, et plus je voulais réaliser mon fantasme.
Je ne savais pas trop comment faire, chercher sur internet ? ou fréquenter des endroits gays. Je pris la deuxième solution, je cherchais sur le web des lieux de rencontre sur Lyon. Je choisi un bar recommandé par un journal local sérieux.
Un soir d’hiver, je rentrais dans le bar vers 19h, il y avait une ambiance sympa et décontractée, des jeunes et des moins jeunes, des hommes et des femmes, je fus agréablement surpris. Je me dirigeais vers le zinc, m’assis sur un tabouret et commandait un morito. Le serveur un jeune mec sympa et avenant, commença à me faire la conversation en me disant qu’il ne m’avait jamais vu, il me dit que si je cherchais l’aventure j’avais choisi le bon endroit (avec in clin d’œil. Pendant 30 minutes environ, je fus abordé par plusieurs hommes, mais je refusais leurs propositions, je savais exactement ce que je cherchais. Je m’absentais quelques minutes, et quand je revins, un homme d’environ 45 ans, ma taille, était assis sur le tabouret juste à côté de moi. Je le saluais et la conversation s’engagea. Il s’appelait Philippe, il vivait seul après avoir été marié, il avait découvert la bisexualité il y avait quelques années il était cadre dans une boite d’informatique. Je lui avais raconté ma vie et il savait que je n’avais encore jamais rencontré de garçon, que j’avais envie, et qu’en même temps j’avais très peur. Dans la discussion il essaya de me rassurer, de m‘encourager en me disant qu’il fallait y aller doucement par étape et en me prenant la main il me proposa d’aller chez lui à eux pas du bar. J’hésitais quelques secondes, me levais en lui disant allons y.
Il était 21h, il faisait froid, il n’y avait personne dans la rue, il me pris la main et m’indiqua la direction. Arrivé à son immeuble, dans l’ascenseur, il se mit face à moi, nous étions les yeux dans les yeux, te il déposa un baiser sur mes lèvres fermées, plus l’ascenseur montait (il habitait au 12eme étage), plus ses lèvres appuyaient sur les miennes, est doucement je me laissais aller, j’ouvris la bouche et sa langue vint rencontre ma langue. C’était doux, agréable. L’ascenseur s’arrêta et notre baiser continua jusqu’à ce que la lumière s’éteigne.
Il me dit ça va ?
Oui très bien
Il me pris par la main et m’entraina chez lui. Toujours en me tenant la main, il m’emmena dans la chambre qui était éclairée faiblement. Toujours sans rien dire il commença à me déshabiller. Je me laissais faire, Ses gestes sont lents, il prend son temps, Après chaque vêtement il m’embrasse sur le visage, la bouche, nos lèvres se collent et nos langues se retrouvent. Pendant de longues minutes je me laisse effeuiller. Tout à coup ne le sentant plus, j’ouvre les yeux, je suis en slip, debout à côté du lit, il est en train d’écarter la couette, il me regarde, me sourit, il se déshabille. Une foi nu, il vient vers moi, je suis incapable de bouger, je viens de réaliser, que je suis presque nu (en slip), dans la chambre d’un homme (qui lui est nu), et ce qui me fait le plus peur c’est que j’aime ça, et que je veux aller plus loin.
Je me laisse encore faire, il me prend par la taille, m’embrasse et délicatement découvre mon sexe et faisant glisser mon slip. Mon sexe est tendu, Philippe est à genou devant moi, je sens sa respiration sur mon gland, qu’il embrasse. Il me prend la main et m’emmène dans la salle de bain. Sous la douche je découvre le plaisir de prendre en main et de caresser un sexe d’homme autre que le mien. Sa bite est douce large mais pas très longue. Après, toujours sans parole, nous retournons dans la chambre, il m’allonge sur le lit, et commence l’exploration de mon corps de la tête au sexe avec sa bouche. Ses baisers sont doux, je soupire de plaisir. Il me prend en bouche, je sens sa langue tournée autour de mon sexe, descendre, il m’embrasse les couilles, descend jusqu’à mon petit trou, qu’il lèche et pénètre toujours avec sa langue. La sensation est formidable. Je respire de plus en plus fort, je prends sa tête entre mes mains le tire vers moi, pour un baiser interminable, je sens son sexe raide contre mon ventre, je lui dis que j’ai envie de le faire jouir, avec ma bouche, mais que je ne l’ai jamais fait. Il me dit de faire au feeling en douceur. Il me sourit se met sur le dos. Je l’embrasse et par de petits bisous je descends son corps jusqu’à sa tige tendue. Je suis un peu hésitant, j’approche mon visage, je le respire, et délicatement je dépose un baiser, puis un autre, je sors ma langue et commence à le lécher, je descends vers les couilles, bien rondes et bien dures elles aussi. Je remonte la tige et je la gobe entièrement, ma langue tourne autour et lèche le gland, qui mouille. Philippe soupire de plaisir et m’encourage avec des mots crus. Pendant que je le branle avec de plus en plus de vigueur, je remonte lui rouler une pelle. Tout à coup il me dit qu’il va jouir, je redescends vite le prendre en bouche, et faire de rapides mouvements de tête, je sens que son bassin m’accompagne. Il me prend la tête à deux mains et me fait accélérer les va et vient, il va de plus en plus vite de plus en plus profond dans ma gorge (il se sert de ma bouche comme d’un sexe). Soudain je l’entends râler de plaisir, ses mains maintiennent ma tête, et je sens son sperme gicler dans ma gorge et se répandre dans ma bouche, sur ma langue. Il relâche la pression et je reprends mon souffle, j’avale sa semence et je commence à le nettoyer avec des petits coups de langue. Le ménage terminé, nos bouches se retrouvent pour un baiser langoureux,
Sa main descend entre nos corps et constate que je bande toujours comme un taureau. Il me demande si j’aimerais le prendre, qu’il a très envie de se faire sodomiser. Je réponds oui.
Il me dit de ne pas bouger, il se tourne vers sa commode, sort un tube de gel, il en met sur une main et se badigeonne l’anus, me prend dans sa bouche, me mouille avec sa salive, se met à quatre pattes en cambrant bien fort les reins, et me dit vient. Je n’hésite pas une seconde, je suis trop excité, de voir ce cul offert. Je me mets à genou derrière lui, approche mon sexe tendu de son trou, appuie doucement sur l’œillet qui s’ouvre et me laisse entrer sans difficulté. Une foi bien au fond le tenant par les hanches je commence mes mouvements d’abord lentement, puis de plus en plus rapide. Il me dit qu’il adore que je lui défonce le cul, qu’il sent mes couilles taper sur ses fesses.
Très rapidement dans un cri de plaisir je me répends en m’allongeant sur lui. Nous restons quelques instants ainsi (ma bite toujours plantée dans son intimité), puis il se dégage, je glisse à côté de lui pour de nouveau un baiser langoureux.
Il me propose d’aller reprendre une douche pendant qu’il nous serre un rafraîchissement. Je m’exécute. Quand je sors de la salle bain il me tend un grand verre de jus de fruit et va prendre une douche à son tour.
Nous nous retrouvons sur le lit, nous discutons en nous caressant et en nous embrassant. Je lui dis que pour une première c’est génial. Il me dit et ce n’est pas fini, il me propose de me sodomiser. Sans réfléchir je dis oui. A ce moment là je m’aperçois, qu’il bande de nouveau très fort. Il me demande quelle position je veux, je lui réponds que je veux lui faire face.
Pendant qu’il prend le lubrifiant sur la commode, je m’allonge sur le lit, il me glisse un oreiller sous les reins, pour rehausser mes fesses. Il me prend les jambes, et tout en les écartant, les replient sur ma poitrine. Il se penche et commence par me lécher les fesses, le trou qu’il force avec sa langue, remonte sur mes couilles et ma bite, puis redescend. Il mouille très fort mon anus, y introduit doucement un doigt, il le retire et introduit son pouce en faisant des mouvements lents.
Je me laisse faire. Il me lubrifie un maximum ainsi que son sexe toujours très raide. Je suis offert au maximum, un peu inquiet, il se rapproche, me demande de me détendre, que tout va bien se passer.
Pour l’aider, le cul relevé, j’écarte mes fesses avec mes mains. Je sens son gland qui pèse de plus en plus fort sur mon œillet. J’ai un peu mal, mais je ne dis rien. Il appuie un peu plus fort, et je sens le passage céder.
Il me sourit, ça va me dit il.
Oui mais va doucement
Le plus dure est fait le gland est rentré, maintenant je vais continuer comme dans du beurre. Tu n’as pas trop mal ?
Non je m’habitue, c’est supportable.
Est il s’enfonce délicatement dans mon intimité.
J’ai fermé les yeux pour savourer la pénétration très lente, soudain je sens ses boules cogner contre mes fesses. Il est complètement en moi.
J’ouvre les yeux, il me regarde en souriant. J’écarte un peu plus les jambes, pour qu’il puisse venir m’embrasser. Nous nous embrassons longuement sans bouger, ma langue dans sa bouche et sa bite dans mon cul. Après plusieurs minutes, il se relève et commence à me faire l’amour. D’abord lentement puis de plus en plus vite, je n’ai presque plus mal. Je me laisse faire, il m’a relevé les jambes et me tient par les chevilles. Ses couilles tapent de plus en plus fort sur mes fesses.je ressens un certain plaisir.
Je lui dis : va plus fort défonce moi le cul avec ta grosse bite
Lui aussi me dit de mots crus : oui ma salope, je vais te niquer ton cul de pucelle tu aimes ça salle pute et je sens son sperme qui gicle sur les parois de mon ventre. Il s’effondre sur moi, nos bouches se retrouvent, et sa bite fini de se vider par spasmes. Nous restons quelques instants, il se retire, me demande si j’ai aimé, je lui dis que oui, beaucoup. Lui me dit qu’il n’avait pas joui comme ça depuis longtemps.
Nous retournons prendre une douche, pleine de caresses et revenons nous coucher. Il est 23h je lui dis que je peux rester jusqu’à 2h du matin, et nous nous endormons.
Je suis réveillé par des caresses sur mon sexe, j’ouvre un œil et je vois Philipe, en train de me prendre dans sa bouche, je grossis très vite. Il me dit qu’il est 2h mais qu’il va me faire une gâterie avant que je ne parte et il me reprend en bouche. En 5 minute l’affaire est faite, je jouis dans sa gorge.
Je garde un excellent souvenir de ce dépucelage, et je vous raconterai peut être mes prochaines rencontres avec Philippes