Titre de l'histoire érotique : UNE ENVIE PRESSANTE
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : UNE ENVIE PRESSANTE
Ce fut une période de ma vie où le choix du travail était secondaire. Seul compté à mes yeux, le salaire que je ramenais en fin de mois à la maison. Mon activité journalier consistait de vagabonder le long des rues. Tirant d’une main une charrette. À l’affût de la moindre pollution qui pourrait ternir la voie public. On m’avait fait une fleur en m’affectant dans un secteur où domicilier des gens que j’avais baptiser, chic. Et juste pour cette raison, je me devais d’être consciencieusement à mon travail, pourtant très ingrat. Je me faisais tout de même un plaisir tous les jours de rendre le secteur à la hauteur de sa population, c’est-à-dire nickel.
Hormis les rues, il y avait aussi un square. Mise à part les six platanes qui profané avec ses feuilles, il était composé d’une grande place gravillonné, avec quelques bancs en pierre. Des réverbères style bec à gaz, très chic. Et dans son milieu se tenait une fontaine. Avec une tête d’ange d’où s’écoulait un filet d’eau.
À chacune de mes interventions, j’avais l’impression d’être en vacance. Le seul hic dans ce paradis terrestre était les cinq affreuses bâtisses, avec leurs ramassis de sujets. Irrespectueux, salopant les
lieux de leurs détritus. Comme c’était le cas ce matin. Où des cartons de pizzas mais aussi des canettes de bière étaient un peu éparpillés par-ci par là. Balai en main je me mis en devoir d'effacer pour quelques heures la déchéance humaine.
Alors que je me saisissais des cannettes mon regard s’égara du côté de la bâtisse. Les stores étaient relevés. Il y avait un couple nu sur le lit. Suffoqué par cette vision inattendue, j’ai attardé mes yeux sur la scène. Les deux corps étaient en mouvement. Pas besoin d’être devin pour voir qu’ils faisaient l’amour. La femme étendue sur les draps défaits, un homme à califourchon sur son ventre. Elle se débattait sous le poids de l’homme qui lui bloquait les bras.
Il révélait un sexe massif déformé par une puissante érection. Son côté animal était accentué par un torse très velu et des cuisses musclées. J’avais le cœur qui battait la chamade. J’étais choqué mais curieux de voir la suite.
La vue de ses fesses musclées qui se contractaient provoqua en moi une excitation inattendue. Je bandais à ma grande honte. La femme, en dessous ne s'animait à présent alors que l’homme venait de lui assener un coup de reins puissant. Son corps se mit à participer à ce coït sauvage. L’homme se cramponnait maintenant aux seins qui ballottaient à chaque assaut. Parfois il marquait un temps d’arrêt. J’apercevais son sexe quand il se reculait. Le gland en bordure du vagin, pour ensuite mieux s’y planter en force. La femme avait la tête tournée dans ma direction. Nullement offusquée que je joue les voyeurs. Tout au contraire. Elle me fit même un clin d’œil amusé. Et comme ce n’était pas suffisant, elle me fit même un petit coucou avec main.
Je sentis un trouble étrange m’envahir et je rougis à l’idée de me mettre fait surprendre. Je fus témoin de l’orgasme de l’homme, qui se retira presque aussitôt du sexe de sa partenaire. Essuyant sa verge encore érection au slip.
Il se redressa, bâillait, et se leva. La femme fit de même. Toute souriante, elle colla son ventre contre la baie vitrée. Je pus admirer à loisir son triangle auburn bien dessiné, qui laissait deviner ses lèvres ouvertes. Après un second clin d’œil, elle disparut de ma vue. J'avais les jambes coupées.
Quelques minutes plus tard j’assistais à la sortie du couple par la porte d'entrée. Lui vêtu en costume, elle en robe de chambre. Elle l’accompagna jusqu’à sa voiture. Il ouvrit la portière arrière et y posa sur le siège sa mallette puis se plaça derrière le volant. Il démarra et après un bisou sur les lèvres sur celle qui devait être sans doute sa femme, embraya et fit décollait la voiture de sa place pour disparaître un peu plus tard à la suite du premier virage sous les yeux de sa femme.
Elle tourna la tête dans ma direction et surprit mon regard. Il lui en fallait pas plus pour venir à ma rencontre. Après le « bonjour Madame », je me suis excusé pour avoir attardé mon regard où il ne fallait pas. Mais je crus deviné que c’était loin de l’avoir chagriné.
De taille moyenne, les cheveux clairs. Elle avait un genre de beauté moins évidente au premier regard. Possédait néanmoins une allure certaine. Une sorte de classe qui transparaissait dans ses gestes et sa façon de se tenir.
Mais ce qui frappait le plus, chez cette femme d’une
cinquantaine d’années, c’était son regard. Dans ses yeux noisette, alternaient des lueurs de panique et des éclairs d’autorité, sans qu’on sache très bien ce qui pouvait déclencher l’une ou l’autre. Elle me lança :
- Mon mari est parti pour la journée. Et j'ai besoin d'aide dans ma maison, pouviez-vous m'aider s'il vous plaît ?
- Ce n'est pas que je ne veux pas, chère Madame. Mais c’est que je suis de fonction,
- Oh ! le vilain garçon, qu’il ne veut pas aider une femme dans le besoin.
- Sachez Madame que ce n'est pas l’envie qui me manque. Mais il m’est interdit de quitter mon service. Et encore une fois je tiens à m’excuser pour…
- Oh ! Il ne faut pas, me dit-elle. Entre nous il n’y avait rien d’intéressant à voir. Seulement un mari vidant ses couilles. Elle me sourit. Allez venez je vous en supplie, j'ai vraiment besoin de vous. Fit
elle en s’éloignant en direction de son entrée.
J’étais devant une intersection de préjuger. Soit je faisais abstraction des avances de la dame et continuais mon activité. Ou alors je pénétrais cette demeure, sachant ce qui m’attendait. Que du plaisir.
J’étais encore là, en train de m’interroger sur la conduite à suivre quand je vis la femme se retourner. Me voyant camper sur ma position, je lus de la déception sur son visage. Mais c’était sans compter sur sa persévérance. Elle n’était pas du genre de lâcher comme ça.
- Alors vous venez, je vous attends.
Je pense qu’au croisement je vais prendre à droite direction « Vas faire plaisir à la dame ». Et après avoir placé ma charrette dans un endroit discret je me suis orienté du côté de la demeure de la dame. Elle s’effaça pour me laisser entrer. Et verrouilla la porte.
Une fois dans sa maison. Jolie demeure mon foie. Elle me guida jusqu’à sa chambre à coucher.
- Assoie toi sur le lit, me fit-elle alors qu’elle fermait la porte
derrière elle. Elle se retourna et me fixa, avec ses beaux yeux. Puis d’une démarche féline elle s’avança jusqu’à moi, en gardant un contact visuel.
- Je vais être clair avec toi. J’ai vraiment besoin de ta bite à l'intérieur de moi. Fit-elle en dénouant la ceinture de sa robe de chambre. Je le reconnais, je ne suis pas de la première jeunesse, mais j’ai encore de beau reste, non, tu ne crois pas? M’interrogeait-elle, se saisissant dès les deux pans du vêtement, pour les écarter l’un de l’autre, millimètre par millimètre, dévoilant ses seins avec une lenteur exaspérante. Elle fait tomber sa robe de chambre sur son lit.
- Tu sais peut-être pas, mais cela fait un moment que je t’observe, tu sais . Chacune de tes apparitions, me dons plein d’idées salaces. Et je te cache pas que j’ai besoin de chose hors pair pour me faire jouir. Si tu vois ce que je dire.
Ceci étant dit, je pris ses seins entre mes mains et les caressai tout d’abord délicatement. Faisant des mouvements circulaires qui allaient de leur base à leur pointe. Puis je laissai une main sur l’un des tétons tandis que je couvrais l’autre de baisers et de coups de langue. Puis j’inversai. Elle ne semblait pas insensible à mes caresses. Respirant bruyamment, ronronnant comme une chatte alors que ses doigts s’attaquèrent fébrilement à ma braguette. Et plongèrent à la rencontre de ma queue. Percevant la dureté de mon désir. Elle ronronna telle une chatte en chaleur. Ondulant des hanches d’une manière lubrique. Effectuant une véritable danse du ventre que n’aurait pas désavouée une danseuse orientale.
- C’est du dur que tu as là, mon garçon, me lança-t-elle. Ça tombe bien j’ai besoin de sensation forte, aujourd'hui. Très forte...
Ça tomber bien, je n’avais plus l’intention de lui donner de l’amour à l’eau de rose. Et ma première pensée fut de l’attacher. Les femmes adorent être ligotées. Oui mais avec quoi ? Je n’étais pas chez moi. Je repérais une commode dans un coin de la pièce. J’étais sûr de trouver à l’intérieur ce que je recherchais.
Je savais que les heures qui allaient suivre, étaient mienne. Je sentais une joie intense m’envahir. J’allais assouvir quelques-uns de mes fantasmes.
Mais pour cela, il fallait encore que je puisse m’échapper de la prise de la coquine. Ce ne fut pas sans mal, je me suis tout de même levé, sous un regard réprobateur de la femme.
- N’est crainte ma belle, je reviens à toi tout de suite. Dis-moi, où puis-je trouvais des bas, ou des collants.
- Dans la commode. Deuxième tiroir en partant du haut.
Il me fallut que quelques pas pour arriver à sa hauteur.
- Que veux-tu faire avec ?
- T’occupe. Tu veux de l’extase, alors je vais t’en donner.
Quand je revins jusqu’à elle, je tenais en main quatre bas
divers. À cet instant dans ma certitude, j’avais bien l’intention une fois l’avoir ligoté, d’en profiter. De contraindre ma sensuelle maîtresse à accepter les plus pervers de mes désirs. Impatient de mettre en pratique mes plans pervers je lui ordonnais de se positionner à quatre pattes.
Elle prit position en posant ses mains sur le drap et se pencha en avant, les fesses en arrière. Elles étaient splendides. Rondes, bien pleines, un vrai beau cul de femme mûre. Je liais ses poignets à ses genoux. Cela la fit bien rire d’être ma prisonnière.
- Comme ça, tu es toute à moi !
- Oh, oui, c’est comme si je me faisais violer par un voleur ! Dit-elle en entrant dans mon jeu.
- Oui, je vais te violer !
- Oh non ! Pas ça !
- Eh bien, on va commencer par la bouche ! Disais-je en lui saisissant les cheveux sans trop de ménagement pour porter les lèvres de la femme vers ma queue.
- Non, non, fit-elle alors que je pressais ma queue sur ses lèvres qui s’ouvraient lentement. Non ! Mmh… mmh…, continuait-elle en m’aspirant avec gourmandise.
D’un balancement du bassin, je faisais aller et venir ma verge dans cette bouche accueillante. À petits coups de langue, sur la base du gland. Cela me faisait des choses au ventre, terribles et bouillantes Elle le délaissa quelques instants pour envelopper ma queue de sa chaleur humide. L’aspirant et le suçant d'un double caresse des lèvres et de la langue. Elle pompait avec ardeur. Les joues bien creusées, troublant le silence par le clapotis obscène de sa bouche.
Je posais ma main sur sa croupe. Elle poussa un profond soupir en sentant mon doigt glissait dans sa fente. Elle ondulait du bassin. J’en glissais un second. Bien profondément. Elle soupira tout en me pompant vigoureusement. J'envoyais ma main et mettais une claque sur sa fesse.
- Mmmh, oui ! Oh, c’est bon ce que tu fais !
- Tu aimes la fessée .
- Ouiii, ah, encore ! Ouiii, c’est bon !
Je reprenais mon élan, et vlan, j'envoyai plus fermement le plat de ma main sur le postérieur. Elle sursauta. Je reprenais mon élan et giflais à nouveau la peau tendre du fessier. Je m'appliquais à bien orienter le plat de ma main pour le maximum d'efficacité. Le claquement obtenu fut très satisfait. Ses fesses prenaient de la couleur. J'envoyais alors une série de grosses claques sur sa croupe, à intervalles réguliers, avec une précision et une lenteur calculée. Elle basculait en avant à chaque tape, mais continuait tout de même à me pomper.
Je prenais de l'élan et à nouveau faisais claquer mes mains plusieurs fois les fesses. Ma dernière frappe avait laissé une marque rouge vif sur la tendre chaire de la femme.
Avec le souhait de lui faire oublier sa brûlure, j’avançais la tête vers son fessier. Parcourant la raie de haut en bas plusieurs fois avant de faufiler ma bouche jusqu’aux lèvres du con. Me chatouillant le bout du nez avec les poils denses qui sentaient tout sauf le propre. Je fis frétiller ma langue sur ses nymphes. Elle se tortilla. Un liquide
proche de mon sperme s'y échappa. Ma langue bougeait, sa chair s’ouvrait. Le foutre du mari mêlé aux sécrétions emplissait ma bouche. Elle perdit toute pudeur. Gémissant sans retenue. Je l’empoignais par le cul pour mieux la sucer. En la tirant vers moi. J’aspirais toute sa viande dans ma bouche. Précipitamment j’avalais la liqueur vaginale au goût âcre, sans pour autant cesser de lécher les chairs juteuses de la vulve odorante. À son souffle, je sentais que son plaisir était proche.
Du plus profond de son vagin, des vagues successives se manifester, surgissant en une cascade vive de son sexe.
- Oh, oui, fit-elle. C’est trop bon !... Ça approche… Oui, ça vient, ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
Sous l’intensité de son plaisir, elle se cintra. J’en profitais pour la sonder en profondeur avec ma langue. Mon nez frottait l'anus odorant de la femme, alors que les doigts de ma main colonisèrent le chemin de la raie. Effleuraient, écartaient ses fesses. J’en éprouvais une étonnante excitation perverse. Une lave incandescente se répercuta dans mes entrailles, me faisant littéralement rugir de
plaisir, d’une étonnante excitation perverse.
Je chatouillais un peu l’étoile ocre du gras de l’index. Avant d’y plonger la première phalange. Le faisant entrer et sortir. À la chacune de mes passages, la muqueuse anale s’était retournée comme un gant avant de rentrée. J’ai pris cela pour un appel. Je plongeais les trois phalanges en une seule fois. Elle accusa le coup en gémissant. Je ressortais le doigt, et y joignais le majeur. Les poussant profondément dans son cul. Elle se cambra convulsivement, porta son regard dans ma direction.
J’agitais les phalanges. Je n’étais pas seul dans ses entrailles. Je sentais une chose maniable dans la poche de son cul. Je la palpais du bout des doigts. Alors qu’elle agitait ses hanches. Ruerait presque. Quand je les sortis, ce fut pour les coller sous mes narines. Humant l’odeur musquée qui s'en dégager. Très prononcée. De nouveau elle tourna la tête. Me regardant renifler mes doigts souillés de trace brunâtre, puis les fourrer dans ma bouche. Les suçant goulûment, bruyamment.
Dans un ballet de langue constant, je pris place au-dessus d’elle. Ma verge était au-dessus des fesses. Je la pris pour la porter à
l’anus. Ma verge glissa, passa l’obstacle, pénétra jusqu’à la garde. Je gémis d’excitation lorsque les parois graissées de son anus entourèrent mon gland d’une chaude caresse. Je collais mon pubis aux fesses de la femme. Son anneau me serrait le sexe au niveau de la base.
Puis je commençais à bourlinguer dans son cul. Cherchant le bon angle pour qu’elle martèle l’étron. À voix haute, elle se laissa aller à un délire verbal dont l’obscénité augmentant mon ardeur sexuelle.
Massée, pressée, je prenais l’amplitude, de plus en plus. Accélérant ma cognée. D’autant plus que la merde avait un pouvoir lubrifiant.
- Huumm, je vais me lâcher, murmura-t-elle d’une voix que le désir rendait plus enrouée…
Sa respiration devenait saccadée, désordonnée. Son cul me serrait, m’aspirait. Elle criait, elle hurlait, elle soufflait, elle suffoquait, elle se contractait. Pour la énième fois je fis sortir mon gland. Tout en dilatant les bourrelets. Un coulis marron vint avec. Je replongeais de plus en plus profondément. Le caca s'écrasant sous mes impacts. Je faisais abstraction à l’odeur âcre qui emplissait mes narines.
Soudain, les gémissements de la femme se transformèrent subitement en de longues plaintes.
- Oh, mon salaud c’est bon !... Oui… Oh Oouuuiii ! ... encore ! Crache ton venin… Je jouis… Ouuuuiii !... Ah !… oh …
J’en ressentis une telle joie que je fus agité de soubresauts avant que mon sperme se répande dans son rectum. J’ai joui longuement, en poussant malgré moi des grognements de bête, mon bas-ventre plaqué contre ses fesses.
Je me suis laissé aller sur elle. Je suis resté collé à elle, sans bouger. Reprenant mon souffle. Je me sentais souillé comme jamais. Et pourtant. J’avais encore envie que quelque chose. Cela faisait longtemps que ce fantasme me poursuivait sans que je puisse le réaliser jusqu’à maintenant.
Je mis un long moment avant de pouvoir uriner entre ses fesses. Goute par goutte, puis un jet puissant. Arrosant les parois. Je sentis le liquide chaud enrobait ma queue. Je l’inondais de mon
urine. C’était une sensation étrange, mais agréable. Je me sentais devenir de nouveau dur.
Son cul se remplissait de gargouillis. Il y avait de l’urine colorait qui s’écoulait de son anus, tâchant le drap. Je la tenais par les hanches et la tirais vers moi. Ses fesses venaient s’écraser sur mon pubis à chaque coup de reins. J’étais dans un état second. Il me semblait que jamais mon plaisir n’avait jamais été aussi fort.
Elle était dans le même état que moi. Mais elle, elle criait des mots sans suite.
Sans se donner le temps de reprendre son souffle, elle m’ordonna de la libérer. Elle sauta sur ses pieds et fuyait la chambre en courant. La salle de bains étant occupé je me suis réfugié dans la cuisine. Sous le jet du robinet de l’évier je me suis désencrassé la queue.
J’étais passé en quelques minutes de statut du voyeur à celui de joujou de plaisir.
Hormis les rues, il y avait aussi un square. Mise à part les six platanes qui profané avec ses feuilles, il était composé d’une grande place gravillonné, avec quelques bancs en pierre. Des réverbères style bec à gaz, très chic. Et dans son milieu se tenait une fontaine. Avec une tête d’ange d’où s’écoulait un filet d’eau.
À chacune de mes interventions, j’avais l’impression d’être en vacance. Le seul hic dans ce paradis terrestre était les cinq affreuses bâtisses, avec leurs ramassis de sujets. Irrespectueux, salopant les
lieux de leurs détritus. Comme c’était le cas ce matin. Où des cartons de pizzas mais aussi des canettes de bière étaient un peu éparpillés par-ci par là. Balai en main je me mis en devoir d'effacer pour quelques heures la déchéance humaine.
Alors que je me saisissais des cannettes mon regard s’égara du côté de la bâtisse. Les stores étaient relevés. Il y avait un couple nu sur le lit. Suffoqué par cette vision inattendue, j’ai attardé mes yeux sur la scène. Les deux corps étaient en mouvement. Pas besoin d’être devin pour voir qu’ils faisaient l’amour. La femme étendue sur les draps défaits, un homme à califourchon sur son ventre. Elle se débattait sous le poids de l’homme qui lui bloquait les bras.
Il révélait un sexe massif déformé par une puissante érection. Son côté animal était accentué par un torse très velu et des cuisses musclées. J’avais le cœur qui battait la chamade. J’étais choqué mais curieux de voir la suite.
La vue de ses fesses musclées qui se contractaient provoqua en moi une excitation inattendue. Je bandais à ma grande honte. La femme, en dessous ne s'animait à présent alors que l’homme venait de lui assener un coup de reins puissant. Son corps se mit à participer à ce coït sauvage. L’homme se cramponnait maintenant aux seins qui ballottaient à chaque assaut. Parfois il marquait un temps d’arrêt. J’apercevais son sexe quand il se reculait. Le gland en bordure du vagin, pour ensuite mieux s’y planter en force. La femme avait la tête tournée dans ma direction. Nullement offusquée que je joue les voyeurs. Tout au contraire. Elle me fit même un clin d’œil amusé. Et comme ce n’était pas suffisant, elle me fit même un petit coucou avec main.
Je sentis un trouble étrange m’envahir et je rougis à l’idée de me mettre fait surprendre. Je fus témoin de l’orgasme de l’homme, qui se retira presque aussitôt du sexe de sa partenaire. Essuyant sa verge encore érection au slip.
Il se redressa, bâillait, et se leva. La femme fit de même. Toute souriante, elle colla son ventre contre la baie vitrée. Je pus admirer à loisir son triangle auburn bien dessiné, qui laissait deviner ses lèvres ouvertes. Après un second clin d’œil, elle disparut de ma vue. J'avais les jambes coupées.
Quelques minutes plus tard j’assistais à la sortie du couple par la porte d'entrée. Lui vêtu en costume, elle en robe de chambre. Elle l’accompagna jusqu’à sa voiture. Il ouvrit la portière arrière et y posa sur le siège sa mallette puis se plaça derrière le volant. Il démarra et après un bisou sur les lèvres sur celle qui devait être sans doute sa femme, embraya et fit décollait la voiture de sa place pour disparaître un peu plus tard à la suite du premier virage sous les yeux de sa femme.
Elle tourna la tête dans ma direction et surprit mon regard. Il lui en fallait pas plus pour venir à ma rencontre. Après le « bonjour Madame », je me suis excusé pour avoir attardé mon regard où il ne fallait pas. Mais je crus deviné que c’était loin de l’avoir chagriné.
De taille moyenne, les cheveux clairs. Elle avait un genre de beauté moins évidente au premier regard. Possédait néanmoins une allure certaine. Une sorte de classe qui transparaissait dans ses gestes et sa façon de se tenir.
Mais ce qui frappait le plus, chez cette femme d’une
cinquantaine d’années, c’était son regard. Dans ses yeux noisette, alternaient des lueurs de panique et des éclairs d’autorité, sans qu’on sache très bien ce qui pouvait déclencher l’une ou l’autre. Elle me lança :
- Mon mari est parti pour la journée. Et j'ai besoin d'aide dans ma maison, pouviez-vous m'aider s'il vous plaît ?
- Ce n'est pas que je ne veux pas, chère Madame. Mais c’est que je suis de fonction,
- Oh ! le vilain garçon, qu’il ne veut pas aider une femme dans le besoin.
- Sachez Madame que ce n'est pas l’envie qui me manque. Mais il m’est interdit de quitter mon service. Et encore une fois je tiens à m’excuser pour…
- Oh ! Il ne faut pas, me dit-elle. Entre nous il n’y avait rien d’intéressant à voir. Seulement un mari vidant ses couilles. Elle me sourit. Allez venez je vous en supplie, j'ai vraiment besoin de vous. Fit
elle en s’éloignant en direction de son entrée.
J’étais devant une intersection de préjuger. Soit je faisais abstraction des avances de la dame et continuais mon activité. Ou alors je pénétrais cette demeure, sachant ce qui m’attendait. Que du plaisir.
J’étais encore là, en train de m’interroger sur la conduite à suivre quand je vis la femme se retourner. Me voyant camper sur ma position, je lus de la déception sur son visage. Mais c’était sans compter sur sa persévérance. Elle n’était pas du genre de lâcher comme ça.
- Alors vous venez, je vous attends.
Je pense qu’au croisement je vais prendre à droite direction « Vas faire plaisir à la dame ». Et après avoir placé ma charrette dans un endroit discret je me suis orienté du côté de la demeure de la dame. Elle s’effaça pour me laisser entrer. Et verrouilla la porte.
Une fois dans sa maison. Jolie demeure mon foie. Elle me guida jusqu’à sa chambre à coucher.
- Assoie toi sur le lit, me fit-elle alors qu’elle fermait la porte
derrière elle. Elle se retourna et me fixa, avec ses beaux yeux. Puis d’une démarche féline elle s’avança jusqu’à moi, en gardant un contact visuel.
- Je vais être clair avec toi. J’ai vraiment besoin de ta bite à l'intérieur de moi. Fit-elle en dénouant la ceinture de sa robe de chambre. Je le reconnais, je ne suis pas de la première jeunesse, mais j’ai encore de beau reste, non, tu ne crois pas? M’interrogeait-elle, se saisissant dès les deux pans du vêtement, pour les écarter l’un de l’autre, millimètre par millimètre, dévoilant ses seins avec une lenteur exaspérante. Elle fait tomber sa robe de chambre sur son lit.
- Tu sais peut-être pas, mais cela fait un moment que je t’observe, tu sais . Chacune de tes apparitions, me dons plein d’idées salaces. Et je te cache pas que j’ai besoin de chose hors pair pour me faire jouir. Si tu vois ce que je dire.
Ceci étant dit, je pris ses seins entre mes mains et les caressai tout d’abord délicatement. Faisant des mouvements circulaires qui allaient de leur base à leur pointe. Puis je laissai une main sur l’un des tétons tandis que je couvrais l’autre de baisers et de coups de langue. Puis j’inversai. Elle ne semblait pas insensible à mes caresses. Respirant bruyamment, ronronnant comme une chatte alors que ses doigts s’attaquèrent fébrilement à ma braguette. Et plongèrent à la rencontre de ma queue. Percevant la dureté de mon désir. Elle ronronna telle une chatte en chaleur. Ondulant des hanches d’une manière lubrique. Effectuant une véritable danse du ventre que n’aurait pas désavouée une danseuse orientale.
- C’est du dur que tu as là, mon garçon, me lança-t-elle. Ça tombe bien j’ai besoin de sensation forte, aujourd'hui. Très forte...
Ça tomber bien, je n’avais plus l’intention de lui donner de l’amour à l’eau de rose. Et ma première pensée fut de l’attacher. Les femmes adorent être ligotées. Oui mais avec quoi ? Je n’étais pas chez moi. Je repérais une commode dans un coin de la pièce. J’étais sûr de trouver à l’intérieur ce que je recherchais.
Je savais que les heures qui allaient suivre, étaient mienne. Je sentais une joie intense m’envahir. J’allais assouvir quelques-uns de mes fantasmes.
Mais pour cela, il fallait encore que je puisse m’échapper de la prise de la coquine. Ce ne fut pas sans mal, je me suis tout de même levé, sous un regard réprobateur de la femme.
- N’est crainte ma belle, je reviens à toi tout de suite. Dis-moi, où puis-je trouvais des bas, ou des collants.
- Dans la commode. Deuxième tiroir en partant du haut.
Il me fallut que quelques pas pour arriver à sa hauteur.
- Que veux-tu faire avec ?
- T’occupe. Tu veux de l’extase, alors je vais t’en donner.
Quand je revins jusqu’à elle, je tenais en main quatre bas
divers. À cet instant dans ma certitude, j’avais bien l’intention une fois l’avoir ligoté, d’en profiter. De contraindre ma sensuelle maîtresse à accepter les plus pervers de mes désirs. Impatient de mettre en pratique mes plans pervers je lui ordonnais de se positionner à quatre pattes.
Elle prit position en posant ses mains sur le drap et se pencha en avant, les fesses en arrière. Elles étaient splendides. Rondes, bien pleines, un vrai beau cul de femme mûre. Je liais ses poignets à ses genoux. Cela la fit bien rire d’être ma prisonnière.
- Comme ça, tu es toute à moi !
- Oh, oui, c’est comme si je me faisais violer par un voleur ! Dit-elle en entrant dans mon jeu.
- Oui, je vais te violer !
- Oh non ! Pas ça !
- Eh bien, on va commencer par la bouche ! Disais-je en lui saisissant les cheveux sans trop de ménagement pour porter les lèvres de la femme vers ma queue.
- Non, non, fit-elle alors que je pressais ma queue sur ses lèvres qui s’ouvraient lentement. Non ! Mmh… mmh…, continuait-elle en m’aspirant avec gourmandise.
D’un balancement du bassin, je faisais aller et venir ma verge dans cette bouche accueillante. À petits coups de langue, sur la base du gland. Cela me faisait des choses au ventre, terribles et bouillantes Elle le délaissa quelques instants pour envelopper ma queue de sa chaleur humide. L’aspirant et le suçant d'un double caresse des lèvres et de la langue. Elle pompait avec ardeur. Les joues bien creusées, troublant le silence par le clapotis obscène de sa bouche.
Je posais ma main sur sa croupe. Elle poussa un profond soupir en sentant mon doigt glissait dans sa fente. Elle ondulait du bassin. J’en glissais un second. Bien profondément. Elle soupira tout en me pompant vigoureusement. J'envoyais ma main et mettais une claque sur sa fesse.
- Mmmh, oui ! Oh, c’est bon ce que tu fais !
- Tu aimes la fessée .
- Ouiii, ah, encore ! Ouiii, c’est bon !
Je reprenais mon élan, et vlan, j'envoyai plus fermement le plat de ma main sur le postérieur. Elle sursauta. Je reprenais mon élan et giflais à nouveau la peau tendre du fessier. Je m'appliquais à bien orienter le plat de ma main pour le maximum d'efficacité. Le claquement obtenu fut très satisfait. Ses fesses prenaient de la couleur. J'envoyais alors une série de grosses claques sur sa croupe, à intervalles réguliers, avec une précision et une lenteur calculée. Elle basculait en avant à chaque tape, mais continuait tout de même à me pomper.
Je prenais de l'élan et à nouveau faisais claquer mes mains plusieurs fois les fesses. Ma dernière frappe avait laissé une marque rouge vif sur la tendre chaire de la femme.
Avec le souhait de lui faire oublier sa brûlure, j’avançais la tête vers son fessier. Parcourant la raie de haut en bas plusieurs fois avant de faufiler ma bouche jusqu’aux lèvres du con. Me chatouillant le bout du nez avec les poils denses qui sentaient tout sauf le propre. Je fis frétiller ma langue sur ses nymphes. Elle se tortilla. Un liquide
proche de mon sperme s'y échappa. Ma langue bougeait, sa chair s’ouvrait. Le foutre du mari mêlé aux sécrétions emplissait ma bouche. Elle perdit toute pudeur. Gémissant sans retenue. Je l’empoignais par le cul pour mieux la sucer. En la tirant vers moi. J’aspirais toute sa viande dans ma bouche. Précipitamment j’avalais la liqueur vaginale au goût âcre, sans pour autant cesser de lécher les chairs juteuses de la vulve odorante. À son souffle, je sentais que son plaisir était proche.
Du plus profond de son vagin, des vagues successives se manifester, surgissant en une cascade vive de son sexe.
- Oh, oui, fit-elle. C’est trop bon !... Ça approche… Oui, ça vient, ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
Sous l’intensité de son plaisir, elle se cintra. J’en profitais pour la sonder en profondeur avec ma langue. Mon nez frottait l'anus odorant de la femme, alors que les doigts de ma main colonisèrent le chemin de la raie. Effleuraient, écartaient ses fesses. J’en éprouvais une étonnante excitation perverse. Une lave incandescente se répercuta dans mes entrailles, me faisant littéralement rugir de
plaisir, d’une étonnante excitation perverse.
Je chatouillais un peu l’étoile ocre du gras de l’index. Avant d’y plonger la première phalange. Le faisant entrer et sortir. À la chacune de mes passages, la muqueuse anale s’était retournée comme un gant avant de rentrée. J’ai pris cela pour un appel. Je plongeais les trois phalanges en une seule fois. Elle accusa le coup en gémissant. Je ressortais le doigt, et y joignais le majeur. Les poussant profondément dans son cul. Elle se cambra convulsivement, porta son regard dans ma direction.
J’agitais les phalanges. Je n’étais pas seul dans ses entrailles. Je sentais une chose maniable dans la poche de son cul. Je la palpais du bout des doigts. Alors qu’elle agitait ses hanches. Ruerait presque. Quand je les sortis, ce fut pour les coller sous mes narines. Humant l’odeur musquée qui s'en dégager. Très prononcée. De nouveau elle tourna la tête. Me regardant renifler mes doigts souillés de trace brunâtre, puis les fourrer dans ma bouche. Les suçant goulûment, bruyamment.
Dans un ballet de langue constant, je pris place au-dessus d’elle. Ma verge était au-dessus des fesses. Je la pris pour la porter à
l’anus. Ma verge glissa, passa l’obstacle, pénétra jusqu’à la garde. Je gémis d’excitation lorsque les parois graissées de son anus entourèrent mon gland d’une chaude caresse. Je collais mon pubis aux fesses de la femme. Son anneau me serrait le sexe au niveau de la base.
Puis je commençais à bourlinguer dans son cul. Cherchant le bon angle pour qu’elle martèle l’étron. À voix haute, elle se laissa aller à un délire verbal dont l’obscénité augmentant mon ardeur sexuelle.
Massée, pressée, je prenais l’amplitude, de plus en plus. Accélérant ma cognée. D’autant plus que la merde avait un pouvoir lubrifiant.
- Huumm, je vais me lâcher, murmura-t-elle d’une voix que le désir rendait plus enrouée…
Sa respiration devenait saccadée, désordonnée. Son cul me serrait, m’aspirait. Elle criait, elle hurlait, elle soufflait, elle suffoquait, elle se contractait. Pour la énième fois je fis sortir mon gland. Tout en dilatant les bourrelets. Un coulis marron vint avec. Je replongeais de plus en plus profondément. Le caca s'écrasant sous mes impacts. Je faisais abstraction à l’odeur âcre qui emplissait mes narines.
Soudain, les gémissements de la femme se transformèrent subitement en de longues plaintes.
- Oh, mon salaud c’est bon !... Oui… Oh Oouuuiii ! ... encore ! Crache ton venin… Je jouis… Ouuuuiii !... Ah !… oh …
J’en ressentis une telle joie que je fus agité de soubresauts avant que mon sperme se répande dans son rectum. J’ai joui longuement, en poussant malgré moi des grognements de bête, mon bas-ventre plaqué contre ses fesses.
Je me suis laissé aller sur elle. Je suis resté collé à elle, sans bouger. Reprenant mon souffle. Je me sentais souillé comme jamais. Et pourtant. J’avais encore envie que quelque chose. Cela faisait longtemps que ce fantasme me poursuivait sans que je puisse le réaliser jusqu’à maintenant.
Je mis un long moment avant de pouvoir uriner entre ses fesses. Goute par goutte, puis un jet puissant. Arrosant les parois. Je sentis le liquide chaud enrobait ma queue. Je l’inondais de mon
urine. C’était une sensation étrange, mais agréable. Je me sentais devenir de nouveau dur.
Son cul se remplissait de gargouillis. Il y avait de l’urine colorait qui s’écoulait de son anus, tâchant le drap. Je la tenais par les hanches et la tirais vers moi. Ses fesses venaient s’écraser sur mon pubis à chaque coup de reins. J’étais dans un état second. Il me semblait que jamais mon plaisir n’avait jamais été aussi fort.
Elle était dans le même état que moi. Mais elle, elle criait des mots sans suite.
Sans se donner le temps de reprendre son souffle, elle m’ordonna de la libérer. Elle sauta sur ses pieds et fuyait la chambre en courant. La salle de bains étant occupé je me suis réfugié dans la cuisine. Sous le jet du robinet de l’évier je me suis désencrassé la queue.
J’étais passé en quelques minutes de statut du voyeur à celui de joujou de plaisir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est juste qye ce n'est pas mon style
Une belle histoire pleine d'interdits comme on aimerais en lire plus souvent