Tome 1 - La Séductrice - La Surveillante

Récit érotique écrit par PatouBCBG66 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Tome 1 - La Séductrice - La Surveillante
Voici un extrait de ma première histoire, publiée sur Amazon.
Lorsqu’elle poussa la porte de la chambre, un léger grincement résonna dans le silence pesant du bâtiment. Elle s’arrêta un instant sur le seuil, détaillant l’espace qui lui était attribué. On lui avait promis une "chambre de service" pour la longue nuit à surveiller les élèves de terminales, mais en réalité, ce qu’elle découvrait ressemblait davantage à une cellule.
Le dortoir était sobre, symétriquement organisée avec deux lits en métal, positionnés de chaque côté, dotés de draps blancs et de couvertures pliées sur chaque matelas. Au centre, il y avait une étagère verticale aux niches ouvertes, peinte dans un ton vert et deux bureaux situés sous chaque fenêtre, de part et d’autre du rayonnage central, donnant une touche de caractère miséreuse à l’espace minimaliste.
C’était simple et destiné à un usage temporaire, et le vert criard sur les murs renforçait un sentiment d’abandon. Elle frissonna légèrement, et s’avança vers le lit. La couverture était rêche, presque hostile. Elle s’y était préparée. Passer une nuit ici n’aurait rien d’agréable, mais elle n’avait pas imaginé que l’endroit serait si froid. Les murs, les fenêtres partiellement occultées, et le silence trop lourd donnaient à l’ensemble une atmosphère étrange, comme si le temps s’était suspendu.
Depuis 6 mois qu’elle travaillait comme surveillante, elle en avait vu des couloirs désertés à la nuit tombée, des classes muettes, mais ce soir, dans cette chambre sans âme, quelque chose d’indéfinissable flottait dans l’air, une sensation qui frôlait l’inquiétant. Elle inspira profondément, cherchant à chasser ce malaise. Après tout, ce n’était qu’une pièce vide. Rien de plus.
Un bruit sourd résonna alors dans le couloir, un craquement étouffé, comme une plainte du vieux bâtiment. Patricia se redressa instinctivement, le regard fixé sur la porte entrouverte. Elle tenta de se raisonner, probablement un courant d’air, ou un élève qui se rendait aux toilettes. Elle se leva pour tirer les rideaux, pour échapper à cette perception oppressante. Dehors, l’obscurité de la cour contrastait avec la lumière blafarde qui baignait la pièce. Elle se surprit à murmurer.
— Allez, Patricia, ce n’est qu’une nuit.
Les bras croisés, elle fixait l’étagère verte devant elle comme si elle attendait qu’une ombre en surgisse. Elle laissa tomber son sac sur le bureau, puis s’approcha du lit, ses talons résonnant délicatement sur le sol froid, et s’assit avec précaution, prenant soin de ne pas froisser sa robe col roulé couleur marron.
Le tissu, moulant et soyeux, suivait la courbe généreuse de ses hanches avant de s’épanouir juste au-dessus de ses cuisses. Sa silhouette pulpeuse, toujours élégante, semblait déplacée dans cette pièce austère aux murs gris. Elle croisa lentement ses jambes, laissant apparaître les boutons de sa robe qui filaient sur le côté de ses cuisses, la lumière caressant ses bas brillants révélait une lueur nacrée. Ses mains, aux ongles vernis, se posèrent doucement sur ses genoux, l’une serrant distraitement l’autre.
Elle souffla, un soupir presque inaudible, comme si elle déposait derrière elle le fardeau de la journée. L’atmosphère demeurait glaciale, impersonnelle, mais de cette froideur naissait une étrange chaleur, diffuse, presque intime, comme si une mémoire enfouie s’y rallumait. Dans ce contraste, une présence s’imposait, troublante, et son esprit se laissa envahir par l’image du professeur de zootechnie, étudiant vétérinaire, dont le charme s’était insinué en elle comme un parfum persistant.
Depuis plusieurs jours, son regard l’avait effleurée, discret mais brûlant, une caresse muette. Chaque fois qu’elle croisait ses yeux, elle sentait un frisson secret se loger au creux de son ventre, et les mots qu’il lui avait glissés, à peine murmurés, continuaient de vibrer en elle comme une corde trop tendue. Sans en avoir une réelle conscience sa main se posa sur le matelas.
Elle laissa sa tête basculer en arrière, la nuque offerte à l'air tiède de la chambre. Ses paupières se fermèrent à moitié, comme si elle cherchait à retenir l’image d’un rêve qui s’accrochait sous sa peau. Le silence qui l’enveloppait, oppressant quelques instants plus tôt, s’effaçait peu à peu, chassé par le ressac brûlant de ses souvenirs. L’image de son sourire envahit l’espace. Le poids du réel se dissipa, remplacé par une ivresse douce qui faisait battre son cœur plus vite.
Ses pensées vagabondèrent. Ce premier échange, une journée en apparence banale, bercée par le tumulte familier des coursives du lycée. Le bruit des rires, des pas pressés, des bavardages étouffés formait une toile de fond presque rassurante. Arpentant les couloirs avec son charme habituel, elle l’avait aperçu. Il était là. Thierry. Ce jour-là, il ne s’était pas contenté de passer. Il s’était avancé, avec une lenteur assumée, un sourire accroché aux lèvres. Il n’avait rien dit, mais son regard parlait pour lui, profond, précis. Alors ce fut comme une décharge. La chaleur remonta le long de sa nuque, brusque et irrépressible, et son souffle s’accéléra sans qu’elle puisse le contrôler. Elle sut, avant même de mettre un mot sur ce qu’elle ressentait, que quelque chose venait de basculer, irrévocablement.
— Patricia, c’est ça ? On se croise souvent, mais on n’a jamais vraiment parlé.
La manière dont il avait prononcé son prénom, avec une familiarité douce, fit légèrement rosir ses joues. Elle avait tenté de répondre, mais le trouble s’était installé. D’une voix posée et charismatique, il entama la conversation, curieux, intéressé. Au fil des jours leur échange prit une teinte plus légère, presque joueuse. Avec une assurance naturelle, il la taquinait, la faisait rire, et à chaque compliment habilement glissé, elle sentait son cœur battre un peu plus vite. Elle connaissait ces hommes-là, issus de familles riches, flatteurs, charmeurs. Mais lui était différent. Il dégageait un mélange troublant de confiance et de sensualité.
Lorsqu’elle poussa la porte de la chambre, un léger grincement résonna dans le silence pesant du bâtiment. Elle s’arrêta un instant sur le seuil, détaillant l’espace qui lui était attribué. On lui avait promis une "chambre de service" pour la longue nuit à surveiller les élèves de terminales, mais en réalité, ce qu’elle découvrait ressemblait davantage à une cellule.
Le dortoir était sobre, symétriquement organisée avec deux lits en métal, positionnés de chaque côté, dotés de draps blancs et de couvertures pliées sur chaque matelas. Au centre, il y avait une étagère verticale aux niches ouvertes, peinte dans un ton vert et deux bureaux situés sous chaque fenêtre, de part et d’autre du rayonnage central, donnant une touche de caractère miséreuse à l’espace minimaliste.
C’était simple et destiné à un usage temporaire, et le vert criard sur les murs renforçait un sentiment d’abandon. Elle frissonna légèrement, et s’avança vers le lit. La couverture était rêche, presque hostile. Elle s’y était préparée. Passer une nuit ici n’aurait rien d’agréable, mais elle n’avait pas imaginé que l’endroit serait si froid. Les murs, les fenêtres partiellement occultées, et le silence trop lourd donnaient à l’ensemble une atmosphère étrange, comme si le temps s’était suspendu.
Depuis 6 mois qu’elle travaillait comme surveillante, elle en avait vu des couloirs désertés à la nuit tombée, des classes muettes, mais ce soir, dans cette chambre sans âme, quelque chose d’indéfinissable flottait dans l’air, une sensation qui frôlait l’inquiétant. Elle inspira profondément, cherchant à chasser ce malaise. Après tout, ce n’était qu’une pièce vide. Rien de plus.
Un bruit sourd résonna alors dans le couloir, un craquement étouffé, comme une plainte du vieux bâtiment. Patricia se redressa instinctivement, le regard fixé sur la porte entrouverte. Elle tenta de se raisonner, probablement un courant d’air, ou un élève qui se rendait aux toilettes. Elle se leva pour tirer les rideaux, pour échapper à cette perception oppressante. Dehors, l’obscurité de la cour contrastait avec la lumière blafarde qui baignait la pièce. Elle se surprit à murmurer.
— Allez, Patricia, ce n’est qu’une nuit.
Les bras croisés, elle fixait l’étagère verte devant elle comme si elle attendait qu’une ombre en surgisse. Elle laissa tomber son sac sur le bureau, puis s’approcha du lit, ses talons résonnant délicatement sur le sol froid, et s’assit avec précaution, prenant soin de ne pas froisser sa robe col roulé couleur marron.
Le tissu, moulant et soyeux, suivait la courbe généreuse de ses hanches avant de s’épanouir juste au-dessus de ses cuisses. Sa silhouette pulpeuse, toujours élégante, semblait déplacée dans cette pièce austère aux murs gris. Elle croisa lentement ses jambes, laissant apparaître les boutons de sa robe qui filaient sur le côté de ses cuisses, la lumière caressant ses bas brillants révélait une lueur nacrée. Ses mains, aux ongles vernis, se posèrent doucement sur ses genoux, l’une serrant distraitement l’autre.
Elle souffla, un soupir presque inaudible, comme si elle déposait derrière elle le fardeau de la journée. L’atmosphère demeurait glaciale, impersonnelle, mais de cette froideur naissait une étrange chaleur, diffuse, presque intime, comme si une mémoire enfouie s’y rallumait. Dans ce contraste, une présence s’imposait, troublante, et son esprit se laissa envahir par l’image du professeur de zootechnie, étudiant vétérinaire, dont le charme s’était insinué en elle comme un parfum persistant.
Depuis plusieurs jours, son regard l’avait effleurée, discret mais brûlant, une caresse muette. Chaque fois qu’elle croisait ses yeux, elle sentait un frisson secret se loger au creux de son ventre, et les mots qu’il lui avait glissés, à peine murmurés, continuaient de vibrer en elle comme une corde trop tendue. Sans en avoir une réelle conscience sa main se posa sur le matelas.
Elle laissa sa tête basculer en arrière, la nuque offerte à l'air tiède de la chambre. Ses paupières se fermèrent à moitié, comme si elle cherchait à retenir l’image d’un rêve qui s’accrochait sous sa peau. Le silence qui l’enveloppait, oppressant quelques instants plus tôt, s’effaçait peu à peu, chassé par le ressac brûlant de ses souvenirs. L’image de son sourire envahit l’espace. Le poids du réel se dissipa, remplacé par une ivresse douce qui faisait battre son cœur plus vite.
Ses pensées vagabondèrent. Ce premier échange, une journée en apparence banale, bercée par le tumulte familier des coursives du lycée. Le bruit des rires, des pas pressés, des bavardages étouffés formait une toile de fond presque rassurante. Arpentant les couloirs avec son charme habituel, elle l’avait aperçu. Il était là. Thierry. Ce jour-là, il ne s’était pas contenté de passer. Il s’était avancé, avec une lenteur assumée, un sourire accroché aux lèvres. Il n’avait rien dit, mais son regard parlait pour lui, profond, précis. Alors ce fut comme une décharge. La chaleur remonta le long de sa nuque, brusque et irrépressible, et son souffle s’accéléra sans qu’elle puisse le contrôler. Elle sut, avant même de mettre un mot sur ce qu’elle ressentait, que quelque chose venait de basculer, irrévocablement.
— Patricia, c’est ça ? On se croise souvent, mais on n’a jamais vraiment parlé.
La manière dont il avait prononcé son prénom, avec une familiarité douce, fit légèrement rosir ses joues. Elle avait tenté de répondre, mais le trouble s’était installé. D’une voix posée et charismatique, il entama la conversation, curieux, intéressé. Au fil des jours leur échange prit une teinte plus légère, presque joueuse. Avec une assurance naturelle, il la taquinait, la faisait rire, et à chaque compliment habilement glissé, elle sentait son cœur battre un peu plus vite. Elle connaissait ces hommes-là, issus de familles riches, flatteurs, charmeurs. Mais lui était différent. Il dégageait un mélange troublant de confiance et de sensualité.
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