Toujours le corbeau...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 925 274 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 169 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Toujours le corbeau...
- Alain j’ai un appel de l’extérieur pour toi, tu le prends ?
- Je le prends.
- Bonjour ! Fit une voix féminine. Que je ne reconnu pas étant de mon cercle proche.
- Bonjour ! À qui ai-je affaire ?
- Au corbeau.
- Pardon !
- Vous avez bien entendu, au corbeau !
- Et que me vaut votre coup de fil ?
- Faire plus ample connaissance avec vous.
- On pourrait pour cela se rencontrer ?
- Il n’en est pas question.
- Alors pourquoi m’appelez-vous ?
- Je vous l’ai dit, pour faire connaissance avec vous, Alain.
- Que voulez-vous savoir ?
- Déjà dans un premier temps que vous me remercier.
- Vous remerciez ! Fis-je en ricanant. Et je peux savoir Pourquoi ?
- D’avoir pris la peine de vous mettre au courant des méfaits de votre Dame. Avec preuve à l’appuie.
- Vous parlez d’un renseignement. Enfin, si cela peux vous faire plaisir alors pourquoi pas. Donc Madame, je vous en remercie. Cela vous va ?
- Ne soyez pas aussi déplaisant, Alain. Je suis là pour vous aider.
- Aider ! Vous appelez ça m’aider, de me démontrer me ma femme me fait cocu !
- Bien sûr ! Et vous m’en avez porté la preuve.
- Ah oui !
- Oui Alain, en n’intervenant pas. En prenant même plaisir à jouer le voyeur.
Là elle marqua un point.
- Vous ne croyez pas que vous avez pris un risque là ?
- Pas du tout. Je savais très bien que vous n’en feriez rien.
- Pourquoi autant de d’assurance ?
- Vous êtes un homme à femmes. Et que votre épouse vous trompe vous en avez tristement rien à faire. Elle est la mère de vos enfants point à la ligne. N’ai-je pas raison ?
- Je reconnais que vous êtes perspicace.
- Merci. Cela vous direz de travailler pour moi ?
- Travailler pour vous ! Mais enfin je n’ai pas besoin de boulot, j’en possède déjà un.
- Je parlais en plus du votre.
- Et cela consiste à faire quoi ?
- A donner à certaine personne le bonheur de réaliser leur fantasme.
- Je ne vous suis pas très bien là.
- Avez-vous un fantasme Alain ?
- Oui… comme toute personne correctement composé.
- Vous l’avez réalisé ?
- Non… hormis pendant mes séances solitaires.
- Et si je vous dis que votre fantasme j’ai les moyens de le réaliser. Vous en dite quoi, là ?
- Que le mien va être impossible à le réaliser.
- Rien n’est impossible.
- Peut-être mais pas le mien… - Si vous travaillez pour moi, je me promets de tout faire pour l’accomplir.
- C’est-ce que vous avez dit à ma femme ?
- Non pas à elle. À Madame Durand !
- Donc s’est Madame Durand l‘organisatrice de la petite sauterie… - Si on veut. Votre femme ayant besoin de partenaire pour assouvir sa… enfin… pardon. Elle s’est donc confiée à Christiane (Madame Durand), qui elle lui a proposé une partie fine, avec le jeunot à la bite de cheval.
- Donc si j’ai bien compris en vous contacte quand on a besoin d’une relation que je dirai un peu spéciale et avec votre baguette magique pour l’exécuter. Vous êtes une fée.
- Si on peut dire. J’ai commencé cette alchimie il y a quelque mois de ça. Une amie est venue me voir pour savoir comment se venger de son mari qui la tromper. Il se trouvait comme un fait exprès que j’avais une connaissance masculine, déçu par les capacités sexuelles de son épouse. Et qui cherchait auprès de moi, comme une consolation. Bien sûr il était loin d’être mon genre de type. Alors j’ai organisé une rencontre avec les deux personnes. Et ça a fait bingo ! Pas mécontente de moi, je me suis dis pourquoi ne pas profiter de la détresse sexuelle de certaine personne pour ouvrir comme une espèce d’agence de rencontre locale. J’ai fait alors jouer mes connaissances. De personne dans le besoin. Et ça a fait boule ne neige. De bouche à oreille il s’est trouvé qu’en peu de temps j’ai eu un panel de mortel intéressé par mon concept. En majorité de femmes, mais pas n’importe lesquelles. Une catégorie que je désignerais huppée, si vous voyez ce que je veux dire. Et qui pour rien au monde abandonnerait leur confort social, contre un divorce. Mais pas moins désireuse de pouvoir tout de même consommer leur fantasme. Bien sûr, bon nombre d’elles ont la trouille de leurs penchants et n’osent pas les mettre en scène. Alors, c’est là que j’interviens. Je les réconforte, et leur dit que tout est possible.
- Et bien ! Vous m’en boucher un coin.
- Vous n’avez pas idée du nombre de bourgeoises qui aiment s’avilir.
- Et tout ça est gratis ?
- Et puis quoi encore. Il faut prendre l’argent où il se trouve ! Vous n’êtes pas de mon avis.
- Certainement ! Je peux savoir l’indemnité pour un tel service ?
- Non petit curieux. Cela reste secret. Et cela dépend aussi de la prestation demandé.
- Madame Durand, par exemple a payé quoi pour avoir… - Rien… me coupa-t-elle. Seul le fait de m’avoir servit sur un plateau d’argent votre femme.
- Elle est au courant de votre manigance, ma femme ?
- Non ! J’ai la chance qu’elle aime la baise. Je m’excuse mais elle fait ça par pur plaisir. Un besoin chez elle de se faire… - Baiser ! La coupais-je, à mon tour. C’est ma femme qui a demandé pour faire ça avec le vieux ?
- Encore non, c’est Raymond (le vieux), qui l’a choisi.
- Comment ça ! Il a choisi ?
- Nous avons un album.
- Je vois. Et pourquoi m’apprendre tout cela ?
- Parce que comme je vous l’ai déjà dit, je vous veux dans mon équipe.
- Et pourquoi moi ? Vous ne savez peut-être pas mais je n’ai pas une queue de cheval, loin s‘en faut même… - Je m’en fou de votre queue. Seul votre physique m‘intéresse.
- Et si ! Je dis bien si j’acceptais votre concept je gagne quoi moi dans cet affaire ?
- Cela dépend du service donné ?
- Plus c’est immoral plus ça rapporte, je me trompe ?
- Vous pigez vite.
- Je vous rencontre quand pour en parler ?
- Jamais ! Par pure sécurité. Je dois rester incognito.
- Alors nous ne risquons pas de nous retrouver dans le même lit.
- C’n’est pas dans le programme… - J’aimerai bien moi.
- Ce que vous aimez, moi je m’en fou. Alors revenant à nos moutons si vous le voulez bien. Vous êtes intéressé ?
- Il faut voir.
- J’ai dans mon tuyau, un couple à la recherche de sensation forte. Leur couple bat de l’aile et ils ont besoin d’un coup de fouet. Il se trouve qu’ils ont le même fantasme. Faire cela avec un autre couple. Donc j’ai pensé à vous.
- À ce que je sache je suis seul dans cette affaire ?
- Oui peut-être, mais vous avez aussi une femme gourmande, côté sexe… - Et comment… enfin… comment voulez-vous que j’entraîne ma femme dans cette aventure.
- Je pense qu’avec 2000Fr, vous trouverez la solution… - Ça aide, oui !
- N’est-ce pas ! C’est oui ou c’est non ? J’ai besoin d’une réponse au plus vite pour avertir le couple.
- Comment s’en organise ?
- C’est tout simple en va en discuter, si tu le veux bien…cela d’ennui quand ce tutoie ?
En cette nuit d’été, je me suis arrangé de me retrouver en tête à tête avec ma femme. Au court du dîner après avoir bien bu, je lui proposais de ce dénudé. Elle ne se fit pas prier pour s’exécuter. Ce fut nu, que nous terminions le dîner. Discutant cul. Et cela sans ce toucher. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s’alluma.
- Tu veux qu’on rentre ? Me fit ma femme.
- Pourquoi ? On n’est pas bien ici ?
De chez nos voisins parvenait une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements.
- Tu as entendu, toi aussi ? Lança Cathy.
- Écoute !
Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendions. Je me levais de ma place.
- Où tu vas ? Me murmura ma femme.
- Voir le film. Répondis-je en m’approchant de la haie.
Un espace providentiel m’offrit une vue sur la terrasse où ils se trouvaient le couple. Elle, allongeait sur le dos sur un bain de soleil, lui, de côté, les mains posées sur la généreuse poitrine, lui caressant les seins. Comme moi, ma femme observait la scène avec attention.
- C’est mieux qu’un film porno, tu ne crois pas ? Lui fis-je.
- Si tu le dis… me répondit-elle.
- Cela ne te plaît pas ?
- Je n’ai pas dit ça… - Je suis certain que tu mouilles.
Je posais ma main sur son intimité et la fouillais. Sa fente était trempée.
- Cochonne ! Lui murmurais-je.
Pendant ce temps la voisine s’agenouilla devant le beau sexe de son mari, qu’elle enfourna. Alors que je caressais les fesses de ma femme. Appuyant mon index sur sa rondelle. Elle se cambra, m’invitant à continuer de lui caresser l’œillet. Entre temps il y eu du changement côté terrasse. Le couple s’étaient placé tête-bêche. Les bruits de succion nous parvenaient distinctement. Et, il fallait bien l’avouer, fit qu’accroitre notre excitation. Comme l’aurait fait un bon film de cul.
Pendant de longue minutes, avec Cathy, nous nous caressions mutuellement, tout en contemplant nos voisins se faire du bien. Jusqu’à ce que la femme se place à quatre pattes devant la queue de son mari. Il la pénétra d’une poussée énergique. Elle ne put contenir un petit cri. Ce fut l’instant que choisis ma femme pour se laisser tomber à mes pieds. Je sentis son souffle court sur ma verge tendue avant que ses lèvres se refermèrent sur moi. Elle fit allé et venir sa bouche le long de mon sexe. Je ne fis rien pour étouffer mes gémissements. J’en rajoutais même. Comme le corbeau me l’avait dit au téléphone. Les voisins comme prévu portèrent leurs regards de notre côté.
C’était l’heure de vérité. Là où tout allait de décider ou pas.
- Le spectacle est à votre goût. Fit la voix de l’homme.
- Oui pas mal. Répondis-je.
- Mais qu’est-ce que tu fais ? Fit ma femme plus bas, en recrachant ma verge humectée de salive.
- Venez donc nous rejoindre, voulez-vous ? Fit de nouveau la voix de l’homme qui se nommer Olivier.
- Ce serait avec plaisir. Lançais-je.
- Mais ça ne va pas ! Répliqua ma femme. Nous ne sommes pas en tenu.
- Parce que ils l’ont eux la tenu ? Aller vient.
- Non ! Je n’y vais pas.
- Arrête de faire l’imbécile, veux-tu ! Ils t’ont vue.
Je la pris par la main et l’entrainais jusqu’au jardin des voisins qui n’étaient pas les voisins, mais un couple en mal de sensation forte.
- Bonsoir. Olivier et Noémie.
- Enchantés. Alain et Cathy.
Un court instant, un silence presque gêné s’installa, personne se semblant comment poursuivre la conversation.
- Vous êtes… ravissants, lança Oliver.
- Merci. Vous êtes de votre côté pas mal ! Répondis-je.
Tout en parlant, nous avions totalement oublié que nous étions nus. Il nous invita à déguster une coupe de champagne. Pour ce faire il prit place à côté de ma femme. Au bout de la deuxième bouteille nous nous sommes tous dégelé. Au point de poser sans préambule sa main sur la cuisse de ma femme, sans qu’elle ne fasse quoi que ce soit pour l’ôter. La partie était lancée.
Je regardais les doigts courir sur sa peau. Remontant lentement vers la fourche poilue. Tout en me regardant, elle ouvrit le compas de ses cuisses. Autorisant à la main fouineuse, l’accès à sa fente. Ceux qui lui provoquèrent de légers soupirs. Noémie se leva, et alla s’agenouiller face à ma femme. Sa fente à seulement, quelques centimètres des lèvres de ma Cathy.
Elle me fixa, un regard interrogatif, comme si elle attendait de ma part un signe pour lancer son envol. Un signal que je lui donnais en hochant la tête. Alors doucement, elle approcha ses lèvres d’où s’en sortit une langue dardée qui se posa sur le sexe. Noémie ne mit pas longtemps à laisser échapper un gémissement. Contente d’elle, ma femme croisa mon regard. Un sourire éclairant son visage. Me lançant un clin d’œil coquin.
Je n’étais pas mécontent de moi. Je lui répondis à mon tour avec un sourire, m‘approchant au plus près de l‘action. L’instant suivant, je la regardais explorer l’intimité de Noémie dans les moindres recoins. Allant même jusqu’à déposer de légers bisous sur son œillet. Olivier, comme moi, regardions les deux femmes, puis il m’a murmuré : - Tout cela c’est bien goupiller, tu ne crois pas ?
- A la perfection.
- Cela te dérange si je te suce ?
- Pas le moins du monde… fais donc… - Merci. Lança-t-il en s’agenouillant face à moi. La tête entre mes cuisses. Je sentais son souffle sur mon sexe bandé. Tournant les yeux, je remarquais le regard de ma femme. Alors qu’il m’avalait, elle me lança un nouveau clin d’œil.
Je baissais mon regard pour apercevoir mon membre aller et venir dans la bouche gourmande d‘Olivier. Je devais reconnaître qu’il était très doué. Sa langue virevoltait autour de ma hampe. Ses mains, loin de rester inactives, me flattèrent les bourses. S’hasardant même parfois plus bas, me procurant des sensations agréables.
Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, ma femme et moi, en train de se donner du plaisir ce couple.
- Tu aimes ? Me fit Olivier - Hum… tu suces divinement bien… - Tu mes suces ? Fit-il.
J’allais m’allonger sur le bain de soleil. Il me chevaucha, approchant son sexe de mes lèvres. Sans réfléchir, j’avalais lentement son gland. Je le fis aller et venir en moi comme j’aurais aimé quand me le fasse. Cajolant ses couilles, me concentrant à lui procurer que du bien. J’entendais venant du côté des femmes ma femme jouir. Je sentais qu’Olivier était à en faire de même. Son sperme épais arrosa mon palais. Je ne cessais ma fellation que lorsque je sentis plus de jus sortir de son méat.
- Je pense que nous avons besoin de remontant ! Fit Olivier. Chérie veux-tu amener une bouteille, s’il te plaît ?
- Cathy tu me prête ton mari ?
- Bien sûr !
- Merci ! Répondit-elle en maintenant ma verge à la verticale. La présentant à l’entrée de son sexe. Elle descendait lentement. Jusqu’à ce que nos poils pubiens se mélange. Puis elle commença alors à monter et descendre sur moi. S‘enfonçant ma verge chaque fois jusqu’à la garde en poussant de légers gémissements. Sous le regard envieux de nos époux respectif.
Puis Cathy se lança, se plaçant à quatre pattes. Tendant son popotin à Olivier. Dans une invite muette. Noémie s’activait toujours sur moi. Ses gémissements s’amplifiaient au fil des minutes. Je sentais ses muscles intimes se contracter sur ma verge et sa liqueur venant chauffer mes couilles.
Je délaissais un peu ma partenaire pour m’intéresser à ma femme. J’admirais la verge allait et venir profondément dans le vagin de ma femme. Noémie s’écrasa sur mon torse, et vint me mordre l‘épaule. Olivier commençait à aller et venir en elle plus franchement, s’enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs d’aise. Il m’en fallait pas plus pour parvenir à l’orgasme. Dans un râle, je me fichais au fond de Noémie et me déversais en elle. Mon éjaculation provoqua le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s’affaler, presque inerte, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.
Nous avions repris nos esprits devant une coupe de champagne. Très vite après Olivier succomba au verre de trop. Et alla s’allonger sur un bain de soleil. Comme les femmes avaient quant à elles encore soif, je me proposais d’aller chercher une bouteille dans mon frigo.
À mon retour je trouvais les femmes à plat dos, côte à côte et leurs deux têtes rapprochées, les jambes écartées, chacune la main entre les cuisses de l’autre.
Elles se caressaient vaguement, presque avec maladresse. Ma femme y mettait peut-être un peu plus d’ardeur. Aucunes des deux femmes ne m’avaient entendu arrivée. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Noémie réagit la première. Son pubis se soulevait d’une façon saccadé. Esquissant les mouvements d’un coït. Ma femme avait franchi la barrière. Celle de donner du plaisir à une autre femme. Cela gommait toute équivoque.
Elle roula sur le côté. Sa main gauche venant à la rescousse de l’autre. Le frôlement continua, puis ses doigts plongèrent, s’installèrent, bougèrent comme l’aurait mon pénis à leurs places. Noémie secouait la tête. Elle serrait les jambes pour retenir prisonnière la main qui lui procurer tant de bien. Le plaisir fut au rendez-vous. Noémie se redressa d’un bond. Les joues rouges. Les paupières closes. Les dents découvertes. Elle ne cria pas mais retomba doucement en arrière, comme une fleur coupée.
- Viens… me fit ma femme, en découvrant ma présence. Les bras tendus.
Un sourire gourmand étirait ses lèvres. Je bandais dur. Noémie récupérait, le compas de ses jambes à son maximum d’ouverture. Je fixais mon regard sur le haut de ses cuisses.
Une fente ouverte vint se refléter dans mes rétines. De couleur grenat dans le prolongement de sa raie, d’où m’apparaissait un petit trou crispé. Mais Cathy n’en avait pas fini avec elle. Elle l‘aidait à se positionner à quatre pattes. M’exposant ses fesses arrondies. Je ne pus me contenir de les masser. De les claquer avant de les disjoindre.
Pour être au plus près du sexe, je m’agenouillais. À l’aide de mes doigts, je l’ouvrais. Dévoilant les nymphes et l’entrée du vagin qui bâillait. Exhibant une chair rouge plus vive que les replis. Je trouvais cette bouche poilue terriblement excitante.
Au point de ne pas pouvoir m’empêcher d’y enfoncer mon pouce. Que je me mis à agiter. La branlant vite et fort. Provoquant un bruit obscène de clapotis. Ses reins firent des mouvements de plus en plus rapides.
Cathy me prit en bouche. Au bout de mon gros doigt, Noémie gémissait, dansait, soufflait. Elle n’allait pas tarder à décoller. Comme je l’étais moi-même. Je me sentais gonflé dans la bouche de ma femme. Noémie extériorisa son orgasme. Comme pour le partager. En poussant des cris. Me entant tout proche de conclure, ma moitié me recracha, et me lança : - Baise-la, dit-elle. Je veux voir… - T’en est sûr ?
Sans donner une réponse à ma question, elle plaça mon engin tout luisant de la salive devant l’antre de plaisir de la femme que j’enfilais en levrette. Elle poussa un long gémissement rauque lorsque je m’enfonçais. Elle venait de jouir une fois encore. Je commençais à ramoner cet attrayant fourreau. Tout proche, Cathy regardait mon membre luisant, entrée et sortir de la gaine. Entrainant à chaque sortir l’anneau de peau fine et nacrée. Noémie délirait de plus belle. Au point de ne plus pouvoir me retenir. Je propulsais ma semence dans le con, puis me laissais tomber sur le sol de la terrasse.
- Encore !… encore !… lança Noémie. Loin d’être rassasier.
C’est alors que ma femme se saisit d’un concombre posé sur la corbeille. Et commença par frotter l’extrémité sur la chatte béante de Noémie, sans trop l’appuyer. La coquine loin d’être étancher devint comme folle. Réclamant haut et fort à avoir encore des orgasmes. Je vis alors ma femme introduire violemment la moitié du légume dans l‘entaille de notre partenaire. Qui poussa un cri de surprise, avant de revenir rapidement dans un état de jouissance. Sous l’assaut répété. Du jus coulait le long du concombre. Avec un sourire gourmant, lâchant le cucurbitacée. Ma femme me fixa. Comme si elle me défiait du regard. Elle prit place devant notre partenaire de cul. Les deux chattes face l’une de l’autre. Elle se saisit de l’autre extrémité du concombre celle qui était encore apparente. Et se l’enfila. Elles ont lentement commencé des mouvements de va-et-vient puis petit à petit, l’action s’est précipitée et leurs gestes devinrent incontrôlables. Elles poussèrent des cris de plaisir.
Au bout d’un certain temps, n’en pouvant plus, elles se sont arrêtées pour reprendre leurs souffles. Laissant tomber à terre le pauvre concombre qui à cause de la friction avait perdu sa couleur.
Il était temps pour ma femme et moi de prendre congé. Que fut ma surprise de voir sur la table du déjeuner le lendemain, une salade de concombre à la sauce blanche…
- Je le prends.
- Bonjour ! Fit une voix féminine. Que je ne reconnu pas étant de mon cercle proche.
- Bonjour ! À qui ai-je affaire ?
- Au corbeau.
- Pardon !
- Vous avez bien entendu, au corbeau !
- Et que me vaut votre coup de fil ?
- Faire plus ample connaissance avec vous.
- On pourrait pour cela se rencontrer ?
- Il n’en est pas question.
- Alors pourquoi m’appelez-vous ?
- Je vous l’ai dit, pour faire connaissance avec vous, Alain.
- Que voulez-vous savoir ?
- Déjà dans un premier temps que vous me remercier.
- Vous remerciez ! Fis-je en ricanant. Et je peux savoir Pourquoi ?
- D’avoir pris la peine de vous mettre au courant des méfaits de votre Dame. Avec preuve à l’appuie.
- Vous parlez d’un renseignement. Enfin, si cela peux vous faire plaisir alors pourquoi pas. Donc Madame, je vous en remercie. Cela vous va ?
- Ne soyez pas aussi déplaisant, Alain. Je suis là pour vous aider.
- Aider ! Vous appelez ça m’aider, de me démontrer me ma femme me fait cocu !
- Bien sûr ! Et vous m’en avez porté la preuve.
- Ah oui !
- Oui Alain, en n’intervenant pas. En prenant même plaisir à jouer le voyeur.
Là elle marqua un point.
- Vous ne croyez pas que vous avez pris un risque là ?
- Pas du tout. Je savais très bien que vous n’en feriez rien.
- Pourquoi autant de d’assurance ?
- Vous êtes un homme à femmes. Et que votre épouse vous trompe vous en avez tristement rien à faire. Elle est la mère de vos enfants point à la ligne. N’ai-je pas raison ?
- Je reconnais que vous êtes perspicace.
- Merci. Cela vous direz de travailler pour moi ?
- Travailler pour vous ! Mais enfin je n’ai pas besoin de boulot, j’en possède déjà un.
- Je parlais en plus du votre.
- Et cela consiste à faire quoi ?
- A donner à certaine personne le bonheur de réaliser leur fantasme.
- Je ne vous suis pas très bien là.
- Avez-vous un fantasme Alain ?
- Oui… comme toute personne correctement composé.
- Vous l’avez réalisé ?
- Non… hormis pendant mes séances solitaires.
- Et si je vous dis que votre fantasme j’ai les moyens de le réaliser. Vous en dite quoi, là ?
- Que le mien va être impossible à le réaliser.
- Rien n’est impossible.
- Peut-être mais pas le mien… - Si vous travaillez pour moi, je me promets de tout faire pour l’accomplir.
- C’est-ce que vous avez dit à ma femme ?
- Non pas à elle. À Madame Durand !
- Donc s’est Madame Durand l‘organisatrice de la petite sauterie… - Si on veut. Votre femme ayant besoin de partenaire pour assouvir sa… enfin… pardon. Elle s’est donc confiée à Christiane (Madame Durand), qui elle lui a proposé une partie fine, avec le jeunot à la bite de cheval.
- Donc si j’ai bien compris en vous contacte quand on a besoin d’une relation que je dirai un peu spéciale et avec votre baguette magique pour l’exécuter. Vous êtes une fée.
- Si on peut dire. J’ai commencé cette alchimie il y a quelque mois de ça. Une amie est venue me voir pour savoir comment se venger de son mari qui la tromper. Il se trouvait comme un fait exprès que j’avais une connaissance masculine, déçu par les capacités sexuelles de son épouse. Et qui cherchait auprès de moi, comme une consolation. Bien sûr il était loin d’être mon genre de type. Alors j’ai organisé une rencontre avec les deux personnes. Et ça a fait bingo ! Pas mécontente de moi, je me suis dis pourquoi ne pas profiter de la détresse sexuelle de certaine personne pour ouvrir comme une espèce d’agence de rencontre locale. J’ai fait alors jouer mes connaissances. De personne dans le besoin. Et ça a fait boule ne neige. De bouche à oreille il s’est trouvé qu’en peu de temps j’ai eu un panel de mortel intéressé par mon concept. En majorité de femmes, mais pas n’importe lesquelles. Une catégorie que je désignerais huppée, si vous voyez ce que je veux dire. Et qui pour rien au monde abandonnerait leur confort social, contre un divorce. Mais pas moins désireuse de pouvoir tout de même consommer leur fantasme. Bien sûr, bon nombre d’elles ont la trouille de leurs penchants et n’osent pas les mettre en scène. Alors, c’est là que j’interviens. Je les réconforte, et leur dit que tout est possible.
- Et bien ! Vous m’en boucher un coin.
- Vous n’avez pas idée du nombre de bourgeoises qui aiment s’avilir.
- Et tout ça est gratis ?
- Et puis quoi encore. Il faut prendre l’argent où il se trouve ! Vous n’êtes pas de mon avis.
- Certainement ! Je peux savoir l’indemnité pour un tel service ?
- Non petit curieux. Cela reste secret. Et cela dépend aussi de la prestation demandé.
- Madame Durand, par exemple a payé quoi pour avoir… - Rien… me coupa-t-elle. Seul le fait de m’avoir servit sur un plateau d’argent votre femme.
- Elle est au courant de votre manigance, ma femme ?
- Non ! J’ai la chance qu’elle aime la baise. Je m’excuse mais elle fait ça par pur plaisir. Un besoin chez elle de se faire… - Baiser ! La coupais-je, à mon tour. C’est ma femme qui a demandé pour faire ça avec le vieux ?
- Encore non, c’est Raymond (le vieux), qui l’a choisi.
- Comment ça ! Il a choisi ?
- Nous avons un album.
- Je vois. Et pourquoi m’apprendre tout cela ?
- Parce que comme je vous l’ai déjà dit, je vous veux dans mon équipe.
- Et pourquoi moi ? Vous ne savez peut-être pas mais je n’ai pas une queue de cheval, loin s‘en faut même… - Je m’en fou de votre queue. Seul votre physique m‘intéresse.
- Et si ! Je dis bien si j’acceptais votre concept je gagne quoi moi dans cet affaire ?
- Cela dépend du service donné ?
- Plus c’est immoral plus ça rapporte, je me trompe ?
- Vous pigez vite.
- Je vous rencontre quand pour en parler ?
- Jamais ! Par pure sécurité. Je dois rester incognito.
- Alors nous ne risquons pas de nous retrouver dans le même lit.
- C’n’est pas dans le programme… - J’aimerai bien moi.
- Ce que vous aimez, moi je m’en fou. Alors revenant à nos moutons si vous le voulez bien. Vous êtes intéressé ?
- Il faut voir.
- J’ai dans mon tuyau, un couple à la recherche de sensation forte. Leur couple bat de l’aile et ils ont besoin d’un coup de fouet. Il se trouve qu’ils ont le même fantasme. Faire cela avec un autre couple. Donc j’ai pensé à vous.
- À ce que je sache je suis seul dans cette affaire ?
- Oui peut-être, mais vous avez aussi une femme gourmande, côté sexe… - Et comment… enfin… comment voulez-vous que j’entraîne ma femme dans cette aventure.
- Je pense qu’avec 2000Fr, vous trouverez la solution… - Ça aide, oui !
- N’est-ce pas ! C’est oui ou c’est non ? J’ai besoin d’une réponse au plus vite pour avertir le couple.
- Comment s’en organise ?
- C’est tout simple en va en discuter, si tu le veux bien…cela d’ennui quand ce tutoie ?
En cette nuit d’été, je me suis arrangé de me retrouver en tête à tête avec ma femme. Au court du dîner après avoir bien bu, je lui proposais de ce dénudé. Elle ne se fit pas prier pour s’exécuter. Ce fut nu, que nous terminions le dîner. Discutant cul. Et cela sans ce toucher. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s’alluma.
- Tu veux qu’on rentre ? Me fit ma femme.
- Pourquoi ? On n’est pas bien ici ?
De chez nos voisins parvenait une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements.
- Tu as entendu, toi aussi ? Lança Cathy.
- Écoute !
Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendions. Je me levais de ma place.
- Où tu vas ? Me murmura ma femme.
- Voir le film. Répondis-je en m’approchant de la haie.
Un espace providentiel m’offrit une vue sur la terrasse où ils se trouvaient le couple. Elle, allongeait sur le dos sur un bain de soleil, lui, de côté, les mains posées sur la généreuse poitrine, lui caressant les seins. Comme moi, ma femme observait la scène avec attention.
- C’est mieux qu’un film porno, tu ne crois pas ? Lui fis-je.
- Si tu le dis… me répondit-elle.
- Cela ne te plaît pas ?
- Je n’ai pas dit ça… - Je suis certain que tu mouilles.
Je posais ma main sur son intimité et la fouillais. Sa fente était trempée.
- Cochonne ! Lui murmurais-je.
Pendant ce temps la voisine s’agenouilla devant le beau sexe de son mari, qu’elle enfourna. Alors que je caressais les fesses de ma femme. Appuyant mon index sur sa rondelle. Elle se cambra, m’invitant à continuer de lui caresser l’œillet. Entre temps il y eu du changement côté terrasse. Le couple s’étaient placé tête-bêche. Les bruits de succion nous parvenaient distinctement. Et, il fallait bien l’avouer, fit qu’accroitre notre excitation. Comme l’aurait fait un bon film de cul.
Pendant de longue minutes, avec Cathy, nous nous caressions mutuellement, tout en contemplant nos voisins se faire du bien. Jusqu’à ce que la femme se place à quatre pattes devant la queue de son mari. Il la pénétra d’une poussée énergique. Elle ne put contenir un petit cri. Ce fut l’instant que choisis ma femme pour se laisser tomber à mes pieds. Je sentis son souffle court sur ma verge tendue avant que ses lèvres se refermèrent sur moi. Elle fit allé et venir sa bouche le long de mon sexe. Je ne fis rien pour étouffer mes gémissements. J’en rajoutais même. Comme le corbeau me l’avait dit au téléphone. Les voisins comme prévu portèrent leurs regards de notre côté.
C’était l’heure de vérité. Là où tout allait de décider ou pas.
- Le spectacle est à votre goût. Fit la voix de l’homme.
- Oui pas mal. Répondis-je.
- Mais qu’est-ce que tu fais ? Fit ma femme plus bas, en recrachant ma verge humectée de salive.
- Venez donc nous rejoindre, voulez-vous ? Fit de nouveau la voix de l’homme qui se nommer Olivier.
- Ce serait avec plaisir. Lançais-je.
- Mais ça ne va pas ! Répliqua ma femme. Nous ne sommes pas en tenu.
- Parce que ils l’ont eux la tenu ? Aller vient.
- Non ! Je n’y vais pas.
- Arrête de faire l’imbécile, veux-tu ! Ils t’ont vue.
Je la pris par la main et l’entrainais jusqu’au jardin des voisins qui n’étaient pas les voisins, mais un couple en mal de sensation forte.
- Bonsoir. Olivier et Noémie.
- Enchantés. Alain et Cathy.
Un court instant, un silence presque gêné s’installa, personne se semblant comment poursuivre la conversation.
- Vous êtes… ravissants, lança Oliver.
- Merci. Vous êtes de votre côté pas mal ! Répondis-je.
Tout en parlant, nous avions totalement oublié que nous étions nus. Il nous invita à déguster une coupe de champagne. Pour ce faire il prit place à côté de ma femme. Au bout de la deuxième bouteille nous nous sommes tous dégelé. Au point de poser sans préambule sa main sur la cuisse de ma femme, sans qu’elle ne fasse quoi que ce soit pour l’ôter. La partie était lancée.
Je regardais les doigts courir sur sa peau. Remontant lentement vers la fourche poilue. Tout en me regardant, elle ouvrit le compas de ses cuisses. Autorisant à la main fouineuse, l’accès à sa fente. Ceux qui lui provoquèrent de légers soupirs. Noémie se leva, et alla s’agenouiller face à ma femme. Sa fente à seulement, quelques centimètres des lèvres de ma Cathy.
Elle me fixa, un regard interrogatif, comme si elle attendait de ma part un signe pour lancer son envol. Un signal que je lui donnais en hochant la tête. Alors doucement, elle approcha ses lèvres d’où s’en sortit une langue dardée qui se posa sur le sexe. Noémie ne mit pas longtemps à laisser échapper un gémissement. Contente d’elle, ma femme croisa mon regard. Un sourire éclairant son visage. Me lançant un clin d’œil coquin.
Je n’étais pas mécontent de moi. Je lui répondis à mon tour avec un sourire, m‘approchant au plus près de l‘action. L’instant suivant, je la regardais explorer l’intimité de Noémie dans les moindres recoins. Allant même jusqu’à déposer de légers bisous sur son œillet. Olivier, comme moi, regardions les deux femmes, puis il m’a murmuré : - Tout cela c’est bien goupiller, tu ne crois pas ?
- A la perfection.
- Cela te dérange si je te suce ?
- Pas le moins du monde… fais donc… - Merci. Lança-t-il en s’agenouillant face à moi. La tête entre mes cuisses. Je sentais son souffle sur mon sexe bandé. Tournant les yeux, je remarquais le regard de ma femme. Alors qu’il m’avalait, elle me lança un nouveau clin d’œil.
Je baissais mon regard pour apercevoir mon membre aller et venir dans la bouche gourmande d‘Olivier. Je devais reconnaître qu’il était très doué. Sa langue virevoltait autour de ma hampe. Ses mains, loin de rester inactives, me flattèrent les bourses. S’hasardant même parfois plus bas, me procurant des sensations agréables.
Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, ma femme et moi, en train de se donner du plaisir ce couple.
- Tu aimes ? Me fit Olivier - Hum… tu suces divinement bien… - Tu mes suces ? Fit-il.
J’allais m’allonger sur le bain de soleil. Il me chevaucha, approchant son sexe de mes lèvres. Sans réfléchir, j’avalais lentement son gland. Je le fis aller et venir en moi comme j’aurais aimé quand me le fasse. Cajolant ses couilles, me concentrant à lui procurer que du bien. J’entendais venant du côté des femmes ma femme jouir. Je sentais qu’Olivier était à en faire de même. Son sperme épais arrosa mon palais. Je ne cessais ma fellation que lorsque je sentis plus de jus sortir de son méat.
- Je pense que nous avons besoin de remontant ! Fit Olivier. Chérie veux-tu amener une bouteille, s’il te plaît ?
- Cathy tu me prête ton mari ?
- Bien sûr !
- Merci ! Répondit-elle en maintenant ma verge à la verticale. La présentant à l’entrée de son sexe. Elle descendait lentement. Jusqu’à ce que nos poils pubiens se mélange. Puis elle commença alors à monter et descendre sur moi. S‘enfonçant ma verge chaque fois jusqu’à la garde en poussant de légers gémissements. Sous le regard envieux de nos époux respectif.
Puis Cathy se lança, se plaçant à quatre pattes. Tendant son popotin à Olivier. Dans une invite muette. Noémie s’activait toujours sur moi. Ses gémissements s’amplifiaient au fil des minutes. Je sentais ses muscles intimes se contracter sur ma verge et sa liqueur venant chauffer mes couilles.
Je délaissais un peu ma partenaire pour m’intéresser à ma femme. J’admirais la verge allait et venir profondément dans le vagin de ma femme. Noémie s’écrasa sur mon torse, et vint me mordre l‘épaule. Olivier commençait à aller et venir en elle plus franchement, s’enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs d’aise. Il m’en fallait pas plus pour parvenir à l’orgasme. Dans un râle, je me fichais au fond de Noémie et me déversais en elle. Mon éjaculation provoqua le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s’affaler, presque inerte, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.
Nous avions repris nos esprits devant une coupe de champagne. Très vite après Olivier succomba au verre de trop. Et alla s’allonger sur un bain de soleil. Comme les femmes avaient quant à elles encore soif, je me proposais d’aller chercher une bouteille dans mon frigo.
À mon retour je trouvais les femmes à plat dos, côte à côte et leurs deux têtes rapprochées, les jambes écartées, chacune la main entre les cuisses de l’autre.
Elles se caressaient vaguement, presque avec maladresse. Ma femme y mettait peut-être un peu plus d’ardeur. Aucunes des deux femmes ne m’avaient entendu arrivée. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Noémie réagit la première. Son pubis se soulevait d’une façon saccadé. Esquissant les mouvements d’un coït. Ma femme avait franchi la barrière. Celle de donner du plaisir à une autre femme. Cela gommait toute équivoque.
Elle roula sur le côté. Sa main gauche venant à la rescousse de l’autre. Le frôlement continua, puis ses doigts plongèrent, s’installèrent, bougèrent comme l’aurait mon pénis à leurs places. Noémie secouait la tête. Elle serrait les jambes pour retenir prisonnière la main qui lui procurer tant de bien. Le plaisir fut au rendez-vous. Noémie se redressa d’un bond. Les joues rouges. Les paupières closes. Les dents découvertes. Elle ne cria pas mais retomba doucement en arrière, comme une fleur coupée.
- Viens… me fit ma femme, en découvrant ma présence. Les bras tendus.
Un sourire gourmand étirait ses lèvres. Je bandais dur. Noémie récupérait, le compas de ses jambes à son maximum d’ouverture. Je fixais mon regard sur le haut de ses cuisses.
Une fente ouverte vint se refléter dans mes rétines. De couleur grenat dans le prolongement de sa raie, d’où m’apparaissait un petit trou crispé. Mais Cathy n’en avait pas fini avec elle. Elle l‘aidait à se positionner à quatre pattes. M’exposant ses fesses arrondies. Je ne pus me contenir de les masser. De les claquer avant de les disjoindre.
Pour être au plus près du sexe, je m’agenouillais. À l’aide de mes doigts, je l’ouvrais. Dévoilant les nymphes et l’entrée du vagin qui bâillait. Exhibant une chair rouge plus vive que les replis. Je trouvais cette bouche poilue terriblement excitante.
Au point de ne pas pouvoir m’empêcher d’y enfoncer mon pouce. Que je me mis à agiter. La branlant vite et fort. Provoquant un bruit obscène de clapotis. Ses reins firent des mouvements de plus en plus rapides.
Cathy me prit en bouche. Au bout de mon gros doigt, Noémie gémissait, dansait, soufflait. Elle n’allait pas tarder à décoller. Comme je l’étais moi-même. Je me sentais gonflé dans la bouche de ma femme. Noémie extériorisa son orgasme. Comme pour le partager. En poussant des cris. Me entant tout proche de conclure, ma moitié me recracha, et me lança : - Baise-la, dit-elle. Je veux voir… - T’en est sûr ?
Sans donner une réponse à ma question, elle plaça mon engin tout luisant de la salive devant l’antre de plaisir de la femme que j’enfilais en levrette. Elle poussa un long gémissement rauque lorsque je m’enfonçais. Elle venait de jouir une fois encore. Je commençais à ramoner cet attrayant fourreau. Tout proche, Cathy regardait mon membre luisant, entrée et sortir de la gaine. Entrainant à chaque sortir l’anneau de peau fine et nacrée. Noémie délirait de plus belle. Au point de ne plus pouvoir me retenir. Je propulsais ma semence dans le con, puis me laissais tomber sur le sol de la terrasse.
- Encore !… encore !… lança Noémie. Loin d’être rassasier.
C’est alors que ma femme se saisit d’un concombre posé sur la corbeille. Et commença par frotter l’extrémité sur la chatte béante de Noémie, sans trop l’appuyer. La coquine loin d’être étancher devint comme folle. Réclamant haut et fort à avoir encore des orgasmes. Je vis alors ma femme introduire violemment la moitié du légume dans l‘entaille de notre partenaire. Qui poussa un cri de surprise, avant de revenir rapidement dans un état de jouissance. Sous l’assaut répété. Du jus coulait le long du concombre. Avec un sourire gourmant, lâchant le cucurbitacée. Ma femme me fixa. Comme si elle me défiait du regard. Elle prit place devant notre partenaire de cul. Les deux chattes face l’une de l’autre. Elle se saisit de l’autre extrémité du concombre celle qui était encore apparente. Et se l’enfila. Elles ont lentement commencé des mouvements de va-et-vient puis petit à petit, l’action s’est précipitée et leurs gestes devinrent incontrôlables. Elles poussèrent des cris de plaisir.
Au bout d’un certain temps, n’en pouvant plus, elles se sont arrêtées pour reprendre leurs souffles. Laissant tomber à terre le pauvre concombre qui à cause de la friction avait perdu sa couleur.
Il était temps pour ma femme et moi de prendre congé. Que fut ma surprise de voir sur la table du déjeuner le lendemain, une salade de concombre à la sauce blanche…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...