Tranche de ma vie.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tranche de ma vie.
Mon réveil indiquait 7 h 30. Dans une heure, Hélène arrivait. L’amie de ma femme, qui venait de temps en temps prendre du plaisir avec moi. Mais malheureusement, ce matin ce n’était pas d’elle que j’avais envie.
Je pris une douche, et je passais ensuite mes vêtements, un paquet de mouchoirs jetables, deux préservatifs que je fourrais dans la poche de mon blouson et je filais avec la ferme intention de me faire une inconnue. Les meilleurs coups !
Je flânais pour ça sur le trottoir de la ville, aux aguets de la perle rare, lorsque changeant de direction, j’aperçus une vieille 2CH se garer. Je remarquais tout de suite la femme se trouvant derrière le volant. Une bourge vue sa coiffure et son apparence. Je stagnais sur place, espérant qu’elle m’en donne plus. Et la voilà qu’elle ouvrait sa portière (dont l’ouverture se faisait à l’inverse de celle d’aujourd’hui) et s’apprêtait à descendre. Me voyant la mater, elle hésitait et entrouvrait un peu la porte, me permettant de voir tout de même sa tenue vestimentaire, un tailleur jupe-veste.
Agacée par ma présence, elle voulut précipiter sa sortie pour me montrer le moins possible de son anatomie. Elle ouvrait complètement la porte et tentait de descendre rapidement, mais malheureusement pour elle, son sac à main resta accroché à je ne sais à quoi. Elle restait ainsi coincée, une jambe à l’extérieur de l’habitacle et l’autre à l’intérieur. Ses cuisses largement écartées laissaient apercevoir sa culotte blanche. Mon sexe s’affola dans mon slip. La femme gesticulait, ce qui faisait accroître la montée de sa jupe, et cela pour mon plus grand plaisir. J’étais plus que jamais à l’arrêt, comme un chien de chasse attendant sa proie, profitant en toute impunité de cette belle vue.
-Vous voulez que je vous aide, ma chère dame ? disais-je.
- Oui ! Allez au diable ! rugissait-elle.
Je sus qu’elle et moi cela n’allait pas matcher ! Alors je pris congé. Je me dis qu’il y a assez de femmes autour de moi pour ne pas m’accrocher à une bourgeoise mal lunée, et de surcroit arrogante.
D’ailleurs, mon attention se portait sur la mère de famille qui tenait dans chaque main une fillette. Cheveux bouclés très noirs, elle portait un petit haut de satin qui épousait parfaitement ses formes, rehaussé joliment de dentelles. Cela me donnait envie de venir la caresser, de faire passer son sein au-dessus de cette dentelle. Une minijupe sous son manteau déboutonné, le tout monté sur des bottes en cuir noirs.
Elle ondulait des hanches jusqu’au portail de l’entrée de l’école, où elle et ses deux fillettes prenaient position, attendant que les portes s’ouvraient. Je restais immobile à l’angle de la rue pour l’observer. Je lui donnais la trentaine. Soudain, sans savoir pourquoi, elle se mit à me fixer, et je crus deviner très vite un vague sourire sur ses lèvres. La douceur de ses traits et la beauté de son sourire me laissaient rêveur. Malheureusement pour moi, le portail de l’école s’ouvrait et elle disparut, comme avalée par l’entrée du bâtiment.
Sa frêle silhouette ressortit quelques instant plus tard, sautillant sur le trottoir. Sans perdre de temps, je la suivis, bien décidé de prendre du bon temps avec elle.
Je me mis à la suivre. La jeune femme ne cessait pas de se retourner pour savoir si j’étais toujours derrière elle. C’était le genre de femme ayant ma préférence, les plus vulnérables. Celles dont le mari, après la naissance de ses enfants, passait le plus longtemps de son temps devant la télé en décoiffant les cannettes de bière au lieu de satisfaire sa conjointe sexuellement. Devenant aux yeux de l’époux un meuble, dont il n’était pourtant pas question de se séparer.
Au bout d’une bonne marche, je la vis sortir un trousseau de clés de la poche de son imperméable. Et s’empressa d’ouvrir la porte d’un hall et se retourna, comme pour savoir si j’étais toujours là. Conforter, elle s’assura que la porte ne se referme pas. J’avançais jusqu’à l’entrée. Ne parlant qu’avec mes yeux, je m’engageais dans un intérieur sombre, sans toucher à la minuterie. Je laissais la porte claquée derrière moi.
Le hall sentait le propre. Peu à peu ma vue s’habitua à l’obscurité, ce qui me permit de la distinguer. Elle se dirigea sous l’escalier. Ne sachant que faire, je restais dans ma position, alors elle me fit signe de la rejoindre. Je fis les quelques pas qui nous éloigner. Je discernais des froissements d’étoffes venant du lieu où elle s’était réfugier. Je la surpris en train se caresser. Elle arrêta sa caresse pour m’attirer à elle, et me murmura d’une voix hachée par le désir : - Dépêche toi, caresse mes seins.
J’avoues que ce n’était pas ma tasse de thé. Alors comme je ne me décider pas, elle me prit de force ma main, la glissa sous son haut.
J’en pressai la pointe entre le pouce et l’index, elle prit du volume. Je m’enhardis à vouloir prendre ses seins en pleines mains, elles étaient bien trop petites pour y parvenir ! Alors je me fis brutal, mes doigts pénétrèrent dans ces masses élastiques. La femme gémit : - Sauvage tu me fais mal… n’arrête surtout pas… c’est trop bon !
Elle retirait tout ce qui la gêner, afin de refermer sa main se sur ma queue, et elle me branla. Puis elle attira mon visage pour que je me retrouve le nez entre ses seins.
- Embrasse-les, suce les bouts… Je la tétai comme un bébé affamé. Toute cette peau douce chaude parfumée me faisait perdre la tête. Je connus à cause de sa main un plaisir trop rapide.
Malgré l’orgasme, je ne cessais d’embrasser un mamelon tout en faisant rouler l’autre entre mes doigts.
- Oui ! Encore ! C’est fou, tu vas me faire jouir rien qu’en me touchant les seins !
Puis en un clin d’œil, je me retrouvai les mains tenues au-dessus de la tête, immobilisé sous la femme, assise sur ma poitrine.
Une sensation de chaleur tout près de ma gorge me fit baisser les yeux, c’était son sexe qui s’écrasait sur mon sternum, si près de mon menton que j’étais contraint de loucher pour apercevoir la toison bouclée du pubis. Je pris conscience de l’odeur de crevette que dégageait sa vulve.
Comme c’était bon d’être ainsi réduit à l’impuissance ! J’étais tellement excité que la chère inconnue pouvait faire de moi ce qu’elle voulait.
D’ailleurs son sourire indiquait qu’elle avait compris que je lui opposerais aucune résistance. Elle lâcha mes poignets et prenant ses seins dans les mains, elle me dit : - Tu les vois mieux comme ça, non ? Ils te plaisent ?
Puis elle se redressa sur les genoux et j’eus en face des yeux son pubis. Sous la toison brune, une coupure verticales bien nette apparaissait. La femme, suivant mon regard, en écarta les deux bords, du bout des doigts.
- Regarde coquin, je te présente ma chatte.
L’odeur de poisson s’était amplifiée. L’indécence du spectacle m’assécha la gorge. Un grand nombre de plis se recoupaient, dans un réseau au relief tourmenté. Les muqueuses rose vif étaient rendues brillantes par un liquide clair qui moussait dans les parties les plus creuses.
Mon observation tourna court car le visage coincé entre ses cuisses, je ne pus éviter qu’elle applique sa vulve sur ma bouche. Les poils de son pubis me grattaient les joues et le nez tandis que le parfum de son sexe saturait mes narines.
- Allez ! Lèche… m’ordonna-t-elle.
Je sortis ma langue dont les papilles réagirent aussitôt à la saveur du jus salé qui les mouilla.
Je tira davantage la langue et le nez dans la toison balayai la vulve sur toute sa longueur.
Je contactai rapidement que si moi j’étais attiré par l’orifice inférieur, l‘inconnue, elle, préférait que je lèche la petite aspérité du haut. Je m’appliquais à la satisfaire.
Petit à petit, je me pris au jeu. Je plantai mes doigts dans ses fesses et lui dévorai la chatte, la mordant même, ce qui me valut de me faire tirer les cheveux. Je me mis à aspirer toutes les chairs à ma portée. Quand son petit bouton se retrouva entre mes lèvres, l’inconnue me saisit la nuque, m’écrasant le nez contre ses poils. Je pouvais à peine respirer.
Je me déchaînai, tétant de toutes mes forces le petit organe en érection. M’immobilisant toujours la tête, elle frottait sa vulve sur mon visage qui soudain, fut inondé.
- Tu as été merveilleux, tu m’as fait jouir très fort, tu es doué. Tu mérites une récompense.
Elle fit demi-tour et se retrouva agenouillée au-dessus de moi, dans une position qui m’offrait en gros plan fesses et entrecuisses. Je dévorai des yeux ce tableau.
Je crus défaillir en sentant ses lèvres se refermer sur ma verge. Quand elle fit frétiller la point de sa langue sur le frein, ce fut comme si une décharge électrique me traversait. Je criais de plaisir.
Puis m’encerclant la base de la queue entre pouce et index, elle fit glisser mon sexe entre ses lèvres jusqu’à ce qu’elles rencontrent le ventre. Là, elle s’immobilisa et aspira. Je sentis, ses joues creusées me serrer la verge. J’eus l’impression que celle-ci gonflait encore, je n’avais jamais rien ressenti de tel.
Après quelques va-et-vient qui me procurèrent des sensations sublimes, j’étais sur le point de jouir quand elle se redressa. Entre ses doigts ma bite resta tendue.
- Non ! Encore !
Je n’avais pas pu me retenir de la supplier, tellement la frustration était grande.
- Je te suce si j’en ai envie. Et tu fais ce que je te demande, sinon… Elle me gifla la queue d’un revers de main. Des larmes m’en vinrent aux yeux.
- Alors ? Tu obéiras ?
- Oui… répondis-je.
- On va voir ça tout de suite… moi je t’ai sucé la bite, toi tu vas me lécher la raie des fesses et le petit trou. Personne ne me l’a jamais fait. Depuis le temps que j’en ai envie !
Sa main me branlait lentement. Elle m’avait mis dans un tel état d’excitation que j’aurais fait n’importe quoi pour la satisfaire.
- Passe ta langue… Je saisis ses hanches et soulevai la tête pour que ma bouche vienne au contact de ses fesses. Je suivis le sillon chaud du plat de la langue, passant sur l’anus sans m’arrêter. Le bout de ma langue passa sur les minuscules rides qui entouraient l’orifice. Elle exigea que je l’enfonce.
Je sentis son anus gonfler contre mes lèvres, elle poussait comme pour faire la salope. Effectivement le trou s’élargit et je pus y introduire la pointe de ma langue, mais je la ressortis immédiatement tellement le goût était amer.
- Encore ! M’ordonna-t-elle.
J’écartai ses fesses, un bourrelet ridé entourait à présent une ouverture noire du diamètre de mon petit doigts. J’y collai la bouche. Ma langue tendue força le passage et je fus surpris de sentir une paroi parfaitement lisse. L’amertume persistait.
Pourtant j’étais excité d’être contraint à ce geste dégradant. Je plongeai ma langue le plus profondément possible avant de la ressortir pour la réintroduire de nouveau, trouvant l’alternance qui fit gémir la femme de bonheur. Quand elle me libéra, après avoir manifesté sa satisfaction par plusieurs : oui ! C’est bon… j’avais la mâchoire ankylosée.
Aussitôt après, elle me saisit les couilles d’une main et de l’autre, guida ma queue entre ses lèvres.
Je n’étais plus que sensation, totalement esclave de la bouche de l‘inconnue. Ma verge était caressée par du velours, j’en fermai les yeux, me privant du spectacle de la croupe épanouie qui me dominait. Elle s’attarda sur l’endroit. Comment osait-elle toucher la zone la plus sale de mon corps ? Un doigt tourna sur l’orifice hermétiquement clos, me procurant une bonne sensation, agaçante. Il se retira bientôt. Je poussai un soupir de soulagement et relâchai mon sphincter. Ce fut l’instant qu’elle choisit pour vaincre ma résistance.
Une phalange me pénétra le cul, telle un gros suppositoire. Dans sa bouche, ma queue était agitée de soubresauts incontrôlables. Totalement à sa merci. J’abandonnai toute volonté. Elle ne retira son doigts qu’après que le plaisir m’eut submergé. J’eus la désagréable impression que mon anus restait ouvert. Une immense lassitude m’envahit.
- Cochon ! Tu m’as juté dans ma bouche.
Le temps de nous essuyer, de nous rajuster, je pris congé. Il m’arrive encore aujourd’hui, de repenser à cette aventure.
Je pris une douche, et je passais ensuite mes vêtements, un paquet de mouchoirs jetables, deux préservatifs que je fourrais dans la poche de mon blouson et je filais avec la ferme intention de me faire une inconnue. Les meilleurs coups !
Je flânais pour ça sur le trottoir de la ville, aux aguets de la perle rare, lorsque changeant de direction, j’aperçus une vieille 2CH se garer. Je remarquais tout de suite la femme se trouvant derrière le volant. Une bourge vue sa coiffure et son apparence. Je stagnais sur place, espérant qu’elle m’en donne plus. Et la voilà qu’elle ouvrait sa portière (dont l’ouverture se faisait à l’inverse de celle d’aujourd’hui) et s’apprêtait à descendre. Me voyant la mater, elle hésitait et entrouvrait un peu la porte, me permettant de voir tout de même sa tenue vestimentaire, un tailleur jupe-veste.
Agacée par ma présence, elle voulut précipiter sa sortie pour me montrer le moins possible de son anatomie. Elle ouvrait complètement la porte et tentait de descendre rapidement, mais malheureusement pour elle, son sac à main resta accroché à je ne sais à quoi. Elle restait ainsi coincée, une jambe à l’extérieur de l’habitacle et l’autre à l’intérieur. Ses cuisses largement écartées laissaient apercevoir sa culotte blanche. Mon sexe s’affola dans mon slip. La femme gesticulait, ce qui faisait accroître la montée de sa jupe, et cela pour mon plus grand plaisir. J’étais plus que jamais à l’arrêt, comme un chien de chasse attendant sa proie, profitant en toute impunité de cette belle vue.
-Vous voulez que je vous aide, ma chère dame ? disais-je.
- Oui ! Allez au diable ! rugissait-elle.
Je sus qu’elle et moi cela n’allait pas matcher ! Alors je pris congé. Je me dis qu’il y a assez de femmes autour de moi pour ne pas m’accrocher à une bourgeoise mal lunée, et de surcroit arrogante.
D’ailleurs, mon attention se portait sur la mère de famille qui tenait dans chaque main une fillette. Cheveux bouclés très noirs, elle portait un petit haut de satin qui épousait parfaitement ses formes, rehaussé joliment de dentelles. Cela me donnait envie de venir la caresser, de faire passer son sein au-dessus de cette dentelle. Une minijupe sous son manteau déboutonné, le tout monté sur des bottes en cuir noirs.
Elle ondulait des hanches jusqu’au portail de l’entrée de l’école, où elle et ses deux fillettes prenaient position, attendant que les portes s’ouvraient. Je restais immobile à l’angle de la rue pour l’observer. Je lui donnais la trentaine. Soudain, sans savoir pourquoi, elle se mit à me fixer, et je crus deviner très vite un vague sourire sur ses lèvres. La douceur de ses traits et la beauté de son sourire me laissaient rêveur. Malheureusement pour moi, le portail de l’école s’ouvrait et elle disparut, comme avalée par l’entrée du bâtiment.
Sa frêle silhouette ressortit quelques instant plus tard, sautillant sur le trottoir. Sans perdre de temps, je la suivis, bien décidé de prendre du bon temps avec elle.
Je me mis à la suivre. La jeune femme ne cessait pas de se retourner pour savoir si j’étais toujours derrière elle. C’était le genre de femme ayant ma préférence, les plus vulnérables. Celles dont le mari, après la naissance de ses enfants, passait le plus longtemps de son temps devant la télé en décoiffant les cannettes de bière au lieu de satisfaire sa conjointe sexuellement. Devenant aux yeux de l’époux un meuble, dont il n’était pourtant pas question de se séparer.
Au bout d’une bonne marche, je la vis sortir un trousseau de clés de la poche de son imperméable. Et s’empressa d’ouvrir la porte d’un hall et se retourna, comme pour savoir si j’étais toujours là. Conforter, elle s’assura que la porte ne se referme pas. J’avançais jusqu’à l’entrée. Ne parlant qu’avec mes yeux, je m’engageais dans un intérieur sombre, sans toucher à la minuterie. Je laissais la porte claquée derrière moi.
Le hall sentait le propre. Peu à peu ma vue s’habitua à l’obscurité, ce qui me permit de la distinguer. Elle se dirigea sous l’escalier. Ne sachant que faire, je restais dans ma position, alors elle me fit signe de la rejoindre. Je fis les quelques pas qui nous éloigner. Je discernais des froissements d’étoffes venant du lieu où elle s’était réfugier. Je la surpris en train se caresser. Elle arrêta sa caresse pour m’attirer à elle, et me murmura d’une voix hachée par le désir : - Dépêche toi, caresse mes seins.
J’avoues que ce n’était pas ma tasse de thé. Alors comme je ne me décider pas, elle me prit de force ma main, la glissa sous son haut.
J’en pressai la pointe entre le pouce et l’index, elle prit du volume. Je m’enhardis à vouloir prendre ses seins en pleines mains, elles étaient bien trop petites pour y parvenir ! Alors je me fis brutal, mes doigts pénétrèrent dans ces masses élastiques. La femme gémit : - Sauvage tu me fais mal… n’arrête surtout pas… c’est trop bon !
Elle retirait tout ce qui la gêner, afin de refermer sa main se sur ma queue, et elle me branla. Puis elle attira mon visage pour que je me retrouve le nez entre ses seins.
- Embrasse-les, suce les bouts… Je la tétai comme un bébé affamé. Toute cette peau douce chaude parfumée me faisait perdre la tête. Je connus à cause de sa main un plaisir trop rapide.
Malgré l’orgasme, je ne cessais d’embrasser un mamelon tout en faisant rouler l’autre entre mes doigts.
- Oui ! Encore ! C’est fou, tu vas me faire jouir rien qu’en me touchant les seins !
Puis en un clin d’œil, je me retrouvai les mains tenues au-dessus de la tête, immobilisé sous la femme, assise sur ma poitrine.
Une sensation de chaleur tout près de ma gorge me fit baisser les yeux, c’était son sexe qui s’écrasait sur mon sternum, si près de mon menton que j’étais contraint de loucher pour apercevoir la toison bouclée du pubis. Je pris conscience de l’odeur de crevette que dégageait sa vulve.
Comme c’était bon d’être ainsi réduit à l’impuissance ! J’étais tellement excité que la chère inconnue pouvait faire de moi ce qu’elle voulait.
D’ailleurs son sourire indiquait qu’elle avait compris que je lui opposerais aucune résistance. Elle lâcha mes poignets et prenant ses seins dans les mains, elle me dit : - Tu les vois mieux comme ça, non ? Ils te plaisent ?
Puis elle se redressa sur les genoux et j’eus en face des yeux son pubis. Sous la toison brune, une coupure verticales bien nette apparaissait. La femme, suivant mon regard, en écarta les deux bords, du bout des doigts.
- Regarde coquin, je te présente ma chatte.
L’odeur de poisson s’était amplifiée. L’indécence du spectacle m’assécha la gorge. Un grand nombre de plis se recoupaient, dans un réseau au relief tourmenté. Les muqueuses rose vif étaient rendues brillantes par un liquide clair qui moussait dans les parties les plus creuses.
Mon observation tourna court car le visage coincé entre ses cuisses, je ne pus éviter qu’elle applique sa vulve sur ma bouche. Les poils de son pubis me grattaient les joues et le nez tandis que le parfum de son sexe saturait mes narines.
- Allez ! Lèche… m’ordonna-t-elle.
Je sortis ma langue dont les papilles réagirent aussitôt à la saveur du jus salé qui les mouilla.
Je tira davantage la langue et le nez dans la toison balayai la vulve sur toute sa longueur.
Je contactai rapidement que si moi j’étais attiré par l’orifice inférieur, l‘inconnue, elle, préférait que je lèche la petite aspérité du haut. Je m’appliquais à la satisfaire.
Petit à petit, je me pris au jeu. Je plantai mes doigts dans ses fesses et lui dévorai la chatte, la mordant même, ce qui me valut de me faire tirer les cheveux. Je me mis à aspirer toutes les chairs à ma portée. Quand son petit bouton se retrouva entre mes lèvres, l’inconnue me saisit la nuque, m’écrasant le nez contre ses poils. Je pouvais à peine respirer.
Je me déchaînai, tétant de toutes mes forces le petit organe en érection. M’immobilisant toujours la tête, elle frottait sa vulve sur mon visage qui soudain, fut inondé.
- Tu as été merveilleux, tu m’as fait jouir très fort, tu es doué. Tu mérites une récompense.
Elle fit demi-tour et se retrouva agenouillée au-dessus de moi, dans une position qui m’offrait en gros plan fesses et entrecuisses. Je dévorai des yeux ce tableau.
Je crus défaillir en sentant ses lèvres se refermer sur ma verge. Quand elle fit frétiller la point de sa langue sur le frein, ce fut comme si une décharge électrique me traversait. Je criais de plaisir.
Puis m’encerclant la base de la queue entre pouce et index, elle fit glisser mon sexe entre ses lèvres jusqu’à ce qu’elles rencontrent le ventre. Là, elle s’immobilisa et aspira. Je sentis, ses joues creusées me serrer la verge. J’eus l’impression que celle-ci gonflait encore, je n’avais jamais rien ressenti de tel.
Après quelques va-et-vient qui me procurèrent des sensations sublimes, j’étais sur le point de jouir quand elle se redressa. Entre ses doigts ma bite resta tendue.
- Non ! Encore !
Je n’avais pas pu me retenir de la supplier, tellement la frustration était grande.
- Je te suce si j’en ai envie. Et tu fais ce que je te demande, sinon… Elle me gifla la queue d’un revers de main. Des larmes m’en vinrent aux yeux.
- Alors ? Tu obéiras ?
- Oui… répondis-je.
- On va voir ça tout de suite… moi je t’ai sucé la bite, toi tu vas me lécher la raie des fesses et le petit trou. Personne ne me l’a jamais fait. Depuis le temps que j’en ai envie !
Sa main me branlait lentement. Elle m’avait mis dans un tel état d’excitation que j’aurais fait n’importe quoi pour la satisfaire.
- Passe ta langue… Je saisis ses hanches et soulevai la tête pour que ma bouche vienne au contact de ses fesses. Je suivis le sillon chaud du plat de la langue, passant sur l’anus sans m’arrêter. Le bout de ma langue passa sur les minuscules rides qui entouraient l’orifice. Elle exigea que je l’enfonce.
Je sentis son anus gonfler contre mes lèvres, elle poussait comme pour faire la salope. Effectivement le trou s’élargit et je pus y introduire la pointe de ma langue, mais je la ressortis immédiatement tellement le goût était amer.
- Encore ! M’ordonna-t-elle.
J’écartai ses fesses, un bourrelet ridé entourait à présent une ouverture noire du diamètre de mon petit doigts. J’y collai la bouche. Ma langue tendue força le passage et je fus surpris de sentir une paroi parfaitement lisse. L’amertume persistait.
Pourtant j’étais excité d’être contraint à ce geste dégradant. Je plongeai ma langue le plus profondément possible avant de la ressortir pour la réintroduire de nouveau, trouvant l’alternance qui fit gémir la femme de bonheur. Quand elle me libéra, après avoir manifesté sa satisfaction par plusieurs : oui ! C’est bon… j’avais la mâchoire ankylosée.
Aussitôt après, elle me saisit les couilles d’une main et de l’autre, guida ma queue entre ses lèvres.
Je n’étais plus que sensation, totalement esclave de la bouche de l‘inconnue. Ma verge était caressée par du velours, j’en fermai les yeux, me privant du spectacle de la croupe épanouie qui me dominait. Elle s’attarda sur l’endroit. Comment osait-elle toucher la zone la plus sale de mon corps ? Un doigt tourna sur l’orifice hermétiquement clos, me procurant une bonne sensation, agaçante. Il se retira bientôt. Je poussai un soupir de soulagement et relâchai mon sphincter. Ce fut l’instant qu’elle choisit pour vaincre ma résistance.
Une phalange me pénétra le cul, telle un gros suppositoire. Dans sa bouche, ma queue était agitée de soubresauts incontrôlables. Totalement à sa merci. J’abandonnai toute volonté. Elle ne retira son doigts qu’après que le plaisir m’eut submergé. J’eus la désagréable impression que mon anus restait ouvert. Une immense lassitude m’envahit.
- Cochon ! Tu m’as juté dans ma bouche.
Le temps de nous essuyer, de nous rajuster, je pris congé. Il m’arrive encore aujourd’hui, de repenser à cette aventure.
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Les avis des lecteurs
Toutes les histoires de cet auteur sont très agréables mais malheureusement les trop nombreuses fautes d'orthographe et de grammaire en rendent la lecture difficile.