Travaux d'Hercule -11 -
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule -11 -
Les naïades virevoltent autour de lui, frôlent son corps, mais leur charme ne perturbe pas l'impassibilité d'Héraclès ; froid comme le marbre il questionne les nymphes aquatiques sur le jardin des Hespérides, sur ses pommes d'or et sa localisation.. Devant l'agacement évidant de notre héros, les gracieuses néréides vont lui livrer, toutes en chœur, une information importante : bien qu'elles ne connaissent pas l'emplacement du jardin des pommes d'or, elles connaissent un personnage nommé Nérée, Vieillard de la mer, qui pourrait l'aider dans sa quête ; elles lui indiquent l'endroit où le vieux sage à l'habitude de dormir.
Le voilà lancé dans une aventure qui risque de le marquer. Il garde quand même le souvenir d’une des naïades particulièrement audacieuse. Elle se cache parmi les autres : il la retrouve vite. Sa queue bande sous sa tunique toujours sale, de plus en plus sale avec des traces de sperme entre autre.
Ils sont ensemble, lui bande toujours et elle a envie de sa queue. Elle fait ce que beaucoup d’autre refusent : elle lui prend la pine. Ils ne connaissent pas la pudeur, surtout elle. Elle le branle à peine deux coup pour être sure qu’il fera l’affaire.
Collée contre lui, une cuise relevée elle est prête à ce qu’il la déshonore. Toujours un peu maladroit, même s’il fait des progrès, il arrive à la toucher au bon endroit, pas au cul comme souvent, mais dans la fente. Pourtant c’est elle qui fit les mouvements voulus : elle fait comme avec un de ses copines, venue de Lesbos, quand elle se caresse la chatte contre la jambe. Elle se crispe dans un grand spamme pour jouir tranquillement, pour demander encore….
Pour ce onzième voyage pour être moins seul ; il l’embarque avec lui. C’est un bon investissent : elle baise plutôt bien, elle coud et fait une peu de cuisine. Il connait enfin la douceur d’un foyer de l’époque même si la cuisine n’est pas encore au point : crudité, concombre à la crème, aubergines à la crétoise. Tous les soirs c’est agréable d’avoir la soupe prête avant une longue séance de zig zig. Elle y excelle en variant les positions que des indous ont exportés plus tard sous un nom bizarre. Sa préférées et celle de la brouette mexicaine (même si personne n’est foutu de dire où se trouve ce pays) : il faut que la femme soit sur le dos, les jambes réunies. Hercule venant la soulever pour que seule la tête repose sur le sol. Il entre sa queue dans le peu d’espace qui reste entre le corps et les chevilles. (Je ne sais pas vous, j’ai essayé, c’est totalement impraticable pour nous autres civilisés)
Bref ils baisent comme ils en ont envie tout le long du chemin en s’arrêtant selon les désirs d’Hercule devenu gourmant : sur le talus d’un chemin ou d’une futur voie ferrée. Il en arrive même à user sa queue plus vite qu’elle repousse.
Enfin, vers la côte ligure, Hercule rencontre un vieux bonhomme. Il pose la question de savoir s’il sait où est Nérée. Le hasard de l’histoire fait que c’est justement celui qu’il cherchait. Clopin clopant il est dirigé vers le verger resté inconnu à cause de son nom : il fut dire le JARDIN et non verger
Un chiot garde le portail en fer forgé. Il a plutôt envie de jouer en jappant, en faisant plusieurs fois l’aller et retour. Il pisse sans lever la patte : il est trop jeune. Profitant lâchement de la situation Hercule cueille des pommes pour remplir sa tunique relevé à la grande joie de la naïade qui le pompe allègrement pour avaler sa semence, celle qui fait du bien comme remède aux jambes enflées des femmes.
Le voilà lancé dans une aventure qui risque de le marquer. Il garde quand même le souvenir d’une des naïades particulièrement audacieuse. Elle se cache parmi les autres : il la retrouve vite. Sa queue bande sous sa tunique toujours sale, de plus en plus sale avec des traces de sperme entre autre.
Ils sont ensemble, lui bande toujours et elle a envie de sa queue. Elle fait ce que beaucoup d’autre refusent : elle lui prend la pine. Ils ne connaissent pas la pudeur, surtout elle. Elle le branle à peine deux coup pour être sure qu’il fera l’affaire.
Collée contre lui, une cuise relevée elle est prête à ce qu’il la déshonore. Toujours un peu maladroit, même s’il fait des progrès, il arrive à la toucher au bon endroit, pas au cul comme souvent, mais dans la fente. Pourtant c’est elle qui fit les mouvements voulus : elle fait comme avec un de ses copines, venue de Lesbos, quand elle se caresse la chatte contre la jambe. Elle se crispe dans un grand spamme pour jouir tranquillement, pour demander encore….
Pour ce onzième voyage pour être moins seul ; il l’embarque avec lui. C’est un bon investissent : elle baise plutôt bien, elle coud et fait une peu de cuisine. Il connait enfin la douceur d’un foyer de l’époque même si la cuisine n’est pas encore au point : crudité, concombre à la crème, aubergines à la crétoise. Tous les soirs c’est agréable d’avoir la soupe prête avant une longue séance de zig zig. Elle y excelle en variant les positions que des indous ont exportés plus tard sous un nom bizarre. Sa préférées et celle de la brouette mexicaine (même si personne n’est foutu de dire où se trouve ce pays) : il faut que la femme soit sur le dos, les jambes réunies. Hercule venant la soulever pour que seule la tête repose sur le sol. Il entre sa queue dans le peu d’espace qui reste entre le corps et les chevilles. (Je ne sais pas vous, j’ai essayé, c’est totalement impraticable pour nous autres civilisés)
Bref ils baisent comme ils en ont envie tout le long du chemin en s’arrêtant selon les désirs d’Hercule devenu gourmant : sur le talus d’un chemin ou d’une futur voie ferrée. Il en arrive même à user sa queue plus vite qu’elle repousse.
Enfin, vers la côte ligure, Hercule rencontre un vieux bonhomme. Il pose la question de savoir s’il sait où est Nérée. Le hasard de l’histoire fait que c’est justement celui qu’il cherchait. Clopin clopant il est dirigé vers le verger resté inconnu à cause de son nom : il fut dire le JARDIN et non verger
Un chiot garde le portail en fer forgé. Il a plutôt envie de jouer en jappant, en faisant plusieurs fois l’aller et retour. Il pisse sans lever la patte : il est trop jeune. Profitant lâchement de la situation Hercule cueille des pommes pour remplir sa tunique relevé à la grande joie de la naïade qui le pompe allègrement pour avaler sa semence, celle qui fait du bien comme remède aux jambes enflées des femmes.
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