Travaux d'Hercule - 2 - Hydre de Lerne
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule - 2 - Hydre de Lerne
L'hydre de Lerne, monstre au corps de crustacé (de dragon ou de chien selon les
sources) à qui l'on attribue de 5 à 100 têtes dont l'une est immortelle. Telle est la
définition de cette bestiole. Les dieux réunis dans l’Olympe, soucieux du bien être
des hommes envoient leur grand héros : Hercule. Les sources ne disent pas la vérité.
Quand Hercule arrive à Lerne, il ne trouve qu’un gros serpent style Anaconda anémié.
Hercule a des doutes. A tout hasard, il pend le serpent par la queue, le tourne, le
retourne : il en fait un nœud comme un ruban des cheveux des petites filles (c’est
l’inventeur de ces gracieux rubans) Il le jette dans la rivière. Le serpent vogue
jusqu’à la mer.
Iola, un jeune grec est seul à Lerne. Un jeune grec, un joli cul. Rien de tel pour
mettre Hercule en transe. Il lui fait signe de venir. Iola regarde bien le demi-dieu.
Il craint en voyant sous la tunique s’élever une belle bite géante. A la rigueur,
selon les coutumes de l’époque il aurait accepté de faire des choses gentilles. Mais
là il ne veut absolument pas. Iola est courageux, pas téméraire.
Hercule a des principes : un cul + une bite = sodomie. Il est prêt à s’approcher de
ce petit cul. Sauf que maintenant Iola au courant des mœurs un peu particulières
d’Hercule, connues un peu partout, voudrait que se soit l’inverse pour une fois. Il
résiste quand Hercule se tourne pour venir entre ses fesses. Iola, prend le premier la
queue d’Hercule. Il la masse, la découvre complètement pour bien faire sortir le
gland. Il gagne en faisant des allers et retours, sur le manche. Ce plaisir,
qu’Hercule connait pour ses plaisirs solitaires fait qu’il se laisse masturber sans se
défendre. La main d’Iola n’arrête pas les va-et-vient. Voyant qu’il donne du plaisir,
il continue. Mais lui aussi bande. Hercule voit cette queue se développer. Il la prend
dans une main.
Ainsi Hercule se fait branler par un mortel qu’il branle aussi. Juste un instant avant
de cracher son sperme Hercule arrête ce que lui faisait Iola. Il est un peu
éjaculateur précoce, il se connait. Mais lui, voulant voir le jus d’Iola continue.
Iola est devant Hercule, il se laisse branler. Quand il s’approche d’Hercule, Iola
pose sa queue contre celle de son amant. Il se branle seul sur la pine offerte. Il
pourrait bien la mettre dans sa bouche, mais il se méfie du jet d’Hercule. L’idée lui
vient d’inverser les rôles. Il fait un petit tour pour mettre sa bite dans la raie des
fesses de l’autre. Hercule ne se défend absolument pas, au contraire, il ouvre ses
fesses. Se faire mettre par derrière est dans ses possibilités.
Son anus le démange, Hercule prend de sa salive dans sa bouche avec ses doigts. Il les
passe sur son cul. On peut venir le prendre par là. Au passage il rencontre la queue
d’Iola. Juste une petite caresse et il ouvre bien les fesses. Iola n’a qu’à entrer.
Iola ne fait pas dans la demi mesure : il entre la pine dans le cul, la retire pour la
remettre. Il passe une main devant pour tenir la grosse queue du demi dieu. Iola est
entièrement dans les boyaux d’Hercule. Il baise comme si c’était un con de fille. Il
sent bien le gland quand il entre, quand il sort.
Avec ses manies de faire passer le plaisir avant le ‘travail’ Hercule trouvera bien le
moyen de se faire expulser d’Olympie, avec tout se que ça comporte de négatif sur son
CV (Et oui, déjà à cette l'époque le CV devenait obligatoire, même pour un fil de Zeus
?)
Il se fiche de ce détail, il jouit comme Iola qui lui est ravi de sa rencontre avec
une presque divinité.
Il parait qu’à Lerne les gens pensent toujours qu’il existe une monstre, une hydre… on
fait dire ce qu’on veut aux légendes !
sources) à qui l'on attribue de 5 à 100 têtes dont l'une est immortelle. Telle est la
définition de cette bestiole. Les dieux réunis dans l’Olympe, soucieux du bien être
des hommes envoient leur grand héros : Hercule. Les sources ne disent pas la vérité.
Quand Hercule arrive à Lerne, il ne trouve qu’un gros serpent style Anaconda anémié.
Hercule a des doutes. A tout hasard, il pend le serpent par la queue, le tourne, le
retourne : il en fait un nœud comme un ruban des cheveux des petites filles (c’est
l’inventeur de ces gracieux rubans) Il le jette dans la rivière. Le serpent vogue
jusqu’à la mer.
Iola, un jeune grec est seul à Lerne. Un jeune grec, un joli cul. Rien de tel pour
mettre Hercule en transe. Il lui fait signe de venir. Iola regarde bien le demi-dieu.
Il craint en voyant sous la tunique s’élever une belle bite géante. A la rigueur,
selon les coutumes de l’époque il aurait accepté de faire des choses gentilles. Mais
là il ne veut absolument pas. Iola est courageux, pas téméraire.
Hercule a des principes : un cul + une bite = sodomie. Il est prêt à s’approcher de
ce petit cul. Sauf que maintenant Iola au courant des mœurs un peu particulières
d’Hercule, connues un peu partout, voudrait que se soit l’inverse pour une fois. Il
résiste quand Hercule se tourne pour venir entre ses fesses. Iola, prend le premier la
queue d’Hercule. Il la masse, la découvre complètement pour bien faire sortir le
gland. Il gagne en faisant des allers et retours, sur le manche. Ce plaisir,
qu’Hercule connait pour ses plaisirs solitaires fait qu’il se laisse masturber sans se
défendre. La main d’Iola n’arrête pas les va-et-vient. Voyant qu’il donne du plaisir,
il continue. Mais lui aussi bande. Hercule voit cette queue se développer. Il la prend
dans une main.
Ainsi Hercule se fait branler par un mortel qu’il branle aussi. Juste un instant avant
de cracher son sperme Hercule arrête ce que lui faisait Iola. Il est un peu
éjaculateur précoce, il se connait. Mais lui, voulant voir le jus d’Iola continue.
Iola est devant Hercule, il se laisse branler. Quand il s’approche d’Hercule, Iola
pose sa queue contre celle de son amant. Il se branle seul sur la pine offerte. Il
pourrait bien la mettre dans sa bouche, mais il se méfie du jet d’Hercule. L’idée lui
vient d’inverser les rôles. Il fait un petit tour pour mettre sa bite dans la raie des
fesses de l’autre. Hercule ne se défend absolument pas, au contraire, il ouvre ses
fesses. Se faire mettre par derrière est dans ses possibilités.
Son anus le démange, Hercule prend de sa salive dans sa bouche avec ses doigts. Il les
passe sur son cul. On peut venir le prendre par là. Au passage il rencontre la queue
d’Iola. Juste une petite caresse et il ouvre bien les fesses. Iola n’a qu’à entrer.
Iola ne fait pas dans la demi mesure : il entre la pine dans le cul, la retire pour la
remettre. Il passe une main devant pour tenir la grosse queue du demi dieu. Iola est
entièrement dans les boyaux d’Hercule. Il baise comme si c’était un con de fille. Il
sent bien le gland quand il entre, quand il sort.
Avec ses manies de faire passer le plaisir avant le ‘travail’ Hercule trouvera bien le
moyen de se faire expulser d’Olympie, avec tout se que ça comporte de négatif sur son
CV (Et oui, déjà à cette l'époque le CV devenait obligatoire, même pour un fil de Zeus
?)
Il se fiche de ce détail, il jouit comme Iola qui lui est ravi de sa rencontre avec
une presque divinité.
Il parait qu’à Lerne les gens pensent toujours qu’il existe une monstre, une hydre… on
fait dire ce qu’on veut aux légendes !
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