Travaux d'Hercule - 4 -
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule - 4 -
Les dieux sont d’accord, il faut détruire le sanglier d’Arcadie. On charge Hercule du
travail à condition qu’il ramène les restes du sanglier pour un civet. Et qu’il pense,
puisqu’il est chez les humains, à rapporter du vin pour la sauce.
Un peu hésitant, Hercule erre dans la campagne doucement vallonnée d’Arcadie jusqu’au
moment où, par hasard, il rencontre Pholos, le brave Pholos, un centaure comme on en
fait plus. Pholos lui indique où se trouve le monstrueux sanglier. Il voudrait bien
participer à la meute mais comment faire quand on a un corps mi homme, mi cheval,
qu’en plus on est attiré par les jolies filles du coin : pas facile de lever une belle
avec la pine qu’on a. Hercule se moque de son nouvel ami. Lui sait depuis peu c’est
vrai, comment se payer de belles femmes : quand elles voient sa bite, elles en sont
folles, au point de se donner à lui facilement (il se vante beaucoup). Mais si Pholos
le veut, Hercule peut le branler. Refus indigné : il sait le faire seul avec sa
langue, c’est meilleur.
Hercule traque partout, dans les champs, les près, les bois les vallées. C’est là, par
pur hasard qu’il trouve une bauge. Il fait le guet, pas loin sous un arbre. Arrivent
un bucheron et sa femme. Hercule se cache, il n’aime pas être découvert, surtout
pendant une chasse. Il fait bien : le couple n’est pas dans ce coin pour couper du
bois. Elle a envie depuis le lever de faire l’amour. Rappelons qu’à l’époque les
femmes ne portaient pas tout ce fatras actuel de robe, jupe chemisier, dessus, pull,
slip. Une tunique en laine et des spartiates suffisaient largement pour les femmes.
Les hommes portaient un genre de string qui ne cachait pas grand chose : si un homme
bandait c’était visible, agréable pour les femmes de se sentir désirées. Là, depuis le
matin lui était en semi érection, elle presque toute mouillée.
La femme, une solide paysanne s’appuie contre un arbre. Elle attire son mari. La queue
sort du protège machin que l'homme porte. Satisfaite de voir la queue de son mari si
virile, elle la prend dans sa main. Elle le branle doucement pour ne pas le faire
jouir rapidement. Sa main légère découvre le gland, le recouvre, recommence sans fin.
Lui passe sa main dans la fourche : il sait exactement où il va. Elle avance son
pubis, tous ses poils sont dehors. Elle regarde la main, elle murmure des mots qui
veulent dire, oui, branles moi, baises moi, encore…
Hercule ne peut en croire ses oreilles : une folle femme demande a un homme de lui
faire ce que lui voudrait faire. Sa tunique se relève devant la queue qui bande.
Hercule a envie de jouir. Inconscient de ce qu’il fait, Hercule bouscule l’homme,
prend sa place. Il branle à son tour la femme qui, au début se demande ce qui se
passe. Elle ouvre les yeux pour voir Hercule en entier. En détail c’est l’immense
queue du demi-dieu qui la frappe. Elle devine vite qui il est. Comme les autres elle
n’a peur que d’une seule chose, qu’il la lui mettre dans le petit trou : il est bien
trop gros.
Un bruit de feuilles froissées : c’est le sanglier qui revient chez lui. Coléreux de
voir des étranger fouler son domaine, il charge. Le seul à le voir est le mari cocu.
Par précaution il porte toujours un coutelas. Il se jette sur la bête, lui tranche la
gorge d’un seul coup mortel. Le monstrueux animal tombe sur les pates avant, y glisse
pour finir sa dernière course sur les pieds d’Hercule.
Sa baise en court ne s’interrompt pas pour autant. Il fini d’entrer dans le con de la
mortelle. ll aime ça depuis peu. Il ne lui donnera son jus qu’en finissant de jouir.
Pour en finir plus vite, sur les conseils de son mari elle passe une main sur les
fesses d’Hercule. Elle la met entre les fesses. Doucement elle la descend jusqu’au
moment où elle pose un doigt sur le cul D’hercule : elle lui fait donner son jus. Elle
ne jouit pas du tout, même si elle fait semblant d’avoir un orgasme extraordinaire.
Elle se réserve pour son mari qui devant Hercule se permet de la baiser couchée, les
jambes autour de lui. C’est elle qui demande la suite non devant mais derrière. C’est
ainsi qu’elle jouit.
Hercule charge le sanglier sur une épaule pour le porter aux autres dieux qui
attendent dans l’Olympe.
travail à condition qu’il ramène les restes du sanglier pour un civet. Et qu’il pense,
puisqu’il est chez les humains, à rapporter du vin pour la sauce.
Un peu hésitant, Hercule erre dans la campagne doucement vallonnée d’Arcadie jusqu’au
moment où, par hasard, il rencontre Pholos, le brave Pholos, un centaure comme on en
fait plus. Pholos lui indique où se trouve le monstrueux sanglier. Il voudrait bien
participer à la meute mais comment faire quand on a un corps mi homme, mi cheval,
qu’en plus on est attiré par les jolies filles du coin : pas facile de lever une belle
avec la pine qu’on a. Hercule se moque de son nouvel ami. Lui sait depuis peu c’est
vrai, comment se payer de belles femmes : quand elles voient sa bite, elles en sont
folles, au point de se donner à lui facilement (il se vante beaucoup). Mais si Pholos
le veut, Hercule peut le branler. Refus indigné : il sait le faire seul avec sa
langue, c’est meilleur.
Hercule traque partout, dans les champs, les près, les bois les vallées. C’est là, par
pur hasard qu’il trouve une bauge. Il fait le guet, pas loin sous un arbre. Arrivent
un bucheron et sa femme. Hercule se cache, il n’aime pas être découvert, surtout
pendant une chasse. Il fait bien : le couple n’est pas dans ce coin pour couper du
bois. Elle a envie depuis le lever de faire l’amour. Rappelons qu’à l’époque les
femmes ne portaient pas tout ce fatras actuel de robe, jupe chemisier, dessus, pull,
slip. Une tunique en laine et des spartiates suffisaient largement pour les femmes.
Les hommes portaient un genre de string qui ne cachait pas grand chose : si un homme
bandait c’était visible, agréable pour les femmes de se sentir désirées. Là, depuis le
matin lui était en semi érection, elle presque toute mouillée.
La femme, une solide paysanne s’appuie contre un arbre. Elle attire son mari. La queue
sort du protège machin que l'homme porte. Satisfaite de voir la queue de son mari si
virile, elle la prend dans sa main. Elle le branle doucement pour ne pas le faire
jouir rapidement. Sa main légère découvre le gland, le recouvre, recommence sans fin.
Lui passe sa main dans la fourche : il sait exactement où il va. Elle avance son
pubis, tous ses poils sont dehors. Elle regarde la main, elle murmure des mots qui
veulent dire, oui, branles moi, baises moi, encore…
Hercule ne peut en croire ses oreilles : une folle femme demande a un homme de lui
faire ce que lui voudrait faire. Sa tunique se relève devant la queue qui bande.
Hercule a envie de jouir. Inconscient de ce qu’il fait, Hercule bouscule l’homme,
prend sa place. Il branle à son tour la femme qui, au début se demande ce qui se
passe. Elle ouvre les yeux pour voir Hercule en entier. En détail c’est l’immense
queue du demi-dieu qui la frappe. Elle devine vite qui il est. Comme les autres elle
n’a peur que d’une seule chose, qu’il la lui mettre dans le petit trou : il est bien
trop gros.
Un bruit de feuilles froissées : c’est le sanglier qui revient chez lui. Coléreux de
voir des étranger fouler son domaine, il charge. Le seul à le voir est le mari cocu.
Par précaution il porte toujours un coutelas. Il se jette sur la bête, lui tranche la
gorge d’un seul coup mortel. Le monstrueux animal tombe sur les pates avant, y glisse
pour finir sa dernière course sur les pieds d’Hercule.
Sa baise en court ne s’interrompt pas pour autant. Il fini d’entrer dans le con de la
mortelle. ll aime ça depuis peu. Il ne lui donnera son jus qu’en finissant de jouir.
Pour en finir plus vite, sur les conseils de son mari elle passe une main sur les
fesses d’Hercule. Elle la met entre les fesses. Doucement elle la descend jusqu’au
moment où elle pose un doigt sur le cul D’hercule : elle lui fait donner son jus. Elle
ne jouit pas du tout, même si elle fait semblant d’avoir un orgasme extraordinaire.
Elle se réserve pour son mari qui devant Hercule se permet de la baiser couchée, les
jambes autour de lui. C’est elle qui demande la suite non devant mais derrière. C’est
ainsi qu’elle jouit.
Hercule charge le sanglier sur une épaule pour le porter aux autres dieux qui
attendent dans l’Olympe.
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