Travaux d'Hercule - 8 -

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Travaux d'Hercule - 8 - Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule - 8 -
Subtiliser les quatre juments carnivores de Diomède. Tel et le travail d’hercule. Qu’elle idée de conserver, de nourrir avec du foin une bande de juments carnivores, amatrice de chair humaine.
En guise de 9° travail on pourrait trouver mieux. D’abord ces drôles de quadrupèdes ne sont pas sur le continent. Ensuite Hercule a une sainte horreur de cette eau en grande quantité. Pour lui la valeur d’une bouteille d’eau minérale suffit à ses gouts et ses besoins. Alors contraint par les dieux de l’olympe il suit les bords de la mer, voyant de loin la galère qui normalement conduit vers ces écuries. Quand la nuit tombe, la galère s’approche du rivage, lâche les ancres. Dans ses méninges assombries, Hercule ne comprend pas pourquoi s’obstiner à prendre une galère, d’autant plus que lui fait des rencontres intéressantes.
Il n’est pas pressé de sentir le danger de juments fofolles. Et puis des juments ça se dresse comme n’importe quel canasson.
L’intérêt d’Achille reste le bon coup. Il est d’humeur à se faire mette s’il rencontre une queue convenable. Il est difficile : il lui fut une queue pas large, pas grosse, longue, mais pas trop, qui entre facilement dans son cul. De l’autre coté de la bite il lui fut une queue souple pour qu’il la branle en se faisant mettre. En somme un type à double queue.
Comme dab, il veut bien, il a envie. Hercule est un grand indécis. Il voit aux loin un groupe de pécheurs qui tirent des filets. Ils sont nus, comme c’est courant à cette époque où le moindre bout de tissus compte des fortunes de statères. Seuls les technocrates vers Olympe et les politiques un peu corrompus en ont (c’est normal encore de nos jours). Il est à dix mètres des pécheurs, il fait son choix. Un est trop gros, l’autre pas assez grand, le dernier trop chétif. Aucun des pécheurs n’entre dans son catalogue de sexe. Pourtant sa queue fait lever sa blouse. On voit distinctement la queue bandée. Le beau morceau pour les rares amatrices, sans parler du peu d’amateur mâle.
Il n’est pas gourmand, un cul sous des fesses, penchées en avant, une belle pine à branler à la fois, branlée par lui s’il le faut ou par l’enculé s’il aime ça.
Il ne voir personne qui lui convienne. Si, là bas un peu loin il voit un couple, lui derrière un joli cul. Sa queue est plantée dans les fesses merveilleuses. S’il pouvait enculer l’enculeur, il serait heureux. D’avance il se mouille la queue avec sa salive. Il se pourlèche de pouvoir entrer dans un anus qu’il ne connait pas, pas encore.
Il lui faudrait des lunettes triple foyer : il confond un couple d’amoureux qui fait ses premières armes de baise en cachette des parents de la fille qui s’ils la voyaient se faire mettre si facilement demanderaient l’officialisation de cette baise, même expérimentale. (Surtout la mère qui s’est fait avoir avec l’abandon de son premier qui ne cherchait que son cul). Confondre deux amoureux qui on passé le stade de touche pipi pour des invertis…Certains lunetiers actuels seraient aises de compter Hercule parmi leur clientèle, même pour une pub. (Voir B.A. ou ceux qui s’y mettent à 2.000)
Tout proche Hercule se rend compte de sa méprise. Restait la queue en l’air fatigue. Relevant sa tunique hercule expose sa queue. Une formidable, une convenable, une inévitable bite de demi-dieu. Les rares passants, curieux pourraient voir cette erreur de la nature.
Hercule pense brusquement à son rôle : exclure de ce monde les juments. Il lui vient une idée, une idée à l’Hercule ne vole pas haut. Il attrape la première venue qui passe dans son rayon d’action. Il la colle contre lui, lui fait sentir la grosseur de la queue. Effrayée, la jeune femme veut tout ce qu’il désire à condition de ne pas être baisée, enculée et autre chose par cette monumentale pine.
Elle ne doit qu’une petit coutume, une simple gentillesse, lui prendre la queue, la secouer en cadence, longtemps, le faire jouir. Cette pauvre jeune femme qui n’a même pas d’amoureux déclaré doit prendre la queue monumentale, la masturber alors qu’elle ne sait pas pour ne l’avoir jamais fait. Elle change de main en cours de route.
Elle arrive au bon résultat en le faisant éjaculer sur elle. De joie, Hercule embrasse à sa façon délicate la bouche de la femme : il lui arrache presque la moitié des lèvres. La femme est rapidement vers les juments, c’est simple, elle les escagasse d’un seul coup.
Ils sont content au siège, là bas à Olympe.

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