Trio: Julie, Marianne et moi
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2012 dans la catégorie Plus on est
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Trio: Julie, Marianne et moi
Pour une fois que je suis de repos, je me mets dans une situation pas possible. Ce
matin j'avais envie de me branler comme souvent. Ma pine se levait sans cesse.
J'allais déjeuner dans la cuisine, je bandais toujours. N'en pouvant plus je commence
à me branler. J'oubliais qu'une seule chose : la fenêtre était grande ouverte. Elle ne
cachait rien de mon anatomie, donc de ma bite dressée.
Pour être mieux j'étais appuyé les fesses contre le buffet. Juste dans l'axe de la
fenêtre. Devant une ouverture donnait aussi sur une cuisine. Je ne voyais la fille que
trop tard, j'étais en pleine masturbation. Je levais la tête pour voir la fille une
belle brune qui, nue comme moi d'abord regardait ce que je faisais et en plus se
caressait aussi la chatte. Je ne sais ce qui m'a poussé à lui faire face pour qu'elle
voit tout en détail. J'allais jouir quand elle est parti pour revenir un petit instant
plus tard.
Elle tenait un joli gode qu'elle s'enfilait rapidement devant moi. Je ne pouvait plus
tenir : je devais jouir. Mon sperme partait dans sa direction, elle ouvrait la bouche
comme si elle l'avalait.
Je la connaissait un peu de vue. Je savais qu'elle avait une sœur ou demi sœur ou
apparentée. Avec les mariages, divorces, recompositions, je ne savait pas au juste
qui était l'autre fille qui venait l'aider à se branler en lui mettant une main aux
fesses. Elle devait lui branler l'anus étant donné les mouvements de sa main. Après la
masturbation direction la douche, le rasage et l'habillement pour sortir faire trois
courses.
Agréable surprise : ma voisine, celle qui m'accompagnait dans la masturbation sort de
l'immeuble d'à coté. Sans rien nous dire nous nous approchons pour nous faire une bise
comme des complices.
Comment vas-tu ?
Comme toi, j'ai jouis tout à l'heure.
Je sais je te regardais faire, tu m'a excitée.
Qui est l'autre fille ?
Ah, elle t'intéresse aussi elle est plus coquine que moi, il nous arrive de baiser
ensemble des fois comme ce matin. Tu as vue, elle m'a mit une main dans le cul. C'est
la fille de la seconde femme de mon père. Elle s'appelle Marianne.
Et toi ,
Moi, un prénom à la con : Julie.
C'est pas con, c'est joli.
Tu aimerais te payer Marianne, j'en suis sure.
J'avoue que je lui mettrais aussi ma queue dans son temple.
Tu voudrais me la mettre aussi non ?
Quand tu veux.
Tu vas où là ?
Au coin de la rue.
Je t'accompagne nous irons chez toi pour tirer un coup.
Il me tarde de rentrer. Nous bavardons de quoi ? De baiser et des positions que nous
aimons. Elle aime se faire mettre à peut près partout, de préférence en public.
D'ailleurs elle est assez exhibitionniste. Avec le peu qu'elle porte je le savais
déjà : un petite jupe écossaise plissée très courte sous un genre de polo court lui
aussi. Je vois les pointes de ses seins dessous.
Tu ne porte pas de sous vêtements.
Non, pourquoi faire ?
,Je pose des questions idiotes. Je n'ai pas l'habitude de fréquenter ce genre de
fille. Elle n'a pas froid aux yeux, me semble bisexuelle, attirée par le plaisir.
Nous sommes vite chez moi. Nous nous connaissons physiquement, donc pas la peine de
perdre du temps à nous découvrir. D'autant que Julie est vite nue, complètement nue,
sauf, ce que j'avais remarqué je matin, elle garde sa fourrure sur le pubis : elle en
est plus désirable. Je bande déjà, avant même nous nous toucher. Je voulais la branler
avant tout, ma main est moins rapide que la mienne. Elle me prend la queue à pleine
main comme si elle en était privée depuis des mois, à moins qu'elle la désire depuis
un moment.
Ce n'est qu'en me masturbant qu'elle m'embrasse. Nos langues jouent vite ensemble.
J'arrive bien sur sa chatte. Elle est trempée alors que je ne lui ai rien fait.
Je préfère qu'on aille se coucher.
Oui, c'est mieux pour baiser.
Je la fais passer devant pour la regarder. Quel cul, quelles cuisses un peu grosses,
pile comme je les aime. J'ai vu son devant et sa poitrine ce matin. Julie fait partie
des rares filles super baisable à mon goût. J'espère qu'elle ne trompe pas sur la
marchandise, sinon je me tourne vers sa « sœur ».
Julie s'assoit au bord du lit, m'attend les jambes bien ouvertes. L'invite est
visible. Je me mets à genoux devant ce temple de plaisir. Je sens son con en entier il
m'excite plus que la vue totale qu'elle me montre largement. Je suis attiré par son
grain de riz. Il est petit encore, je le sens monter, bander. Je le prend entre mes
lèvres pour bien le posséder. Ses mains sont sur ma tête, je la sens ma caresser le
crane avec beaucoup de douceur .
Mets moi un ou deux doigts dans le cul.
Tu aimes te faire mettre par le cul.
J'adore simplement.
Si elle adore je vais me régaler de la sodomiser. J'entre deux doigts dans son anus.
C'est vrai, ils entrent facilement. Le va-et-vient commence pendant que ma langue
lèche son clitoris. Je ne pensais qu'elle gémisse autant. On dirait que je luJe
t'accompagne nous irons chez toi pour tirer un coup.i fait mal. Elle me fait bander
encore plus. Je me tourne pour la sucer. Elle passe sur moi, prend ma queue à pleine
bouche avant de la lécher tranquillement. Je sursaute souvent quand elle me touche les
roubignolles en y appuyant un peu trop.
J'arrive à la faire jouir avant moi. Elle me lâche la queue pour mettre à son tour
deux doigt dans mon cul. La vache elle me fait découvrir un nouveau plaisir. Elle me
reprend dans la bouche pour me finir.
Je refuse, je veux jouir en elle, pas dans sa bouche qui avale n'importe quoi.Je vais
sur Julie qui écarte les jambes dans l'attende de ma pine. Elle la prend à pleine main
pour me diriger vers je ne sais qu'elle destination
Je comprends où je suis quand j'entre dans un trou serré. Elle préfère son cul à son
con pour commencer. C'est rare qu'une fille aime mieux la sodomie à la baise normale.
Je ne force pas pour entrer. Elle passe ses jambes sur mes fesses comme si elle
changeait ainsi ma destination. Je me trouve fort bien dans son rectum surtout qu'elle
devance mes mouvements. Elle reprend ses gémissements qui tiennent finalement plus de
cris de douleur que de plaisir.
Je ne me pleins pas de tout de la sodomiser. Qui aurait pu prévoir que la queue que je
caressais ce matin devant elle serait, là, en plein dans un cul bien offert, celui de
Julie. Elle jouit vite deux fois autour de ma pine.
Julie me fait sortir de son cul. Elle veut que je la baise normalement. Bien sur
l'entrée est bien mouillée, l'intérieur plus large, mon plaisir le même. Nos pubis
s'entrechoquent sans cesse. De là aussi elle se laisse aller dans le grand orgasme. Je
ne peux plus me retenir, mon sperme part en jets discontinus dans son chateau fort
bien mal gardé. Si je jouis, elle aussi part dans une jouissance du meilleur effet en
gémissant toujours fort.
Ma queue sort de son con encore peine de cyprine et de sperme. Elle me demande de la
lui donner: elle aime ces deux gouts ensemble. Je débandais, elle me fait ressuciter.
Je reste dans sa bouche poendant la fellation qu'elle me donne. Je lui donne ce qui me
restais de semence. Puis, en se levant:
On est bien chez toi pour baiser. J'ai envie de demander à Marianne de venir cet après
midi avec moi. Tu verrais deux filles s'aimer en te baisant.
Je sens que je n'ai pas mon mot à dire. Alors j'accepte.
Je m'endors après son départ pour me réveiller vers 15 heures la faim au ventre. Je
suis toujours nu. Tant pis, je vais préparer quelque chose dans la cuisine. Je pense à
la matinée que j'ai vécu : j'en rebande encore. Par curiosité de regarde par la
fenêtre. Personne n'est visible. Je pourrais me branler sans personne pour juger de la
qualité de ma mastrubation. Je n'ai pas fini de grignoter, je bande toujours quand la
porte s'ouvre sur Julie et l'autre fille, sa "soeur" de baise, Marianne. De près elle
me parait plus fine que Julie.
Voilà mon amante.
Elle est très sexy.
Tu voudrais bien la lui mettre ?
Bien sur devant toi.
Nous sommes trois. En trio ça serait bien, non ?
Oui.
Je peux parler demande la principale intéressée.
Je la veut partout si tu peux me la mettre là où j'en ai besoin. En plus je n'ai pas
eu de bite depuis plusieurs mois. Julie m'oblige à ne baiser qu'avec elle. En tout cas
tu bande bien, ta queue me plait par sa taille, elle serait bien dans mon con.
C'est vrai que je bandais en les recevant, je continue ma bandaison. Je ne sais trop
par qui commencer. J'ai bien baisé Julie, je vais m'occuper de Marianne. Elle en vaut
le coup quand je la regarde toute nue devant Julie qui lui passe la main sur les
fesses. Leur familirité d'étonne un peu.
J'embrasse Marianne la première quand Julie demande aussi un baiser. C'est Marianne
qui le lui donne. Après tout nous sommes là pour le plaisir uniquement. Je les laisse
s'arranger entre elle. Je ne suis pas oublliée, j'ai deux mains sur ma bite. Elle me
branlent à peine l'une et l'autre. Je vois aussi qu'elle se touche bien l'abricot
juteux. J'avance mon ventre vers elle. Je veux baiser. J'empoigne Marianne par un bras
pour la coucher. Elle ne se débat pas, au contraire elle me suis gentiment sur la lit,
les jambes déjà ouvertes.
Suce moi le cul.
Je voudrai te sucer le con.
Non, le cul d'abord.
J'écarte ses fesses pour voir le trou ridé d'un petit orifice. Je tends ma langue pour
lui faire ce qu'elle veut. Je commence à lécher quand je sens la main de Julie sur ma
queue. Elle recommence à me branler. J'adore sa main qui me fait du bien.
Je durcis ma langue le plus possible. J'arrive à entrer dans l'anus facilement. Je
vais des va-et-vient au point de la faire gémir doucement. Mes mains caressent ses
fesses bien musclées. Et puis elle jouit pour la première fois avec moi. Elle se
tourne pour me donner sa chatte. Quelle chatte toutes humide, aux grosses lèvres
cachant le clitoris. J'allais la lécher à cet endroit quand je suis écarté par Julie
par un non énergique. Il semble que le clitoris soit réservé pour les cunnilingus
faits par Julie. C'est ainsi que je la vois sucer Marianne. Julie ne pert rien poisque
je lui fait la mêle chose. Sucer son con ou un autre m'est toujours agréable.
Je voudrais faire faire trempette à ma queue. J'enjambe les deux filles pour offrir un
sucre d'orge à Marianne. Elle prend ma bite dans la bouche en tenant la base avec une
main. Je bande plutôt fort. Elle me lèche à sa manière qui me fait du bien. Elle
fignole même sa tâche. Sa langue cherche à entrer dans le méat pour finalement prendre
le gland dans sa bouche, entre une joue et la langue. Je lui baise la bouche sans
aller trop profond. C'est sa langue qui fait la différence. Je lui donne une bonne
ration de semence qui devrait la satisfaire après son jeûne de sperme.
Seulement, pas avare, elle veut partager avec Julie. Cette fille arrête ce qu'elle
faisait pour déjeuner avec ma semence. Les voilà parties dans une autre baise
saphique.
Elles sont agréables à regarder se gouiner, surtout quand elle sont en 69. Surtout
qu'elles ne se contentent pas de se sucer, elle se doigtent en même temps. Chacune
fait à sa façon. Marianne entre deux doigts dans le cul de Julie qui lui en met quatre
à la fois. Le cul de Marianne est à la limite d'éclater. Pourtant comme elle est
dessus je vais sur elle, je pose ma queue sur son cul qu'évacue Julie. C'est
d'ailleurs elle qui guide ma pine. J'entre sans trop de précaussion dans l'anus. C'est
vrai que j'entre presque trop facilement. Quand je suis totalement entré, je sens la
main de Julie qui prends mes couilles pour les caresser lentement.
Je n'arrive pas à savoir comment elle font pour jouir sans cesse. Moi après avoir
donné ma liqueur dans le cul de Marianne je dois cesser. Elles sont toujours en forme.
Leur chatte est toujours occupée par une main , une bouche; Chaque fois elle
jouissent. Elles sont tellement lancée dans leur baise particulière qu'elles
m'oublient en route.
Sauf qu'à la fin elle se mettent à deux sur moi. Julie me donne son con, juste un
instant avant que Marianne me prenne dans le cul. J'allais jouir quand elles arrêtent
tout pour me lécher la queue à deux. Une ne s'occupe que du gland, l'autre me mordille
la colonne. Là, je ne résiste pas, je jouis presque trop vite à la limite de mes
forces.
Nous habitons toujours en face, les matins je m'appuie sur le buffet de la cuisine, ma
bite bien droite. Je me branle comme le fait devant moi Julie aidée de Marianne. Nous
ne nous "fréquentons" que les weekends sacrément pornos.
matin j'avais envie de me branler comme souvent. Ma pine se levait sans cesse.
J'allais déjeuner dans la cuisine, je bandais toujours. N'en pouvant plus je commence
à me branler. J'oubliais qu'une seule chose : la fenêtre était grande ouverte. Elle ne
cachait rien de mon anatomie, donc de ma bite dressée.
Pour être mieux j'étais appuyé les fesses contre le buffet. Juste dans l'axe de la
fenêtre. Devant une ouverture donnait aussi sur une cuisine. Je ne voyais la fille que
trop tard, j'étais en pleine masturbation. Je levais la tête pour voir la fille une
belle brune qui, nue comme moi d'abord regardait ce que je faisais et en plus se
caressait aussi la chatte. Je ne sais ce qui m'a poussé à lui faire face pour qu'elle
voit tout en détail. J'allais jouir quand elle est parti pour revenir un petit instant
plus tard.
Elle tenait un joli gode qu'elle s'enfilait rapidement devant moi. Je ne pouvait plus
tenir : je devais jouir. Mon sperme partait dans sa direction, elle ouvrait la bouche
comme si elle l'avalait.
Je la connaissait un peu de vue. Je savais qu'elle avait une sœur ou demi sœur ou
apparentée. Avec les mariages, divorces, recompositions, je ne savait pas au juste
qui était l'autre fille qui venait l'aider à se branler en lui mettant une main aux
fesses. Elle devait lui branler l'anus étant donné les mouvements de sa main. Après la
masturbation direction la douche, le rasage et l'habillement pour sortir faire trois
courses.
Agréable surprise : ma voisine, celle qui m'accompagnait dans la masturbation sort de
l'immeuble d'à coté. Sans rien nous dire nous nous approchons pour nous faire une bise
comme des complices.
Comment vas-tu ?
Comme toi, j'ai jouis tout à l'heure.
Je sais je te regardais faire, tu m'a excitée.
Qui est l'autre fille ?
Ah, elle t'intéresse aussi elle est plus coquine que moi, il nous arrive de baiser
ensemble des fois comme ce matin. Tu as vue, elle m'a mit une main dans le cul. C'est
la fille de la seconde femme de mon père. Elle s'appelle Marianne.
Et toi ,
Moi, un prénom à la con : Julie.
C'est pas con, c'est joli.
Tu aimerais te payer Marianne, j'en suis sure.
J'avoue que je lui mettrais aussi ma queue dans son temple.
Tu voudrais me la mettre aussi non ?
Quand tu veux.
Tu vas où là ?
Au coin de la rue.
Je t'accompagne nous irons chez toi pour tirer un coup.
Il me tarde de rentrer. Nous bavardons de quoi ? De baiser et des positions que nous
aimons. Elle aime se faire mettre à peut près partout, de préférence en public.
D'ailleurs elle est assez exhibitionniste. Avec le peu qu'elle porte je le savais
déjà : un petite jupe écossaise plissée très courte sous un genre de polo court lui
aussi. Je vois les pointes de ses seins dessous.
Tu ne porte pas de sous vêtements.
Non, pourquoi faire ?
,Je pose des questions idiotes. Je n'ai pas l'habitude de fréquenter ce genre de
fille. Elle n'a pas froid aux yeux, me semble bisexuelle, attirée par le plaisir.
Nous sommes vite chez moi. Nous nous connaissons physiquement, donc pas la peine de
perdre du temps à nous découvrir. D'autant que Julie est vite nue, complètement nue,
sauf, ce que j'avais remarqué je matin, elle garde sa fourrure sur le pubis : elle en
est plus désirable. Je bande déjà, avant même nous nous toucher. Je voulais la branler
avant tout, ma main est moins rapide que la mienne. Elle me prend la queue à pleine
main comme si elle en était privée depuis des mois, à moins qu'elle la désire depuis
un moment.
Ce n'est qu'en me masturbant qu'elle m'embrasse. Nos langues jouent vite ensemble.
J'arrive bien sur sa chatte. Elle est trempée alors que je ne lui ai rien fait.
Je préfère qu'on aille se coucher.
Oui, c'est mieux pour baiser.
Je la fais passer devant pour la regarder. Quel cul, quelles cuisses un peu grosses,
pile comme je les aime. J'ai vu son devant et sa poitrine ce matin. Julie fait partie
des rares filles super baisable à mon goût. J'espère qu'elle ne trompe pas sur la
marchandise, sinon je me tourne vers sa « sœur ».
Julie s'assoit au bord du lit, m'attend les jambes bien ouvertes. L'invite est
visible. Je me mets à genoux devant ce temple de plaisir. Je sens son con en entier il
m'excite plus que la vue totale qu'elle me montre largement. Je suis attiré par son
grain de riz. Il est petit encore, je le sens monter, bander. Je le prend entre mes
lèvres pour bien le posséder. Ses mains sont sur ma tête, je la sens ma caresser le
crane avec beaucoup de douceur .
Mets moi un ou deux doigts dans le cul.
Tu aimes te faire mettre par le cul.
J'adore simplement.
Si elle adore je vais me régaler de la sodomiser. J'entre deux doigts dans son anus.
C'est vrai, ils entrent facilement. Le va-et-vient commence pendant que ma langue
lèche son clitoris. Je ne pensais qu'elle gémisse autant. On dirait que je luJe
t'accompagne nous irons chez toi pour tirer un coup.i fait mal. Elle me fait bander
encore plus. Je me tourne pour la sucer. Elle passe sur moi, prend ma queue à pleine
bouche avant de la lécher tranquillement. Je sursaute souvent quand elle me touche les
roubignolles en y appuyant un peu trop.
J'arrive à la faire jouir avant moi. Elle me lâche la queue pour mettre à son tour
deux doigt dans mon cul. La vache elle me fait découvrir un nouveau plaisir. Elle me
reprend dans la bouche pour me finir.
Je refuse, je veux jouir en elle, pas dans sa bouche qui avale n'importe quoi.Je vais
sur Julie qui écarte les jambes dans l'attende de ma pine. Elle la prend à pleine main
pour me diriger vers je ne sais qu'elle destination
Je comprends où je suis quand j'entre dans un trou serré. Elle préfère son cul à son
con pour commencer. C'est rare qu'une fille aime mieux la sodomie à la baise normale.
Je ne force pas pour entrer. Elle passe ses jambes sur mes fesses comme si elle
changeait ainsi ma destination. Je me trouve fort bien dans son rectum surtout qu'elle
devance mes mouvements. Elle reprend ses gémissements qui tiennent finalement plus de
cris de douleur que de plaisir.
Je ne me pleins pas de tout de la sodomiser. Qui aurait pu prévoir que la queue que je
caressais ce matin devant elle serait, là, en plein dans un cul bien offert, celui de
Julie. Elle jouit vite deux fois autour de ma pine.
Julie me fait sortir de son cul. Elle veut que je la baise normalement. Bien sur
l'entrée est bien mouillée, l'intérieur plus large, mon plaisir le même. Nos pubis
s'entrechoquent sans cesse. De là aussi elle se laisse aller dans le grand orgasme. Je
ne peux plus me retenir, mon sperme part en jets discontinus dans son chateau fort
bien mal gardé. Si je jouis, elle aussi part dans une jouissance du meilleur effet en
gémissant toujours fort.
Ma queue sort de son con encore peine de cyprine et de sperme. Elle me demande de la
lui donner: elle aime ces deux gouts ensemble. Je débandais, elle me fait ressuciter.
Je reste dans sa bouche poendant la fellation qu'elle me donne. Je lui donne ce qui me
restais de semence. Puis, en se levant:
On est bien chez toi pour baiser. J'ai envie de demander à Marianne de venir cet après
midi avec moi. Tu verrais deux filles s'aimer en te baisant.
Je sens que je n'ai pas mon mot à dire. Alors j'accepte.
Je m'endors après son départ pour me réveiller vers 15 heures la faim au ventre. Je
suis toujours nu. Tant pis, je vais préparer quelque chose dans la cuisine. Je pense à
la matinée que j'ai vécu : j'en rebande encore. Par curiosité de regarde par la
fenêtre. Personne n'est visible. Je pourrais me branler sans personne pour juger de la
qualité de ma mastrubation. Je n'ai pas fini de grignoter, je bande toujours quand la
porte s'ouvre sur Julie et l'autre fille, sa "soeur" de baise, Marianne. De près elle
me parait plus fine que Julie.
Voilà mon amante.
Elle est très sexy.
Tu voudrais bien la lui mettre ?
Bien sur devant toi.
Nous sommes trois. En trio ça serait bien, non ?
Oui.
Je peux parler demande la principale intéressée.
Je la veut partout si tu peux me la mettre là où j'en ai besoin. En plus je n'ai pas
eu de bite depuis plusieurs mois. Julie m'oblige à ne baiser qu'avec elle. En tout cas
tu bande bien, ta queue me plait par sa taille, elle serait bien dans mon con.
C'est vrai que je bandais en les recevant, je continue ma bandaison. Je ne sais trop
par qui commencer. J'ai bien baisé Julie, je vais m'occuper de Marianne. Elle en vaut
le coup quand je la regarde toute nue devant Julie qui lui passe la main sur les
fesses. Leur familirité d'étonne un peu.
J'embrasse Marianne la première quand Julie demande aussi un baiser. C'est Marianne
qui le lui donne. Après tout nous sommes là pour le plaisir uniquement. Je les laisse
s'arranger entre elle. Je ne suis pas oublliée, j'ai deux mains sur ma bite. Elle me
branlent à peine l'une et l'autre. Je vois aussi qu'elle se touche bien l'abricot
juteux. J'avance mon ventre vers elle. Je veux baiser. J'empoigne Marianne par un bras
pour la coucher. Elle ne se débat pas, au contraire elle me suis gentiment sur la lit,
les jambes déjà ouvertes.
Suce moi le cul.
Je voudrai te sucer le con.
Non, le cul d'abord.
J'écarte ses fesses pour voir le trou ridé d'un petit orifice. Je tends ma langue pour
lui faire ce qu'elle veut. Je commence à lécher quand je sens la main de Julie sur ma
queue. Elle recommence à me branler. J'adore sa main qui me fait du bien.
Je durcis ma langue le plus possible. J'arrive à entrer dans l'anus facilement. Je
vais des va-et-vient au point de la faire gémir doucement. Mes mains caressent ses
fesses bien musclées. Et puis elle jouit pour la première fois avec moi. Elle se
tourne pour me donner sa chatte. Quelle chatte toutes humide, aux grosses lèvres
cachant le clitoris. J'allais la lécher à cet endroit quand je suis écarté par Julie
par un non énergique. Il semble que le clitoris soit réservé pour les cunnilingus
faits par Julie. C'est ainsi que je la vois sucer Marianne. Julie ne pert rien poisque
je lui fait la mêle chose. Sucer son con ou un autre m'est toujours agréable.
Je voudrais faire faire trempette à ma queue. J'enjambe les deux filles pour offrir un
sucre d'orge à Marianne. Elle prend ma bite dans la bouche en tenant la base avec une
main. Je bande plutôt fort. Elle me lèche à sa manière qui me fait du bien. Elle
fignole même sa tâche. Sa langue cherche à entrer dans le méat pour finalement prendre
le gland dans sa bouche, entre une joue et la langue. Je lui baise la bouche sans
aller trop profond. C'est sa langue qui fait la différence. Je lui donne une bonne
ration de semence qui devrait la satisfaire après son jeûne de sperme.
Seulement, pas avare, elle veut partager avec Julie. Cette fille arrête ce qu'elle
faisait pour déjeuner avec ma semence. Les voilà parties dans une autre baise
saphique.
Elles sont agréables à regarder se gouiner, surtout quand elle sont en 69. Surtout
qu'elles ne se contentent pas de se sucer, elle se doigtent en même temps. Chacune
fait à sa façon. Marianne entre deux doigts dans le cul de Julie qui lui en met quatre
à la fois. Le cul de Marianne est à la limite d'éclater. Pourtant comme elle est
dessus je vais sur elle, je pose ma queue sur son cul qu'évacue Julie. C'est
d'ailleurs elle qui guide ma pine. J'entre sans trop de précaussion dans l'anus. C'est
vrai que j'entre presque trop facilement. Quand je suis totalement entré, je sens la
main de Julie qui prends mes couilles pour les caresser lentement.
Je n'arrive pas à savoir comment elle font pour jouir sans cesse. Moi après avoir
donné ma liqueur dans le cul de Marianne je dois cesser. Elles sont toujours en forme.
Leur chatte est toujours occupée par une main , une bouche; Chaque fois elle
jouissent. Elles sont tellement lancée dans leur baise particulière qu'elles
m'oublient en route.
Sauf qu'à la fin elle se mettent à deux sur moi. Julie me donne son con, juste un
instant avant que Marianne me prenne dans le cul. J'allais jouir quand elles arrêtent
tout pour me lécher la queue à deux. Une ne s'occupe que du gland, l'autre me mordille
la colonne. Là, je ne résiste pas, je jouis presque trop vite à la limite de mes
forces.
Nous habitons toujours en face, les matins je m'appuie sur le buffet de la cuisine, ma
bite bien droite. Je me branle comme le fait devant moi Julie aidée de Marianne. Nous
ne nous "fréquentons" que les weekends sacrément pornos.
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