Un couple d'amis
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un couple d'amis
Un couple d’amis,
Sylvie et Christophe, sont de bons amis avec qui nous partageons souvent de bons moment le samedi soir ou le week-end.
Sans trop savoir quelle orientation sexuelle qu'ils ont l'habitude de pratiquer, bien que nous avions essayé de sonder le terrain à maintes reprises, sans trop éveiller les soupçons, mais cela est resté sans réponse.
Après en avoir parlé entre nous, Caline et moi avons eu le projet de les débaucher, de tout faire, pour qu'ils se joignent à nos explorations des plaisirs interdits. Lors d’une soirée bien arrosée, je lance une discussion autour de l’échangisme.
Caline nous raconte alors, qu’une de ses collègues de travail (vous l'aurez compris qu'il s'agit de sa propre personne) disait m, à qui veut l'entendre, qu'elle était adepte, avec son conjoint, de ce type de rencontre.
En bonne comédienne, elle se dit "être outrée" de voir que sa collègue pouvait parler librement de ce genre de chose sur son lieu de travail avec des personnes plus au moins intimes, bien que cela soit un sujet, que 90% des gens, le classe dans le dossier des sujets "tabous" qu'on ne révèle que sous la torture.
(Eh oui, notre société est une société de faux-culs, d'hypocrites, de première classe... Tel est mon avis !)
Peu de personnes parlent de leurs orientations sexuelles en public... Pendant ses explications, je constate que Christophe regarde, ma femme, de façon inhabituelle : ses yeux brillent, et j'ai la nette impression qu’il attendait nos commentaires, nos avis, vis-à-vis de la discussion lancée, avec l’espoir de nous entendre dire, que nous ne nous sommes pas choqués, ou au contraire, que nous approuvons les pratiques de ce couple.
(Peut-on être choqués du fait que Caline et moi aimons vivre ainsi ? Mais ça, ils ne le savent pas encore !)
Notre couple d'amis, surtout Sylvie, est assez surpris par cette discussion mais nous sommes restés sans réponses ni commentaires.
Mais cela n'empêche que, Christophe a bien tenté quelques allusions coquines avec Caline qui a su garder son rôle de femme de famille assez pudique, car nous n'avions aucune réponse sur l'opinion de ce couple d'amis.
Il est bien difficile de fairesortir le loup de sa tanière.
Après en avoir discuté ensuite avec Caline, lorsqu’ils nous ont quittés, on était dégouté de rester dans le flou, bien que, en se remémorant certains faits et gestes passés, il était flagrant que Christophe désirait Caline d'une certaine façon, mais rien de concret .
Ce soir-là, nous avons fait l’amour avec beaucoup d’excitation en nous imaginant réaliser notre fantasme avec nos amis. J'ai pris un certain plaisir à décrire, à Caline, ce que je souhaitait la voir faire avec Christophe et comment j'envisageais de m’occuper de Sylvie.
Comme nous nous voyons régulièrement – environ toutes les trois semaines, au pire une fois par mois – et que notre prochaine soirée a été programmée, je demande à Caline de s’habiller sexy, voire provocante...
C’est avec de hauts talons, bas résille noirs, minijupe en jean et décolleté que ma charmante épouse a accueilli nos hôtes.
À leur arrivée, une nouvelle fois je vois les yeux de Christophe s’illuminer ; ils parcourent le corps de ma princesse avec envie. L’alcool aidant, au cours de la soirée les allusions coquines se multiplient, Christophe monte, progressivement, d’un cran à chaque fois qu’il le peut. Il en est de même avec Sylvie qui, quand elle s’adresse à moi, elle me tient le bras – pour ne pas dire qu’elle me le caresse – ce qui me surprends vu qu’elle n’avait jamais été tactile jusqu’ici. L’ambiance était de plus en plus chaude, chacun y allant de sa blague coquine ou allusion provocatrice, jusqu’à ce que Christophe me demande :
— Tu n’aurais pas un petit film coquin bien sympa à nous proposer ?
— Ohhh ... Alors là, tu as le choix, j’ai un film érotique sympa "Happy Few Years", ou alors j’ai des films X ; c’est comme tu veux !
— Ah non, pas du X, c’est trop vulgaire ! S’exclame Sylvie, presque outrée... Plutôt ton film érotique.
— Il parle de quoi, ton film érotique ? S’exclame Christophe.
— De deux couples échangistes qui prennent leur pied en s’échangeant ! Réponds ai-je.
Il y a un court moment de silence avant que Christophe dit en plaisant :
— Cool, comme ça on sera bien dans l’ambiance pour passer aux choses sérieuses !
— Oui, c’est ça… Mais tu rêves, mon pauvre Christophe ! Proteste son épouse.
— Faut pas (quasi inaudible) prendre tes rêves pour la réalité, lui lance ai-je.
Déposons nos verres et la bouteille de liqueur sur la table basse, nous nous sommes installés tous les quatre sur le canapé, prêts à visionner le film, que Caline et moi avons déjà vu deux fois.
(Pour ceux qui ont déjà lu quelques épisodes de notre vie, je précise que cette histoire avait eu lieu avant que Caline fasse son premier film, donc, il n'y a pas eu de confusion)
Un petit quart d’heure après le début du film, nous voyons les premiers ébats entre les partenaires qui se sont échangés leurs conjoints. Christophe, qui commentait le film depuis le début, s’exclame :
— Ouah ! Il vient juste de lui poser sa langue et elle a l’air d’être déjà en extase. Ça doit être vraiment excitant de prendre du plaisir dans une telle situation.
— Je suis d’accord : ça doit être un plaisir bien différent. Et vous, les filles, vous en pensez quoi ? Dis-je.
— Je crois que je suis toute mouillée… Nous avoua Sylvie.
J'étais sur le cul... Caline prend la balle au bond et dit :
— Cochonne ! Tu t’y vois, c’est ça ? Tu t’imagines quand même pas que je vais laisser mon chéri passer sa langue sur tes lèvres intimes !
— Ma petite Caline, je suis sûr que toi aussi tu es tout humide, tout comme la dernière fois où l’on a regardé ce film. Dis-je.
— Non, pas du tout ! Dit Caline avec un petit sourire coquin.
— Je serais curieux de pouvoir le constater… Propose Christophe.
— Tu rêves... Calmes-toi gros PERVERS! Rétorque l'épouse du concerné.
— Pas chiche de venir voir ! Provoque Caline en bonne pêcheuse (dans les deux sens du terme).
— Si ça ce n’est pas de la provocation ! Réagit au quart de tour notre bon Christophe. Hamed, peux-tu faire diversion avec Sylvie juste le temps que je vérifie l’entrejambe de ta femme ?
— Sylvie, laisse ta place à Caline et viens t’asseoir près de moi ! Que je lui enjoins.
C’est avec un sourire coquin que Sylvie et Caline échangent leurs places sur le canapé. Quel changement radical que je suis entrain de vivre ici.
Sur l’instant, mon attention se porte beaucoup plus sur ce que Christophe fait à Caline, lorsque ses doigts viennent se poser et écarter les lèvres trempées de ma douce coquine, qui s'abandonne totalement à son unique plaisir.
Malgré le courage dont il a fait preuve au début de cette action, il la caresse timidement. Je n’ose pas le regarder dans les yeux pour ne pas rompre cette "victoire", je suis, tout de même, très excité par ce "retournement" de situation.
C'est en savourant ce triomphe de notre plan machiavélique, que je prends act, avec stupéfaction, que Sylvie a pris mon sexe dans une de ses mains. Lorsque mon regard s’est rabattu vers Christophe, je l'entends chuchoter :
— Regardes ma chère Caline... L'autre couple a pris un peu d’avance ; tu veux bien me libérer moi aussi pour me le caresser ?
Sans trop d’hésitation, Caline déboutonne son jean pour pouvoir dégager son sexe et le mettre au grand air. La situation me mettait dans un état d’excitation que je n’aurais jamais pu imaginer.
À ce moment-là, tous les freins étaient lâchés et tous les voiles sont tombés : nos amis sont-ils prêts à franchir le pas, ou bien, nos amis nous surpassent dans l'hypocrisie ?
Cela n'a plus d'importance à se stade des événements.
D'après ses gémissements, je comprends que les massages de Christophe se font de plus en plus insistants autour du petit bouton d'amour de mon amour. Dans l'air frissonne, l'imminence de la jouissance de Caline. Tout comme celle de son amant du soir. Son sexe est d’une extrême raideur... Une petite larme d’un liquide chaud et transparent s'échappe de son gland pour venir s’étaler sur les doigts de ma mère de mes enfants.
Malgré le son de ce film, il a rendu tout cela possible, j’entends de petits gémissements timides...
J'ai la vue de la langue de Sylvie se balader mon sexe tout fier d'être ainsi caressé.
— Caline... Prends exemple ! Que je lui lance... Christophe n’attend que ça lui aussi.
Il a dû libérer ses doigts de mon entrejambe lorsque Caline se repositionne sur le canapé, et c’est accompagnée d’une nette sensation de désir au niveau du bas-ventre de son future "baiseur" que Caline approche ses lèvres du gland de Christophe pour y déposer de petits baisers humides.
Dès le premier contact, il a basculé sa tête en arrière et a posé ses deux mains sur la tête de ma compagne.
Caline passe le bout de ma langue humide du bas vers le haut, et inversement, de cette tige, toute heureuse de ce traitement, puis d’une main Caline dégage ses boules pour pouvoir les sucer elles aussi.
Christophe gémit à chaque remontée de la langue humide de ma femme, vers son gland. Je devinais sa jouissance proche : il était temps que je le prenne entièrement en bouche. Et c’est tout en maintenant fermement la peau de son sexe à sa base pour bien dégager son gland que je l’ai fait glisser au plus profond de ma gorge.
Après quelques va-et-vient de la sorte, il a maintenu fermement ma tête pour stopper mes allers-retours et bloquer son gland au plus profond, et il n’a relâché la pression de ses mains sur ma tête qu’après que plusieurs jets de sperme se soient accumulés dans ma bouche. J’étais dans tous mes états… L’avoir fait jouir comme ça en moi me rendait encore plus impatiente d’être à mon tour goûtée de la sorte ; j’avais moi aussi besoin d’être soulagée.
De son côté, Sylvie masturbait sensuellement le sexe raide qu’elle avait en main tout en emprisonnant le gland dans sa bouche. S’en sont suivis des gémissements d’extase que Rémi ne pouvait plus contenir. Je ne savais pas ce qu’il en était pour Sylvie, mais pour ma part je ne pouvais plus attendre ; il devenait indispensable que l’on s’occupe de mon minou, mais j’étais trop mal à l’aise pour oser pour le demander ouvertement.
— Les garçons, on vous a bien soulagés ; il serait peut-être temps que vous nous rendiez la pareille ? proposa Sylvie.
— Avec plaisir ! s’exclama mon mari.
— Et si l’on continuait dans des chambres séparées ? Ça permettrait à chacun de nous de vivre pleinement ce moment d’échange ; qu’en pensez-vous ? s’enquit Christophe.
— OK pour moi, acquiesça Rémi.
— Sacré Christophe… Ça te gêne de savoir que je vais voir ce que tu vas lui faire ? lui demanda son épouse.
— OK pour moi aussi, m’entendis-je dire.
— Tant pis pour toi : tu ne sauras rien de ce que nous, nous allons faire ! déclara Sylvie.
C’est en riant et en nous taquinant les uns les autres sur ce qui allait se passer que nous nous sommes retrouvés, Christophe et moi, dans la chambre d’amis pour laisser Sylvie et Rémi dans notre chambre.
Une fois seule avec Christophe, isolés dans la chambre, mon cœur battait la chamade ; mon bas-ventre devenait incontrôlable et mon sexe dégoulinait dans ma culotte. Christophe se déshabilla tout en me regardant en faire autant. Nous nous sommes allongés sur le lit, côte à côte. Il s’est approché et m’a embrassée tout en caressant les moindres recoins de mon corps avec une de ses mains sans jamais passer sur mon sexe, puis il m’a basculée sur le dos pour se blottir contre moi, son sexe dur posé sur mon ventre. Sa main caressait mon cou, et sa respiration au creux de mon oreille devint rapide lorsque sa main est descendue sur l’un de mes seins pour torturer mon téton ; j’ai eu l’impression que des aiguilles traversaient mon sexe. Je n’en pouvais plus ; j’avais peur d’être sur le point de jouir sans n’avoir subi aucun contact sur mon intimité. C’est alors qu’il m’a chuchoté :
— Ça fait des années que je rêve de cet instant !
— Chris, je suis très excitée ; je crois que je suis sur le point de jouir…
Pour réponse, il a sucé un de mes tétons avant de laisser glisser sa langue humide jusque sur mon sexe trempé. Cette caresse tant désirée me mit dans un état semi comateux. Je n’avais pas l’habitude d’exprimer mon plaisir par des cris, mais cette fois je ne me contrôlais plus, le son de ma voix résonnait dans la chambre. Les quelques rotations de ce bout de chair autour de mon clitoris ont eu raison de moi, et c’est avec un cri d’extase que j’ai écarté sa tête de mon entrejambe.
Après m’avoir laissé un court instant pour retrouver mes esprits, il s‘est installé sur moi, et sa verge n’a eu aucun mal à trouver son chemin pour glisser jusqu’en butée tout au fond de mon ventre. Il resta ainsi emboîté, sans aucun mouvement de son corps ; sa main gauche maintenait ma nuque pour mieux attirer mes lèvres sur les siennes, et nos salives se sont mélangées un instant pendant que je percevais nettement la rigidité de ce bâton immobile qui me transperçait.
Puis il a appuyé sa tête contre la mienne et a commencé par de petits va-et-vient ; je sentis à nouveau sa respiration s’accélérer dans le creux de mon oreille. Lorsqu’il a accéléré la cadence, je ressentis un plaisir jusqu’ici inconnu : chaque pénétration profonde me provoquait un frissonnement que je pouvais ressentir jusque dans ma gorge. C’était la première fois que mon plaisir montait en puissance autrement que par une torture de mon clitoris. Le rythme frénétique de ses mouvements bousculait le lit, qui à son tour cognait contre le mur de la chambre à chaque butée de son sexe au fond de mon conduit.
Je découvrais un plaisir intense ; j’étais à nouveau sur le point de jouir. De son côté, Christophe mélangeait gémissements et respirations rapides contre mon oreille, ses muscles étaient tout tendus, au bord de la crampe. Une dernière accélération a eu raison de notre résistance, et son liquide chaud s’est répandu au plus profond de mon fourreau lorsque j’ai resserré mon vagin qui ne pouvait plus contenir sa jouissance.
Nous sommes restés un instant emboîtés, immobiles l’un sur l’autre, à tenter de retrouver nos esprits, puis nous sommes partis dans un fou-rire tout aussi incontrôlable que notre dernier plaisir lorsque nous avons entendu que le lit utilisé par Rémi et Sylvie cognait le mur de la chambre d’à côté sur un rythme régulier.
Nous avons passé la nuit à répéter toutes sortes de plaisirs dans l’intimité de nos chambres respectives. Depuis, notre amitié s’est renforcée et nous programmons régulièrement des soirées coquines avec ce couple d’amis.
Fin
Sylvie et Christophe, sont de bons amis avec qui nous partageons souvent de bons moment le samedi soir ou le week-end.
Sans trop savoir quelle orientation sexuelle qu'ils ont l'habitude de pratiquer, bien que nous avions essayé de sonder le terrain à maintes reprises, sans trop éveiller les soupçons, mais cela est resté sans réponse.
Après en avoir parlé entre nous, Caline et moi avons eu le projet de les débaucher, de tout faire, pour qu'ils se joignent à nos explorations des plaisirs interdits. Lors d’une soirée bien arrosée, je lance une discussion autour de l’échangisme.
Caline nous raconte alors, qu’une de ses collègues de travail (vous l'aurez compris qu'il s'agit de sa propre personne) disait m, à qui veut l'entendre, qu'elle était adepte, avec son conjoint, de ce type de rencontre.
En bonne comédienne, elle se dit "être outrée" de voir que sa collègue pouvait parler librement de ce genre de chose sur son lieu de travail avec des personnes plus au moins intimes, bien que cela soit un sujet, que 90% des gens, le classe dans le dossier des sujets "tabous" qu'on ne révèle que sous la torture.
(Eh oui, notre société est une société de faux-culs, d'hypocrites, de première classe... Tel est mon avis !)
Peu de personnes parlent de leurs orientations sexuelles en public... Pendant ses explications, je constate que Christophe regarde, ma femme, de façon inhabituelle : ses yeux brillent, et j'ai la nette impression qu’il attendait nos commentaires, nos avis, vis-à-vis de la discussion lancée, avec l’espoir de nous entendre dire, que nous ne nous sommes pas choqués, ou au contraire, que nous approuvons les pratiques de ce couple.
(Peut-on être choqués du fait que Caline et moi aimons vivre ainsi ? Mais ça, ils ne le savent pas encore !)
Notre couple d'amis, surtout Sylvie, est assez surpris par cette discussion mais nous sommes restés sans réponses ni commentaires.
Mais cela n'empêche que, Christophe a bien tenté quelques allusions coquines avec Caline qui a su garder son rôle de femme de famille assez pudique, car nous n'avions aucune réponse sur l'opinion de ce couple d'amis.
Il est bien difficile de fairesortir le loup de sa tanière.
Après en avoir discuté ensuite avec Caline, lorsqu’ils nous ont quittés, on était dégouté de rester dans le flou, bien que, en se remémorant certains faits et gestes passés, il était flagrant que Christophe désirait Caline d'une certaine façon, mais rien de concret .
Ce soir-là, nous avons fait l’amour avec beaucoup d’excitation en nous imaginant réaliser notre fantasme avec nos amis. J'ai pris un certain plaisir à décrire, à Caline, ce que je souhaitait la voir faire avec Christophe et comment j'envisageais de m’occuper de Sylvie.
Comme nous nous voyons régulièrement – environ toutes les trois semaines, au pire une fois par mois – et que notre prochaine soirée a été programmée, je demande à Caline de s’habiller sexy, voire provocante...
C’est avec de hauts talons, bas résille noirs, minijupe en jean et décolleté que ma charmante épouse a accueilli nos hôtes.
À leur arrivée, une nouvelle fois je vois les yeux de Christophe s’illuminer ; ils parcourent le corps de ma princesse avec envie. L’alcool aidant, au cours de la soirée les allusions coquines se multiplient, Christophe monte, progressivement, d’un cran à chaque fois qu’il le peut. Il en est de même avec Sylvie qui, quand elle s’adresse à moi, elle me tient le bras – pour ne pas dire qu’elle me le caresse – ce qui me surprends vu qu’elle n’avait jamais été tactile jusqu’ici. L’ambiance était de plus en plus chaude, chacun y allant de sa blague coquine ou allusion provocatrice, jusqu’à ce que Christophe me demande :
— Tu n’aurais pas un petit film coquin bien sympa à nous proposer ?
— Ohhh ... Alors là, tu as le choix, j’ai un film érotique sympa "Happy Few Years", ou alors j’ai des films X ; c’est comme tu veux !
— Ah non, pas du X, c’est trop vulgaire ! S’exclame Sylvie, presque outrée... Plutôt ton film érotique.
— Il parle de quoi, ton film érotique ? S’exclame Christophe.
— De deux couples échangistes qui prennent leur pied en s’échangeant ! Réponds ai-je.
Il y a un court moment de silence avant que Christophe dit en plaisant :
— Cool, comme ça on sera bien dans l’ambiance pour passer aux choses sérieuses !
— Oui, c’est ça… Mais tu rêves, mon pauvre Christophe ! Proteste son épouse.
— Faut pas (quasi inaudible) prendre tes rêves pour la réalité, lui lance ai-je.
Déposons nos verres et la bouteille de liqueur sur la table basse, nous nous sommes installés tous les quatre sur le canapé, prêts à visionner le film, que Caline et moi avons déjà vu deux fois.
(Pour ceux qui ont déjà lu quelques épisodes de notre vie, je précise que cette histoire avait eu lieu avant que Caline fasse son premier film, donc, il n'y a pas eu de confusion)
Un petit quart d’heure après le début du film, nous voyons les premiers ébats entre les partenaires qui se sont échangés leurs conjoints. Christophe, qui commentait le film depuis le début, s’exclame :
— Ouah ! Il vient juste de lui poser sa langue et elle a l’air d’être déjà en extase. Ça doit être vraiment excitant de prendre du plaisir dans une telle situation.
— Je suis d’accord : ça doit être un plaisir bien différent. Et vous, les filles, vous en pensez quoi ? Dis-je.
— Je crois que je suis toute mouillée… Nous avoua Sylvie.
J'étais sur le cul... Caline prend la balle au bond et dit :
— Cochonne ! Tu t’y vois, c’est ça ? Tu t’imagines quand même pas que je vais laisser mon chéri passer sa langue sur tes lèvres intimes !
— Ma petite Caline, je suis sûr que toi aussi tu es tout humide, tout comme la dernière fois où l’on a regardé ce film. Dis-je.
— Non, pas du tout ! Dit Caline avec un petit sourire coquin.
— Je serais curieux de pouvoir le constater… Propose Christophe.
— Tu rêves... Calmes-toi gros PERVERS! Rétorque l'épouse du concerné.
— Pas chiche de venir voir ! Provoque Caline en bonne pêcheuse (dans les deux sens du terme).
— Si ça ce n’est pas de la provocation ! Réagit au quart de tour notre bon Christophe. Hamed, peux-tu faire diversion avec Sylvie juste le temps que je vérifie l’entrejambe de ta femme ?
— Sylvie, laisse ta place à Caline et viens t’asseoir près de moi ! Que je lui enjoins.
C’est avec un sourire coquin que Sylvie et Caline échangent leurs places sur le canapé. Quel changement radical que je suis entrain de vivre ici.
Sur l’instant, mon attention se porte beaucoup plus sur ce que Christophe fait à Caline, lorsque ses doigts viennent se poser et écarter les lèvres trempées de ma douce coquine, qui s'abandonne totalement à son unique plaisir.
Malgré le courage dont il a fait preuve au début de cette action, il la caresse timidement. Je n’ose pas le regarder dans les yeux pour ne pas rompre cette "victoire", je suis, tout de même, très excité par ce "retournement" de situation.
C'est en savourant ce triomphe de notre plan machiavélique, que je prends act, avec stupéfaction, que Sylvie a pris mon sexe dans une de ses mains. Lorsque mon regard s’est rabattu vers Christophe, je l'entends chuchoter :
— Regardes ma chère Caline... L'autre couple a pris un peu d’avance ; tu veux bien me libérer moi aussi pour me le caresser ?
Sans trop d’hésitation, Caline déboutonne son jean pour pouvoir dégager son sexe et le mettre au grand air. La situation me mettait dans un état d’excitation que je n’aurais jamais pu imaginer.
À ce moment-là, tous les freins étaient lâchés et tous les voiles sont tombés : nos amis sont-ils prêts à franchir le pas, ou bien, nos amis nous surpassent dans l'hypocrisie ?
Cela n'a plus d'importance à se stade des événements.
D'après ses gémissements, je comprends que les massages de Christophe se font de plus en plus insistants autour du petit bouton d'amour de mon amour. Dans l'air frissonne, l'imminence de la jouissance de Caline. Tout comme celle de son amant du soir. Son sexe est d’une extrême raideur... Une petite larme d’un liquide chaud et transparent s'échappe de son gland pour venir s’étaler sur les doigts de ma mère de mes enfants.
Malgré le son de ce film, il a rendu tout cela possible, j’entends de petits gémissements timides...
J'ai la vue de la langue de Sylvie se balader mon sexe tout fier d'être ainsi caressé.
— Caline... Prends exemple ! Que je lui lance... Christophe n’attend que ça lui aussi.
Il a dû libérer ses doigts de mon entrejambe lorsque Caline se repositionne sur le canapé, et c’est accompagnée d’une nette sensation de désir au niveau du bas-ventre de son future "baiseur" que Caline approche ses lèvres du gland de Christophe pour y déposer de petits baisers humides.
Dès le premier contact, il a basculé sa tête en arrière et a posé ses deux mains sur la tête de ma compagne.
Caline passe le bout de ma langue humide du bas vers le haut, et inversement, de cette tige, toute heureuse de ce traitement, puis d’une main Caline dégage ses boules pour pouvoir les sucer elles aussi.
Christophe gémit à chaque remontée de la langue humide de ma femme, vers son gland. Je devinais sa jouissance proche : il était temps que je le prenne entièrement en bouche. Et c’est tout en maintenant fermement la peau de son sexe à sa base pour bien dégager son gland que je l’ai fait glisser au plus profond de ma gorge.
Après quelques va-et-vient de la sorte, il a maintenu fermement ma tête pour stopper mes allers-retours et bloquer son gland au plus profond, et il n’a relâché la pression de ses mains sur ma tête qu’après que plusieurs jets de sperme se soient accumulés dans ma bouche. J’étais dans tous mes états… L’avoir fait jouir comme ça en moi me rendait encore plus impatiente d’être à mon tour goûtée de la sorte ; j’avais moi aussi besoin d’être soulagée.
De son côté, Sylvie masturbait sensuellement le sexe raide qu’elle avait en main tout en emprisonnant le gland dans sa bouche. S’en sont suivis des gémissements d’extase que Rémi ne pouvait plus contenir. Je ne savais pas ce qu’il en était pour Sylvie, mais pour ma part je ne pouvais plus attendre ; il devenait indispensable que l’on s’occupe de mon minou, mais j’étais trop mal à l’aise pour oser pour le demander ouvertement.
— Les garçons, on vous a bien soulagés ; il serait peut-être temps que vous nous rendiez la pareille ? proposa Sylvie.
— Avec plaisir ! s’exclama mon mari.
— Et si l’on continuait dans des chambres séparées ? Ça permettrait à chacun de nous de vivre pleinement ce moment d’échange ; qu’en pensez-vous ? s’enquit Christophe.
— OK pour moi, acquiesça Rémi.
— Sacré Christophe… Ça te gêne de savoir que je vais voir ce que tu vas lui faire ? lui demanda son épouse.
— OK pour moi aussi, m’entendis-je dire.
— Tant pis pour toi : tu ne sauras rien de ce que nous, nous allons faire ! déclara Sylvie.
C’est en riant et en nous taquinant les uns les autres sur ce qui allait se passer que nous nous sommes retrouvés, Christophe et moi, dans la chambre d’amis pour laisser Sylvie et Rémi dans notre chambre.
Une fois seule avec Christophe, isolés dans la chambre, mon cœur battait la chamade ; mon bas-ventre devenait incontrôlable et mon sexe dégoulinait dans ma culotte. Christophe se déshabilla tout en me regardant en faire autant. Nous nous sommes allongés sur le lit, côte à côte. Il s’est approché et m’a embrassée tout en caressant les moindres recoins de mon corps avec une de ses mains sans jamais passer sur mon sexe, puis il m’a basculée sur le dos pour se blottir contre moi, son sexe dur posé sur mon ventre. Sa main caressait mon cou, et sa respiration au creux de mon oreille devint rapide lorsque sa main est descendue sur l’un de mes seins pour torturer mon téton ; j’ai eu l’impression que des aiguilles traversaient mon sexe. Je n’en pouvais plus ; j’avais peur d’être sur le point de jouir sans n’avoir subi aucun contact sur mon intimité. C’est alors qu’il m’a chuchoté :
— Ça fait des années que je rêve de cet instant !
— Chris, je suis très excitée ; je crois que je suis sur le point de jouir…
Pour réponse, il a sucé un de mes tétons avant de laisser glisser sa langue humide jusque sur mon sexe trempé. Cette caresse tant désirée me mit dans un état semi comateux. Je n’avais pas l’habitude d’exprimer mon plaisir par des cris, mais cette fois je ne me contrôlais plus, le son de ma voix résonnait dans la chambre. Les quelques rotations de ce bout de chair autour de mon clitoris ont eu raison de moi, et c’est avec un cri d’extase que j’ai écarté sa tête de mon entrejambe.
Après m’avoir laissé un court instant pour retrouver mes esprits, il s‘est installé sur moi, et sa verge n’a eu aucun mal à trouver son chemin pour glisser jusqu’en butée tout au fond de mon ventre. Il resta ainsi emboîté, sans aucun mouvement de son corps ; sa main gauche maintenait ma nuque pour mieux attirer mes lèvres sur les siennes, et nos salives se sont mélangées un instant pendant que je percevais nettement la rigidité de ce bâton immobile qui me transperçait.
Puis il a appuyé sa tête contre la mienne et a commencé par de petits va-et-vient ; je sentis à nouveau sa respiration s’accélérer dans le creux de mon oreille. Lorsqu’il a accéléré la cadence, je ressentis un plaisir jusqu’ici inconnu : chaque pénétration profonde me provoquait un frissonnement que je pouvais ressentir jusque dans ma gorge. C’était la première fois que mon plaisir montait en puissance autrement que par une torture de mon clitoris. Le rythme frénétique de ses mouvements bousculait le lit, qui à son tour cognait contre le mur de la chambre à chaque butée de son sexe au fond de mon conduit.
Je découvrais un plaisir intense ; j’étais à nouveau sur le point de jouir. De son côté, Christophe mélangeait gémissements et respirations rapides contre mon oreille, ses muscles étaient tout tendus, au bord de la crampe. Une dernière accélération a eu raison de notre résistance, et son liquide chaud s’est répandu au plus profond de mon fourreau lorsque j’ai resserré mon vagin qui ne pouvait plus contenir sa jouissance.
Nous sommes restés un instant emboîtés, immobiles l’un sur l’autre, à tenter de retrouver nos esprits, puis nous sommes partis dans un fou-rire tout aussi incontrôlable que notre dernier plaisir lorsque nous avons entendu que le lit utilisé par Rémi et Sylvie cognait le mur de la chambre d’à côté sur un rythme régulier.
Nous avons passé la nuit à répéter toutes sortes de plaisirs dans l’intimité de nos chambres respectives. Depuis, notre amitié s’est renforcée et nous programmons régulièrement des soirées coquines avec ce couple d’amis.
Fin
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