Un essai de baise en trio
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2015 dans la catégorie Plus on est
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Un essai de baise en trio
Après avoir mené une vie de patachon, je me suis rangé après avoir rencontré Paulette. Elle est grande, relativement potelée, sans plus, comme j’aime bien les femmes. Ce qui m’a fait tomber sous le charme se sont ses seins. J’ai bien du mettre 2 mois avant de l’embrasser. Pourtant d’après les on dit, elle n’étais pas si difficile que ça. La réalité a fait que j’ai bataillé dur pour enfin lui caresser la poitrine, un soir dans un café où nous prenions une boisson. A partir de là tout s’est accéléré. Au bout de quelques jours nous avons fait l’amour. Elle tenait parfaitement sa place: elle aimait bien ça et me le demandait souvent en cas, rare, d’oublis de ma part. Et puis, un jour, nous avons rencontré et monsieur le maire et monsieur le curé.
Notre union devenait de plus en plus axée sur le plaisir.
Quand nous faisions le grand soir, c’était pour nous une véritable union de deux corps et deux recherches de jouissance. C’est toujours elle qui commençait: le soir en rentrant du travail, toujours après elle, je la trouvait nue pour m’accueillir. Enfin pas tout à fait, elle portait une sorte de blouse translucide. Je pouvais distinguer son corps sans en voir les détails. Je connaissait parfaitement tous les coins et recoins et sa tenue me donner envie de les revoir tous. Elle venait se coller contre moi, m’embrasait et prenait ma bite en main pour la masser avant de la sortir. Elle n’y faisait pas grand-chose, elle faisait descendre mon prépuce pour que je bande: elle arrêtait là sa privauté. Me prenant par la main elle me menait vers le divan et non dans la chambre. Une fois assis, elle prenait cette fois ma bite dans sa bouche et commençait toujours une bonne fellation qu’elle cessait quand elle sentait que j’allais jouir. A ce moment là, elle venait coller son pubis contre ma bouche, écartait ses cuisses pour que je puisse passer ma langue sur son bouton, bien gonflé par le désir. Elle le décalottait pour que ma langue puisse le sucer. Quand j’avais ma langue bien contre lui, je le léchais lentement au début, comme elle aimait et j’allais ensuite plus vite. Elle jouissait, s’enlevait la blouse, mettait les pieds sur le divan les jambes écartées complètement sur ma tête, le corps appuyé sur le repose tête.
Cette fois j’étais le maître: je pouvais allais où je voulais à une seule condition: qu’elle ai du plaisir. Je recommençais à lui lécher le bouton, et dès une autre jouissance, je changeais: je lui mettait deux doigts dans le vagin et un autre, de la même main, dans l’anus. Les deux doigts allaient à la même vitesse. Elle se plaignait, sans arrêt. Elle jouissait toujours de cette façon. Mon seul soucis était ma bite qui commençait à me faire mal à force de bander, je commençais à me branler: j’aimais le faire devant elle, comme elle le faisait souvent devant moi.
J’arrêtais toujours avant d’éjaculer. Arrivait le moment où elle aussi avait besoin de baiser: elle se laissait glisser sur moi, pour arriver à s’assoir sur mon nœud qu’elle entrait facilement dans son con tout mouillé. Je me laissais faire, comme un pacha. Après tout c’est elle qui me cherchait (c’est ce que je pensais sur le moment avec une mauvaise fois parfaite).
Elle était contre mon torse, son dos collé à moi. Je l’aidais dans les mouvements. Elle arrêtait souvent pour faire durer son plaisir et le mien. Je lui caressais la poitrine lentement, en lui faisant ressortir les tétons, que j’agaçais avec les pouces. Elle tournait la tête pour me donner ses lèvres. Nos baisers dans cette position n’étaient pas un modèle du genre: nos langues ne pouvaient pas se caresser normalement.
Pour le reste de la nuit, là, nous étions nus, sans retenu, ne pensant qu’à une seule chose: baiser. A peine couchés nous nous embrassions longuement: nos langues avaient besoins de se battre. Je lui mordillais les tétons avant de les sucer et caresser les seins. Ma main droite descendais vers son ventre, je m’attardais sur son mon de vénus avant d’aller chercher n’importe quoi dans sa fente. Mon n’importe quoi changeait toujours. Pour elle c’était une découverte à chaque fois. Elle aimait tout: je n’avais qu’à choisir, selon mon humeur. J’affectionnais particulièrement son cul. J’y allais souvent pour entrer deux doigts dans son anus après avoir bien mouillé l’endroit. Elle tenait ma bite en me branlant doucement. Il lui arrivait, juste avant de jouir de me masturber jusqu’à ma jouissance. C’était rare, elle préférait que je jouisse dans sa bouche (au début elle refusait jusqu’u jour, où ans le faire exprès je lâchais ma dose sperme, dans sa bouche: elle avait aimé et depuis………)
Au cours de ces grands soirs, nous baisons particulièrement longtemps. Si elle ne me faisait pas jouir trop tôt, j’arrivais à la lui mettre dans son con drôlement mouillé. Nous ne formions qu’un seul corps dont le seul but était la jouissance. Après qu’elle ai joui de ce coté elle se tournait pour me donner la face opposée. Elle se mouillait bien l’anus, se mettait en levrette, ouvrait ses fesses à deux mains et me donnait son cul. J’aimais bien la lui mettre à cet endroit, d’abord il était plus resserré que son sexe et ensuite elle aimait jouir pas là. Quand j’entrais j’aimais particulièrement quand mon gland passait son sphincter. Ensuite une fois en elle, je suivais ses mouvements. Elle me faisait aller et venir surtout quand j’étais au fond de son cul. Je la sentais jouir souvent. Elle adorait la sodomie et enfin je jouissait dans son ventre. Elle se remettait couchée sur le dos elle me demandait ma bite pour la sucer encore. Nous nous embrassions: je lui caressais la poitrine et le bas ventre. Elle restais immobile profitant de mes dernière caresse post coïtales.
Un jour au lieu de baiser elle me faisait part de son fantasme: baiser avec une autre femme. Je n’avais rien contre elle me demandais de baiser avec elle la femme que je devait trouver. JE DEVAIS TROUVER. La corvée était pour moi. Depuis notre mariage, nous étions restés fidèles sans un seul écart et maintenant il fallait que je drague une femme et pour moi et pour ma femme. En réalité pour ma femme.
Je m’adressais à des copains et coup de chance l’un d’eux connaissait une fille qui entrait dans le cadre que je cherchais.
J’ai pu entrer en contact avec une fille rousse qui était bisexuelle: le pied. Sans rien dire de particulier à ma femme, je lui téléphonais un jour pour lui demander de mettre trois couverts, en espérant qu’elle comprenne.
Le soir, comme je le craignais elle n’avait pas compris que je lui disais qu’elle se prépare pour une baise en trio. La rousse vient tout à l’heure: ma femme va se changer, elle revient en toute petite tenue: elle ne porte qu’un string particulièrement serré. Quand la sonnette fait son office, c’est elle qui va ouvrir. Stupeur de la rousse de voir devant elle sa prochaine victime déjà prête. J’était sur le point de baiser ma femme quand l’autre arrive: je ne la connaissais pas non plus. Elle est sexy, habillée très court, ses cheveux couvrant ses épaules et descendant à mi dos.
Elle restent dans l’entrée: elles s’embrassent sur la bouche. La poitrine de ma femme attire les mains puis les lèvres de l’autre femme. La mienne se laisse faire. Elle me demande quand même de venir pour que je puisse embrasser notre future amante: elle a les lèvres douces. Je les imagine déjà sur le clitoris de ma femme.
Ma femme m’étonne, elle déshabille l’autre, ce qui est vite fait: un t-shirt, et une jupette. L’autre lui enlève le string, les voilà bien serrées nues totalement, les poitrines bien réunis, les bas ventre aussi. Je ne peux plus tenir, je bande trop, je me dévêt aussi. Je m’approche des deux nanas: la nouvelle prend connaissance de ma queue en me branlant fort bien. Ma femme y met également une main. Je suis masturbé par deux femmes. C’est plus qu’agréable: je pourrit jouir aussitôt. Elles m’oublient en route. Avant de passer dans la chambre pour baiser sur le lit, la rousse reprend ma bite, se penche sur elle et me fait une bonne fellation qui me fait jouir dans sa bouche. Elle partage le sperme avec ma femme. Je débande aussitôt. Elle se couchent dans l’intention évidente de baiser entre elles. Elles se caressent d’abord normalement les seins, et au bout d’un long moment elles se mettent en 69. Je les vois se lécher les cons. Je bande à nouveau. Je vais au plus facile, ma femme est sucée uniquement sur le clitoris, le reste du con est libre: je vais la lui mettre. La rousse prend ma bite pour la diriger vers le sexe de ma femme tout en continuant à la sucer. Je sens que ma femme jouit. Elle me demande de venir près de sa tête pour que je baise sa compagne devant elle. J’arrive à venir presque sur la bouche de ma femme. Elle aussi me guide vers le sexe de la nouvelle. J’entre dans un con que je ne connais pas encore. J’ai vite fait la différence avec celui de ma femme. Il est plus large et moins jouissif. J’arrive quand même à jouir dans ce sexe. Je sors d’elle et les regarde encore. Elles finissent de baiser. Ma femme reste allongée et je raccompagne l’autre après un dernier baiser. Quand je revient je trouve ma femme qui se masturbe. Enfin elle me dit que l’expérience à été bonne pour elle. Je lui dit que je suis déçu de la nouvelle. Nous tombons d’accord: nous nous contenterons de baiser à deux
Notre union devenait de plus en plus axée sur le plaisir.
Quand nous faisions le grand soir, c’était pour nous une véritable union de deux corps et deux recherches de jouissance. C’est toujours elle qui commençait: le soir en rentrant du travail, toujours après elle, je la trouvait nue pour m’accueillir. Enfin pas tout à fait, elle portait une sorte de blouse translucide. Je pouvais distinguer son corps sans en voir les détails. Je connaissait parfaitement tous les coins et recoins et sa tenue me donner envie de les revoir tous. Elle venait se coller contre moi, m’embrasait et prenait ma bite en main pour la masser avant de la sortir. Elle n’y faisait pas grand-chose, elle faisait descendre mon prépuce pour que je bande: elle arrêtait là sa privauté. Me prenant par la main elle me menait vers le divan et non dans la chambre. Une fois assis, elle prenait cette fois ma bite dans sa bouche et commençait toujours une bonne fellation qu’elle cessait quand elle sentait que j’allais jouir. A ce moment là, elle venait coller son pubis contre ma bouche, écartait ses cuisses pour que je puisse passer ma langue sur son bouton, bien gonflé par le désir. Elle le décalottait pour que ma langue puisse le sucer. Quand j’avais ma langue bien contre lui, je le léchais lentement au début, comme elle aimait et j’allais ensuite plus vite. Elle jouissait, s’enlevait la blouse, mettait les pieds sur le divan les jambes écartées complètement sur ma tête, le corps appuyé sur le repose tête.
Cette fois j’étais le maître: je pouvais allais où je voulais à une seule condition: qu’elle ai du plaisir. Je recommençais à lui lécher le bouton, et dès une autre jouissance, je changeais: je lui mettait deux doigts dans le vagin et un autre, de la même main, dans l’anus. Les deux doigts allaient à la même vitesse. Elle se plaignait, sans arrêt. Elle jouissait toujours de cette façon. Mon seul soucis était ma bite qui commençait à me faire mal à force de bander, je commençais à me branler: j’aimais le faire devant elle, comme elle le faisait souvent devant moi.
J’arrêtais toujours avant d’éjaculer. Arrivait le moment où elle aussi avait besoin de baiser: elle se laissait glisser sur moi, pour arriver à s’assoir sur mon nœud qu’elle entrait facilement dans son con tout mouillé. Je me laissais faire, comme un pacha. Après tout c’est elle qui me cherchait (c’est ce que je pensais sur le moment avec une mauvaise fois parfaite).
Elle était contre mon torse, son dos collé à moi. Je l’aidais dans les mouvements. Elle arrêtait souvent pour faire durer son plaisir et le mien. Je lui caressais la poitrine lentement, en lui faisant ressortir les tétons, que j’agaçais avec les pouces. Elle tournait la tête pour me donner ses lèvres. Nos baisers dans cette position n’étaient pas un modèle du genre: nos langues ne pouvaient pas se caresser normalement.
Pour le reste de la nuit, là, nous étions nus, sans retenu, ne pensant qu’à une seule chose: baiser. A peine couchés nous nous embrassions longuement: nos langues avaient besoins de se battre. Je lui mordillais les tétons avant de les sucer et caresser les seins. Ma main droite descendais vers son ventre, je m’attardais sur son mon de vénus avant d’aller chercher n’importe quoi dans sa fente. Mon n’importe quoi changeait toujours. Pour elle c’était une découverte à chaque fois. Elle aimait tout: je n’avais qu’à choisir, selon mon humeur. J’affectionnais particulièrement son cul. J’y allais souvent pour entrer deux doigts dans son anus après avoir bien mouillé l’endroit. Elle tenait ma bite en me branlant doucement. Il lui arrivait, juste avant de jouir de me masturber jusqu’à ma jouissance. C’était rare, elle préférait que je jouisse dans sa bouche (au début elle refusait jusqu’u jour, où ans le faire exprès je lâchais ma dose sperme, dans sa bouche: elle avait aimé et depuis………)
Au cours de ces grands soirs, nous baisons particulièrement longtemps. Si elle ne me faisait pas jouir trop tôt, j’arrivais à la lui mettre dans son con drôlement mouillé. Nous ne formions qu’un seul corps dont le seul but était la jouissance. Après qu’elle ai joui de ce coté elle se tournait pour me donner la face opposée. Elle se mouillait bien l’anus, se mettait en levrette, ouvrait ses fesses à deux mains et me donnait son cul. J’aimais bien la lui mettre à cet endroit, d’abord il était plus resserré que son sexe et ensuite elle aimait jouir pas là. Quand j’entrais j’aimais particulièrement quand mon gland passait son sphincter. Ensuite une fois en elle, je suivais ses mouvements. Elle me faisait aller et venir surtout quand j’étais au fond de son cul. Je la sentais jouir souvent. Elle adorait la sodomie et enfin je jouissait dans son ventre. Elle se remettait couchée sur le dos elle me demandait ma bite pour la sucer encore. Nous nous embrassions: je lui caressais la poitrine et le bas ventre. Elle restais immobile profitant de mes dernière caresse post coïtales.
Un jour au lieu de baiser elle me faisait part de son fantasme: baiser avec une autre femme. Je n’avais rien contre elle me demandais de baiser avec elle la femme que je devait trouver. JE DEVAIS TROUVER. La corvée était pour moi. Depuis notre mariage, nous étions restés fidèles sans un seul écart et maintenant il fallait que je drague une femme et pour moi et pour ma femme. En réalité pour ma femme.
Je m’adressais à des copains et coup de chance l’un d’eux connaissait une fille qui entrait dans le cadre que je cherchais.
J’ai pu entrer en contact avec une fille rousse qui était bisexuelle: le pied. Sans rien dire de particulier à ma femme, je lui téléphonais un jour pour lui demander de mettre trois couverts, en espérant qu’elle comprenne.
Le soir, comme je le craignais elle n’avait pas compris que je lui disais qu’elle se prépare pour une baise en trio. La rousse vient tout à l’heure: ma femme va se changer, elle revient en toute petite tenue: elle ne porte qu’un string particulièrement serré. Quand la sonnette fait son office, c’est elle qui va ouvrir. Stupeur de la rousse de voir devant elle sa prochaine victime déjà prête. J’était sur le point de baiser ma femme quand l’autre arrive: je ne la connaissais pas non plus. Elle est sexy, habillée très court, ses cheveux couvrant ses épaules et descendant à mi dos.
Elle restent dans l’entrée: elles s’embrassent sur la bouche. La poitrine de ma femme attire les mains puis les lèvres de l’autre femme. La mienne se laisse faire. Elle me demande quand même de venir pour que je puisse embrasser notre future amante: elle a les lèvres douces. Je les imagine déjà sur le clitoris de ma femme.
Ma femme m’étonne, elle déshabille l’autre, ce qui est vite fait: un t-shirt, et une jupette. L’autre lui enlève le string, les voilà bien serrées nues totalement, les poitrines bien réunis, les bas ventre aussi. Je ne peux plus tenir, je bande trop, je me dévêt aussi. Je m’approche des deux nanas: la nouvelle prend connaissance de ma queue en me branlant fort bien. Ma femme y met également une main. Je suis masturbé par deux femmes. C’est plus qu’agréable: je pourrit jouir aussitôt. Elles m’oublient en route. Avant de passer dans la chambre pour baiser sur le lit, la rousse reprend ma bite, se penche sur elle et me fait une bonne fellation qui me fait jouir dans sa bouche. Elle partage le sperme avec ma femme. Je débande aussitôt. Elle se couchent dans l’intention évidente de baiser entre elles. Elles se caressent d’abord normalement les seins, et au bout d’un long moment elles se mettent en 69. Je les vois se lécher les cons. Je bande à nouveau. Je vais au plus facile, ma femme est sucée uniquement sur le clitoris, le reste du con est libre: je vais la lui mettre. La rousse prend ma bite pour la diriger vers le sexe de ma femme tout en continuant à la sucer. Je sens que ma femme jouit. Elle me demande de venir près de sa tête pour que je baise sa compagne devant elle. J’arrive à venir presque sur la bouche de ma femme. Elle aussi me guide vers le sexe de la nouvelle. J’entre dans un con que je ne connais pas encore. J’ai vite fait la différence avec celui de ma femme. Il est plus large et moins jouissif. J’arrive quand même à jouir dans ce sexe. Je sors d’elle et les regarde encore. Elles finissent de baiser. Ma femme reste allongée et je raccompagne l’autre après un dernier baiser. Quand je revient je trouve ma femme qui se masturbe. Enfin elle me dit que l’expérience à été bonne pour elle. Je lui dit que je suis déçu de la nouvelle. Nous tombons d’accord: nous nous contenterons de baiser à deux
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