Un homme dominateur 1/6
Récit érotique écrit par Chaud comme la braise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un homme dominateur 1/6
Un homme dominateur. 1 ère partie Actuellement, nous sommes en pleine réflexion ma femme et moi. Notre contrat, certes moral avec lui, ce termine dans quinze jours, mais il nous a proposé une prolongation de six mois supplémentaires. Ma femme aurait plutôt envie de poursuivre l'aventure mais moi, je voudrais refuser. Notre couple vit une expérience très spéciale depuis que l'on a accepté la proposition de Paul. Tout à commencé il y a un peu plus de sept mois.
Nous sommes un couple d'une quarantaine d'année, Frédéric et Sandrine, originaire de la région centre. Il y a un an environ, nous avons décidé de tout plaquer, démission, vente de la maison, pour venir s'installer sur Bordeaux. On a retrouvé du travail rapidement, investi dans une nouvelle habitation et commencé à ce refaire un petit cercle d'amis. Un soir, il y a sept mois justement, on était invité à une soirée d'anniversaire et c'est la, qu'on a fait la connaissance de Paul. Un homme d'une cinquantaine d'année, plutôt bel homme, très charismatique. Le début de soirée avait été plutôt tranquille, mais au fur et à mesure que le temps passait, Paul était de plus en plus proche de ma femme. Personnellement, j’avais beaucoup apprécié ce rapprochement, vu que je phantasme de voir ma femme avec un autre homme. Finalement, avant la fin de cette soirée, on avait échangé nos numéro de téléphone mais je pensais que ça en resterait là. Deux jours plus tard, je recevais un appel de Paul, qui souhaitait nous inviter au restaurant le samedi suivant. C’était un établissement très chic, le genre de restaurant que l’on se paye jamais avec ma femme, car beaucoup trop cher pour notre budget. Il a vite compris que l’on était pas très à l'aise dans ce genre de restaurant. Il nous a expliqué qu’il était le P-D-G d'une grosse entreprise sur Bordeaux et qu'il emmenait très souvent ses clients ici, quand il négociait des gros contrats. Et c'est à ce moment-là, qu'il nous à dit qu'il avait une proposition à nous faire. Je pensais qu'il voulait nous proposer un poste, dans son entreprise. Mais pas du tout. Et il a commencé à nous expliqué pourquoi il nous avait invité.
-« Samedi soir, j’ai passé un bon moment à vous observez. Ensuite, je me suis rapproché tranquillement de Sandrine, avant de la draguer ouvertement devant toi ( il s'adresse à moi ) pour voir ta réaction. Je pense ne pas me trompé en disant que ça t'a plus ( j'acquiesce d'un petit mouvement de tête ) et que tu aimerais voir Sandrine baiser avec un autre homme. »Il est vraiment direct. Je suis sur le cul. J'ai le cœur qui bat à toute vitesse. Comment peut-il avoir deviné mon plus grand phantasme en m’ayant juste observé une soirée ? Sandrine ne réagit pas, on dirait qu’elle attend la suite de la conversation. Il poursuit :-« Je suis un homme reconnu dans la région. Toutes les portes s' ouvre pour moi, partout ou je vais. J'ai accès à tout le gratin de Bordeaux. Je vous offre ça. Les meilleurs restaurants, les boîtes branchés, les soirées privées. Je vous fournirez également, des vêtements adéquats pour accéder à ces soirées. Vêtements que vous pourrez conservé... »Pourquoi il ferait ça ? Je l'interrompt, curieux qu'il en vienne au conditions :-« Et que devons-nous faire pour avoir droit à ça ?
-J'y viens, soyez patient. Si vous acceptez ma proposition, vous vous engagez pour une période de six mois. Bien sur, vous n'êtes pas tenue par un contrat écrit, vous engagez juste votre parole. Je vous demande de bien réfléchir avant de prendre votre décision, car si vous acceptez, j'ose espérer que vous tiendrez votre parole. Durant ces six mois, je vous ferais vivre des expériences incroyables. Je suis, dans ma vie privée, un homme dominant. Je voudrais que vous soyez entièrement à mon service, durant les six prochains mois.
Je l’interrompt une nouvelle fois :- A votre service ? Comment ça ? On doit faire quoi exactement ?
- Je ne vais pas tourner autour du pot, je veux que vous soyez mes soumis sexuel. Nous aurons une relation dominant, dominés. Vous m’appellerez monsieur, ferez tout ce que je vous demanderais de faire, sans réfléchir, n’y hésitation. Vous serez à mon service. Je suis persuadé que Sandrine vous à déjà demandé de jouer ce rôle de dominant. Mais vous n’êtes pas un homme dominateur et vous ne savez pas comment faire. Vous osez pas. Moi, je vous offre de réaliser vos phantasmes et même plus que ça. La question est de savoir si vous êtes prêt à les réaliser. »C’est son métier de comprendre les gens, de cibler leurs points forts, leurs points faibles, mais là, il nous a déchiffré complètement. Il a découvert nos phantasmes sans même nous connaître. On a continué de discuter de tout ça durant le repas, mais il nous a aussi demandé de ne pas lui donner de réponse immédiate. Il veut que l’on y réfléchisse tranquillement en privé, avant de nous engager.
J’ai été très surpris, lorsque l’on est rentré chez nous, de la réaction de ma femme. Je pensais qu’elle allait me dire, même pas en rêve on accepte ce deal, mais pas du tout. Elle était même, plutôt excitée par l’idée. Moi, je n’étais pas contre cette proposition, mais ne pas en savoir plus, m’inquiétais un peu. J’avais essayé de savoir ce qu’il nous ferait, en lui posant des questions, mais il n’avait pas répondu clairement. C’était en gros, vous serez mes soumis et à ce titre, je ferais ce qu’il me plaira de vous faire. Pas d’inquiétude, il n’y aura pas de violence. Je ne suis pas sadomasochiste. Ça restait flou quand même.
On en a parlé avec Sandrine, durant plusieurs jours. On voulait être sûr de notre décision. On avait déjà parlé d’échangisme ensemble, donc on était pas fermé à l’idée de baiser avec d’autres personnes. Mais la, on partait dans l’inconnu. Elle, elle était plutôt enthousiaste à accepter. Moi, ce qui me faisais hésité, c’était de ne pas savoir ou on allait ces six prochains mois. J’avoue que je n’étais pas rassuré. Car finalement, on ne connaissait pas cet homme. Au bout d’une quinzaine de jours, je me suis laissé convaincre par ma femme d’accepter d’être les soumis de Paul. D’accepter pendant les six prochains mois, sans savoir ce qui nous attendait, d’être les esclaves sexuel de cet homme, sans rechigner.
J'ai appelé Paul pour lui donner notre réponse. Il m'a demandé de bien mémorisé son numéro dans mon téléphone. Qu'il m'appellerait à chaque fois qu’il voudrait passer et qu’il fallait que je réponde à tout ces appel. Il m'a annoncé qu'à partir de ce jour, notre contrat de six mois débutait et qu'il passerait le lendemain, à vingt heures chez nous.
Pour l’accueillir, Sandrine c’est habillée avec une jolie petite robe moulante, un joli décolleté. Elle était magnifique, sexy. Mais à dix huit heures trente environ, un coursier nous a livré un colis envoyé par Paul. On y découvre à l’intérieur, un ensemble de sous vêtements blancs, ( string, soutien gorge, porte jarretelles et une paire de bas) des escarpins à talons hauts et une cage de chasteté. Quelques minutes après, je reçois un message me disant : « Veuillez me recevoir dans ces tenues. » Sandrine c’est changée et moi, je me suis équipé de cette cage de chasteté. Je paraissait très con avec ça.
A vingt heures, ça a sonné à la porte. C’est Sandrine qui a ouvert à Paul. Il était habillé d'un costume bleu foncé. On l'à invité à rentrer dans le salon, il m'a demandé un whisky. Je vais le servir et il demande à ma femme de s' approcher. Je les regarde pendant que je sers le verre. Une fois Sandrine devant lui, il lui ordonne de ce mettre à genoux. Elle s'exécute. Il défait les boutons de son pantalon et en sort une queue hors norme. Il ne bande pas encore mais sa bite est énorme, épaisse et longue. Ses couilles sont proportionnées à sa queue, grosses et bien pendantes. Il attrape les cheveux de Sandrine et la guide pour qu'elle le prennes en bouche. J'ai le cœur qui bat très fort, ça me fait très bizarre de voir ma femme avec une bite inconnue dans la bouche. Je me rapproche pour lui donner son verre. Il le prend, en boit une gorgée et me demande de regarder ma femme le sucer. Sa queue grossie énormément dans la bouche. Il essaie de lui fourrer en entière dans la gorge, mais n’y arrive pas. Sandrine manque étouffer et à des hauts de cœur. Il la critique pour ça et lui dit qu’il va falloir qu’elle apprenne à sucer une bite correctement. Du coup, il l'attrape par le visage et lui baise la bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il se retire et éjacule une grande quantité de sperme épais sur le visage de ma femme. Il se rhabille, pose son verre, demande la clé de la cage de chasteté et nous dit qu'il reviendra à la même heure, demain. Et il s'en va, sans rien ajouter, ma femme souillée de sperme et moi, prisonnier d'une cage.
Le lendemain, dix huit heure trente, nouveau colis. Un nouvel ensemble complet de sous vêtements, noir cette fois si. Il y a également un gros gode et une bouteille de whisky. Et comme la veille, je reçoit un message à peine le coursier parti : « Veuillez me recevoir dans ces tenues. Le godemichet à la taille de mon sexe. Ma soumise devra s'entraîner à le prendre entièrement dans sa bouche pour enfin, me sucer correctement. Vous me servirez un verre de ce whisky, chaque fois que je viendrais chez vous. » Il parle de ces tenues. Il n'y a rien pour moi, alors je suppose que c'est comme la veille, juste avec la cage. Vingt heures, même scénario. Il fait mettre Sandrine à genoux, déboutonne son pantalon et lui fourre sa grosse queue dans la bouche. Il se fait sucer avant de lui jouir sur le visage, une semence épaisse et abondante.
Le troisième jour, nous avons reçu un nouveau colis. A l’intérieur, une jolie petite robe rouge, très courte, très moulante et des escarpins à talons hauts rouge ainsi qu’un sac à main. Il y avait également un costume clair, une chemise blanche, une cravate et une paire de chaussures en cuir. Même message sur mon portable : « veuillez me recevoir dans ces tenues, sans sous vêtements. » Sandrine était magnifique habillée ainsi. Elle me trouvait sexy dans ce costume. Il est arrivé comme les autres soir, à vingt heures environ et nous annonce que l’on sort. Une grosse berline allemande avec chauffeur, nous conduit à un restaurant étoil Comme il nous avait prévenu, il est très connu aussi bien du personnel, qui l’appel par son nom de famille, que de beaucoup de clients. Après le dîner, le chauffeur de monsieur nous emmène dans un night clubs. Une longue file d’attente c’est formée devant l’entrée, mais on passe devant tout le monde pour rentrer. On rejoint un groupe d’amis ou de connaissances de Paul à une table. Je comprends vite que la plupart des femmes de ce groupe, sont comme ma femme et moi, des invités. Le champagne coule à flot durant une paire d’heures, avant que Paul nous annonce que l’on part. Nous sommes accompagné d’une jolie jeune femme, d'environ vingt cinq ans, dont je ne connais pas le prénom. Je pensais qu’on allait la déposer chez elle. Pas du tout. La berline nous dépose tous les quatre dans un hôtel luxueux et elle nous accompagne jusque dans la chambre. Je n’ai jamais vu une chambre d’hôtel aussi grande, sauf à la télé. Paul me dit qu’il y a une bouteille de champagne dans le frigo et d’en servir quatre coupes. Puis il s’installe dans le canapé et demande aux deux filles de l’exciter. La jeune femme se tourne vers Sandrine et l’embrasse langoureusement. Ma femme n’est pas du tout bisexuelle, mais se laisse faire. Ses mains commence même à se promener sur le corps de sa partenaire. Elle lui attrape la robe et la retire. Ne portant pas de soutient gorge, ni de culotte, la jeune fille se retrouve juste en bas, porte jarretelles et chaussures enlacée contre Sandrine. Bientôt, c'est elle qui ce retrouve complètement nue. Elles s'embrassent, se caressent, se doigtent. Ce duo féminin est très agréable à regarder. J'ai vraiment envie de les rejoindre tellement c'est excitant, mais je doute que Paul me laisse faire. Et puis, avec ma cage de chasteté, je ferais quoi ? C'est Paul qui met fin à ce spectacle en demandant au deux femmes de le rejoindre. Elles s'approche et commence par le déshabiller. La veste, chemises, pantalon et boxer se retrouvent très vite au sol. Les quatre mains féminines parcours le corps masculin, bientôt rejoint par deux bouches, deux langues. Paul oriente très vite, les deux visages vers son sexe. C'est parti pour une double fellation. A tour de rôle, elles lui gobe le gland, le pompe, lui lèche les couilles. Les langues se promènent le long de la queue, se mêlent autour du mat. Ça doit être trop bon de subir une telle caresse. Quel chanceux. Après plusieurs minutes de ce traitement, la jeune femme se lève et vient s'empaler sur la barre de chair. Elle entame des vas et vient assez rapide. Sandrine, toujours à genoux, malaxe les couilles de Paul. C’est la jeune femme qui rythme la cadence de cette baise. Puis, au bout d’un bon moment, elle ce retire pour laisser sa place. Ma femme se relève, se tourne vers moi, avant de s'assoir sur la longue bite épaisse de son amant. Elle s’introduit la queue entièrement dans la chatte et entame des mouvements du bassin. La jeune femme se place à genoux entre les cuisses de ses deux partenaires et se met à lécher tout ce qu'elle peut. Les couilles, la queue, le clitoris. Paul râle de plaisir, il serre fortement les deux seins de Sandrine et jouie dans sa chatte. Lorsqu’il ce retire, du sperme coule sur la vulve. La jeune femme vient donner des coups de langue pour recueillir le nectar. Paul c’est levé, c'est habillé et boit une gorgé de champagne. Il nous annonce qu’il part et que son chauffeur nous raccompagnera chez nous le lendemain matin.
Tous les jours suivants, durant le premier mois, il n’y a pas eu d’évolution part rapport au trois premiers jours. Nous sommes sortie six fois au total, Paul nous a fait livrer six tenues et les soirées se sont terminées en plan à trois entre lui, ma femme et une autre femme. Tous les autres jours, sans exception, il est venu à la maison pour ce vider les couilles. Soit il se faisait sucer pour jouir sur le visage de ma femme, ou bien il la baisait et ce vidait dans sa chatte. Sandrine, c’est entraînée régulièrement à la gorge profonde avec le gode pour satisfaire son amant, mais n’arrive toujours pas à gober son sexe entièrement. Il lui fait bien savoir et lui demande de vite s’améliorer. Et moi, je suis très frustré, car excité par tout ce qu’on vie mais toujours prisonnier de ma cage de chasteté. Un mois que je n’ai pas eu d’érection, que je n’ai pas jouie et sa commence à être très long. J’espère qu’il va bientôt me libérer et que je pourrais profiter moi aussi. J’espère vraiment, car il nous reste encore cinq mois de notre contrat.
A suivre….
Nous sommes un couple d'une quarantaine d'année, Frédéric et Sandrine, originaire de la région centre. Il y a un an environ, nous avons décidé de tout plaquer, démission, vente de la maison, pour venir s'installer sur Bordeaux. On a retrouvé du travail rapidement, investi dans une nouvelle habitation et commencé à ce refaire un petit cercle d'amis. Un soir, il y a sept mois justement, on était invité à une soirée d'anniversaire et c'est la, qu'on a fait la connaissance de Paul. Un homme d'une cinquantaine d'année, plutôt bel homme, très charismatique. Le début de soirée avait été plutôt tranquille, mais au fur et à mesure que le temps passait, Paul était de plus en plus proche de ma femme. Personnellement, j’avais beaucoup apprécié ce rapprochement, vu que je phantasme de voir ma femme avec un autre homme. Finalement, avant la fin de cette soirée, on avait échangé nos numéro de téléphone mais je pensais que ça en resterait là. Deux jours plus tard, je recevais un appel de Paul, qui souhaitait nous inviter au restaurant le samedi suivant. C’était un établissement très chic, le genre de restaurant que l’on se paye jamais avec ma femme, car beaucoup trop cher pour notre budget. Il a vite compris que l’on était pas très à l'aise dans ce genre de restaurant. Il nous a expliqué qu’il était le P-D-G d'une grosse entreprise sur Bordeaux et qu'il emmenait très souvent ses clients ici, quand il négociait des gros contrats. Et c'est à ce moment-là, qu'il nous à dit qu'il avait une proposition à nous faire. Je pensais qu'il voulait nous proposer un poste, dans son entreprise. Mais pas du tout. Et il a commencé à nous expliqué pourquoi il nous avait invité.
-« Samedi soir, j’ai passé un bon moment à vous observez. Ensuite, je me suis rapproché tranquillement de Sandrine, avant de la draguer ouvertement devant toi ( il s'adresse à moi ) pour voir ta réaction. Je pense ne pas me trompé en disant que ça t'a plus ( j'acquiesce d'un petit mouvement de tête ) et que tu aimerais voir Sandrine baiser avec un autre homme. »Il est vraiment direct. Je suis sur le cul. J'ai le cœur qui bat à toute vitesse. Comment peut-il avoir deviné mon plus grand phantasme en m’ayant juste observé une soirée ? Sandrine ne réagit pas, on dirait qu’elle attend la suite de la conversation. Il poursuit :-« Je suis un homme reconnu dans la région. Toutes les portes s' ouvre pour moi, partout ou je vais. J'ai accès à tout le gratin de Bordeaux. Je vous offre ça. Les meilleurs restaurants, les boîtes branchés, les soirées privées. Je vous fournirez également, des vêtements adéquats pour accéder à ces soirées. Vêtements que vous pourrez conservé... »Pourquoi il ferait ça ? Je l'interrompt, curieux qu'il en vienne au conditions :-« Et que devons-nous faire pour avoir droit à ça ?
-J'y viens, soyez patient. Si vous acceptez ma proposition, vous vous engagez pour une période de six mois. Bien sur, vous n'êtes pas tenue par un contrat écrit, vous engagez juste votre parole. Je vous demande de bien réfléchir avant de prendre votre décision, car si vous acceptez, j'ose espérer que vous tiendrez votre parole. Durant ces six mois, je vous ferais vivre des expériences incroyables. Je suis, dans ma vie privée, un homme dominant. Je voudrais que vous soyez entièrement à mon service, durant les six prochains mois.
Je l’interrompt une nouvelle fois :- A votre service ? Comment ça ? On doit faire quoi exactement ?
- Je ne vais pas tourner autour du pot, je veux que vous soyez mes soumis sexuel. Nous aurons une relation dominant, dominés. Vous m’appellerez monsieur, ferez tout ce que je vous demanderais de faire, sans réfléchir, n’y hésitation. Vous serez à mon service. Je suis persuadé que Sandrine vous à déjà demandé de jouer ce rôle de dominant. Mais vous n’êtes pas un homme dominateur et vous ne savez pas comment faire. Vous osez pas. Moi, je vous offre de réaliser vos phantasmes et même plus que ça. La question est de savoir si vous êtes prêt à les réaliser. »C’est son métier de comprendre les gens, de cibler leurs points forts, leurs points faibles, mais là, il nous a déchiffré complètement. Il a découvert nos phantasmes sans même nous connaître. On a continué de discuter de tout ça durant le repas, mais il nous a aussi demandé de ne pas lui donner de réponse immédiate. Il veut que l’on y réfléchisse tranquillement en privé, avant de nous engager.
J’ai été très surpris, lorsque l’on est rentré chez nous, de la réaction de ma femme. Je pensais qu’elle allait me dire, même pas en rêve on accepte ce deal, mais pas du tout. Elle était même, plutôt excitée par l’idée. Moi, je n’étais pas contre cette proposition, mais ne pas en savoir plus, m’inquiétais un peu. J’avais essayé de savoir ce qu’il nous ferait, en lui posant des questions, mais il n’avait pas répondu clairement. C’était en gros, vous serez mes soumis et à ce titre, je ferais ce qu’il me plaira de vous faire. Pas d’inquiétude, il n’y aura pas de violence. Je ne suis pas sadomasochiste. Ça restait flou quand même.
On en a parlé avec Sandrine, durant plusieurs jours. On voulait être sûr de notre décision. On avait déjà parlé d’échangisme ensemble, donc on était pas fermé à l’idée de baiser avec d’autres personnes. Mais la, on partait dans l’inconnu. Elle, elle était plutôt enthousiaste à accepter. Moi, ce qui me faisais hésité, c’était de ne pas savoir ou on allait ces six prochains mois. J’avoue que je n’étais pas rassuré. Car finalement, on ne connaissait pas cet homme. Au bout d’une quinzaine de jours, je me suis laissé convaincre par ma femme d’accepter d’être les soumis de Paul. D’accepter pendant les six prochains mois, sans savoir ce qui nous attendait, d’être les esclaves sexuel de cet homme, sans rechigner.
J'ai appelé Paul pour lui donner notre réponse. Il m'a demandé de bien mémorisé son numéro dans mon téléphone. Qu'il m'appellerait à chaque fois qu’il voudrait passer et qu’il fallait que je réponde à tout ces appel. Il m'a annoncé qu'à partir de ce jour, notre contrat de six mois débutait et qu'il passerait le lendemain, à vingt heures chez nous.
Pour l’accueillir, Sandrine c’est habillée avec une jolie petite robe moulante, un joli décolleté. Elle était magnifique, sexy. Mais à dix huit heures trente environ, un coursier nous a livré un colis envoyé par Paul. On y découvre à l’intérieur, un ensemble de sous vêtements blancs, ( string, soutien gorge, porte jarretelles et une paire de bas) des escarpins à talons hauts et une cage de chasteté. Quelques minutes après, je reçois un message me disant : « Veuillez me recevoir dans ces tenues. » Sandrine c’est changée et moi, je me suis équipé de cette cage de chasteté. Je paraissait très con avec ça.
A vingt heures, ça a sonné à la porte. C’est Sandrine qui a ouvert à Paul. Il était habillé d'un costume bleu foncé. On l'à invité à rentrer dans le salon, il m'a demandé un whisky. Je vais le servir et il demande à ma femme de s' approcher. Je les regarde pendant que je sers le verre. Une fois Sandrine devant lui, il lui ordonne de ce mettre à genoux. Elle s'exécute. Il défait les boutons de son pantalon et en sort une queue hors norme. Il ne bande pas encore mais sa bite est énorme, épaisse et longue. Ses couilles sont proportionnées à sa queue, grosses et bien pendantes. Il attrape les cheveux de Sandrine et la guide pour qu'elle le prennes en bouche. J'ai le cœur qui bat très fort, ça me fait très bizarre de voir ma femme avec une bite inconnue dans la bouche. Je me rapproche pour lui donner son verre. Il le prend, en boit une gorgée et me demande de regarder ma femme le sucer. Sa queue grossie énormément dans la bouche. Il essaie de lui fourrer en entière dans la gorge, mais n’y arrive pas. Sandrine manque étouffer et à des hauts de cœur. Il la critique pour ça et lui dit qu’il va falloir qu’elle apprenne à sucer une bite correctement. Du coup, il l'attrape par le visage et lui baise la bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il se retire et éjacule une grande quantité de sperme épais sur le visage de ma femme. Il se rhabille, pose son verre, demande la clé de la cage de chasteté et nous dit qu'il reviendra à la même heure, demain. Et il s'en va, sans rien ajouter, ma femme souillée de sperme et moi, prisonnier d'une cage.
Le lendemain, dix huit heure trente, nouveau colis. Un nouvel ensemble complet de sous vêtements, noir cette fois si. Il y a également un gros gode et une bouteille de whisky. Et comme la veille, je reçoit un message à peine le coursier parti : « Veuillez me recevoir dans ces tenues. Le godemichet à la taille de mon sexe. Ma soumise devra s'entraîner à le prendre entièrement dans sa bouche pour enfin, me sucer correctement. Vous me servirez un verre de ce whisky, chaque fois que je viendrais chez vous. » Il parle de ces tenues. Il n'y a rien pour moi, alors je suppose que c'est comme la veille, juste avec la cage. Vingt heures, même scénario. Il fait mettre Sandrine à genoux, déboutonne son pantalon et lui fourre sa grosse queue dans la bouche. Il se fait sucer avant de lui jouir sur le visage, une semence épaisse et abondante.
Le troisième jour, nous avons reçu un nouveau colis. A l’intérieur, une jolie petite robe rouge, très courte, très moulante et des escarpins à talons hauts rouge ainsi qu’un sac à main. Il y avait également un costume clair, une chemise blanche, une cravate et une paire de chaussures en cuir. Même message sur mon portable : « veuillez me recevoir dans ces tenues, sans sous vêtements. » Sandrine était magnifique habillée ainsi. Elle me trouvait sexy dans ce costume. Il est arrivé comme les autres soir, à vingt heures environ et nous annonce que l’on sort. Une grosse berline allemande avec chauffeur, nous conduit à un restaurant étoil Comme il nous avait prévenu, il est très connu aussi bien du personnel, qui l’appel par son nom de famille, que de beaucoup de clients. Après le dîner, le chauffeur de monsieur nous emmène dans un night clubs. Une longue file d’attente c’est formée devant l’entrée, mais on passe devant tout le monde pour rentrer. On rejoint un groupe d’amis ou de connaissances de Paul à une table. Je comprends vite que la plupart des femmes de ce groupe, sont comme ma femme et moi, des invités. Le champagne coule à flot durant une paire d’heures, avant que Paul nous annonce que l’on part. Nous sommes accompagné d’une jolie jeune femme, d'environ vingt cinq ans, dont je ne connais pas le prénom. Je pensais qu’on allait la déposer chez elle. Pas du tout. La berline nous dépose tous les quatre dans un hôtel luxueux et elle nous accompagne jusque dans la chambre. Je n’ai jamais vu une chambre d’hôtel aussi grande, sauf à la télé. Paul me dit qu’il y a une bouteille de champagne dans le frigo et d’en servir quatre coupes. Puis il s’installe dans le canapé et demande aux deux filles de l’exciter. La jeune femme se tourne vers Sandrine et l’embrasse langoureusement. Ma femme n’est pas du tout bisexuelle, mais se laisse faire. Ses mains commence même à se promener sur le corps de sa partenaire. Elle lui attrape la robe et la retire. Ne portant pas de soutient gorge, ni de culotte, la jeune fille se retrouve juste en bas, porte jarretelles et chaussures enlacée contre Sandrine. Bientôt, c'est elle qui ce retrouve complètement nue. Elles s'embrassent, se caressent, se doigtent. Ce duo féminin est très agréable à regarder. J'ai vraiment envie de les rejoindre tellement c'est excitant, mais je doute que Paul me laisse faire. Et puis, avec ma cage de chasteté, je ferais quoi ? C'est Paul qui met fin à ce spectacle en demandant au deux femmes de le rejoindre. Elles s'approche et commence par le déshabiller. La veste, chemises, pantalon et boxer se retrouvent très vite au sol. Les quatre mains féminines parcours le corps masculin, bientôt rejoint par deux bouches, deux langues. Paul oriente très vite, les deux visages vers son sexe. C'est parti pour une double fellation. A tour de rôle, elles lui gobe le gland, le pompe, lui lèche les couilles. Les langues se promènent le long de la queue, se mêlent autour du mat. Ça doit être trop bon de subir une telle caresse. Quel chanceux. Après plusieurs minutes de ce traitement, la jeune femme se lève et vient s'empaler sur la barre de chair. Elle entame des vas et vient assez rapide. Sandrine, toujours à genoux, malaxe les couilles de Paul. C’est la jeune femme qui rythme la cadence de cette baise. Puis, au bout d’un bon moment, elle ce retire pour laisser sa place. Ma femme se relève, se tourne vers moi, avant de s'assoir sur la longue bite épaisse de son amant. Elle s’introduit la queue entièrement dans la chatte et entame des mouvements du bassin. La jeune femme se place à genoux entre les cuisses de ses deux partenaires et se met à lécher tout ce qu'elle peut. Les couilles, la queue, le clitoris. Paul râle de plaisir, il serre fortement les deux seins de Sandrine et jouie dans sa chatte. Lorsqu’il ce retire, du sperme coule sur la vulve. La jeune femme vient donner des coups de langue pour recueillir le nectar. Paul c’est levé, c'est habillé et boit une gorgé de champagne. Il nous annonce qu’il part et que son chauffeur nous raccompagnera chez nous le lendemain matin.
Tous les jours suivants, durant le premier mois, il n’y a pas eu d’évolution part rapport au trois premiers jours. Nous sommes sortie six fois au total, Paul nous a fait livrer six tenues et les soirées se sont terminées en plan à trois entre lui, ma femme et une autre femme. Tous les autres jours, sans exception, il est venu à la maison pour ce vider les couilles. Soit il se faisait sucer pour jouir sur le visage de ma femme, ou bien il la baisait et ce vidait dans sa chatte. Sandrine, c’est entraînée régulièrement à la gorge profonde avec le gode pour satisfaire son amant, mais n’arrive toujours pas à gober son sexe entièrement. Il lui fait bien savoir et lui demande de vite s’améliorer. Et moi, je suis très frustré, car excité par tout ce qu’on vie mais toujours prisonnier de ma cage de chasteté. Un mois que je n’ai pas eu d’érection, que je n’ai pas jouie et sa commence à être très long. J’espère qu’il va bientôt me libérer et que je pourrais profiter moi aussi. J’espère vraiment, car il nous reste encore cinq mois de notre contrat.
A suivre….
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