Un Prof et un élève 2 : un Remplacement surprenant
Récit érotique écrit par Jerem 19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un Prof et un élève 2 : un Remplacement surprenant
Un Prof et un élève 2 : un Remplacement surprenant
Je m'attend déjà à voir leur visages médusés à l'entrée du gymnase. Je peux comprendre, voir son prof d'éco habitué aux chemises cintrées et aux salles de cours, en jogging et t-shirt non moins moulants, devant un gymnase, ça à de quoi surprendre naturellement.
- euh...Mr Dubois pourquoi vous êtes au gymnase? Mr Leno n'est pas là? me demanda un élève que j'avais en cours et qui parlait plutôt ouvertement.
- Et non Arthur, Mr Leno n'est pas là, mais ne t'inquiète pas je vais tout vous expliquer. Rassembles tout le monde et rejoignez moi dans la salle 1, je vous expliquerai tout et on commencera la séance après.
Quelques minutes plus tard, me tenant devant les gradins de la salle 1, face à 2 classes de terminales qui me regardaient d'un air inquisiteur, je dis :
"Bon comme vous l'avez surement remarqué, Mr Leno, votre professeur n'est pas là il a du se faire opérer, ne vous inquiétez pas pour lui, il va bien mais il lui faut un mois de convalescence. Vous le savez surement mieux que moi mais pour pratiquer l'activité du trimestre, l'escalade, vu le nombre que vous êtes, il faut deux enseignants pour vous encadrer. Mme Torn va arriver dans quelques instants et vous pourrez commencer quand elle sera là. Du coup je remplace Mr Leno et aide Mme Torn pour ce cours pendant un mois le temps que votre enseignant revienne. En tout cas ne vous inquiétez pas, j'ai beau n'être que prof d'éco, j'ai fait beaucoup d'escalade, c'est même pour ça que je suis là d'ailleurs, donc je saurai vous aider un peu, au moins pendant quelques séances. Des questions?.... Non? bon bah allez aux vestiaires quand vous reviendrez Mme Torn devrait être arrivé."
Bon voilà le prof d'éco venait de faire semblant d'être prof de sport. Je ne sais pas si c'est le jogging et le t-shirt de sport que je portais qui me donnaient une prestance de prof de sport, mais les gradins se vidèrent. Les élèves n'avaient pas l'air terrifié à l'idée de faire de l'escalade avec comme seul sécurité un prof d'éco.
"Ah David ! Merci de les avoir fait rentrer. Désolé pour mon retard, mais bon il fallait que l'administration accepte que tu m'aides, ou plutôt face semblant d'avoir le choix". C'était Mme Torn, une petite blonde dont le physique trop musclé pour être celui d'une mannequin était bien trop beau pour être celui d'une femme ordinaire, la treintaine, venait d'arrivée. Elle était plutôt franche comme personne, j'avoue que son humour me plaisait bien.
- Ne t'inquiète pas, je comprend. J'ai l'impression qu'ils m'ont un peu écouté. j'espère que je ne serai pas trop nul comme pour le premier cours.
- Ça devrait allé, avec Leno on leur a déjà montré les bases les deux premières séances, surtout qu'il y en a beaucoup qui en ont déjà fait les années précédentes.
- Ah c'est une bonne nouvelle ça. Dis moi, Est-ce que tu pourrais me donner la liste des élèves, parce que je ne connais qu'une seule des deux classes et c'est quand même plus pratique de savoir un peu à qui on parle.
- Tiens, tu verras, dans l'ensemble ils sont plutôt cool dans ce groupe là.
Elle me tendit un trombinoscope avec les photos de tous les élèves avec leurs noms. Aucune chance que j'en retienne la moitié mais bon je n'avais rien à perdre à le faire, surtout que les élèves n'étaient pas encore revenus des vestiaires. En lisant la liste, je tombai sur une photo que je connaissais particulièrement bien : Anthony. Etait-ce bien possible? 1 semaine après avoir couché avec un élève du lycée dans notre salle de sport commune, je me retrouve en face à lui dans un cours de sport où je remplace invraisemblablement un prof de sport. Depuis qu'on avait couché ensemble, divinement d'ailleurs, nous avions essayer de nous revoir mais nous avions pas encore réussit, et pourtant, une semaine après le voilà, sur le papier, mais aussi entrant dans la salle 1 entrain de parler avec 2 de ses potes. Il avait du arrivé en retard et les rejoindre dans les vestiaires après mon petit speech. s'il avait été là avant, je l'aurais obligatoirement remarqué.
Lui aussi il me vit. dans sa discussion, il levant la tête sans vraiment regarder et ses yeux se posèrent sur moi. Ses yeux brillaient à la fois de plaisir et de provocation. En passant devant moi les élèves me saluèrent, lui il me fit un clin d'œil discret mais suffisamment évocateur.
Le cour commença, Mme Torn reprit son rôle de prof de sport et expliqua les objectifs du jour aux élèves. Moi je restai en retrait et j'observai. Apparemment à la salle de sport, j'étais tombé sur le bon lycéen parce qu'ils n'étaient tous aussi sexy qu'Anthony, mais bon quelques uns valaient le coup quand même. Une fois que leur prof eu finie de leur expliquer, ils se levèrent et s'installèrent au pied du mur d'escalade pour grimper. Torn et moi nous divisâmes ce mur en deux, la partie gauche pour elle, la partie droite pour moi. Quelle chance, c'est là qu'Anthony et ses amis s'étaient installés.
Les élèves commencèrent à grimper et les 20 premières minutes se passèrent assez bien, j'aidai ceux qui étaient le moins à l'aise quand ils en avaient besoin et dans l'ensemble tout se passait bien. Mais apparemment les élèves en avait décidé autrement.
Pour un mois de septembre il faisait vraiment chaud, d'autant que la baie vitrée donnant plein sud n'aidaient pas à rafraîchir l'atmosphère, et Arthur le beaux-parleur du début de cours a alors décidé qu'il avait trop chaud. A mi-hauteur du mur il lâcha les prises, restant suspendu par la corde, enleva son T-shirt et le laissa tomber au cas du mur. Voulait-il faire le beau devant les filles ou provoquer Mme Torn? quoi qu'il en soit celle-ci rappliqua.
- Arthur, si j'étais toi, je resterais accroché sur le mur, ne serait-ce que pour éviter d'entendre le nombre de pompe que tu vas nous faire comme punitions.
L'humour de Mme Torn n'avait pas réellement marché mais elle nous avait bien fait sourire, surtout que la connaissant, Arthur allait faire ses pompes. Une fois arrivé en haut de son mur, Arthur descendit.
- Mme vous avez vu j'ai fait ça plus vite que d'habitude, dit-il d'un air innocent. Elle lui lança un regard terrible. Madame il fait chaud et ça ne dérange personne.
- Ecoute Arthur, il fait chaud mais bon si tu veux enlever ton T-shirt, il faut faire de la natation pas de l'escalade !
- Si ça vous dérange pas plus que ça et que c'est la même chose pour les autres il n'y a pas de problème non? Mr Dubois par exemple ça vous dérange vous?
J'avais rejoint ma collègue mais bon je n'osai pas vraiment m'exprimer, après tout je n'étais que remplaçant, et qui plus est, même pas prof de sport. En tout cas en m'interpellant, il s'était retourné et je pouvais voir son corps de face. Il était dans une de mes classes donc je connaissais bien sa gueule d'ange : beau blond aux yeux bleus, les cheveux courts et revelés sur le dessus "à la mode" comme on pourrait dire. Mais je n'avais jamais vu ce qui se cachait sous ses T-shirts. Son torse était parfaitement taillé, des abdos et des pecs secs avec un V plongeant sous son jogging.
- Euh...
- ... de toute façon vu votre T-shirt, je ne me montre pas plus que vous, me coupa-t-il avec l'air du provocateur qui se rend compte qu'il est allé un peu loin mais qui espère que ça ne changera rien.
- Tu m'expliquera ce que tu pense du problème que représentent les vêtements de sports dans la société dans la disserte de sociologie que tu fera samedi matin d 8h à 12h salle 312, d'accord Arthur?
- mais...
- Joliment dit Mr Dubois, rit Torn. Bon Arthur tu peux rester comme ça mais tu nous fera 50 pompes d'accord? à la fin du cours pour ne pas t'empêcher de grimper. Les pompes c'est le bon vieux cliché du prof de sport, mais bon puisque tu veux montrer tes muscles ça devrait te plaire.
Le cours reprit et les élèves recommencèrent à monter. Maintenant que le shirtless était autorisé, la moitié des garçons avaient enlevé leur T-shirt, musclé ou non, comme quoi, c'était aussi pour plus de facilité. Bien sur je remarqua tout de suite que mon élève préféré, Anthony avait aussi enlevé son T-shirt aussi. Le connaissant c'était évident. Lorsque j'arrivai à côté de son groupe, il était entrain d'assurer un des ses potes.
- Mr ? dites moi j'ai un doute, j'ai peur de pas bien l'assurer. Vous pourriez me montrer le geste pour serrer la corde? il me dit ça avec le même air de fausse innocence que lorsqu'il me demanda si nous pouvions prendre une douche ensemble.
- Bien sur Anthony, j'avais pourtant l'impression que tu t'en sortais bien. Je vais te montrer, lui dis-je d'un air neutre pour ne pas éveiller les soupçons et lui rappelé que ça ne marche pas comme ça avec moi.
Je posai les mains sur ses bras puissants et me mit derrière lui pour lui montrer le mouvement qu'il connaissait surement parfaitement. J'accompagnai son mouvement, je sentais les muscles de ses bras se contracter sous mes main. La chaleur de son corps et notre position était plus qu’appréciable, d'autant qu'elle me rappelait un peu ce que nous avions fait. Mais il fallait que je me concentre, si jamais je mettait mis à bander mon jogging n'aurait rien dissimulé ça pour un prof ce n'était possible. J'augmentai mon emprise sur ses bras pour lui montrer que malgré la situation j'avais le controle, ce à quoi il répondit en disant "quelle poigne monsieur" avec un grand sourrir.
- Tu te sens plus à l'aise maintenant que je t'ai montrer?
- Oui tout à fait, je devrais pouvoir l'aider à finir cette montée.
- Très bien, je reviendrai te voir.
Je parti donc et alla voir d'autres élèves. 1 heure était passée, une heure plutôt mouvementée pour un premier cours de sport, d'autant que l'atmosphère ne faisait que se réchauffer avec les gars torses nus et les filles qui les avaient suivit et qui étaient pour les plus sportives en brassière et pour les plus sexy en soutien-gorge. Mais apparemment, nous n'en avions pas finit et la dernière heure du cour ne fut pas plus calme que la première.
"AIIIE !!!!!!!!!!"
Que se passait-il? Le bruit venait de droite, c'était mon côté, j'accourue donc vers la droite du mur pour voir ce qui avait bien pu arriver. Sur le mur, Anthony était accroché difficilement aux prises du mur. Au sol, son assureur était en encore moins bonne posture, un petit gars très mince, or vu la carrure d'Anthony, il avait très peu de chance pour que le gringalet puisse l'assurer plus longtemps sans s'envoler par mouvement de balancier, l'un descend, l'autre monte.
- Yannick, dis moi qu'est-ce qui c'est passé?
- Anthony descendait en rappel mais je suis trop léger et il se balançait....et il c'est cogné fort... contre...le...mur, balbutia-t-il.
- Bon d'accord, je vais prendre la corde et t'aider. Ne t'inquiète pas, il pourra descendre facilement comme ça. Anthony, lâche toi , on te tient, t'as plus qu'à te laisser descendre.
Nous réussîmes à faire descendre Anthony, et au vue des marques rouges sur son torse sculptural il avait du se faire plutôt mal sur le mur.
- Merci monsieur, me dit-il haletant.
- De rien c'est normal. Yannick par contre il vaudrait mieux qu'à partir de maintenant tu assures des élèves de ton gabarit. Tu le fais plutôt bien mais la physique est contre toi.
- David, euh...Mr Dubois amenez Anthony dans les vestiaires des profs, il y a une trousse de secours dedans, tu pourra l'aider. Elle c'était dépêcher de venir et elle avait eu peur.
- d'accord, je l'emmène.
Anthony appuyé contre le mur se redressa et nous allâmes vers les vestiaires des profs à l'entrée du gymnase. Il s'assit sur une des chaises et je sorti la trousse à pharmacie. Effectivement il semblait bien avoir mal. Il m’expliqua qu'en tombant il s'était cogné les épaules sur des prises et frotter les côtes et le buste sur le mur.
- Tu ne t'es pas loupé sur ce mur Anthony.
- Ça c'est clair, David. Mais bon si ça me permet d'être à nouveau dans des vestiaires avec toi, je veux bien recommencer.
- Tu es sur de vouloir en parler maintenant?
- Pourquoi pas? après tout on avait bien dit qu'on se verrait non?
- Mouais, bon attend d'abord je vais te mettre la crème anesthésiante, dis-je avec un grand sourire.
Il bomba le torse et j'y appliquai la crème. Je passai les mains sur ses côtes gauches avec la crème et l'étalai dessus. lorsque je passais à certains endroit il émettait un petit son assez tendancieux. Le massage faisait disparaître les rougeurs sur sa peau et semblait lui faire du bien. Il avait à présent des frissons et ses tétons pointaient.. Je senti soudain sa main dans mon dos. Il me caressait. Je relevai donc la tête et le regarda d'un air intrigué et mais excité.
- Dis moi, tu as vraiment mal, où c'est juste pour que je te masse?
- L'un empêche pas l'autre. Et puis, je suis sur que tu en as envie aussi.
- Ici je suis prof et...
- ...non ici tu es infirmier de secours pour le beau gosse qui c'est blessé, et puis je crois savoir qu'aujourd'hui c'est ton vestiaire perso, pas de Torn dans les parages. Que toi, moi et notre furieuse envie l'un de l'autre.
Il finit sa phrase et m'embrassa, un baisé presque animal tant il était fort. J’enlevai mon T-shirt et descendis mon jogging qui ne cachait en fait pas du tout mon début d'érection. Il se leva sans lâcher ma bouche. Nous nous caressions en nous embrassant. Je m'assis sur le bureau contre le mur. Il enleva mon caleçon, et se mit lui aussi à nu, libérant son gros sexe qui pendait maintenant entre les jambes en demi-mole. Il descendit doucement en embrassant tout mon corps. Une fois au niveau de mon sexe il s'accroupit et commença à me sucer. il goba mon gland et le lécha avant de faire rentrer entièrement ma queue dans sa bouche. Il m'offrit une véritable gorge profonde. Il montait et descendait sur elle avec des bruits de succions particulièrement excitants. Dans le même temps je sentais ses doigts qui jouaient avec ma rosette. Ils rentraient et sortaient doucement. C'était divin. Mon sexe engloutit dans sa gorge et ses doigts en moi. Il sorti mon sexe de sa bouche, respira et reprit, moins loin cette fois. je mis mes mais sur sa tête et lui fait faire des vas et viens rapides. Je lui baisais la bouche, sans toutefois aller très loin en lui. Lorsque j'arrêtai il se pencha encore et lecha rapidement mon anus.
- Cette fois c'est moi qui commence, on est d'accord?
- Si t'arrive a tout rentrer oui bien sur.
Toute gêne était partie et j'étais prêt, à tord ou à raison à prendre son énorme sexe en moi. Il se releva et se positionna devant l'entrée de mon anus. Il utilisa sa salive pour lubrifier son sexe et commença à entrer. Les jambes écartées aux maximum sur la table j'étais offert à son sexe. Il eut du mal à rentrer son gland, mais une fois qu'il fut passé, je compris ce que c'était un gros sexe. Jusqu'à présent je n'avais été sodomisé que par des gars de tailles assez moyenne. Je sentais mon intérieur s'agrandir à chaque centimètre qu'il rentrait. c'était douloureux mais tellement bon. D'une manière incroyable il ne lui fallut que peu de temps pour tout rentrer. et à partir de là je pris mon pied. Il accélérait, de plus en plus, et allait toujours plus loin. Je mis une jambe sur son épaule. Je voyais dans ses yeux le plaisir qu'il prenait à me baiser. J'en prenais tout autant. mon corps était parcouru de frissons, et mon sexe bandait à exploser. Nous gémissions de plaisir. Je sentais l'orgasme monter en moi à mesure que son sexe rentrait et ressortait de moi. Cette sensation remontant le long de mon sexe, de mon torse, jusqu'à ma tête que je laissais allé en arrière tant le plaisir était fort. Mais je ne voulais pas jouir tout de suite, je faisais tout pour me retenir et en profiter le plus longtemps possible. C'est Anthony qui jouit le premier. Lorsque le plaisir atteint son sommet, il posa ses mains sur mes pecs et mit un dernier coup de rein pour aller au plus profond de moi et y éjaculer en gémissant.
Il sortit de moi lentement comme pour vivre chaque seconde de ce plaisir. Puis je me relevai un peu ailleurs à cause du plaisir et de l'orgasme refoulé. mais nous n'en avions pas fini. C'était à mon tour de jouer.
Nous nous collâmes l'un à l'autre et recommencèrent à nous embrasser. puis je l'appuyai sur le mur de la pièce. je remontai ses jambes sur le côté, il les enserra alors autour de moi et s'appuya sur la chaise sur laquelle je l'avais massé et sur le bureau de l'autre côté. Je le portai et le laissa tomber doucement sur mon sexe en érection. La gravité l'y empala lentement, lui faisant pousser des gémissements graves, puis commençai à le prendre contre ce mur. L'idée qu'il puisse être celui d'un autre vestiaire et donc qu'on nous entende ne me touchait pas. Je voulais seulement lui montrer à quel point j'avais envie de lui, à quel point j'aimais son corps, et lui rendre le plaisir sans qu'il m'avait donné en me pénétrant sur le bureau. Il gémissait toujours plus sous mes coups de reins. Il était toujours aussi serré et si bon à prendre. Dans cette position nous eûmes un orgasme commun et jouîmes tous deux en même temps, moi en lui et lui sur nos torse.
Je le lâchai et nous restâmes debout collés l'un à l'autre, mon sexe toujours en lui. C'est alors que mon téléphone sonna, l'heure était finie, il allait falloir partir car ça voulait surtout dire que nous allions plus pouvoir rester seuls. Mme Torn allait arriver d'ici peu.
- Anthony, je crois qu'il va falloir que l'on se rhabille, dis-je avant de l'embrasser une nouvelle fois, une dernière fois.
- C'est dommage...j'aurais bien recommencer moi. Dit-il en allant chercher son jogging et son caleçon.
- Si tu savais comme j'aurais voulue aussi. Je n'ai jamais prit autant de plaisir en passif qu'avec toi. Mais il ne faut pas qu'on nous voit comme ça, aujourd'hui je suis ton prof, dans un mois ce sera plus simple. Dis-je en remettant mon T-shirt.
- Ne dis pas ça, te voir comme un prof m'excite encore plus...surtout avec ce petit T-shirt plus que moulant.
- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi? dis-je ne riant. Mais c'est vrai qu'Arthur avait raison tout à l'heure, je ne suis pas vraiment plus habillé que lui.
Je fis un rapide bandage sur les cotes d'Anthony pour qu'en arrivant Torn ait l'impression qu'il était vraiment blessé, et que je l'avais vraiment soigné. Nous nous embrassâmes fougueusement pendant les dernières minutes qu'il nous restait.
- Par contre je n'attendrais plus que Mr le professeur ne viennent me soigner en cours de sport, on se revoit dans peut de temps ! dit-il avec son fameux air provocateur.
- Biensu....
*Toc Toc*
- David? Je peux rentrer?
- Bien sur Mme Torn
Elle rentra avec un air renfrogné, du genre à engueuler l'Apollon qui c'était blessé bêtement.
- Tiens regardes j'ai pu faire un bandage à Anthony, tes blessures devraient partir d'ici quelques jours, après tout ce ne sont que des éraflures. Bon au moins ça vous apprendra à grimper torse nu.
- Bien dit David, ah ah, rit Torn, sur ceux, tu peux partir Anthony, à la semaine prochaine.
- Au revoir Anthony.
- Au revoir Mr Dubois, dit-il en partant.
- Il cool lui non? C'est un des mieux du groupe, tu as de la chance, tu aurais pu tomber sur un plus compliquer à gérer, crois moi. Tu l'as en cours ? parce que vous sembliez plutôt proches.
- C'est vrai qu'il est ... sympathique. Non je ne l'ai pas en cours, en fait je l'ai eu quelques jours puis il a changé de classe. Disons que faire un bandages dans une bonne ambiance ça rapproche, et puis il est plutôt mature comme élève, il a redoublé une classe c'est ça?
- Exactement. Bon c'est pas tout mais il faut qu'on libère le gymnase. Tu peux rentrer chez toi, je vais m'occuper du reste.
- D'accord, bonne chance, je vais rentrer chez moi, bonne après midi.
La suite bientôt, si ça vous a plus ou que vous avez des envies/idées de suite laissez des commentaires.
Je m'attend déjà à voir leur visages médusés à l'entrée du gymnase. Je peux comprendre, voir son prof d'éco habitué aux chemises cintrées et aux salles de cours, en jogging et t-shirt non moins moulants, devant un gymnase, ça à de quoi surprendre naturellement.
- euh...Mr Dubois pourquoi vous êtes au gymnase? Mr Leno n'est pas là? me demanda un élève que j'avais en cours et qui parlait plutôt ouvertement.
- Et non Arthur, Mr Leno n'est pas là, mais ne t'inquiète pas je vais tout vous expliquer. Rassembles tout le monde et rejoignez moi dans la salle 1, je vous expliquerai tout et on commencera la séance après.
Quelques minutes plus tard, me tenant devant les gradins de la salle 1, face à 2 classes de terminales qui me regardaient d'un air inquisiteur, je dis :
"Bon comme vous l'avez surement remarqué, Mr Leno, votre professeur n'est pas là il a du se faire opérer, ne vous inquiétez pas pour lui, il va bien mais il lui faut un mois de convalescence. Vous le savez surement mieux que moi mais pour pratiquer l'activité du trimestre, l'escalade, vu le nombre que vous êtes, il faut deux enseignants pour vous encadrer. Mme Torn va arriver dans quelques instants et vous pourrez commencer quand elle sera là. Du coup je remplace Mr Leno et aide Mme Torn pour ce cours pendant un mois le temps que votre enseignant revienne. En tout cas ne vous inquiétez pas, j'ai beau n'être que prof d'éco, j'ai fait beaucoup d'escalade, c'est même pour ça que je suis là d'ailleurs, donc je saurai vous aider un peu, au moins pendant quelques séances. Des questions?.... Non? bon bah allez aux vestiaires quand vous reviendrez Mme Torn devrait être arrivé."
Bon voilà le prof d'éco venait de faire semblant d'être prof de sport. Je ne sais pas si c'est le jogging et le t-shirt de sport que je portais qui me donnaient une prestance de prof de sport, mais les gradins se vidèrent. Les élèves n'avaient pas l'air terrifié à l'idée de faire de l'escalade avec comme seul sécurité un prof d'éco.
"Ah David ! Merci de les avoir fait rentrer. Désolé pour mon retard, mais bon il fallait que l'administration accepte que tu m'aides, ou plutôt face semblant d'avoir le choix". C'était Mme Torn, une petite blonde dont le physique trop musclé pour être celui d'une mannequin était bien trop beau pour être celui d'une femme ordinaire, la treintaine, venait d'arrivée. Elle était plutôt franche comme personne, j'avoue que son humour me plaisait bien.
- Ne t'inquiète pas, je comprend. J'ai l'impression qu'ils m'ont un peu écouté. j'espère que je ne serai pas trop nul comme pour le premier cours.
- Ça devrait allé, avec Leno on leur a déjà montré les bases les deux premières séances, surtout qu'il y en a beaucoup qui en ont déjà fait les années précédentes.
- Ah c'est une bonne nouvelle ça. Dis moi, Est-ce que tu pourrais me donner la liste des élèves, parce que je ne connais qu'une seule des deux classes et c'est quand même plus pratique de savoir un peu à qui on parle.
- Tiens, tu verras, dans l'ensemble ils sont plutôt cool dans ce groupe là.
Elle me tendit un trombinoscope avec les photos de tous les élèves avec leurs noms. Aucune chance que j'en retienne la moitié mais bon je n'avais rien à perdre à le faire, surtout que les élèves n'étaient pas encore revenus des vestiaires. En lisant la liste, je tombai sur une photo que je connaissais particulièrement bien : Anthony. Etait-ce bien possible? 1 semaine après avoir couché avec un élève du lycée dans notre salle de sport commune, je me retrouve en face à lui dans un cours de sport où je remplace invraisemblablement un prof de sport. Depuis qu'on avait couché ensemble, divinement d'ailleurs, nous avions essayer de nous revoir mais nous avions pas encore réussit, et pourtant, une semaine après le voilà, sur le papier, mais aussi entrant dans la salle 1 entrain de parler avec 2 de ses potes. Il avait du arrivé en retard et les rejoindre dans les vestiaires après mon petit speech. s'il avait été là avant, je l'aurais obligatoirement remarqué.
Lui aussi il me vit. dans sa discussion, il levant la tête sans vraiment regarder et ses yeux se posèrent sur moi. Ses yeux brillaient à la fois de plaisir et de provocation. En passant devant moi les élèves me saluèrent, lui il me fit un clin d'œil discret mais suffisamment évocateur.
Le cour commença, Mme Torn reprit son rôle de prof de sport et expliqua les objectifs du jour aux élèves. Moi je restai en retrait et j'observai. Apparemment à la salle de sport, j'étais tombé sur le bon lycéen parce qu'ils n'étaient tous aussi sexy qu'Anthony, mais bon quelques uns valaient le coup quand même. Une fois que leur prof eu finie de leur expliquer, ils se levèrent et s'installèrent au pied du mur d'escalade pour grimper. Torn et moi nous divisâmes ce mur en deux, la partie gauche pour elle, la partie droite pour moi. Quelle chance, c'est là qu'Anthony et ses amis s'étaient installés.
Les élèves commencèrent à grimper et les 20 premières minutes se passèrent assez bien, j'aidai ceux qui étaient le moins à l'aise quand ils en avaient besoin et dans l'ensemble tout se passait bien. Mais apparemment les élèves en avait décidé autrement.
Pour un mois de septembre il faisait vraiment chaud, d'autant que la baie vitrée donnant plein sud n'aidaient pas à rafraîchir l'atmosphère, et Arthur le beaux-parleur du début de cours a alors décidé qu'il avait trop chaud. A mi-hauteur du mur il lâcha les prises, restant suspendu par la corde, enleva son T-shirt et le laissa tomber au cas du mur. Voulait-il faire le beau devant les filles ou provoquer Mme Torn? quoi qu'il en soit celle-ci rappliqua.
- Arthur, si j'étais toi, je resterais accroché sur le mur, ne serait-ce que pour éviter d'entendre le nombre de pompe que tu vas nous faire comme punitions.
L'humour de Mme Torn n'avait pas réellement marché mais elle nous avait bien fait sourire, surtout que la connaissant, Arthur allait faire ses pompes. Une fois arrivé en haut de son mur, Arthur descendit.
- Mme vous avez vu j'ai fait ça plus vite que d'habitude, dit-il d'un air innocent. Elle lui lança un regard terrible. Madame il fait chaud et ça ne dérange personne.
- Ecoute Arthur, il fait chaud mais bon si tu veux enlever ton T-shirt, il faut faire de la natation pas de l'escalade !
- Si ça vous dérange pas plus que ça et que c'est la même chose pour les autres il n'y a pas de problème non? Mr Dubois par exemple ça vous dérange vous?
J'avais rejoint ma collègue mais bon je n'osai pas vraiment m'exprimer, après tout je n'étais que remplaçant, et qui plus est, même pas prof de sport. En tout cas en m'interpellant, il s'était retourné et je pouvais voir son corps de face. Il était dans une de mes classes donc je connaissais bien sa gueule d'ange : beau blond aux yeux bleus, les cheveux courts et revelés sur le dessus "à la mode" comme on pourrait dire. Mais je n'avais jamais vu ce qui se cachait sous ses T-shirts. Son torse était parfaitement taillé, des abdos et des pecs secs avec un V plongeant sous son jogging.
- Euh...
- ... de toute façon vu votre T-shirt, je ne me montre pas plus que vous, me coupa-t-il avec l'air du provocateur qui se rend compte qu'il est allé un peu loin mais qui espère que ça ne changera rien.
- Tu m'expliquera ce que tu pense du problème que représentent les vêtements de sports dans la société dans la disserte de sociologie que tu fera samedi matin d 8h à 12h salle 312, d'accord Arthur?
- mais...
- Joliment dit Mr Dubois, rit Torn. Bon Arthur tu peux rester comme ça mais tu nous fera 50 pompes d'accord? à la fin du cours pour ne pas t'empêcher de grimper. Les pompes c'est le bon vieux cliché du prof de sport, mais bon puisque tu veux montrer tes muscles ça devrait te plaire.
Le cours reprit et les élèves recommencèrent à monter. Maintenant que le shirtless était autorisé, la moitié des garçons avaient enlevé leur T-shirt, musclé ou non, comme quoi, c'était aussi pour plus de facilité. Bien sur je remarqua tout de suite que mon élève préféré, Anthony avait aussi enlevé son T-shirt aussi. Le connaissant c'était évident. Lorsque j'arrivai à côté de son groupe, il était entrain d'assurer un des ses potes.
- Mr ? dites moi j'ai un doute, j'ai peur de pas bien l'assurer. Vous pourriez me montrer le geste pour serrer la corde? il me dit ça avec le même air de fausse innocence que lorsqu'il me demanda si nous pouvions prendre une douche ensemble.
- Bien sur Anthony, j'avais pourtant l'impression que tu t'en sortais bien. Je vais te montrer, lui dis-je d'un air neutre pour ne pas éveiller les soupçons et lui rappelé que ça ne marche pas comme ça avec moi.
Je posai les mains sur ses bras puissants et me mit derrière lui pour lui montrer le mouvement qu'il connaissait surement parfaitement. J'accompagnai son mouvement, je sentais les muscles de ses bras se contracter sous mes main. La chaleur de son corps et notre position était plus qu’appréciable, d'autant qu'elle me rappelait un peu ce que nous avions fait. Mais il fallait que je me concentre, si jamais je mettait mis à bander mon jogging n'aurait rien dissimulé ça pour un prof ce n'était possible. J'augmentai mon emprise sur ses bras pour lui montrer que malgré la situation j'avais le controle, ce à quoi il répondit en disant "quelle poigne monsieur" avec un grand sourrir.
- Tu te sens plus à l'aise maintenant que je t'ai montrer?
- Oui tout à fait, je devrais pouvoir l'aider à finir cette montée.
- Très bien, je reviendrai te voir.
Je parti donc et alla voir d'autres élèves. 1 heure était passée, une heure plutôt mouvementée pour un premier cours de sport, d'autant que l'atmosphère ne faisait que se réchauffer avec les gars torses nus et les filles qui les avaient suivit et qui étaient pour les plus sportives en brassière et pour les plus sexy en soutien-gorge. Mais apparemment, nous n'en avions pas finit et la dernière heure du cour ne fut pas plus calme que la première.
"AIIIE !!!!!!!!!!"
Que se passait-il? Le bruit venait de droite, c'était mon côté, j'accourue donc vers la droite du mur pour voir ce qui avait bien pu arriver. Sur le mur, Anthony était accroché difficilement aux prises du mur. Au sol, son assureur était en encore moins bonne posture, un petit gars très mince, or vu la carrure d'Anthony, il avait très peu de chance pour que le gringalet puisse l'assurer plus longtemps sans s'envoler par mouvement de balancier, l'un descend, l'autre monte.
- Yannick, dis moi qu'est-ce qui c'est passé?
- Anthony descendait en rappel mais je suis trop léger et il se balançait....et il c'est cogné fort... contre...le...mur, balbutia-t-il.
- Bon d'accord, je vais prendre la corde et t'aider. Ne t'inquiète pas, il pourra descendre facilement comme ça. Anthony, lâche toi , on te tient, t'as plus qu'à te laisser descendre.
Nous réussîmes à faire descendre Anthony, et au vue des marques rouges sur son torse sculptural il avait du se faire plutôt mal sur le mur.
- Merci monsieur, me dit-il haletant.
- De rien c'est normal. Yannick par contre il vaudrait mieux qu'à partir de maintenant tu assures des élèves de ton gabarit. Tu le fais plutôt bien mais la physique est contre toi.
- David, euh...Mr Dubois amenez Anthony dans les vestiaires des profs, il y a une trousse de secours dedans, tu pourra l'aider. Elle c'était dépêcher de venir et elle avait eu peur.
- d'accord, je l'emmène.
Anthony appuyé contre le mur se redressa et nous allâmes vers les vestiaires des profs à l'entrée du gymnase. Il s'assit sur une des chaises et je sorti la trousse à pharmacie. Effectivement il semblait bien avoir mal. Il m’expliqua qu'en tombant il s'était cogné les épaules sur des prises et frotter les côtes et le buste sur le mur.
- Tu ne t'es pas loupé sur ce mur Anthony.
- Ça c'est clair, David. Mais bon si ça me permet d'être à nouveau dans des vestiaires avec toi, je veux bien recommencer.
- Tu es sur de vouloir en parler maintenant?
- Pourquoi pas? après tout on avait bien dit qu'on se verrait non?
- Mouais, bon attend d'abord je vais te mettre la crème anesthésiante, dis-je avec un grand sourire.
Il bomba le torse et j'y appliquai la crème. Je passai les mains sur ses côtes gauches avec la crème et l'étalai dessus. lorsque je passais à certains endroit il émettait un petit son assez tendancieux. Le massage faisait disparaître les rougeurs sur sa peau et semblait lui faire du bien. Il avait à présent des frissons et ses tétons pointaient.. Je senti soudain sa main dans mon dos. Il me caressait. Je relevai donc la tête et le regarda d'un air intrigué et mais excité.
- Dis moi, tu as vraiment mal, où c'est juste pour que je te masse?
- L'un empêche pas l'autre. Et puis, je suis sur que tu en as envie aussi.
- Ici je suis prof et...
- ...non ici tu es infirmier de secours pour le beau gosse qui c'est blessé, et puis je crois savoir qu'aujourd'hui c'est ton vestiaire perso, pas de Torn dans les parages. Que toi, moi et notre furieuse envie l'un de l'autre.
Il finit sa phrase et m'embrassa, un baisé presque animal tant il était fort. J’enlevai mon T-shirt et descendis mon jogging qui ne cachait en fait pas du tout mon début d'érection. Il se leva sans lâcher ma bouche. Nous nous caressions en nous embrassant. Je m'assis sur le bureau contre le mur. Il enleva mon caleçon, et se mit lui aussi à nu, libérant son gros sexe qui pendait maintenant entre les jambes en demi-mole. Il descendit doucement en embrassant tout mon corps. Une fois au niveau de mon sexe il s'accroupit et commença à me sucer. il goba mon gland et le lécha avant de faire rentrer entièrement ma queue dans sa bouche. Il m'offrit une véritable gorge profonde. Il montait et descendait sur elle avec des bruits de succions particulièrement excitants. Dans le même temps je sentais ses doigts qui jouaient avec ma rosette. Ils rentraient et sortaient doucement. C'était divin. Mon sexe engloutit dans sa gorge et ses doigts en moi. Il sorti mon sexe de sa bouche, respira et reprit, moins loin cette fois. je mis mes mais sur sa tête et lui fait faire des vas et viens rapides. Je lui baisais la bouche, sans toutefois aller très loin en lui. Lorsque j'arrêtai il se pencha encore et lecha rapidement mon anus.
- Cette fois c'est moi qui commence, on est d'accord?
- Si t'arrive a tout rentrer oui bien sur.
Toute gêne était partie et j'étais prêt, à tord ou à raison à prendre son énorme sexe en moi. Il se releva et se positionna devant l'entrée de mon anus. Il utilisa sa salive pour lubrifier son sexe et commença à entrer. Les jambes écartées aux maximum sur la table j'étais offert à son sexe. Il eut du mal à rentrer son gland, mais une fois qu'il fut passé, je compris ce que c'était un gros sexe. Jusqu'à présent je n'avais été sodomisé que par des gars de tailles assez moyenne. Je sentais mon intérieur s'agrandir à chaque centimètre qu'il rentrait. c'était douloureux mais tellement bon. D'une manière incroyable il ne lui fallut que peu de temps pour tout rentrer. et à partir de là je pris mon pied. Il accélérait, de plus en plus, et allait toujours plus loin. Je mis une jambe sur son épaule. Je voyais dans ses yeux le plaisir qu'il prenait à me baiser. J'en prenais tout autant. mon corps était parcouru de frissons, et mon sexe bandait à exploser. Nous gémissions de plaisir. Je sentais l'orgasme monter en moi à mesure que son sexe rentrait et ressortait de moi. Cette sensation remontant le long de mon sexe, de mon torse, jusqu'à ma tête que je laissais allé en arrière tant le plaisir était fort. Mais je ne voulais pas jouir tout de suite, je faisais tout pour me retenir et en profiter le plus longtemps possible. C'est Anthony qui jouit le premier. Lorsque le plaisir atteint son sommet, il posa ses mains sur mes pecs et mit un dernier coup de rein pour aller au plus profond de moi et y éjaculer en gémissant.
Il sortit de moi lentement comme pour vivre chaque seconde de ce plaisir. Puis je me relevai un peu ailleurs à cause du plaisir et de l'orgasme refoulé. mais nous n'en avions pas fini. C'était à mon tour de jouer.
Nous nous collâmes l'un à l'autre et recommencèrent à nous embrasser. puis je l'appuyai sur le mur de la pièce. je remontai ses jambes sur le côté, il les enserra alors autour de moi et s'appuya sur la chaise sur laquelle je l'avais massé et sur le bureau de l'autre côté. Je le portai et le laissa tomber doucement sur mon sexe en érection. La gravité l'y empala lentement, lui faisant pousser des gémissements graves, puis commençai à le prendre contre ce mur. L'idée qu'il puisse être celui d'un autre vestiaire et donc qu'on nous entende ne me touchait pas. Je voulais seulement lui montrer à quel point j'avais envie de lui, à quel point j'aimais son corps, et lui rendre le plaisir sans qu'il m'avait donné en me pénétrant sur le bureau. Il gémissait toujours plus sous mes coups de reins. Il était toujours aussi serré et si bon à prendre. Dans cette position nous eûmes un orgasme commun et jouîmes tous deux en même temps, moi en lui et lui sur nos torse.
Je le lâchai et nous restâmes debout collés l'un à l'autre, mon sexe toujours en lui. C'est alors que mon téléphone sonna, l'heure était finie, il allait falloir partir car ça voulait surtout dire que nous allions plus pouvoir rester seuls. Mme Torn allait arriver d'ici peu.
- Anthony, je crois qu'il va falloir que l'on se rhabille, dis-je avant de l'embrasser une nouvelle fois, une dernière fois.
- C'est dommage...j'aurais bien recommencer moi. Dit-il en allant chercher son jogging et son caleçon.
- Si tu savais comme j'aurais voulue aussi. Je n'ai jamais prit autant de plaisir en passif qu'avec toi. Mais il ne faut pas qu'on nous voit comme ça, aujourd'hui je suis ton prof, dans un mois ce sera plus simple. Dis-je en remettant mon T-shirt.
- Ne dis pas ça, te voir comme un prof m'excite encore plus...surtout avec ce petit T-shirt plus que moulant.
- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi? dis-je ne riant. Mais c'est vrai qu'Arthur avait raison tout à l'heure, je ne suis pas vraiment plus habillé que lui.
Je fis un rapide bandage sur les cotes d'Anthony pour qu'en arrivant Torn ait l'impression qu'il était vraiment blessé, et que je l'avais vraiment soigné. Nous nous embrassâmes fougueusement pendant les dernières minutes qu'il nous restait.
- Par contre je n'attendrais plus que Mr le professeur ne viennent me soigner en cours de sport, on se revoit dans peut de temps ! dit-il avec son fameux air provocateur.
- Biensu....
*Toc Toc*
- David? Je peux rentrer?
- Bien sur Mme Torn
Elle rentra avec un air renfrogné, du genre à engueuler l'Apollon qui c'était blessé bêtement.
- Tiens regardes j'ai pu faire un bandage à Anthony, tes blessures devraient partir d'ici quelques jours, après tout ce ne sont que des éraflures. Bon au moins ça vous apprendra à grimper torse nu.
- Bien dit David, ah ah, rit Torn, sur ceux, tu peux partir Anthony, à la semaine prochaine.
- Au revoir Anthony.
- Au revoir Mr Dubois, dit-il en partant.
- Il cool lui non? C'est un des mieux du groupe, tu as de la chance, tu aurais pu tomber sur un plus compliquer à gérer, crois moi. Tu l'as en cours ? parce que vous sembliez plutôt proches.
- C'est vrai qu'il est ... sympathique. Non je ne l'ai pas en cours, en fait je l'ai eu quelques jours puis il a changé de classe. Disons que faire un bandages dans une bonne ambiance ça rapproche, et puis il est plutôt mature comme élève, il a redoublé une classe c'est ça?
- Exactement. Bon c'est pas tout mais il faut qu'on libère le gymnase. Tu peux rentrer chez toi, je vais m'occuper du reste.
- D'accord, bonne chance, je vais rentrer chez moi, bonne après midi.
La suite bientôt, si ça vous a plus ou que vous avez des envies/idées de suite laissez des commentaires.
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