Un rêve éveillé ou la naissance d'une salope
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un rêve éveillé ou la naissance d'une salope
Un type m’a dit un jour :
« Les vraies salopes n’existent pas et encore moins les jeunes salopes. »
Et, crétin que je suis, je l’ai cru. Donc, durant toute ma vie, je ne les ai pas cherchées.
Ho, bien sur, j’ai trouvé des coquines, des pseudos libertines, des filles qui aimaient le sexe. Oui, bien sur, j’en ai connu.
Mais la salope telle que je me l’imagine… jamais.
Bien sur, la question est, comment je me l’imagine ?
Et c’est là que toutes et tous les féministes vont me tomber dessus.
D’abord, elle est belle, douce, tendre et gentille. Elle a le sourire qui tue, n’est jamais en colère et est très polie.
Elle ne se rebelle pas et fait ce qu’on lui dit, même si elle trouve ca débile, outrageant, voir humiliant ou dangereux. Elle fait et analyse ensuite.
Elle prend plaisir à faire plaisir, quelle que soit la personne.
Elle se couche et écarte les jambes, juste pour rendre service, quel que soit le statut social ou l’âge de la personne qui la désire.
Et enfin, elle est prête à toutes nouvelles expériences de quelques types que ce soit.
Vous voyez, ca n’existe pas.
Pourtant.
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Un lundi en fin d’après midi, après le boulot, je décide de couper par le parc.
Il fait encore bon et le ciel est fantastiquement bleu.
Je rêvasse deux minutes en regardant les canards faire les cons dans le bassin et je reprends ma flânerie.
Sur le bord du chemin, une jeune fille est assise sur un banc.
Elle est joliment habillée avec une robe vichy et elle porte deux jolies couettes.
On dirait une jolie poupée.
Elle semble bien sage.
En m’approchant, je découvre que ce que j’ai pris tout d’abord pour une jeune fille, est en réalité une jeune femme d’une beauté troublante.
Ce trouble doit se lire sur mon visage, car elle me regarde et me sourit en rougissant un peu. Rouge, je dois l’être aussi.
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Mardi.
J’ai pensé à cette fille toute la journée et comme un gamin, je reprends le chemin du parc avec l’espoir un peu fou qu’elle soit revenue.
Mon cœur se met à battre la chamade lorsque je l’aperçois.
Je la trouve encore plus belle, et cette fois, très désirable dans sa petite robe d’été moulante.
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Mercredi
Aujourd’hui, si elle est là, je lui parle.
Elle est là.
Jupe plissée et tee-shirt. Sa poitrine pousse le tissu en avant. Ses pointes gonflées m’indiquent qu’elle ne porte rien et ca m’excite.
Lui parler. Lui parler à tout prix.
Rien à faire, aucun son ne sort de ma bouche.
C’est elle qui brise la glace.
« Bonjour. »
Pauvre con, que je suis, juste capable de sourire et de passer mon chemin.
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Jeudi.
Mini jupe et chemisier ouvert jusqu’entre ses seins.
« Bonjour. »
« Bonjour. »
Cette fois, pas question de jouer les timides. Je fais demi-tour et m’assois près d’elle.
« Dites moi, plus les jours passent et plus vous êtes dénudée ! À cette allure vous serez nue demain ! »
Elle éclate de rire.
« Je savais que je finirais par capter votre attention. Mais peut être auriez vous du attendre demain, non ? »
« Ok ! Faisons comme si je ne vous avais pas vu ! À demain alors ? »
« Oui, à demain. »
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Je suis comme un adolescent. Je me répète ses phrases toute la nuit.
« Capter votre attention. Attendre demain. Capter votre attention. Attendre demain attendre demain. Oui, à demain. »
Je me masturbe et je vois ses lèvres prononcer ces mots. Je vois la peau douce de ses seins. Je vois ses cuisses croisées, sa mini jupe cachant juste le nécessaire.
Mon foutre chaud coule sur mes doigts encore cramponnés à mon sexe. La nuit sera longue.
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Vendredi.
Tout excité, je me rends au parc.
Si ca se trouve, elle ne sera plus là. Son jeu était peut être de juste exciter, pas plus.
Et bien, non, ce n’est pas ca, car elle est là, sur le banc.
Lorsqu’elle m’aperçoit, elle me sourit gentiment. Le cœur battant, je m’installe au près d’elle.
« Alors ! Vous voyez, je ne suis pas nue ! »
Nue, non, mais si peu couverte.
Elle porte une micro jupe qui s’arrête au ras de sa culotte et un tee-shirt col en V qui descend jusqu’au milieu de sa poitrine, la dévoilant parfaitement à qui veut la voir.
« C’est vrais, vous n’êtes pas nue, mais il ne faut pas que vous respiriez trop fort ! »
Elle éclate de rire. Il est franc et clair.
Je regarde son visage. Elle a encore des yeux de petite fille malicieuse. Ses lèvres sont fines et délicates. J’ai envi de les mordre.
Ses seins, eux, sont confortables et vont avec la silhouette qu’elle véhicule.
Ronde sans être grosse, cette femme donne envie de la palper, de la caresser.
Ses cuisses, que sa jupe permet d’admirer au mieux, semblent fermes et douces. Sa peau blanche est rafraichissante et on y poserait sa tête volontiers.
« Si tu le permets, tutoyons-nous. Mon prénom est… »
« Non ! Non ! Je ne veux pas connaitre ni votre prénom, ni votre âge. Je veux vous appeler « Monsieur » et vous vouvoyer. Vous voulez bien ? »
« Si tel est ton désir, alors, je serais « Monsieur ». »
Finalement, ca m’arrange bien. Pas envie de lui dire que je viens d’avoir cinquante six ans, même si mes traits peuvent le laisser deviner.
Je me rends bien compte que je pourrais être son père, mais cela ne semble pas la déranger le moins du monde. Et après tout, c’est elle qui a cherché à « capter mon attention ».
En sa présence, je me sens redevenir jeune homme. C’est une étrange sensation.
« Mais toi ! Me dira tu ton prénom et ton âge ? »
« Je m’appelle Audrey et j’ai vingt deux ans. »
« Audrey ! C’est charmant et coquin à la fois. J’adore. »
Sa beauté m’aveugle et me rends audacieux.
Je passe mon bras autour de ses épaules et pose une main sur son genou.
« Ca t’ennuie si je pose ma main là ? »
Elle me donne le plus beau sourire qu’il m’est été permis de voir, et approche son visage du mien.
Même dans mes souvenirs les plus lointains, jamais une fille ne m’a embrassé si vite et si tendrement.
Sa langue est curieuse de ma bouche. Elle en fouille chaque recoin et tourne avec délicatesse autour de la mienne. Parfois elle me l’aspire et la mordille gentiment.
Lorsqu’elle libère ma bouche, ses lèvres luisent de nos salives. Délicatement, je les essuie de mon pouce et repose ma main sur son genou.
« Seul mon genou vous intéresse ? »
« Haha ! Non, tu m’intéresse toute entière. Mais aurais tu oublié que nous sommes dans un parc ? Regarde tout ces hommes qui déambules et rodes autour de nous. »
Elle prend ma main et la monte jusqu’au haut de sa cuisses, à peine à un centimètre de sa culotte, que sa jupe ne cache même plus.
« Je n’ai pas peur, vous êtes là ! Mon ventre est bouillant et je crois bien que je suis entrain de bousiller ma culotte. Hihi ! »
Je n’en peux plus. Je caresse sa cuisse puis glisse jusqu’au petit bout de coton. Elle ne mentait pas. Je l’effleure à peine et je sens déjà l’humidité qui la traverse.
« Tu mouille comme une salope ! »
« C’est peut être que j’en suis une, non ? »
« Oui, je le crois bien ! »
Je glisse un doigt, puis deux sous la culotte.
Sa chatte est douce comme la peau d’un nouveau né. Chaude aussi et bien sur trempée.
Je ne bataille pas longtemps avec ses grandes lèvres pour découvrir son clito gonflé de désir.
Je plonge mes doigts dans la grotte bouillante et les ressort gluants de mouille. Je frotte son petit bouton, fort puis doucement, je le pince, le branle entre mon pouce et mon index.
Elle, jambes écartées, s’abandonne à ma caresse et à son plaisir sous les yeux de quelques hommes hébétés.
L’un d’eux s’approche, sexe à la main. Audrey, les yeux fermés, perdue dans sa jouissance, ne le voit pas.
« Audrey ! Regarde ! »
Elle ouvre les yeux. Je la sens frémir et sa langue glisse sur ses lèvres de poupée.
Elle contemple le dard qui se trouve à moins d’un mètre d’elle et se décide enfin à poser une main sur ma cuisse. Très vite, elle remonte à ma braguette et palpe ma bite au travers de mon pantalon.
Incroyable. Moi qui depuis quelques temps semblais présenter quelques troubles d’érection, je bande comme un jeune homme.
« Hummm ! Vous bandez fort, aussi ! »
Tandis qu’elle se démène à ouvrir ma fermeture éclair, l’homme s’approche et lui présente sa queue.
Je plonge trois doigts en elle, et la masturbe avec frénésie pour lui arracher quelques plaintes de plaisir. Son vagin déborde et fait des clapotis entre mes doigts.
Elle parvient à extraire mon membre dressé et prend un malin plaisir à me rendre la monnaie de ma pièce, en m’astiquant comme une démente.
Elle ouvre la bouche et sort sa langue en la faisant frétiller comme un poisson. Le type fait un pas de plus et sa queue disparait entre les lèvres de la belle Audrey.
Elle le suce avec application, glisse le long de la colonne et se tort pour pouvoir gober les couilles du gaillard. Puis elle revient au gland, et laisse la queue prendre de nouveau possession de sa bouche. Elle s’enfonce doucement et sans s’arrêter.
Audrey a les joues gonflées, lorsque ses lèvres atteignent la base du pénis. Je n’ai jamais vu une gorge profonde aussi belle.
La petite est endurante et cherche encore à prendre un peu plus, en poussant la tige dans son gosier.
Elle recrache enfin, libérant le sexe dégoulinant de bave.
Audrey s’essuie du revers de sa main.
« Je veux qu’il me baise ! »
Elle lâche ma queue et retire sa culotte. Elle me la donne, se lève et se penche sur le banc, présentant sa croupe au type.
Je suis un peu déçu qu’elle ne se soit pas donnée à moi. Mais elle ne m’appartient pas. Elle est libre de ses envies. C’est ainsi.
Peut être l’a t’elle vu ou ressenti, car elle se tourne un peu vers moi, se penche d’avantage et laisse glisser ma queue dans sa bouche.
L’inconnu, pose ses mains sur les hanches d’Audrey et la pénètre lentement.
Elle délaisse ma bite un instant, juste pour exprimer son contentement.
« Ho ouiii ! Baisez-moi bien à fond ! Ouiii ! J’aime caaa ! Hummm ! C’est bonnnn ! »
Puis elle reprend sa fellation, tout en gémissant.
Voir cet homme la baiser ainsi me rend fou d’excitation.
D’autres approchent. Ils palpent son ventre, son cul, son dos et bien sur ses deux mamelles, qui pendouillent et balancent au rythme de la pénétration.
« Ho ouiii ! Audrey ! Je vais jouir ! Ne t’arrête pas ! Suce-moi bien ! Je vais venir ! »
C’est pourtant ce qu’elle fait. Elle arrête et relève la tête pour venir m’embrasser.
« Hummm ! Salope ! Tiens, prends ca, petite putain ! Ta chatte est d’enfer ! Hargggggg ! »
Le type se vide dans son ventre et je vois Audrey jouir.
« Hoo ouiii ! C’est bonnnn ! Ouiiiiiiii ! »
Un autre la prendra à son tour et encore un autre, et encore un. Elle semble infatigable et enchaine les orgasmes.
Pour moi, elle alterne baisers et fellations, prenant bien soin de ne jamais me faire jouir.
Lorsqu’un ultime individu lui arrache une longue plainte de plaisir, elle m’invite enfin à me lever.
« Venez Monsieur ! Venez ! Vous aussi, régalez vous de ma chatte ! »
Elle s’accroche au dossier du banc et se cambre fort pour me présenter sa chatte.
Je l’aperçois dégoulinante de foutre. C’est une grande première pour moi. Jamais je ne suis passé derrière un autre et par conséquent encore moins derrière plusieurs.
Mais peu m’importe. Cette fille m’a ensorcelé et je la veux, là, maintenant, tout de suite.
Je pose mon gland sur sa fente. Je sens les liqueurs humidifier celui-ci.
Je pousse légèrement et je suis aspiré dans son ventre. Je glisse dans un doux fourreau liquide, gras et chaud.
C’est fantastique et je regrette de n’avoir pas tenté cette expérience plus tôt dans ma vie.
C’est avec un plaisir incommensurable que je vais et viens dans la chatte souillée d’Audrey.
« Petite putain ! Tu vas me faire jouir ! Haaa ! »
La jouissance est si forte que je ne me retiens pas de claquer son cul tout en poussant fort dans son ventre.
Lorsque je me retire, je vois ma petite protégée, qui épuisée, plie ses jambes tétanisées pour poser ses genoux sur le bord du banc. Elle enfouit sa tête dans ses bras pour retrouver son souffle.
La nuit est tombée. C’est à la lumière d’un vieux réverbère que je vois son vagin vomir de grandes quantités de spermes blancs, qui viennent s’écraser sur le banc.
Tandis que je nettoie ma queue avec un mouchoir en papier, elle se saisie de sa culotte que j’avais posé sur le banc et se l’introduit entière dans la chatte. Elle en ressort un bout de tissu baveux et gluant qu’elle jette dans la poubelle toute proche.
Puis elle me prend par le bras et pose sa tête sur mon épaule.
« On s’en vas ? »
« Bien sur, si tu veux ! Ou veux-tu aller ? »
« Je ne sais pas. Chez vous peut être ? »
« Viens petite, tu a besoin d’une bonne douche. »
J’habite à cinq minutes du parc. Nous arrivons rapidement.
Elle est ravie de pouvoir prendre une douche et me revient toute pimpante, mais sans culotte.
Elle s’écroule près de moi dans le canapé. Je la prends de nouveau dans mes bras.
« Ca vas ? »
« Ho oui, bien mieux, merci ! Qu’est ce qu’ils m’ont mis ! »
« Tu te fais souvent troncher comme ca, par une ribambelle de types ? »
« Ho, non Monsieur ! Je vais vous faire un aveu. C’est la première fois que ca m’arrive. »
« Pourquoi l’a tu fait ? »
« Je ne sais pas. J’étais bien avec vous, en confiance. J’en ai eu envie et surtout le courage de le faire. »
Ses cheveux sont mouillés et des gouttes d’eau tombent sur ses épaules et roulent juste qu’entre ses seins.
Je les arrête du revers de mon index, mais très vite je glisse ma main dans son tee-shirt pour me saisir de ses seins.
« Vous voulez que je les sorte ? »
« Humm ! Oui ! Avec plaisir, Audrey. »
Elle glisse à son tour ses mains dans le vêtement et extirpe ses deux seins par-dessus le col en V de son maillot.
« Un type m’a dit qu’il préférait comme ca, plutôt que d’enlever mon tee-shirt. Il disait que ca faisait chienne. »
« Hum ! C’est vrais que ca un petit coté vulgaire très excitant. »
Je les caresse un peu puis je me penche pour les dévorer. Je suce et aspire les pointes roses, dures et gonflées par le plaisir.
Une fois de plus, j’ai planté trois doigts dans sa chatte. La petite est toujours aussi trempée.
Je me place à genoux entre ses jambes et plonge mon visage au coin le plus chaud de ses cuisses.
Là où il y a encore quelques minutes le sperme était roi, glisse maintenant ma bouche, mes lèvres et ma langue.
Enfoncée dans le canapé, elle tend les bras pour appuyer sur ma tête.
« Hooo ! Ouiiii ! C’est bon, Monsieur ! Hummmm ! »
Le visage trempé de sa mouille, je me redresse et me couche sur elle pour l’embrasser. Elle me lèche pour déguster sa cyprine et mange ma bouche avec délice.
Je bande de nouveau à en avoir mal.
« Humm ! Ma chérie ! Je vais te baiser, t’enculer et te jouir sur ta gueule de petite trainée ! »
Mais soudain, elle se raidit et se dégage.
« Qu’est ce qui t’arrive ? Qu’est ce qui ce passe ? »
« Je ne prends pas le sperme sur mon visage, ni dans ma bouche et je ne me fais pas sodomiser ! Vous savez, je suis soft. »
« Qu’est ce que tu me raconte, petite pute, tu n’avale pas ? »
« Non, Monsieur, je n’avale pas et si vous insistez, je m’en vais ! »
« De quoi ? Tu te prétends salope et tu ne fais pas tout ca ? Espèce de raclure ! Tu trompe ton monde ! Finalement, tu n’es qu’une petite fille un peu chaudasse de la chatte, qui veut le grand frisson ! Hein ? C’est ca ? Mais tu n’es surement pas une salope ! »
Elle est assise sur le bord du canapé, tête baissée et mains croisées sur ses genoux.
« Regarde-moi, quand je te parle ! »
Elle relève le visage. Elle a des larmes prêtes à couler de ses yeux.
« Je suis désolée, je vais partir. »
« Pas question ! Tu veux être une salope, alors je vais te rendre salope. Je vais t’apprendre à aimer le foutre ! Je vais t’apprendre à ne plus avoir peur de te faire casser le cul ! »
Cette fois, elle pleure pour de bon. La petite putain m’excite. Je voudrais qu’elle pleure encore plus.
« Fou toi à poil ! »
« Non, je… »
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et je la claque. Pas trop fort, juste pour l’humilier.
Elle se déshabille en pleurant toutes les larmes de son corps. Je l’attrape par les cheveux et penche sa tête en arrière. Je lèche ses joues et son cou pour me désaltérer du jus salé de ses larmes.
« Tu veux être une vrais salope ! »
« Oui, Monsieur, c’est mon désir le plus fou. Mais j’ai si peur de ne pas y parvenir. »
« Fais moi confiance et je t’y aiderais ! Allonge-toi ! »
Elle se couche sur le canapé pendant que je me déshabille à mon tour.
« Regarde chérie ! Regarde ma queue comme je mouille ! Tu vois comme tu m’excite ? »
Je récupère des gouttes de jus pré-éjaculatoire et je m’en enduis les lèvres.
Je me couche sur Audrey, puis après avoir prit son visage dans mes mains, je l’embrasse.
« C’est bon ? »
« Oui, ca, ca vas ! C’est le sperme qui me dégoute ! »
Le mot sperme dans la bouche de cette fille me rend dingue. Je la pénètre d’un coup et la baise en ne pensant qu’à mon plaisir.
« Tiens, petite chaudasse de merde, prend ca en attendant que je puisse t’appeler de nouveau salope ! »
Je ne pensais pas être aussi cruel. Je suis surpris de la voir pleurer encore, tout en prenant son pied.
« Assis toi, je vais jouir sur tes seins ! »
Elle s’assoit et je me présente debout, face à elle.
« Suce-moi, garce ! »
Elle pose ses mains sur mes cuisses et engloutie ma verge. Elle me fait gorge profonde et je sens mon gland toucher sa luette et pénétrer un peu son pharynx.
Prise de haut le cœur, elle se dégage, puis recommence, encore et encore.
Sentant ma sève monter, je retire mon membre de sa bouche et après une courte masturbation, mon jus bouillant coule sur ses seins.
Elle, la tête bien en arrière de peur de prendre des éclaboussures, ferme les yeux très forts.
« Ouvre les yeux et regarde ma liqueur. Prends conscience que c’est toi qui a fait qu’elle a quitté mon corps. Déposée ainsi sur tes seins, elle les met en valeur et les rend encore plus beaux, encore plus désirables. »
Je prends son index. Je le trempe de foutre et le glisse sur son sein.
« Tu sens comme c’est doux ? Imagine quand je t’ai pénétrée au bois, le plaisir que j’ai ressenti. Audrey, enduis mes lèvres, s’il te plaît. »
Sans un mot, les joues rougies, elle récupère de la liqueur et me la dépose sur les lèvres en tremblant un peu.
Une fois fait, je passe ma langue sur celle-ci, de façon à faire disparaitre toutes traces.
« Embrasse-moi ! N’ai pas peur et embrasse moi. »
Elle s’approche doucement de mes lèvres et y dépose les siennes.
Rassurée, elle m’embrasse à pleine bouche.
« Donne-moi ta première impression. »
« Salé ? »
« Oui, un peu. Redépose un peu de sperme sur mes lèvres. »
Je lui en fais remettre un peu plus, et je l’embrasse sans passer ma langue au préalable.
Je lui tiens la tête. Pas question qu’elle recule.
Lorsque je cesse de l’embrasser, elle veut s’essuyer avec le revers de sa main. Je l’en empêche.
« Allons ! Il y en a à peine plus que tout à l’heure. Je te l’accorde, le gout n’est pas génial, mais sais tu que certain l’associe au gout de la truffe ? »
Elle sourit.
« Je n’ai jamais mangé de truffe ! »
« Et bien tu vois, les gens en font tout un plat. Le foutre est moins cher. »
Elle rit et je vois ses yeux recommencer à briller.
« Dépose s’en sur le bout de ta langue. »
Elle tourne doucement son index dans une grosse coulée et courageusement, elle dépose le précieux chargement sur sa langue.
« Joue avec. Fais le tourner dans ta bouche avec ta salive et avale. »
Elle le fait et j’en suis heureux. J’étais sur qu’elle le ferait.
« Alors ? »
« Bof ! Ca a un drôle de gout. Ce n’est pas terrible, mais ca vas. »
« C’est bien ! Je suis fier de toi. On arrête là pour aujourd’hui. Tu as bien travaillé. »
Je vais à la salle de bain pour lui ramener de quoi se nettoyer.
Mais lorsque je reviens, une surprise m’attend.
Je la surprends à récupérer mon foutre avec ses doigts et à les porter à la bouche avec gourmandise.
« Et bien ! Et bien ! Audrey ! Quelle surprise, vraiment ! »
Elle me sourit.
« C’est grâce à vous. Vous m’avez ouvert les yeux. Vous aviez raison, je ne serais jamais une salope modèle si je ne fais pas ca. Et finalement, ce n’est pas si terrible et je crois même que je vais apprécier très vite. »
« Voilà qui me réjouis Audrey ! La prochaine fois nous commencerons l’éducation de ta pastille brune. Tu verras, ca aussi peut très vite devenir très agréable. »
« Vous m’aimez, Monsieur ? »
« Comment ne pas t’aimer ? Tu es à deux doigts d’être celle dont j’ai toujours rêvé. »
« Alors je veux apprendre la sodomie, maintenant ! »
L’éducation, durera toute la nuit.
Comment se détendre, respirer. Comment pousser et accepter un corps étranger.
Nous commencerons par un doigt, puis un gros marqueur. Je lui ferai le garder en elle une bonne heure.
Puis, une bougie que je ferais aller et venir, doucement.
Très vite elle comprend que la douleur est passagère et fait place à un plaisir immense, pourvus que l’on sache accepter de se faire enculer.
C’est une jeune femme radieuse qui s’en va de chez moi, ce matin.
« Fais ces exercices tout les jours pendant une bonne semaine. Ensuite arrête et reprends une semaine plus tard. Tu verras, tu finiras par en jouir. »
Je ne pensais jamais la revoir.
Et puis un soir, à la tombé de la nuit, accablé par une chaleur orageuse, je descends prendre l’air dans le parc.
Au centre de celui-ci, des plaintes, des gémissements étouffés, me parviennent. Je cherche et suis la direction du son. Je m’enfonce dans un petit bois.
A quelques mètres, j’aperçois des ombres, des silhouettes. Je m’avance sans faire de bruit et là, soudain,… je la reconnais.
Audrey à quatre pattes se fait défoncer par un homme. Un autre se fait sucer en gorge profonde. Il y a une dizaine d’hommes autour d’elle.
Celui qui la baisait se retire après avoir jouit. Un autre prend immédiatement sa place.
« Je vais t’enculer, petite salope ! »
Aucune réaction d’Audrey qui continue avec application sa gorge profonde.
« Hargg ! Je vais jouir ! Putain ! Avale tout, poufiasse ! »
Elle jette sa tête en arrière et reste ainsi, bouche ouverte, face à l’homme qui se fini en se masturbant.
De longues giclées jaillissent, souillant le visage de la belle, puis l’homme s’applique à lui remplir la bouche.
Je suis scotché !
Je m’approche tout près.
Elle est entièrement nue et offerte. De grandes trainées blanches zèbrent son dos et ses fesses.
Son visage aussi est souillé. Son maquillage a coulé ce qui lui donne un air de chienne sauvage.
Soudain elle m’aperçoit et me fait son plus beau sourire.
« Hoo ! Enculez-moi, Monsieur ! Défoncez mon cul ! »
Je ne me fais pas prier et me place à genoux derrière elle.
Je dois être un des derniers, car à n’en pas douter son cul est autant rempli que sa chatte.
Je me cale dans son anus et la plante d’un coup.
Je lui arrache une longue plainte de plaisir.
« Hooo ! Monsieur ! Je suis si heureuse de vous offrir mon cul ! »
« Et moi de t’enculer, salope ! »
« Je suis une salope, Monsieur ? Je suis une salope ? »
« Oui ! Tu es une belle et bonne salope ! Surement la meilleure salope qu’il m’a été permis de rencontrer ! »
Les hommes qui nous entourent, acquiescent.
« Ha oui ! Sacrée bonne salope ! »
« La meilleure putain que j’ai jamais baisé ! »
« Et quelle chienne ! Elle m’a vidé les couilles ! »
« Et sa bouche ! Vous avez vu ce garage à bites ? »
Audrey, la belle Audrey, Audrey la salope, jouit sous les injures.
Pour Audrey.
« Les vraies salopes n’existent pas et encore moins les jeunes salopes. »
Et, crétin que je suis, je l’ai cru. Donc, durant toute ma vie, je ne les ai pas cherchées.
Ho, bien sur, j’ai trouvé des coquines, des pseudos libertines, des filles qui aimaient le sexe. Oui, bien sur, j’en ai connu.
Mais la salope telle que je me l’imagine… jamais.
Bien sur, la question est, comment je me l’imagine ?
Et c’est là que toutes et tous les féministes vont me tomber dessus.
D’abord, elle est belle, douce, tendre et gentille. Elle a le sourire qui tue, n’est jamais en colère et est très polie.
Elle ne se rebelle pas et fait ce qu’on lui dit, même si elle trouve ca débile, outrageant, voir humiliant ou dangereux. Elle fait et analyse ensuite.
Elle prend plaisir à faire plaisir, quelle que soit la personne.
Elle se couche et écarte les jambes, juste pour rendre service, quel que soit le statut social ou l’âge de la personne qui la désire.
Et enfin, elle est prête à toutes nouvelles expériences de quelques types que ce soit.
Vous voyez, ca n’existe pas.
Pourtant.
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Un lundi en fin d’après midi, après le boulot, je décide de couper par le parc.
Il fait encore bon et le ciel est fantastiquement bleu.
Je rêvasse deux minutes en regardant les canards faire les cons dans le bassin et je reprends ma flânerie.
Sur le bord du chemin, une jeune fille est assise sur un banc.
Elle est joliment habillée avec une robe vichy et elle porte deux jolies couettes.
On dirait une jolie poupée.
Elle semble bien sage.
En m’approchant, je découvre que ce que j’ai pris tout d’abord pour une jeune fille, est en réalité une jeune femme d’une beauté troublante.
Ce trouble doit se lire sur mon visage, car elle me regarde et me sourit en rougissant un peu. Rouge, je dois l’être aussi.
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Mardi.
J’ai pensé à cette fille toute la journée et comme un gamin, je reprends le chemin du parc avec l’espoir un peu fou qu’elle soit revenue.
Mon cœur se met à battre la chamade lorsque je l’aperçois.
Je la trouve encore plus belle, et cette fois, très désirable dans sa petite robe d’été moulante.
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Mercredi
Aujourd’hui, si elle est là, je lui parle.
Elle est là.
Jupe plissée et tee-shirt. Sa poitrine pousse le tissu en avant. Ses pointes gonflées m’indiquent qu’elle ne porte rien et ca m’excite.
Lui parler. Lui parler à tout prix.
Rien à faire, aucun son ne sort de ma bouche.
C’est elle qui brise la glace.
« Bonjour. »
Pauvre con, que je suis, juste capable de sourire et de passer mon chemin.
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Jeudi.
Mini jupe et chemisier ouvert jusqu’entre ses seins.
« Bonjour. »
« Bonjour. »
Cette fois, pas question de jouer les timides. Je fais demi-tour et m’assois près d’elle.
« Dites moi, plus les jours passent et plus vous êtes dénudée ! À cette allure vous serez nue demain ! »
Elle éclate de rire.
« Je savais que je finirais par capter votre attention. Mais peut être auriez vous du attendre demain, non ? »
« Ok ! Faisons comme si je ne vous avais pas vu ! À demain alors ? »
« Oui, à demain. »
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Je suis comme un adolescent. Je me répète ses phrases toute la nuit.
« Capter votre attention. Attendre demain. Capter votre attention. Attendre demain attendre demain. Oui, à demain. »
Je me masturbe et je vois ses lèvres prononcer ces mots. Je vois la peau douce de ses seins. Je vois ses cuisses croisées, sa mini jupe cachant juste le nécessaire.
Mon foutre chaud coule sur mes doigts encore cramponnés à mon sexe. La nuit sera longue.
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Vendredi.
Tout excité, je me rends au parc.
Si ca se trouve, elle ne sera plus là. Son jeu était peut être de juste exciter, pas plus.
Et bien, non, ce n’est pas ca, car elle est là, sur le banc.
Lorsqu’elle m’aperçoit, elle me sourit gentiment. Le cœur battant, je m’installe au près d’elle.
« Alors ! Vous voyez, je ne suis pas nue ! »
Nue, non, mais si peu couverte.
Elle porte une micro jupe qui s’arrête au ras de sa culotte et un tee-shirt col en V qui descend jusqu’au milieu de sa poitrine, la dévoilant parfaitement à qui veut la voir.
« C’est vrais, vous n’êtes pas nue, mais il ne faut pas que vous respiriez trop fort ! »
Elle éclate de rire. Il est franc et clair.
Je regarde son visage. Elle a encore des yeux de petite fille malicieuse. Ses lèvres sont fines et délicates. J’ai envi de les mordre.
Ses seins, eux, sont confortables et vont avec la silhouette qu’elle véhicule.
Ronde sans être grosse, cette femme donne envie de la palper, de la caresser.
Ses cuisses, que sa jupe permet d’admirer au mieux, semblent fermes et douces. Sa peau blanche est rafraichissante et on y poserait sa tête volontiers.
« Si tu le permets, tutoyons-nous. Mon prénom est… »
« Non ! Non ! Je ne veux pas connaitre ni votre prénom, ni votre âge. Je veux vous appeler « Monsieur » et vous vouvoyer. Vous voulez bien ? »
« Si tel est ton désir, alors, je serais « Monsieur ». »
Finalement, ca m’arrange bien. Pas envie de lui dire que je viens d’avoir cinquante six ans, même si mes traits peuvent le laisser deviner.
Je me rends bien compte que je pourrais être son père, mais cela ne semble pas la déranger le moins du monde. Et après tout, c’est elle qui a cherché à « capter mon attention ».
En sa présence, je me sens redevenir jeune homme. C’est une étrange sensation.
« Mais toi ! Me dira tu ton prénom et ton âge ? »
« Je m’appelle Audrey et j’ai vingt deux ans. »
« Audrey ! C’est charmant et coquin à la fois. J’adore. »
Sa beauté m’aveugle et me rends audacieux.
Je passe mon bras autour de ses épaules et pose une main sur son genou.
« Ca t’ennuie si je pose ma main là ? »
Elle me donne le plus beau sourire qu’il m’est été permis de voir, et approche son visage du mien.
Même dans mes souvenirs les plus lointains, jamais une fille ne m’a embrassé si vite et si tendrement.
Sa langue est curieuse de ma bouche. Elle en fouille chaque recoin et tourne avec délicatesse autour de la mienne. Parfois elle me l’aspire et la mordille gentiment.
Lorsqu’elle libère ma bouche, ses lèvres luisent de nos salives. Délicatement, je les essuie de mon pouce et repose ma main sur son genou.
« Seul mon genou vous intéresse ? »
« Haha ! Non, tu m’intéresse toute entière. Mais aurais tu oublié que nous sommes dans un parc ? Regarde tout ces hommes qui déambules et rodes autour de nous. »
Elle prend ma main et la monte jusqu’au haut de sa cuisses, à peine à un centimètre de sa culotte, que sa jupe ne cache même plus.
« Je n’ai pas peur, vous êtes là ! Mon ventre est bouillant et je crois bien que je suis entrain de bousiller ma culotte. Hihi ! »
Je n’en peux plus. Je caresse sa cuisse puis glisse jusqu’au petit bout de coton. Elle ne mentait pas. Je l’effleure à peine et je sens déjà l’humidité qui la traverse.
« Tu mouille comme une salope ! »
« C’est peut être que j’en suis une, non ? »
« Oui, je le crois bien ! »
Je glisse un doigt, puis deux sous la culotte.
Sa chatte est douce comme la peau d’un nouveau né. Chaude aussi et bien sur trempée.
Je ne bataille pas longtemps avec ses grandes lèvres pour découvrir son clito gonflé de désir.
Je plonge mes doigts dans la grotte bouillante et les ressort gluants de mouille. Je frotte son petit bouton, fort puis doucement, je le pince, le branle entre mon pouce et mon index.
Elle, jambes écartées, s’abandonne à ma caresse et à son plaisir sous les yeux de quelques hommes hébétés.
L’un d’eux s’approche, sexe à la main. Audrey, les yeux fermés, perdue dans sa jouissance, ne le voit pas.
« Audrey ! Regarde ! »
Elle ouvre les yeux. Je la sens frémir et sa langue glisse sur ses lèvres de poupée.
Elle contemple le dard qui se trouve à moins d’un mètre d’elle et se décide enfin à poser une main sur ma cuisse. Très vite, elle remonte à ma braguette et palpe ma bite au travers de mon pantalon.
Incroyable. Moi qui depuis quelques temps semblais présenter quelques troubles d’érection, je bande comme un jeune homme.
« Hummm ! Vous bandez fort, aussi ! »
Tandis qu’elle se démène à ouvrir ma fermeture éclair, l’homme s’approche et lui présente sa queue.
Je plonge trois doigts en elle, et la masturbe avec frénésie pour lui arracher quelques plaintes de plaisir. Son vagin déborde et fait des clapotis entre mes doigts.
Elle parvient à extraire mon membre dressé et prend un malin plaisir à me rendre la monnaie de ma pièce, en m’astiquant comme une démente.
Elle ouvre la bouche et sort sa langue en la faisant frétiller comme un poisson. Le type fait un pas de plus et sa queue disparait entre les lèvres de la belle Audrey.
Elle le suce avec application, glisse le long de la colonne et se tort pour pouvoir gober les couilles du gaillard. Puis elle revient au gland, et laisse la queue prendre de nouveau possession de sa bouche. Elle s’enfonce doucement et sans s’arrêter.
Audrey a les joues gonflées, lorsque ses lèvres atteignent la base du pénis. Je n’ai jamais vu une gorge profonde aussi belle.
La petite est endurante et cherche encore à prendre un peu plus, en poussant la tige dans son gosier.
Elle recrache enfin, libérant le sexe dégoulinant de bave.
Audrey s’essuie du revers de sa main.
« Je veux qu’il me baise ! »
Elle lâche ma queue et retire sa culotte. Elle me la donne, se lève et se penche sur le banc, présentant sa croupe au type.
Je suis un peu déçu qu’elle ne se soit pas donnée à moi. Mais elle ne m’appartient pas. Elle est libre de ses envies. C’est ainsi.
Peut être l’a t’elle vu ou ressenti, car elle se tourne un peu vers moi, se penche d’avantage et laisse glisser ma queue dans sa bouche.
L’inconnu, pose ses mains sur les hanches d’Audrey et la pénètre lentement.
Elle délaisse ma bite un instant, juste pour exprimer son contentement.
« Ho ouiii ! Baisez-moi bien à fond ! Ouiii ! J’aime caaa ! Hummm ! C’est bonnnn ! »
Puis elle reprend sa fellation, tout en gémissant.
Voir cet homme la baiser ainsi me rend fou d’excitation.
D’autres approchent. Ils palpent son ventre, son cul, son dos et bien sur ses deux mamelles, qui pendouillent et balancent au rythme de la pénétration.
« Ho ouiii ! Audrey ! Je vais jouir ! Ne t’arrête pas ! Suce-moi bien ! Je vais venir ! »
C’est pourtant ce qu’elle fait. Elle arrête et relève la tête pour venir m’embrasser.
« Hummm ! Salope ! Tiens, prends ca, petite putain ! Ta chatte est d’enfer ! Hargggggg ! »
Le type se vide dans son ventre et je vois Audrey jouir.
« Hoo ouiii ! C’est bonnnn ! Ouiiiiiiii ! »
Un autre la prendra à son tour et encore un autre, et encore un. Elle semble infatigable et enchaine les orgasmes.
Pour moi, elle alterne baisers et fellations, prenant bien soin de ne jamais me faire jouir.
Lorsqu’un ultime individu lui arrache une longue plainte de plaisir, elle m’invite enfin à me lever.
« Venez Monsieur ! Venez ! Vous aussi, régalez vous de ma chatte ! »
Elle s’accroche au dossier du banc et se cambre fort pour me présenter sa chatte.
Je l’aperçois dégoulinante de foutre. C’est une grande première pour moi. Jamais je ne suis passé derrière un autre et par conséquent encore moins derrière plusieurs.
Mais peu m’importe. Cette fille m’a ensorcelé et je la veux, là, maintenant, tout de suite.
Je pose mon gland sur sa fente. Je sens les liqueurs humidifier celui-ci.
Je pousse légèrement et je suis aspiré dans son ventre. Je glisse dans un doux fourreau liquide, gras et chaud.
C’est fantastique et je regrette de n’avoir pas tenté cette expérience plus tôt dans ma vie.
C’est avec un plaisir incommensurable que je vais et viens dans la chatte souillée d’Audrey.
« Petite putain ! Tu vas me faire jouir ! Haaa ! »
La jouissance est si forte que je ne me retiens pas de claquer son cul tout en poussant fort dans son ventre.
Lorsque je me retire, je vois ma petite protégée, qui épuisée, plie ses jambes tétanisées pour poser ses genoux sur le bord du banc. Elle enfouit sa tête dans ses bras pour retrouver son souffle.
La nuit est tombée. C’est à la lumière d’un vieux réverbère que je vois son vagin vomir de grandes quantités de spermes blancs, qui viennent s’écraser sur le banc.
Tandis que je nettoie ma queue avec un mouchoir en papier, elle se saisie de sa culotte que j’avais posé sur le banc et se l’introduit entière dans la chatte. Elle en ressort un bout de tissu baveux et gluant qu’elle jette dans la poubelle toute proche.
Puis elle me prend par le bras et pose sa tête sur mon épaule.
« On s’en vas ? »
« Bien sur, si tu veux ! Ou veux-tu aller ? »
« Je ne sais pas. Chez vous peut être ? »
« Viens petite, tu a besoin d’une bonne douche. »
J’habite à cinq minutes du parc. Nous arrivons rapidement.
Elle est ravie de pouvoir prendre une douche et me revient toute pimpante, mais sans culotte.
Elle s’écroule près de moi dans le canapé. Je la prends de nouveau dans mes bras.
« Ca vas ? »
« Ho oui, bien mieux, merci ! Qu’est ce qu’ils m’ont mis ! »
« Tu te fais souvent troncher comme ca, par une ribambelle de types ? »
« Ho, non Monsieur ! Je vais vous faire un aveu. C’est la première fois que ca m’arrive. »
« Pourquoi l’a tu fait ? »
« Je ne sais pas. J’étais bien avec vous, en confiance. J’en ai eu envie et surtout le courage de le faire. »
Ses cheveux sont mouillés et des gouttes d’eau tombent sur ses épaules et roulent juste qu’entre ses seins.
Je les arrête du revers de mon index, mais très vite je glisse ma main dans son tee-shirt pour me saisir de ses seins.
« Vous voulez que je les sorte ? »
« Humm ! Oui ! Avec plaisir, Audrey. »
Elle glisse à son tour ses mains dans le vêtement et extirpe ses deux seins par-dessus le col en V de son maillot.
« Un type m’a dit qu’il préférait comme ca, plutôt que d’enlever mon tee-shirt. Il disait que ca faisait chienne. »
« Hum ! C’est vrais que ca un petit coté vulgaire très excitant. »
Je les caresse un peu puis je me penche pour les dévorer. Je suce et aspire les pointes roses, dures et gonflées par le plaisir.
Une fois de plus, j’ai planté trois doigts dans sa chatte. La petite est toujours aussi trempée.
Je me place à genoux entre ses jambes et plonge mon visage au coin le plus chaud de ses cuisses.
Là où il y a encore quelques minutes le sperme était roi, glisse maintenant ma bouche, mes lèvres et ma langue.
Enfoncée dans le canapé, elle tend les bras pour appuyer sur ma tête.
« Hooo ! Ouiiii ! C’est bon, Monsieur ! Hummmm ! »
Le visage trempé de sa mouille, je me redresse et me couche sur elle pour l’embrasser. Elle me lèche pour déguster sa cyprine et mange ma bouche avec délice.
Je bande de nouveau à en avoir mal.
« Humm ! Ma chérie ! Je vais te baiser, t’enculer et te jouir sur ta gueule de petite trainée ! »
Mais soudain, elle se raidit et se dégage.
« Qu’est ce qui t’arrive ? Qu’est ce qui ce passe ? »
« Je ne prends pas le sperme sur mon visage, ni dans ma bouche et je ne me fais pas sodomiser ! Vous savez, je suis soft. »
« Qu’est ce que tu me raconte, petite pute, tu n’avale pas ? »
« Non, Monsieur, je n’avale pas et si vous insistez, je m’en vais ! »
« De quoi ? Tu te prétends salope et tu ne fais pas tout ca ? Espèce de raclure ! Tu trompe ton monde ! Finalement, tu n’es qu’une petite fille un peu chaudasse de la chatte, qui veut le grand frisson ! Hein ? C’est ca ? Mais tu n’es surement pas une salope ! »
Elle est assise sur le bord du canapé, tête baissée et mains croisées sur ses genoux.
« Regarde-moi, quand je te parle ! »
Elle relève le visage. Elle a des larmes prêtes à couler de ses yeux.
« Je suis désolée, je vais partir. »
« Pas question ! Tu veux être une salope, alors je vais te rendre salope. Je vais t’apprendre à aimer le foutre ! Je vais t’apprendre à ne plus avoir peur de te faire casser le cul ! »
Cette fois, elle pleure pour de bon. La petite putain m’excite. Je voudrais qu’elle pleure encore plus.
« Fou toi à poil ! »
« Non, je… »
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et je la claque. Pas trop fort, juste pour l’humilier.
Elle se déshabille en pleurant toutes les larmes de son corps. Je l’attrape par les cheveux et penche sa tête en arrière. Je lèche ses joues et son cou pour me désaltérer du jus salé de ses larmes.
« Tu veux être une vrais salope ! »
« Oui, Monsieur, c’est mon désir le plus fou. Mais j’ai si peur de ne pas y parvenir. »
« Fais moi confiance et je t’y aiderais ! Allonge-toi ! »
Elle se couche sur le canapé pendant que je me déshabille à mon tour.
« Regarde chérie ! Regarde ma queue comme je mouille ! Tu vois comme tu m’excite ? »
Je récupère des gouttes de jus pré-éjaculatoire et je m’en enduis les lèvres.
Je me couche sur Audrey, puis après avoir prit son visage dans mes mains, je l’embrasse.
« C’est bon ? »
« Oui, ca, ca vas ! C’est le sperme qui me dégoute ! »
Le mot sperme dans la bouche de cette fille me rend dingue. Je la pénètre d’un coup et la baise en ne pensant qu’à mon plaisir.
« Tiens, petite chaudasse de merde, prend ca en attendant que je puisse t’appeler de nouveau salope ! »
Je ne pensais pas être aussi cruel. Je suis surpris de la voir pleurer encore, tout en prenant son pied.
« Assis toi, je vais jouir sur tes seins ! »
Elle s’assoit et je me présente debout, face à elle.
« Suce-moi, garce ! »
Elle pose ses mains sur mes cuisses et engloutie ma verge. Elle me fait gorge profonde et je sens mon gland toucher sa luette et pénétrer un peu son pharynx.
Prise de haut le cœur, elle se dégage, puis recommence, encore et encore.
Sentant ma sève monter, je retire mon membre de sa bouche et après une courte masturbation, mon jus bouillant coule sur ses seins.
Elle, la tête bien en arrière de peur de prendre des éclaboussures, ferme les yeux très forts.
« Ouvre les yeux et regarde ma liqueur. Prends conscience que c’est toi qui a fait qu’elle a quitté mon corps. Déposée ainsi sur tes seins, elle les met en valeur et les rend encore plus beaux, encore plus désirables. »
Je prends son index. Je le trempe de foutre et le glisse sur son sein.
« Tu sens comme c’est doux ? Imagine quand je t’ai pénétrée au bois, le plaisir que j’ai ressenti. Audrey, enduis mes lèvres, s’il te plaît. »
Sans un mot, les joues rougies, elle récupère de la liqueur et me la dépose sur les lèvres en tremblant un peu.
Une fois fait, je passe ma langue sur celle-ci, de façon à faire disparaitre toutes traces.
« Embrasse-moi ! N’ai pas peur et embrasse moi. »
Elle s’approche doucement de mes lèvres et y dépose les siennes.
Rassurée, elle m’embrasse à pleine bouche.
« Donne-moi ta première impression. »
« Salé ? »
« Oui, un peu. Redépose un peu de sperme sur mes lèvres. »
Je lui en fais remettre un peu plus, et je l’embrasse sans passer ma langue au préalable.
Je lui tiens la tête. Pas question qu’elle recule.
Lorsque je cesse de l’embrasser, elle veut s’essuyer avec le revers de sa main. Je l’en empêche.
« Allons ! Il y en a à peine plus que tout à l’heure. Je te l’accorde, le gout n’est pas génial, mais sais tu que certain l’associe au gout de la truffe ? »
Elle sourit.
« Je n’ai jamais mangé de truffe ! »
« Et bien tu vois, les gens en font tout un plat. Le foutre est moins cher. »
Elle rit et je vois ses yeux recommencer à briller.
« Dépose s’en sur le bout de ta langue. »
Elle tourne doucement son index dans une grosse coulée et courageusement, elle dépose le précieux chargement sur sa langue.
« Joue avec. Fais le tourner dans ta bouche avec ta salive et avale. »
Elle le fait et j’en suis heureux. J’étais sur qu’elle le ferait.
« Alors ? »
« Bof ! Ca a un drôle de gout. Ce n’est pas terrible, mais ca vas. »
« C’est bien ! Je suis fier de toi. On arrête là pour aujourd’hui. Tu as bien travaillé. »
Je vais à la salle de bain pour lui ramener de quoi se nettoyer.
Mais lorsque je reviens, une surprise m’attend.
Je la surprends à récupérer mon foutre avec ses doigts et à les porter à la bouche avec gourmandise.
« Et bien ! Et bien ! Audrey ! Quelle surprise, vraiment ! »
Elle me sourit.
« C’est grâce à vous. Vous m’avez ouvert les yeux. Vous aviez raison, je ne serais jamais une salope modèle si je ne fais pas ca. Et finalement, ce n’est pas si terrible et je crois même que je vais apprécier très vite. »
« Voilà qui me réjouis Audrey ! La prochaine fois nous commencerons l’éducation de ta pastille brune. Tu verras, ca aussi peut très vite devenir très agréable. »
« Vous m’aimez, Monsieur ? »
« Comment ne pas t’aimer ? Tu es à deux doigts d’être celle dont j’ai toujours rêvé. »
« Alors je veux apprendre la sodomie, maintenant ! »
L’éducation, durera toute la nuit.
Comment se détendre, respirer. Comment pousser et accepter un corps étranger.
Nous commencerons par un doigt, puis un gros marqueur. Je lui ferai le garder en elle une bonne heure.
Puis, une bougie que je ferais aller et venir, doucement.
Très vite elle comprend que la douleur est passagère et fait place à un plaisir immense, pourvus que l’on sache accepter de se faire enculer.
C’est une jeune femme radieuse qui s’en va de chez moi, ce matin.
« Fais ces exercices tout les jours pendant une bonne semaine. Ensuite arrête et reprends une semaine plus tard. Tu verras, tu finiras par en jouir. »
Je ne pensais jamais la revoir.
Et puis un soir, à la tombé de la nuit, accablé par une chaleur orageuse, je descends prendre l’air dans le parc.
Au centre de celui-ci, des plaintes, des gémissements étouffés, me parviennent. Je cherche et suis la direction du son. Je m’enfonce dans un petit bois.
A quelques mètres, j’aperçois des ombres, des silhouettes. Je m’avance sans faire de bruit et là, soudain,… je la reconnais.
Audrey à quatre pattes se fait défoncer par un homme. Un autre se fait sucer en gorge profonde. Il y a une dizaine d’hommes autour d’elle.
Celui qui la baisait se retire après avoir jouit. Un autre prend immédiatement sa place.
« Je vais t’enculer, petite salope ! »
Aucune réaction d’Audrey qui continue avec application sa gorge profonde.
« Hargg ! Je vais jouir ! Putain ! Avale tout, poufiasse ! »
Elle jette sa tête en arrière et reste ainsi, bouche ouverte, face à l’homme qui se fini en se masturbant.
De longues giclées jaillissent, souillant le visage de la belle, puis l’homme s’applique à lui remplir la bouche.
Je suis scotché !
Je m’approche tout près.
Elle est entièrement nue et offerte. De grandes trainées blanches zèbrent son dos et ses fesses.
Son visage aussi est souillé. Son maquillage a coulé ce qui lui donne un air de chienne sauvage.
Soudain elle m’aperçoit et me fait son plus beau sourire.
« Hoo ! Enculez-moi, Monsieur ! Défoncez mon cul ! »
Je ne me fais pas prier et me place à genoux derrière elle.
Je dois être un des derniers, car à n’en pas douter son cul est autant rempli que sa chatte.
Je me cale dans son anus et la plante d’un coup.
Je lui arrache une longue plainte de plaisir.
« Hooo ! Monsieur ! Je suis si heureuse de vous offrir mon cul ! »
« Et moi de t’enculer, salope ! »
« Je suis une salope, Monsieur ? Je suis une salope ? »
« Oui ! Tu es une belle et bonne salope ! Surement la meilleure salope qu’il m’a été permis de rencontrer ! »
Les hommes qui nous entourent, acquiescent.
« Ha oui ! Sacrée bonne salope ! »
« La meilleure putain que j’ai jamais baisé ! »
« Et quelle chienne ! Elle m’a vidé les couilles ! »
« Et sa bouche ! Vous avez vu ce garage à bites ? »
Audrey, la belle Audrey, Audrey la salope, jouit sous les injures.
Pour Audrey.
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